L'islam, les infidèles et le jihad

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Seleucide

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Re: L'islam, les infidèles et le jihad

Ecrit le 19 avr.16, 07:34

Message par Seleucide »

Tu peux faire un sujet sur Mahomet, si tu veux.

Ici, ça n'est pas le sujet.
Il faut d'abord avoir raison. Une idée fausse est une idée fausse.

eric121

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Re: L'islam, les infidèles et le jihad

Ecrit le 19 avr.16, 21:49

Message par eric121 »

slamani a écrit :[
="eric121"]
réponses en gras
Encore une fois, un enième copier-coller



Et depuis quand Wiki est devenu une source fiable a 100 % ??

Le nom en Arabe c'est: Muhammed ou Mohammed..et c'est un Nom Propre.

Comment un Nom Propre en Arabe dont la prononciation commence par : Mo ou Mu, il devient en Français: Ma ???!!!

Toi qui aimes Wiki et google trad, voici ci dessus la traduction de la phare en arabe: le Prophéte Muhammed:

https://translate.google.dz/?hl=fr#ar/f ... 9%85%D8%AF

النبي محمد ====> Le Prophète Muhammad


Alors, d'ou vient ce mot Mahomet ???!!!!
Je ne vois pas la rapport entre : Encore une fois, un enième copier-coller Et depuis quand Wiki est devenu une source fiable a 100 %

Question idiote : Comment un Nom Propre en Arabe dont la prononciation commence par : Mo ou Mu, il devient en Français: Ma
Pourquoi London devient Londres, pourquoi Francis devient François, Francesco, etc ...

https://translate.google.dz/?hl=fr#fr/ar/Mahomet

slamani

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Re: L'islam, les infidèles et le jihad

Ecrit le 20 avr.16, 00:49

Message par slamani »

eric121 a écrit : Je ne vois pas la rapport entre : Encore une fois, un enième copier-coller Et depuis quand Wiki est devenu une source fiable a 100 %

Question idiote : Comment un Nom Propre en Arabe dont la prononciation commence par : Mo ou Mu, il devient en Français: Ma
Pourquoi London devient Londres, pourquoi Francis devient François, Francesco, etc ...

https://translate.google.dz/?hl=fr#fr/ar/Mahomet
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mohammed# ... r.C3.A9nom

Variantes du prénom:
français :
Mohammed ou Mohamed pour le prénom usuel
Mahomet pour le prophète de l'islam et certains personnages de dynasties historiques

Donc, si par exemple moi je m'appel comme le Prophète de d'Islam, vous m’appelez en Français: Mohammed ou Mohamed

et le Prophète de l'Islam on l'appel: Mahomet

La source en Arabe de ce mot est la même, non ?
Quel est le commandement le plus important de tous? Jésus répondit:
« Voici le commandement le plus important: Écoute, Israël, le Seigneur est notre Dieu, il est le seul Dieu; tu aimeras donc le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée et de toute ton énergie. » (Marc 12:28-30)

eric121

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Re: L'islam, les infidèles et le jihad

Ecrit le 20 avr.16, 05:09

Message par eric121 »

slamani a écrit :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mohammed# ... r.C3.A9nom

Variantes du prénom:
français :
Mohammed ou Mohamed pour le prénom usuel
Mahomet pour le prophète de l'islam et certains personnages de dynasties historiques

Donc, si par exemple moi je m'appel comme le Prophète de d'Islam, vous m’appelez en Français: Mohammed ou Mohamed

et le Prophète de l'Islam on l'appel: Mahomet

La source en Arabe de ce mot est la même, non ?
Dans ta réponse tu dis : Mahomet pour le prophète de l'islam

Ce que dit le lien :
C'est le nom du prophète de l'Islam, historiquement appelé Mahomet en français3.

la note de bas de page 3 :
En 1869, dans l'introduction à la traduction du Koran par Albin de Kazimirski Biberstein intitulée Notice biographique sur Mahomet, on trouve la note suivante :
« C'est au contraire l'usage en français de se servir de la forme Mohammed, lorsqu'on parle des Arabes vivants qui portent ce même nom.

Autres pays :
aragonais, asturien, catalan, espagnol : Mahoma
berbère, en particulier kabyle : Mohand
bosnien: Mehmed
breton: Muhammed
Caucase, en particulier tchétchène : Magomed
corse: Megumetu
italien: Maometto
kurde: Mihemed
latin : Mahometus (pour le Prophète), Moamedus11 ou Maomedus12, attesté au XIIIe siècle chez Raymond Lulle13
persan : Mohammad
portugais: Maomé

yacoub

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Re: L'islam, les infidèles et le jihad

Ecrit le 19 déc.16, 04:02

Message par yacoub »

Islam et oubli: De l'oubli de la violence à l'oubli du monde (1ère partie)

Oubli de la violence

"La déformation la plus précise, une déformation si caractéristique du monde de Kafka, vient du fait qu'aussi longtemps que ce qui a eu lieu dans le passé n'a pas été compris, identifié et classé, ce qui est véritablement nouveau et libérateur, se présente ici sous la forme de l'expiation".

Odradeck, cette machine de Kafka, étrange, difforme, est peut-être la forme des choses dans l'oubli.

Nous vivons bien, comme l'a affirmé Benjamin pour l'univers de Kafka, dans un monde difforme à force d'oubli. À force de déni. Oubli de l'histoire de la violence, jusqu'à ce que, à l'inverse de la réflexion de Foucault sur le présent, celui-ci soit réduit à n'être rien de plus que l'ombre portée de la stratification du passé.

L'oubli peut se déceler dans ces thèses très répandues:
•"L'islam est une religion de paix et de tolérance".
•"La critique de la religion, c'est de l'islamophobie".
Tout d'abord, dans les débats actuels en France, où la montée du terrorisme a créé une très vive polémique autour de l'islam, à celui qui affirme la thèse que la violence est consubstantielle à l'islam, très souvent les autres acteurs du débat s'empressent de décréter que la plupart des musulmans qu'ils connaissent sont apaisés et pacifistes, progressistes et modernistes et adhèrent pleinement aux principes fondamentaux de la République française. Parfois, ils appuient leurs dires de quelques sourates tolérantes et pacifistes prélevées du Coran et coupées de leur contexte faisant lieu d'attributs immuables de la révélation.
Mais ce qui se passe en réalité, c'est que cette thèse d'un islam de paix et de tolérance ne s'énonce pas à partir d'un bilan du noyau originaire qui fonde l'islam, qui l'ancre dans le devenir historique, mais directement à partir des formations sociales constituées actuellement, sans s'interroger sur les processus historiques qui ont fini par aboutir à la constitution d'un islam de paix et de tolérance.

C'est le même cas pour l'accusation d'islamophobie qui présuppose que l'islam est une race, une sorte de peau culturelle, au lieu de le traiter comme un processus d'acculturation réversible.

La violence fondatrice de l'islam entre discours et acte, menace et châtiment, religion constituée dans une volonté de puissance guerrière et conquérante, (voir la Sira d'ibn Hichem ou le livre des razzias d'El Wâqidi), cette dimension se trouve complètement occultée. La dimension de la violence est le refoulé, passé immémorial qui, plus il est refoulé, plus le monde s'en trouve distordu, et plus les assises sur lesquelles reposent les sociétés où cette religion est un enjeu s'en trouvent fragilisées.

Ce qui est occulté, "oublié", c'est bien tout ce processus historique traversé par l'islam qui n'est pas une simple accumulation de faits, de points sur la droite du devenir historique, mais un rhizome complexe fait d'une multiplicité de rencontres d'événements dont chacune a ouvert le champ de processus de vérités, constituant à chaque fois de nouvelles communautés, des sociétés nouvelles, taillant de nouvelles formes de croyance, conditionnant l'émergence de nouvelles formes de subjectivation (constitution de sujets, appareil conceptuel foucaldien repris et développé par Badiou dans sa philosophie de l'événement).

En postulant que l'événement fondateur est le message du prophète conjugué à son processus de prêche, de guerre et d'alliance avec les tribus arabes, la déterritorialisation de celui-ci sur les terres byzantines aura conduit à l'émergence de l'islam centralisateur d'état Omeyade et au développement d'une bureaucratie de la religion avec prolifération des écrits canoniques d'une religion d'État et des théologiens et jurisconsultes, (en parallèle avec le développement d'islams résistants minoritaires chiites et kharidjites); la rencontre de celui-ci avec la civilisation perse, à un islam d'Empire Abbasside, avec complexification de la bureaucratie et fixation des sources scripturaires, etc.

De même, la conjonction des événements: développement de l'islam dans les sociétés conquises, formes de spiritualité locales (hindoue ou perses), poésie, mouvances acétiques pacifistes aura conduit à l'émergence d'une subjectivité soufie, d'un islam soufi poétique, spirituel et pacifiste.

La rencontre de l'Islam, de l'aristotélisme, de la philosophie grecque, du logos, de la politique abbasside, et de la théologie chrétienne, à l'émergence de l'islam rationaliste mutazilite; et bien plus tard, au XIXe siècle, l'islam enseigné dans les écoles théologiques, conjugué à l'événement "modernité" avec ses révolutions industrielles, technologiques et sociopolitiques, à l'islam de la réforme conduit par Jamel Eddine Al afghani en Perse, Tahtaoui et Mohamed Abduh en Égypte, Khaireddine Ettounsi et Mohamed Taher Ben Achour en Tunisie aura mené à l'éclatement de nouveaux modes génériques de vérité au voisinage de ces événements dont la modernité aura été à cette époque l'instance déterminante, pour la production d'une subjectivité islamique moderniste et progressiste.

Ce qui demeure constant, pourtant, c'est la source matricielle dans laquelle puisent les événements à l'origine des procédures de véridiction (nouvelles configurations de la vérité de l'islam) et de subjectivation (nouveaux sujets musulmans, ou nouvelles formations sociales musulmanes): ce noyau originaire à la fois indéterminé et déterminant, irreprésentable et pourtant producteur à chaque retour à l'origine de nouvelles formes de représentation, de codification, de législation, de pratiques du religieux.

Ce noyau, c'est l'islam des origines comme moteur mythologique immobile de cette histoire, scruté et refondé à partir des traces écrites de la tradition et du sacré qui en sont le Coran, la biographie (Sira) et les hadiths.

Noyau originaire, essence aussi, non pas par essentialisme, mais parce que la communauté musulmane à travers les âges s'est toujours représentée ce noyau fondateur comme une essence pure du religieux, mais aussi porteur d'une essence faite de principes de base qui fondent toutes les multiplicités et les mutations de l'islam par-delà toutes les différenciations en sunnismes, chiismes, ou en extrémismes, ou même en modernismes: l'unicité de Dieu (l'Un) comme empereur transcendant régnant sur l'univers, le Coran comme texte de référence du sacré, révélation du Coran au prophète de l'islam par l'intermédiaire d'un ange, l'existence d'un au-delà, arrière-monde, et d'un jugement qui conduit au paradis ou à l'enfer, la foi comme allégeance permettant d'intégrer la communauté musulmane qui est la communauté juste, le refus de croire reléguant la catégorie des koffars (égarés) en dehors de la communauté musulmane tout en les soumettant au châtiment divin et à celui de ses représentants terrestres.

Le débat sur le problème de la violence en Islam, qui n'est que l'avatar de ces déformations propres au monde contemporain, se règle à chaque fois sur la polarisation du texte religieux en paix/violence, pacifique/belliciste, spirituel-pur/politique-impur, énigmatique-impénétrable/univoque littéral, en faisant jouer un pôle: la paix par exemple, en tentant de l'exagérer, de la totaliser contre l'autre pôle.

Pourtant, la tension entre ces pôles est inextricable: la paix n'étant en fin de compte qu'une stratégie de conquête ou un repli guerrier tactique, le spirituel ne se déployant que pour appuyer la ligne politique, l'énigmatique transcendance que pour fonder une littéralité plus vide et plus rigide encore.

Il conviendrait peut-être même d'inverser ce déséquilibre en faveur de la violence: La violence n'étant plus un accident de la paix (légitime défense qui fait irruption du dehors pour troubler une spiritualité pure et authentique), mais la paix se renversant en un accident de la violence (les traités de paix comme stratégie de la guerre, les abdications, les moments de victoires, l'ordre proclamé par la réussite de la guerre, etc.).

Oubli. Oubli de l'être. Oubli de la question, affairement au voisinage d'une vérité déjà consolidée dans quelques catégories des sociétés actuelles (l'islam comme religion de paix et de tolérance et comme rapport uniquement spirituel avec le divin comme projection des coutumes de cette catégorie et non comme vérité sur l'essence de l'islam), et déni de la stratification des événements ouvrant dans leurs rencontres des champs de vérités, amenant à des procès de subjectivations (formations de nouvelles formes de sujets musulmans : spirituels, guerriers, modernes, révisionnistes, radicaux, pacifistes, et aux formations molaires des groupes, ethnies, sociétés, communautés).

C'est ce mode d'interrogation sur la vérité d'un événement passé en concluant à partir des résultats de ses mutations actuelles qui a constitué cette difformité conduisant à des discours difformes, à une politique difforme, tribunaux et bureaucraties kafkaïennes présageant les créatures et la monstruosité.
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Re: L'islam, les infidèles et le jihad

Ecrit le 16 févr.17, 22:47

Message par Soultan »

Imam Ja’far al‑Sadiq (a) a dit: “Le Prophète (s) de Dieu déploya un contingent de l’armée (sur le front). A leur retour (victorieux), il (s) dit: ‘Bénit soient ceux qui ont accompli le petit jihad et qui doivent encore accomplir le grand jihad.’ Lorsqu’on lui a demandé, ‘Qu’est-ce le grand jihad?’ le Prophète (s) répondit: ‘Le jihad du soi (le combat contre le soi)’”.
[Al-Majlisi, Bihar al-Anwar, vol. 19, p. 182, hadith no. 31]

la guerre combat n'est que le petit djihad en cas de légitime défense
le travail sur soit est le grand djihad et toutes les louanges sont pour Allah

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Re: L'islam, les infidèles et le jihad

Ecrit le 22 févr.17, 21:23

Message par eric121 »

Soultan a écrit :
la guerre combat n'est que le petit djihad en cas de légitime défense
le travail sur soit est le grand djihad et toutes les louanges sont pour Allah
minute 2:55
https://www.youtube.com/watch?v=Zv2ocFMGaBE

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Re: L'islam, les infidèles et le jihad

Ecrit le 14 mars17, 01:59

Message par yacoub »

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Re: L'islam, les infidèles et le jihad

Ecrit le 14 mars17, 06:23

Message par Soultan »

SubhanAllah.

Aux moqueurs, négateurs, ceux qui nous disent: “C’est un de vos mensonges ! Vous dites untel est de retour, et untel est de retour ! Par Allah, Allah ne ramène pas en ce monde ceux qui sont morts !”

La narration suivante est pour vous !

Tafsir alAyashy:

Sereen dit : J’étais auprès d’Abu Abdillah, lorsqu’il (as) m’a dit : "Que disent les gens sur ce verset : {Et ils jurent par Allah en prononçant leurs serments les plus solennels: «Allah ne ressuscitera pas celui qui meurt».} [Saint Coran 16:38] ?"
Alors je lui (as) dit : Les gens disent [ceux dont il est question dans ce verset disent] il n’y a pas de jour de Résurrection et il n’y a pas de jour du Jugement et il n’y a pas de jour du Rassemblement"

Alors l’Imam (as) dit: "Par Allah ils ont menti ! Plutôt, ce verset c’est quand le Qa'im se soulève et le Retournés retournent avec lui ! Alors ceux qui s’opposent à vous vous diront: ((Votre état est apparu ô chiites ! Et c’est un de vos mensonges ! Vous dites "untel est revenu", et "untel est revenu !" Par Allah, Allah ne ramène pas en ce monde ceux qui sont morts !))

N’avez-vous pas vu que [ceux dont il est question dans le verset] jurent par Allah leur plus fort serment ?! Les polythéistes glorifiaient alLat et alUzza à un tel point qu’ils n’auraient pas juré par autres que ces deux !

Alors Allah dit : {Bien au contraire! C’est une promesse véritable [de Sa part], mais la plupart des gens ne le savent pas. * (Il les ressuscitera) afin qu’Il leur expose clairement ce en quoi ils divergeaient, et pour que ceux qui ont mécru sachent qu’ils ont été des menteurs. * Quand Nous voulons une chose, Notre seule parole est: «Sois». Et, elle est.} [Saint Coran 16:38-40]

Source: Bihar alAnwar, by alMajlisi, volume 53, page 71

Que voulait dire Aba Abdillah (as) lorsqu’il a dit : "N’avez-vous pas vu que [ceux dont il est question dans le verset] jurent par Allah leur plus fort serment ?! Les polythéistes glorifiaient alLat et alUzza à un tel point qu’ils n’auraient pas juré par autres que ces deux !"

Il (as) voulait dire que si ce verset parlait des polythéistes, ils auraient juré par AlLat et alUzza, mais le verset dit qu’ils jurent par Allah! C’est-à-dire qu’ils sont de ceux qui prétendent croire en Allah. Alors comment une personne qui prétend croire en Allah pourrait nier le Jour de la Résurrection (jour du Jugement) ?!

Donc la "résurrection" dans ce verset n’est de toute évidence pas le jour du jugement connu de tous. Donc certainement, comme Aba Abdillah (as) a clarifié, ce verset parle de gens qui prétendent croire en Allah, mais ils rejetteront le retour de ceux qui retournent avec le Qa'im (as), ils nieront qu’Allah a ressuscité ceux-là (le retournés) après qu’ils soient morts précédemment !
Debout ô dormeurs, debout ! Imam alHussein (as) est revenu, et son père le Messager d’Allah Muhammad sawas est revenu, et les Prophètes et Messagers et Vicaires et les justes, paix sur eux tous, sont revenus. Nous sommes maintenant en période du Raj'a comme nous l’a clarifié Imam Ahmed alHassan (alHussein) (as) le leader des Bannières Noires de l’Est !

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