omar13 a écrit : ↑05 déc.20, 07:29
je le pense moi aussi.
Non les catholiques disent que Jésus a payé les péchés à la place des hommes et qu'en échange Dieu décide de PARDONNER.
Que représente le Pardon sinon l'abolition des Lois ? C'est l'amnistie pour tout le monde !!
Les protestants ont été contre les catholiques car eux disent "puisque nous avons l'amnistie puisque Jésus a payé, pourquoi vous vous demandez à la fois le repentir et à la fois vous dites que Jésus paie" Jésus se fache à vous entendre car puisque JESUS a payé, Jésus ne vous demande pas d'agir !! Sinon vous fermez les yeux au CADEAU que Jésus vous offre !!!
C'est la raison de l'existence du Protestantisme !
Catéchisme catholique :
" Dieu l’a fait péché pour nous "
602 S. Pierre peut en conséquence formuler ainsi la foi apostolique dans le dessein divin de salut : " Vous avez été affranchis de la vaine conduite héritée de vos pères par un sang précieux, comme d’un agneau sans reproche et sans tache, le Christ, discerné avant la fondation du monde et manifesté dans les derniers temps à cause de vous " (1 P 1, 18-20). Les péchés des hommes, consécutifs au péché originel, sont sanctionnés par la mort (cf. Rm 5, 12 ; 1 Co 15, 56). En envoyant son propre Fils dans la condition d’esclave (cf. Ph 2, 7), celle d’une humanité déchue et vouée à la mort à cause du péché (cf. Rm 8, 3), " Dieu l’a fait péché pour nous, lui qui n’avait pas connu le péché, afin qu’en lui nous devenions justice pour Dieu " (2 Co 5, 21).
Ils disent que DIEU considère Jésus comme portant tout le péché du monde ainsi en laissant la Crucifixion se faire, DIEU inculpe JESUS qui paie à la place des hommes, les péché du passé, du présent, et de l'avenir bien sûr.
Donc les hommes disent que même s'ils pèchent ce n'est pas un handicap pour eux pour aller au Paradis.
Ils ont même inventé le Purgatoire qui est comme une antichambre afin que si par exemple un homme meurt en criminel, et bien en passant par la phase Purgatoire il se lave un peu, pour rentrer un peu propre au Paradis.
C'est comme un centre de lavage pour automobiles si tu préfères, tu rentres sale, et tu ressors tout propre, prêt pour la noce. C'est un lavage automatique.
Ajouté 2 minutes 38 secondes après :
avatar a écrit : ↑05 déc.20, 07:56
Encore une fois, les deux animaux qui devaient être offerts le jour des propitiations dans le saint des saints était le sang d'un bouc et d'un taureau.
Il n'y avait donc pas d'assimilation entre le bouc et Satan. Quant à l'autre bouc, il ne représentait pas non plus Satan puisqu'il emportait sur lui les péchés du peuple, il n'était donc pas celui qui faisait pécher mais celui qui soulageait des péchés donc là encore, aucun rapport avec Satan.
Quant aux brebis et aux boucs, l'image était parlante pour le public de Jésus, les brebis suivent le berger alors que les boucs en font à leur tête et les chèvres sont connues pour leur indiscipline.
Le bouc associé à Satan vient directement du paganisme, du Dieu Pan certainement.
Encore une fois, la lettre aux Hébreux compare le sang du Christ avec le sang du bouc, dire que cela représente Satan est une insulte faite au Christ.
L’envoi d’un bouc à Azazel (hébreu : שעיר לעזאזל se'ïr lèAzazel) est une prescription biblique réalisée par les Juifs au cours du rite de Yom Kippour dans le sanctuaire, actuellement irréalisable faute de Temple en fonction à Jérusalem.
Au cours du rite, un tirage au sort désignait un bouc domestique pour être chargé des fautes de l'assemblée d’Israël qui devait être ensuite amené à Azazel.
La cérémonie dans les sources juives
Dans la Bible hébraïque
Selon le chapitre 16 du Lévitique, après la mort de Nadav et Abihu, fils d’Aaron le grand prêtre d'Israël, Moïse lui prescrit le rite de propitiation des fautes. Outre ses fautes propres et celles de sa maison, le Grand prêtre doit aussi tirer au sort deux boucs. L’un doit être consacré en offrande à Dieu, l’autre envoyé à Azazel, après que le Grand prêtre l’a chargé de toutes les fautes d’Israël. Pour ce faire, il impose ses mains sur sa tête et réalise une confession publique.
Voir aussi
Bouc émissaire
Bouc émissaire
Page d’aide sur l’homonymie Pour les articles homonymes, voir Bouc émissaire (homonymie).
Page d’aide sur l’homonymie Pour la cérémonie d'expiation au moyen d'un bouc, voir bouc à Azazel
The Scapegoat (Le Bouc émissaire), tableau de William Holman Hunt, 1854-1856
Un bouc émissaire est un individu, un groupe, une organisation, etc., choisi pour endosser une responsabilité ou expier une faute pour laquelle il est, totalement ou partiellement, innocent. Le phénomène du bouc émissaire peut émaner de motivations multiples, délibérées (telles que l'évasion de responsabilité) ou inconscientes (telles que des mécanismes de défense internes). Par ailleurs, le processus peut se mettre en place entre deux personnes (par ex., un employé et son subalterne), entre des membres d'une même famille (par ex., un enfant pris pour bouc émissaire), entre les membres d'une organisation (par ex., les responsables d'une entreprise) ou à l'intérieur de tout autre groupe constitué. Outre cet aspect intragroupal, le phénomène peut également être inter groupal et s'observer alors entre des groupes différents (au sein d'un pays ou d'une société).
Il existe différents critères guidant la sélection d'une personne ou d'un groupe particulier comme bouc émissaire, tels que la différence perçue de la victime, l'antipathie qu'elle suscite ou le degré de pouvoir social qu'elle possède. Selon les cas de figure et les motivations des agresseurs, les conséquences pour la victime et les réactions possibles des protagonistes peuvent varier. De même, les possibilités d'intervention face au phénomène sont multiples, pouvant avoir lieu à la fois au niveau individuel, groupal ou procédural.