Les musulmans et les occidentaux : Les différences psychologiques
L’enseignement de l’Islam conduit le musulman à développer une double personnalité car il vit dans deux mondes aux logiques et valeurs totalement opposées et qui engendre des comportements paranoïaques : le monde du mécréant qui s’oppose à celui du musulman.
Il vit en permanence en référence à ce monde ennemi qu’il faut subvertir et tromper pour pouvoir l’éliminer.
D’autant qu’il voit très bien que le monde honni des mécréants (
koufars) est très supérieur au modèle qu’il suit sous la commande exprès de (son) Dieu, que ce modèle islamique est en échec partout où existe « l’autre ». Il n’a donc de cesse de vouloir détruire ce modèle qui injurie le sien, qui par effet miroir lui renvoie son image de barbare, il n’a de cesse de vouloir le faire disparaître et de s’accaparer ses richesses, lui donnant l’illusion de sa propre gloire et de sa réussite. Il en ressent de la haine, un sentiment profond d’injustice, de la jalousie, le sentiment d’être méprisé alors qu’on lui répète – cinq fois par jour – qu’il est l’élu de Dieu et le sommet de la création.
Il ne pourra s’épanouir, il ne pourra exister que par notre mort !
C’était déjà cela aux premiers jours de l’Islam. C’est cela que Mahomet a fixé dans ses textes (Coran) et dans ses comportements (Hadiths) : la haine et la revanche du bédouin.
L’islam est la religion parfaite pour fournir des justifications à ceux qui se sentent attaqués et pour maintenir le fantasme de l’éternelle « victime ».
L’islam est de plus « supérieur » au christianisme puisqu'il fut le dernier à s'approprier les révélations du Sinaï et du Nouveau Testament. Quel parfait réceptacle pour projeter de la haine.
L’islam incite à la haine des juifs et au
jihad, il les autorise et les encourage. C’est parfait pour une personnalité fragile qui a besoin de haïr et besoin d’avoir un ennemi. Il y a des milliards de personnes qui partagent ces sentiments et ce profil.
La colère
Dans la culture musulmane, la colère est vue de manière très différente et opposée, sous plusieurs aspects, à la manière dont nous la percevons ici, en Occident.
Dans la culture musulmane, les comportements agressifs, et en particulier les menaces, paraissent être généralement admis et même attendus comme moyen de traiter les conflits et les tensions sociales. Dans la culture occidentale, la colère et la menace sont probablement la manière la plus rapide de perdre la face. Dans une discussion, celui qui se met en colère a automatiquement perdu, et j'imagine que la plupart des gens ont obervé l'impression de honte et la perte de statut social qui font suite à une manifestation d'agressivité au travail ou à la maison. Dans la culture musulmane, les comportements agressifs, et en particulier les menaces, paraissent être généralement admis et même attendus comme moyen de traiter les conflits et les tensions sociales. Si un musulman (pas une musulmane, car le plus souvent on attend d'elle qu'elle soit humble et ne manifeste pas de pouvoir) ne répond pas à l'insulte ou à la tension sociale par des menaces, il est perçu comme faible, comme quelqu'un sur qui on ne peut pas compter, et il perd la face.
Aux yeux de la plupart des Occidentaux, les comportements menaçants adoptés pour marquer son désaccord sont vus comme immatures et puérils. l'agressivité est un signe manifeste de faiblesse. C'est le signe que la personne ne se contrôle pas et qu'elle est incapable de gérer la situation. Nous percevons la capacité des gens à rester calmes comme traduisant la confiance en soi et permettant d'élaborer un dialogue constructif. La connaissance des faits, le recours au bon sens et la capacité à présenter des arguments valables sont perçus comme des signes de force.
Cette différence culturelle est extrêmement importante quand on a affaire à des régimes ou des organisations islamiques. Notre manière de traiter les désaccords politiques passe par le dialogue diplomatique et appelle les leaders musulmans à user de compassion, de compromis et de bon sens. Cette approche pacifique est perçue par les musulmans comme l'expression d'une faiblesse et d'un manque de courage. Ainsi, éviter le risque d'un vrai combat est perçu par eux comme une faiblesse ; dans la culture musulmane, c'est une invite à l'exploitation.
Le centre de contrôle
Il y a une autre grande différence entre les gens de cultures occidentale et musulmane : leur centre de contrôle. Le centre de contrôle est une expression de psychologie qui décrit si les gens ont le sentiment que leur vie est principalement sous l’influence de facteurs internes ou externes. D’un point de vue psychologique, il est clair que les Occidentaux ont le sentiment que leur vie est principalement sous l’influence de forces internes : nous-mêmes. Cela se traduit dans nos points de vue, notre manière de gérer nos émotions, nos modes de pensée, nos relations avec notre entourage, nos motivations, nos excès et notre manière de communiquer. Ce sont ces facteurs internes qui guident notre vie et déterminent si nous nous sentons bien et si nous avons confiance en nous ou pas. Toutes les bibliothèques en Occident ont plusieurs mètres d’étagères pleines de livres sur les moyens de s’aider soi-même. Tous les kiosques affichent des dizaines de magazines pour hommes ou pour femmes qui nous disent comment nous construire une vie plus heureuse et plus réussie. Nos annuaires téléphoniques ont des colonnes entières d’adresses de psychologues, de coaches et de thérapeutes. Tout cela vise à nous aider à bâtir la vie que nous voulons. Certains diront peut-être que toute cette introspection est excessive et qu’il serait plus constructif de se limiter à faire ce qui est utile pour soi-même et pour les autres, ici et maintenant ; mais notre culture est ainsi faite.
Tout cela n’existe pas dans la culture musulmane et dans les pays musulmans. Le peu de psychiatrie et de psychologie qui est enseigné, et cela dans un très petit nombre d’universités du monde musulman, est importé de l’Occident. L’enseignement de ces sujets est dispensé pour l’essentiel par des professeurs formés dans des universités occidentales et tout cela n’a aucune racine dans la culture musulmane.
Mais les musulmans ont quelque chose d’autre. Ils ont des règles externes strictes, des traditions et des lois qui régissent le comportement humain. Ils ont un dieu qui décide du cours de leur vie. « Inch’Allah » vient tout de suite après toute déclaration sur des plans pour l’avenir : si dieu veut. Ils ont de puissants religieux musulmans qui fixent chaque vendredi l’orientation de leur communauté. Ces religieux disent ce qu’il faut penser en politique, comment il faut élever ses enfants, et comment ou pourquoi s’intégrer ou non aux sociétés occidentales.
Le centre de contrôle est un élément essentiel de la manière dont nous comprenons les problèmes et leurs solutions. Quand on est élevé dans une culture où on apprend que « je suis le maître de ma destinée : je suis le capitaine de mon âme », comme l’écrivait William Ernest Henley dans son célèbre poème Invictus, en 1875, on regarde à l’intérieur de soi en cas de problème, et on se demande : « où ai-je fait une erreur ? » et « que puis-je faire pour modifier la situation ? ». Les gens à qui on a appris toute leur vie que les règles extérieures et les traditions sont plus importantes que la liberté individuelle et la réflexion sur soi se demandent : « qui m’a fait ça ? » et « qui peut faire quelque chose pour moi ? »
Dans les sociétés bâties sous l’influence de l’islam et du Coran, il y a sans doute moins de sentiment de culpabilité et les gens sont donc plus libres d’exiger que l’environnement s’adapte à leurs propres souhaits et désirs.
Le centre de contrôle est donc un élément capital de la manière dont le sujet comprend la liberté et la responsabilité. Même si nos sociétés de culture chrétienne donnent dans certaines situations trop d’importance aux sentiments de culpabilité, elles renforcent chez les gens la notion qu’ils sont capables de prendre en charge leur propre vie et de la modifier. Dans les sociétés bâties sous l’influence de l’islam et du Coran, il y a sans doute moins de sentiment de culpabilité et les gens sont donc plus libres d’exiger que l’environnement s’adapte à leurs propres souhaits et désirs.
Il peut s’agir par exemple de l’exigence de porter des vêtements islamiques, ce qui peut aboutir à exiger encore davantage d’islamisation de nos sociétés occidentales, mais c’est aussi une puissante source de positions victimaires, ce qui conduit à des exigences sans fin auprès de la société environnante.
De manière très concrète, cette tendance culturelle se manifeste dans les thérapies, sous la forme d’une absence de remords. La réponse classique des musulmans violents était toujours : « ...c’est de sa faute si je l’ai frappé. Il m’a provoqué ». Ces excuses montrent que les gens vivent leurs propres réactions comme dues à des facteurs externes et non à leurs propres émotions, à leurs motivations et à leur libre décision. Quand on reçoit une insulte, on peut modérer ses sentiments en faisant un examen de conscience, mais ce genre de réflexion sur soi n’est pas aussi fréquent chez les musulmans que chez les Occidentaux. Il suffit d’une personne pour casser la figure à une autre : celle qui frappe. Il suffit aussi d’une personne pour se sentir insulté. Être frappé ou se sentir insulté sont donc deux faits sociaux parfaitement distincts. Le second ne dépend que de soi, alors que le premier n’est dû qu’à des circonstances extérieures. Malheureusement, cette différence n’est pas prise en considération dans la culture musulmane, et apparemment pas non plus par les gens favorables à des lois sur les discours de haine, le racisme et la diffamation.
La différence de mentalité est clairement affirmée par un vieux proverbe indien :
On peut se promener partout en douceur en mettant une paire de chaussures, ou en exigeant que la Terre entière soit recouverte de cuir souple.
C’est une question de centre de contrôle.
L’honneur
L’honneur est une notion centrale dans la culture musulmane. les musulmans se sentent très facilement offensés.
Quelle sorte d’honneur a besoin d’être protégée par des menaces de terreur et des boycotts ? S’agit-il vraiment d’honneur ? Peut-être si on regarde dans l’optique d’une culture fondée sur un livre écrit il y a 1400 ans. Mais, du point de vue de la psychologie occidentale moderne, ce n’est certainement pas le cas. De notre point de vue, ce comportement est plus proche du déshonneur.
Malheureusement, la culture musulmane dit à ses hommes que la critique doit être prise entièrement pour soi et qu’il faut y réagir de manière puérile. Devoir constamment faire attention à son aspect, se sentir peu sûr de soi et réagir avec agressivité en cas de critique, c’est le résultat d’une piètre estime de soi. Malheureusement, la culture musulmane dit à ses hommes que la critique doit être prise entièrement pour soi et qu’il faut y réagir de manière puérile.
Une vraie confiance en soi permettrait à l’individu de penser ou de dire : « D’accord. Vous avez votre opinion sur moi ou ma religion. J’en ai une autre et, comme je me fais confiance, je ne vous laisserai pas troubler ma vision de moi-même ou de mes valeurs essentielles ». Connaître ses propres forces et faiblesses et les accepter est au cœur de la confiance en soi.
Si vous passiez du temps dans une communauté musulmane, vous vivriez cela très clairement. Vous seriez tout le temps en train d’essayer de n’offenser personne et vous traiteriez tout le monde comme un œuf pourri. Plaisanteries, ironie et tout particulièrement autodérision n’existent pratiquement pas. Cela crée un environnement social superficiel où surgissent partout des hiérarchies malsaines parce que personne n’ose, par exemple, dénoncer les faiblesses des hommes puérils et se moquer des puissants.
De nombreux jeunes musulmans deviennent des agresseurs. Ce n’est pas seulement dû au fait que la culture musulmane admet l’agression, mais aussi au fait que le sens de l’honneur musulman les transforme en hommes fragiles et pas sûrs d’eux-mêmes. Au lieu d’être souples et de faire preuve d’humour, ils deviennent rigides et acquièrent des personnalités narcissiques, fragiles comme le verre.
Malheureusement, la plupart des journalistes et des médias utilisent le terme d’« honneur » quand ils décrivent des cas de violence où l’agresseur s’excuse en affirmant que son honneur a été blessé. La notion d’honneur étant complètement intégrée dans les règles sociales de la culture musulmane, la violence paraît justifiée lorsque l’honneur est menacé. Cela va jusqu’à frapper ou tuer des femmes qui réclament des droits humains aussi élémentaires que de choisir elles-mêmes leurs partenaires sexuels. En utilisant ce mot, de la même manière que l’agresseur, les médias adoptent automatiquement la vision de l’agresseur qui fournit une excuse narcissique et psychopathique aux mauvais traitements qu’il a infligés. Nous devrions au contraire nous fonder sur notre culture occidentale pour décrire ce genre de crimes. Des termes comme « exécution familiale », « jalousie infantile », « maniaque du contrôle » ou « pas sûr de lui » seraient bien plus proches de notre vision culturelle de ces comportements.