Re: Physicalistes et spiritualistes.
Posté : 01 juin17, 10:18
On dénigre souvent le réalisme scientifique et philosophique comme approche du réel dans toute son immensité connue et surtout inconnue en soulignant le caractère naïf de ce réalisme. Mais ce réalisme ne nies aucunement la nature complexe des structures de la matérialité peu importe que l'on parle de matière baryonique ou matière noire ou d'énergie sombre. Car en réalisme scientifique et philosophique il n'est nullement question d'associer le perceptible à la physique et le non perceptible et non connu à de la métaphysique. Ce réalisme philosophique aborde la question du fait cosmique en des termes physiques à notre échelle de vie et d'apparence et astrophysique en terme de structures de la nature connue ou non. Car en quoi la matière qui ne constitue que 5 % de l'univers selon les estimations serait moins réelle que la matière noire et énergie sombre qui constituent le reste et qui sont parties prenantes de la structure cosmologique? En quoi l'air qui entre dans mes poumons serait plus réelle que l'organisme entier qui l'aspire?
Matière, énergie sombre, antimatiére, bosons, fermions... Car c'est bien par le biais du réalisme scientifique et philosophique que toutes ces découvertes sont détectées et réalisées, instruments élaborées à l'appui, où la naïveté tient peu de place sinon d'oser supposer des hypothèses originales. Le questionnement est philosophique et les réponses scientifiques.
Car l'univers n'est pas Physique et métaphysique comme le laisse sous entendre le spiritualisme naïf pour qui ce qui est su et connu est nécessairement Physique et ce qui non connu et impalpable est absolument métaphysique. La métaphysique étant avant tout une théorie de la connaissance ou culture philosophique il serait étonnant que ce monde des idées aient participé à l'émergence ou transit du fait cosmique tant dans sa part connue qu'ignorée.
On prétendra que le "réalisme naïf" sur le monde de la matière et matérialité est une entrave vers une plus grande compréhension du fait cosmique et propriétés réelles de la matière dans toute sa grandeur et mystères. Or si il y a limitation dans l'esprit quant à l'organisation spatio temporelle comme début et finalité c'est bien au sein de l'anthropocentrisme colporté par les Mystiques et spiritualistes. Car sous l'angle de la naïveté ou perspicacité on peut se demander ce que l'approche métaphysique, mystique ou spiritualiste de la réalité a pu apporter en terme d'entendement supérieur du fait cosmique, de la nature des structures et structure de la matière? Rien sinon d'avoir toujours chercher à mettre la science et ses avancées au service d'un principe supérieur à nos sens, intelligence et connaissance. Pas de doute que l'organisation spatio temporelle ( matérialisme intégral et universel) est une réalité bien supérieure à notre connaissance mais aucune équivalence automatique avec l'idée d'un principe spirituel supérieur à l'univers lui même.
Démonstration faite que le réalisme scientifique et philosophique a été toujours la voie et le facteur d'évolution du savoir et connaissance humaine, ce depuis la nuit des temps où la réalité est affaire d'apparence et de subtilité et qu'il est naïf spirituellement de vouloir l'accréditer dans son Impact scientifique et le discréditer dans sa portée philosophique.
Qualifier le réalisme scientifique et philosophique de "naïf" est le fait d'un spiritualisme convaincu de détenir un entendement et vérité supérieurs à toute épreuve et preuve à venir. Une hiérarchie absolue entre un matérialisme philosophique et un matérialisme spiritualiste.
Matière, énergie sombre, antimatiére, bosons, fermions... Car c'est bien par le biais du réalisme scientifique et philosophique que toutes ces découvertes sont détectées et réalisées, instruments élaborées à l'appui, où la naïveté tient peu de place sinon d'oser supposer des hypothèses originales. Le questionnement est philosophique et les réponses scientifiques.
Car l'univers n'est pas Physique et métaphysique comme le laisse sous entendre le spiritualisme naïf pour qui ce qui est su et connu est nécessairement Physique et ce qui non connu et impalpable est absolument métaphysique. La métaphysique étant avant tout une théorie de la connaissance ou culture philosophique il serait étonnant que ce monde des idées aient participé à l'émergence ou transit du fait cosmique tant dans sa part connue qu'ignorée.
On prétendra que le "réalisme naïf" sur le monde de la matière et matérialité est une entrave vers une plus grande compréhension du fait cosmique et propriétés réelles de la matière dans toute sa grandeur et mystères. Or si il y a limitation dans l'esprit quant à l'organisation spatio temporelle comme début et finalité c'est bien au sein de l'anthropocentrisme colporté par les Mystiques et spiritualistes. Car sous l'angle de la naïveté ou perspicacité on peut se demander ce que l'approche métaphysique, mystique ou spiritualiste de la réalité a pu apporter en terme d'entendement supérieur du fait cosmique, de la nature des structures et structure de la matière? Rien sinon d'avoir toujours chercher à mettre la science et ses avancées au service d'un principe supérieur à nos sens, intelligence et connaissance. Pas de doute que l'organisation spatio temporelle ( matérialisme intégral et universel) est une réalité bien supérieure à notre connaissance mais aucune équivalence automatique avec l'idée d'un principe spirituel supérieur à l'univers lui même.
Démonstration faite que le réalisme scientifique et philosophique a été toujours la voie et le facteur d'évolution du savoir et connaissance humaine, ce depuis la nuit des temps où la réalité est affaire d'apparence et de subtilité et qu'il est naïf spirituellement de vouloir l'accréditer dans son Impact scientifique et le discréditer dans sa portée philosophique.
Qualifier le réalisme scientifique et philosophique de "naïf" est le fait d'un spiritualisme convaincu de détenir un entendement et vérité supérieurs à toute épreuve et preuve à venir. Une hiérarchie absolue entre un matérialisme philosophique et un matérialisme spiritualiste.