Re: Syndrome
Posté : 09 déc.17, 06:04
Saint Glinglin :
En claire, je viens de te contrarié et du coup tu m'envoies ce message pour me dire que tu n'as plus grand chose à proposer. Un simple "comme tu veux aurait pu faire l'affaire, mais il a fallu que tu en rajoute une couche, je ne sais trop pourquoi.
Le problème ne se fait pas sans contrainte saint glinglin. Cela doit être pris en compte, non pas parce que j'aimerais passé par une guérison qui me conviennent personnelement au même titre que l'on choisi l'option buisness lors d'un vol en avion, mais parce que si je fonce comme tu me le dit je peux faire du mal autour de moi (genre à ma famille par exemple).
Je suis sur que tu sais ce que cela fait d'avoir une famille.
Et il se trouve que si je voudrais guérir c'est pour l'autre que je le fais, non pour ma petite personne. Des gens vivent autour de moi et je les perturbe à cause de cela. Avoir ce sentiment de rester petit c'est avoir ce sentiment de devoir être toujours obligé d'être accompagné. Mais les gens à côté, ceux qui t'aime tu les vois trimer et souffrir pour toi. Et ce n'est pas mon souhait de les voir se déchiqueter pour moi, même si cela leur permettrait de réaliser leur humanité. Je ne mérite pas que l'on souffre pour moi.
Gadou :
La mort m'a longtemps interrogé sur ce comment je devait vivre ma vie. Aujourd'hui, je sais seulement que si je devais mourir ce jour même, je n'aurai pas peur, mais je serai triste de quitter cette vie. Tant de potentiel qui nous est donné en si peut de temps. C'est comme posséder 5 minutes d'éternités. Qu'en fairais-tu ?
En sachant que très probablement rien ne me sera réservé après cette existence, et que la mort est un évènement totalement indépendant de la vie de ce même individu, je dirai que le but de la vie serai d'agir pour l'autre, celui qui vit et celui qui verra le jour. Consacré sa vie pour un monde meilleur au génération futur est en mon sens là ici le seul chemin qui vaut la peine d'être suivi si l'on ne souhaite pas tombé dans "un pseudo cycle de l'absurde" à la Albert Camus.
Lorsque je suis né, je ne me suis pas préparé à voir quelque chose d'aussi beau que de vivre. Et qui aurait pu s'y attendre d'ailleurs de savoir que la vie est la chose la plus belle au monde ? J'ai été emerveiller parce qu'il s'agissait là d'un miracle.
Et il me parait désormais limpide que si l'autre ni avait pas été, la vie aurait perdu toute ses couleurs. Je parle de l'autre, de ceux qui sont et ont été vivant à mes côtés. Mais je parle aussi de ceux qui ont construit ce monde et que je ne connaitrait jamais personnellement parce qu'ils n'étaient plis à ma naissance. Je ne pense pas avoir tout vu de la vie, mais je pense que j'en ai assez vu pour dire à titre personnel que je peux partir à tout moment.
Mais je ressentirais alors la culpabilité d'avoir exploiter la vie et ne rien y avoir fait. N'avoir été que de passage et ne pas m'être réellement senti concerné par ce que les autres ont accompli pour que les gens de ma générations vivent le mieux possible. Même si il n'y a absolument aucune raison que je me fasse généreux, les gens qui m'ont précédé n'en avait aucune eux non plus. Et je reconnais que c'est grâce à cet acte désintéressé que j'ai été heureux. C'est pourquoi il faut quand même faire quelque chose même si tout cela semble absurde. Parce que je ressentirais le fait de n'avoir été personne parce que je n'aurai rien fait et que je serai resté passif et oisif toute ma vie.
Il y a en mon sens quelque chose à faire, un devoir à accomplir, une dette envers tout ces gens du passé et du présent. Et je me dois de renvoyer l'ascenseur pour ceux d'aujourd'hui, mais aussi pour les enfants de demain. C'est ainsi que je peux rendre ma dette.
La vie n'a pas de valeur. Ca veut dire ce que ça veut dire : tu n'en fait rien, elle ne vaut rien. Tu détruis d'autres vies avec, elle devient nuisibles et mériterai de n'avoir jamais exister. Tu en sauves ou tu permet leur bien être de d'autres, elle devient harmonieuse car elle trouve sa place dans le jardin de la vie.
Mon but c'est d'arrivé à un quota qui soit non seulement rempli, mais aussi de permettre à ceux qui vont me suivre d'exploiter encore plus leur potentiel. N'est pas intéressant de cette manière de vivre la vie ?
Il n'y a effectivement Gadou rien que la mort n'emportera pas de moi... Elle m'effacera d'un simple souffle. Mais elle n'emportera cependant pas une chose, parce que celle-ci je prendrai soins de la léguer avant que le courant ne m'emporte. Elle n'emportera pas la trace que j'ai laissé sur ce monde. Et même si personne ne s'en rendra compte, je saurai que si je n'avais pas été là ça se serai senti.
MAIS VOILA !
J'ai ce problème dans ma tête, ce complexe qui fait que je suis incapable d'atteindre ce que je prétends ici vouloir rendre comme service à l'humanité toute entière
En claire, je viens de te contrarié et du coup tu m'envoies ce message pour me dire que tu n'as plus grand chose à proposer. Un simple "comme tu veux aurait pu faire l'affaire, mais il a fallu que tu en rajoute une couche, je ne sais trop pourquoi.
Le problème ne se fait pas sans contrainte saint glinglin. Cela doit être pris en compte, non pas parce que j'aimerais passé par une guérison qui me conviennent personnelement au même titre que l'on choisi l'option buisness lors d'un vol en avion, mais parce que si je fonce comme tu me le dit je peux faire du mal autour de moi (genre à ma famille par exemple).
Je suis sur que tu sais ce que cela fait d'avoir une famille.
Et il se trouve que si je voudrais guérir c'est pour l'autre que je le fais, non pour ma petite personne. Des gens vivent autour de moi et je les perturbe à cause de cela. Avoir ce sentiment de rester petit c'est avoir ce sentiment de devoir être toujours obligé d'être accompagné. Mais les gens à côté, ceux qui t'aime tu les vois trimer et souffrir pour toi. Et ce n'est pas mon souhait de les voir se déchiqueter pour moi, même si cela leur permettrait de réaliser leur humanité. Je ne mérite pas que l'on souffre pour moi.
Gadou :
La mort m'a longtemps interrogé sur ce comment je devait vivre ma vie. Aujourd'hui, je sais seulement que si je devais mourir ce jour même, je n'aurai pas peur, mais je serai triste de quitter cette vie. Tant de potentiel qui nous est donné en si peut de temps. C'est comme posséder 5 minutes d'éternités. Qu'en fairais-tu ?
En sachant que très probablement rien ne me sera réservé après cette existence, et que la mort est un évènement totalement indépendant de la vie de ce même individu, je dirai que le but de la vie serai d'agir pour l'autre, celui qui vit et celui qui verra le jour. Consacré sa vie pour un monde meilleur au génération futur est en mon sens là ici le seul chemin qui vaut la peine d'être suivi si l'on ne souhaite pas tombé dans "un pseudo cycle de l'absurde" à la Albert Camus.
Lorsque je suis né, je ne me suis pas préparé à voir quelque chose d'aussi beau que de vivre. Et qui aurait pu s'y attendre d'ailleurs de savoir que la vie est la chose la plus belle au monde ? J'ai été emerveiller parce qu'il s'agissait là d'un miracle.
Et il me parait désormais limpide que si l'autre ni avait pas été, la vie aurait perdu toute ses couleurs. Je parle de l'autre, de ceux qui sont et ont été vivant à mes côtés. Mais je parle aussi de ceux qui ont construit ce monde et que je ne connaitrait jamais personnellement parce qu'ils n'étaient plis à ma naissance. Je ne pense pas avoir tout vu de la vie, mais je pense que j'en ai assez vu pour dire à titre personnel que je peux partir à tout moment.
Mais je ressentirais alors la culpabilité d'avoir exploiter la vie et ne rien y avoir fait. N'avoir été que de passage et ne pas m'être réellement senti concerné par ce que les autres ont accompli pour que les gens de ma générations vivent le mieux possible. Même si il n'y a absolument aucune raison que je me fasse généreux, les gens qui m'ont précédé n'en avait aucune eux non plus. Et je reconnais que c'est grâce à cet acte désintéressé que j'ai été heureux. C'est pourquoi il faut quand même faire quelque chose même si tout cela semble absurde. Parce que je ressentirais le fait de n'avoir été personne parce que je n'aurai rien fait et que je serai resté passif et oisif toute ma vie.
Il y a en mon sens quelque chose à faire, un devoir à accomplir, une dette envers tout ces gens du passé et du présent. Et je me dois de renvoyer l'ascenseur pour ceux d'aujourd'hui, mais aussi pour les enfants de demain. C'est ainsi que je peux rendre ma dette.
La vie n'a pas de valeur. Ca veut dire ce que ça veut dire : tu n'en fait rien, elle ne vaut rien. Tu détruis d'autres vies avec, elle devient nuisibles et mériterai de n'avoir jamais exister. Tu en sauves ou tu permet leur bien être de d'autres, elle devient harmonieuse car elle trouve sa place dans le jardin de la vie.
Mon but c'est d'arrivé à un quota qui soit non seulement rempli, mais aussi de permettre à ceux qui vont me suivre d'exploiter encore plus leur potentiel. N'est pas intéressant de cette manière de vivre la vie ?
Il n'y a effectivement Gadou rien que la mort n'emportera pas de moi... Elle m'effacera d'un simple souffle. Mais elle n'emportera cependant pas une chose, parce que celle-ci je prendrai soins de la léguer avant que le courant ne m'emporte. Elle n'emportera pas la trace que j'ai laissé sur ce monde. Et même si personne ne s'en rendra compte, je saurai que si je n'avais pas été là ça se serai senti.
MAIS VOILA !
J'ai ce problème dans ma tête, ce complexe qui fait que je suis incapable d'atteindre ce que je prétends ici vouloir rendre comme service à l'humanité toute entière