Religions du monde :: forum religion

Saint Glinglin a écrit : ↑18 févr.21, 23:47 Que connais-tu à l'amour avec ta religion néfaste ?

Je dois admettre que je n'aime jamais assez mais ceci étant écrit, je te réponds que tu te places toujours en objecteur de conscience et tu ne proposes pas grand chose à vrai dire! C'est hypocrite de ta part! Ce sont plutôt tes propos cyniques qui sont néfastes en fait!

Revenons au sujet racine!

a écrit :énergie vitale a dit : Ceci étant dit, les parents s'aimant réciproquement et aimant leurs enfants pratiquent le don de soi au jour le jour!

Tu n'es pas logique .

Pratiquer le don de soi c'est ne plus être à soi ou ne plus être soi , puisque ton soi tu le donnes à l'autre .D'où le terme " don de soi" .

Donc le soi n'est pas une propriété qui est la tienne , ni celle de l'autre .

Le soi en tant que quelque chose dont on serait le propriétaire , tel un âme ça n'existe pas .

C'est Bouddha qui avait raison .

Le soi n'est pas la propriété de ce que je suis ou pense être .

Et on ne peut pas ou non faire de don de soi ( c'est indéfini ) , dans le sens ou le soi n'a jamais été une propriété clairement définie de ce que nous sommes .

Conclusion :

Si je peux faire un don de mon soi , c'est qu'il n'est plus clairement ma propriété . N'étant plus ma propriété , je ne peux faire un don de ce qui n'est pas ma propriété .

Energie vitale! a écrit : ↑19 févr.21, 00:16 Je dois admettre que je n'aime jamais assez mais ceci étant écrit, je te réponds que tu te places toujours en objecteur de conscience et tu ne proposes pas grand chose à vrai dire! C'est hypocrite de ta part! Ce sont plutôt tes propos cyniques qui sont néfastes en fait!

Je t'ai déjà proposé de cesser d'idolâtrer ton chiffon. Mais comme ta religion se réduit à ça, cela te sera dur.

vic a écrit : ↑19 févr.21, 00:33 Tu n'es pas logique .

Pratiquer le don de soi c'est ne plus être à soi ou ne plus être soi , puisque ton soi tu le donnes à l'autre .D'où le terme " don de soi" .

Donc le soi n'est pas une propriété qui est la tienne , ni celle de l'autre .

Le soi en tant que quelque chose dont on serait le propriétaire , tel un âme ça n'existe pas .

C'est Bouddha qui avait raison .

Le soi n'est pas la propriété de ce que je suis ou pense être .

Et on ne peut pas ou non faire de don de soi ( c'est indéfini ) , dans le sens ou le soi n'a jamais été une propriété clairement définie de ce que nous sommes .

Conclusion :

Si je peux faire un don de mon soi , c'est qu'il n'est plus clairement ma propriété . N'étant plus ma propriété , je ne peux faire un don de ce qui n'est pas ma propriété .

Si je suis ton raisonnement, la réalité de ma liberté individuelle est annihilée!

Mais non! Je dispose de mon corps et de ma vie comme bon me semble dans la limite des lois qui régissent l'univers! Aimer, c'est offrir cette liberté au profit du bonheur d'autres que soi-même! C'est ce que j'appelle le don de soi! L'union monogame par exemple est une forme de don de soi assez radicale car plutôt exclusive (la famille)! Nous, chrétiens, croyons que cette union mutuellement consentie est voulue par Dieu.

Jésus a dit à ce propos: "Mais je vous dis que celui qui répudie sa femme, sauf pour infidélité, et qui en épouse une autre, commet un adultère." Ses disciples lui dirent: "Si telle est la condition de l'homme à l'égard de la femme, il n'est pas avantageux de se marier." Il leur répondit: "Tous ne comprennent pas cette parole, mais seulement ceux à qui cela est donné.…"

Pour ma part, je le comprends; l'union monogame librement consentie est un don total et réciproque! Les enfants ont besoin de cette solidité!

Ajouté 5 minutes 18 secondes après :

Saint Glinglin a écrit : ↑19 févr.21, 02:52 Je t'ai déjà proposé de cesser d'idolâtrer ton chiffon. Mais comme ta religion se réduit à ça, cela te sera dur.

C'est un autre sujet! Avant de me proposer d'arrêter d'idolâtrer "mon chiffon", tu devrais arrêter d'idolâtrer ta propre sottise qui annihile ton discernement! La paille dans mon œil et la poutre dans le tien, cela te dit quelque chose?

Résultat : ta spiritualité se réduit à l'insulte.

Saint Glinglin a écrit : ↑19 févr.21, 11:12 Résultat : ta spiritualité se réduit à l'insulte.

Il n'y a pas d'insulte. J'utilise le mot parfaitement approprié selon le Larousse:

Sottise:

+ Manque de jugement, d'intelligence de quelqu'un, de ses propos, de son comportement : Un homme d'une sottise incroyable.

+ Propos ou acte stupide, irréfléchi ou futile, ou, en parlant d'un enfant, maladresse : Ne dire que des sottises.

Ne te gène pas pour utiliser les mots parfaitement approprié me concernant!

Puisque que ça ne te gène pas d'insulter les autres et ensuite prétendre que ça n'est pas une injure , maintenant on va pouvoir employer le mot sottise quand tu t'accrocheras hystériquement à ton bout de chiffon ( le suaire ) .

vic a écrit : ↑19 févr.21, 23:32 Puisque que ça ne te gène pas d'insulter les autres et ensuite prétendre que ça n'est pas une injure , maintenant on va pouvoir employer le mot sottise quand tu t'accrocheras hystériquement à ton bout de chiffon ( le suaire ) .

C'est de bonne guerre mais vous avez tort! ou

Quand des artistes chantent l'amour:

+ Edith Piaf: https://www.youtube.com/watch?v=QYgVDXUIAuo
+ Jacques Brel: https://www.youtube.com/watch?v=mCWmLg0kbKE
+ Jean Ferrat: https://www.youtube.com/watch?v=1H3-P27Bilo
+ Richard Cocciante: https://www.youtube.com/watch?v=sKJe4rLhXVc
+ William Sheller: https://www.youtube.com/watch?v=R1wAXsbVlHE

vic a écrit : ↑18 févr.21, 07:00 Il a un coté sadique pervers narcissique ce dieu dans la bible non ?

LA NOTION de narcissisme appliquée à Dieu est un contresens anthropomorphique. Il est nécessaire et logique que Dieu s'aime lui-même par dessus toute chose pcq il est infiniment parfait. Ses actes sont donc nécessairement justes, ce qui n'est pas forcément le cas d'un narcisse humain.

Pratiquer le don de soi c'est ne plus être à soi ou ne plus être soi , puisque ton soi tu le donnes à l'autre .D'où le terme " don de soi" .

Sophisme très très évident qui prend l'expression à contresens. Le don de soi n'est pas le don de sa propre substance, de sa nature humaine, mais seulement de ses actes, et seulement de certains de ses actes. Même un esclave qui se vendait lui-même en échange de sa survie autrefois (nourriture) ne donnait pas sa substance mais sa liberté (de ses actes).