Posté : 04 juin05, 03:13
tu fais bien d'en parler - une de ces idole n'avait t'elle pas nom Al Lah
Forum Inter-Religieux de sociologie religieuse francophones
https://forum-religion.org/
c est marrant,tu reviens toujours avec ce meme argument contre l islam...change ton stock d arguments please.Torquemada a écrit :tu fais bien d'en parler - une de ces idole n'avait t'elle pas nom Al Lah
non sans rire elle a pas bien joué mary,de toute facon j atais pour la belge elle a un jeu plus riche que celui de mary pierce basé sur la puissance physiqueshedda a écrit :lol
Renseigne toi un peu mieuxabou rachid a écrit :donc pas d'Histoire de fils doux jisus, Nanie choupette, ou de filles je ne sais guere !
shedda !
«Quand l'Evangile parle philosophiquement, il parle de Jésus comme de la PAROLE DE DIEU (Kalimatu'llah). L'expression FILS DE DIEU désigne en fait la même chose, mais est employée pour être comprise des gens simples. Il révèle l'amour qui doit exister entre les personnes (aqanim) de la Trinité. Aucun langage humain ne saurait pleinement exprimer les réalités de la nature divine, mais nous sommes en droit d'utiliser les mots employés par les auteurs inspirés eux-mêmes. La relation entre les personnes de la Trinité transcende toute pensée humaine à tel point que nous ne pouvons pas la saisir ni l'exprimer parfaitement. Que nous appelions Jésus le fils de Dieu ou la Parole de Dieu, dans chaque cas nous utilisons le terme qui exprime Sa divinité».
Dans Jean 3:16 le titre de FILS DE DIEU (ibnu'llah) est donné à Christ; cela constitue une grande pierre d'achoppement pour les musulmans, parce qu'ils pensent que cette notion est formellement contredite par la sourate 112. Mais, en fait, leur réaction négative provient premièrement d'une mauvaise compréhension de la doctrine chrétienne. On ne saurait nier que le Coran dise vrai dans la mesure où, dans cette sourate, il dénonce et répudie comme blasphématoire toute idée charnelle de génération, comme celle entretenue par les paiens de tous pays. Même les Arabes des «Temps de l'Ignorance» (avant Mahomet) attribuaient à Dieu, le Tout-Puissant, dans ce sens blasphématoire, le fait d'avoir des filles. Mais les chrétiens n'ont jamais soutenu aucune doctrine qui fût - de près ou de loin - comparable à une telle croyance. C'est pourquoi nous n'employons pas l'expression waladu'llah mais appelons Jésus-Christ ibnu'llah. La différence entre les deux expressions est très grande, car le mot ibn se prête particulièrement au sens métaphorique, qui est celui exprimé par le titre de Fils de Dieu. Les écrivains chrétiens qui vivaient des centaines d'années avant l'Hégire, dénonçaient sans cesse les idées charnelles des paiens, en soulignant que le titre ibnu'llah est conféré à Christ dans un sens entièrement différent. Par exemple, Lactantius, écrivant au 3e siècle, plus de 300 ans avant l'Hégire, dit: Celui qui entend prononcer les mots FILS DE DIEU ne doit pas concevoir dans son esprit une aussi grande méchanceté que d'imaginer que Dieu ait procréé par mariage et union avec une femme - chose qui ne peut s'accomplir sinon par un animal possesseur d'un corps et sujet à mourir. Mais puisque Dieu est unique, avec qui pourrait-il s'unir? Or, puisqu'il était possesseur d'une puissance telle qu'il était capable d'accomplir tout ce qu'il voulait, Il n'avait certainement pas besoin d'une partenaire pour créer.»
abou rachid a écrit :
ca c'est du Nouveau ... a present c'est plus walad mais ibnou ... !!!!
looooooool ! jouer sur la connotation comme ca les arrange ... mdrrr au aura tout vu ...
supposons :
vous dites aussi, que Jesus, a creer lme reste du Monde.
dans la Creation ?
donc Jesus a faconné ?
et bien le probleme il est la, au Niveau de la Royauté,
nous il y a qu'un seul Createur, et Vous, Deux donc Jesus fils ... (j'peux meme pas l'ecrire tellement que c'est grave ... )
bref, et bienh a cela nous repondons : que c'est de l'association au NIVEAU DE LA CREATION !
P O L Y T H E I S M E S !
francis a écrit :Mary Pierce à Roland-Garros : ''Je puise ma force dans la foi en Dieu''
La silhouette et l'attitude nouvelles que Mary Pierce affiche dans le tournoi de tennis de Roland-Garros, dont elle dispute les demi-finales jeudi, ont comme acte fondateur son retour en équipe de France de Fed Cup, selon son ancien capitaine Guy Forget.
Longtemps, la seule épreuve collective d'un sport éminemment individualiste ne l'intéressait pas. Sollicitée à de nombreuses reprises, Pierce déclinait obstinément l'invitation entre l'année du premier titre de la France en 1997 et celle de son second en 2003.
Son retour très remarqué lors de la finale 2003 à Moscou a sonné le début de sa métamorphose. "La performance de Mary me fait très plaisir parce qu'elle vient de loin, estime Forget. Elle a accompli un grand travail de fond en se rapprochant des joueuses et du staff de Fed Cup."
Froide et distante, l'image de Pierce s'est alors transformée au contact des autres joueuses tricolores qui jusque-là connaissaient plutôt mal cette fille de Montréal, née d'une mère française et d'un père américain.
Forget ne cache pas qu'il était lui aussi d'abord dans l'expectative: "Je l'observais du coin de l'oeil parce que je savais qu'elle pouvait parfois être un peu difficile, un peu différente. Mais elle a été extraordinaire et s'est comportée comme une coéquipière modèle."
"Elle venait en équipe de France même lorsqu'elle ne jouait pas, même quand elle n'était que remplaçante, insiste l'ancien N.4 mondial. Elle s'est ouverte de plus en plus au public et aux autres et ce n'est que justice aujourd'hui qu'elle récolte les fruits de son travail et de tout ce qu'elle a donné."
Mary Pierce à Roland-Garros 2005
Par amour de Dieu
Forget, capitaine entre 1999 et 2004, estime que Mary Pierce a également profité de la Fed Cup pour progresser sur le plan athlétique. Notamment lors de la finale 2004, disputée encore à Moscou, où elle n'a pu jouer à cause d'une blessure à l'épaule, mais où elle a "beaucoup travaillé avec Xavier Moreau", ancien préparateur physique de la Fédération française, qui la suit encore aujourd'hui.
Au-delà de ses progrès physiques et mentaux, Pierce puise une grande part de sa nouvelle "positive attitude" dans sa foi qui, selon Forget, lui donne une grande force: "Il y'en a qui jouent pour leurs parents, leur fiancé. Elle, c'est par amour de Dieu. Elle s'appuye sur sa foi. Elle a cette force."
Cette année, Mary Pierce a même obtenu de la direction du tournoi l'exclusivité d'une petite salle, pour s'y reposer et prier.
"Tout le monde respecte sa foi, assure Forget. Elle n'en parle pas beaucoup. Il ne faut pas non plus imaginer une Mary Pierce qui va se recueillir toute la matinée. Non, elle est tout à fait normale. C'est juste qu'on sent qu'elle a, au fond d'elle, une certaine détermination, une certaine force. Je pense que c'est la marque des grandes championnes."
Source !!
http://www.topchretien.com/topinfo/affi ... hp?Id=9026