'mazalée' a écrit : ↑30 mars22, 05:55
Prisca arrête de tendre la bâton pour te faire battre. San va t'accuser de pudibonderie et d'obscurantisme.
Lui il est pout l'amour libre
Pas grave car nous savons que dès lors les membres utilisent l'insulte ou le dénigrement, cela signifie qu'ils n'ont plus d'autres moyens pour se donner raison.
Rajoutons ce verset qui en dit long aussi : "
19 Car c'est du coeur que viennent les mauvaises pensées, les meurtres, les adultères, les impudicités, les vols, les faux témoignages, les calomnies. 20 Voilà les choses qui souillent l'homme; mais manger sans s'être lavé les mains, cela ne souille point l'homme." Matthieu 15
Cela mérite que nous réfléchissions sur lui, ce verset, "du coeur".
Il faut une prédisposition du coeur pour ne pas avoir de mauvaises pensées, meurtres, adultères, impudicités, vols, faux témoignages, calomnies.
Un coeur se travaille donc, et comment faire ?
C'est faire un effort sur soi, se taire au lieu de parler, se couper une main plutôt que de faire du mal à quelqu'un, (c'est une image bien sûr) se mettre les mains dans les poches, ou les attacher, se faire violence à soi si nous sommes pris de frénésie colérique, ou mieux encore car tout ce qui précède ne sert à rien car si c'est pour se martyriser c'est lutter et avoir une vie atroce, le mieux c'est aimer, voir le prochain comme s'il était de notre sang, un frère, le trouver attendrissant, voir ses défauts comme des qualités de petits enfants, penser comme D.IEU pense, à savoir comme un Père qui aime, rire des imbécilités des autres, les trouver si puériles, mais lorsque le prochain dépasse les bornes, lui faire savoir, le réprimander et partir : la JUSTICE être juste.
Ma recette est que lorsque quelqu'un est face à moi et que je le trouve bizarre car il semble être calomniateur ou menteur ou voleur, je fais comme si moi j'étais à sa place et je vais faire comme si je me pardonnais à moi, et je travaille mon coeur de cette façon, et ça réussit, plus le temps passe et moins j'ai de réactions négatives, j'essaie toujours de faire en sorte que face à moi il n'y a que des gens qui me ressemblent et s'ils trahissent un mauvais caractère, je vais en rire, comme lorsqu'on est attendrit vers un enfant qui a un mauvais caractère, car je me dis que je le vois là, adulte, mais nous ne sommes jamais adultes car peut être que le corps vieillit mais à l'intérieur il y a l'enfant qui sera toujours l'enfant.