gzabirji a écrit : ↑19 déc.22, 10:21
Je n'ai jamais eu l'intention de te piéger, Sophia. Comment aurais-je pu faire une chose pareille ? Après tout ce que nous avons partagé toi et moi... Que Dieu m'en soit témoin. Si j'avais voulu te piéger, aurais-je pris la peine
de répéter qu'il s'agissait d'une supposition ?
Tu le fais pourtant de diverses manières Gzab, mais peut-être n'en as tu pas conscience.
Tu crois que Jésus-Christ pourrait me dire ça ? par exemple :
gzabirji a écrit : ↑19 déc.22, 07:56
une fois encore je te dis que si tu ne renonces pas à affirmer que tout ce que tu dis provient du Christ en toi, alors tu t'exposes à de nouvelles déconvenues.
Déconvenues de la part de qui ? certainement pas de sa part, alors qu'il me fait grandir de jour en jour, et qu'il ne se passe pas un jour sans que je ne m'en émerveille.
Le message que tu as écrit il y a deux jours
n'était pas une supposition, le piège était là dans le message ci-dessous, tu m'as volontairement induite en erreur, je l'ai cité dans ton topic auquel je ne participerai plus car tu enseignes une doctrine étrangère à la doctrine de Christ :
gzabirji a écrit : ↑16 déc.22, 23:32
Ainsi, pour ma part, au lieu de remplacer "âme" par "vie humaine", je préfère très largement employer "vie corruptible", "vie animale", "vie charnelle" ou encore "vie terrestre". Je peux utiliser l'une ou l'autre de ces expressions indifféremment, même si le contexte peut m'amener à choisir plutôt l'une que l'autre.
Le mot supposition n'y figure pas, et je t'ai répondu que ces termes étaient équivalents, que tu emploies vie corruptible, animale, charnelle, terrestre, cette vie est la vie humaine, celle de l'âme mortelle terrestre, psuche.
Tu veux enseigner les gens, mais ton enseignement n'est pas celui de Jésus-Christ, tu peux comprendre ça Gzab, et donc comprendre pourquoi je ne veux pas te suivre dans ta voie, pas plus longtemps que je ne l'ai déjà fait, par amour de Jésus-Christ et par amour du prochain, car te suivre est un mauvais exemple que je donnerai.
gzabirji a écrit : ↑19 déc.22, 10:21
Les propos que tu tiens ici me font de la peine, ma sœur, du moins je peux observer comme à distance la peine que ressent mon personnage, mais malgré leur dureté relative je ne peux cesser de te renouveler mon amour pour toi. Je te pardonne à 100% et à l'avance tout ce que tu pourrais dire de désagréable à mon sujet, même des propos perçus comme violents ou méchants.
Si tu ne veux pas que quelqu'un te peine, il ne faut pas lui demander quelque chose d'impossible et de non fondé. Ce ne sont pas des propos désagréables que je te tiens là, c'est juste te dire avec vérité la manière dont j'ai accueilli ton message qui visait à vouloir me faire admettre que je n'ai pas l'Esprit de Christ en permanence mais seulement de temps à autre, puisque tu me demandes de renoncer à affirmer que tout ce que je dis vient du Christ en moi, que je n'ai donc pas sa pensée. Si j'accepte de dire cela, alors cela revient à accepter de dire que j'ai encore des pensées qui viennent de la chair et du sang, que je n'ai donc pas vaincu Satan par conséquent je ne suis pas née de nouveau de Dieu, que je n'ai pas vu paraitre Christ en moi, et que je pèche encore, et si je péchais encore, je serai donc fils du diable et non de Dieu.
Ce serait insensé que je te dise d'accord je renonce, à cause de ce que je viens d'écrire ci-dessus d'une part, et d'autre part, cela voudrait dire que je préfère t'écouter toi plutôt que lui alors que je l'ai préféré à tout au monde, incluant ma famille, mes amis, tout ce que j'ai en relations, parce qu'il est toute ma vie, qu'il représente bien plus que toutes les richesses du monde pour moi, j'ai tout quitté pour lui dans ce monde, et sans lui je ne suis rien, je suis morte. Je ne pense pas que tu aies mesuré ce qu'il représente vraiment pour moi malgré ce que j'en ai déjà écrit, sinon tu n'aurais jamais pu me parler de la sorte, il est l'Amour de ma vie depuis toute petite et personne ne peut changer cela car cela ne vient pas de moi qu'il en soit ainsi, cela vient de lui qui m'a aimée le premier et qui m'a donc sauvée. Et Dieu merci, car j'étais une brebis repentie prête à se jeter dans le ravin, s'il n'avait pas répondu au quart de tour.
Mon frère, comment peux tu me dire cela :
gzabirji a écrit : ↑19 déc.22, 10:21
Lorsque nous nous sommes connus, un souvenir merveilleux pour moi, l'un des participants m'avait prévenu en disant quelque chose comme "
tu verras, dès que tu ne seras plus d'accord avec elle, elle te dira que tu n'es plus son frère". Je ne me rappelle pas les termes exacts mais c'est l'idée que j'en ai retenu. Et j'ai alors répondu catégoriquement : "Ça n'arrivera pas !", ça je m'en souviens mot pour mot.
Aujourd'hui tu dis que nos voies se séparent, et je ne peux pas y faire grand chose. J'accueille la situation telle qu'elle est. Mais j'en retire une leçon : en déclarant "ça n'arrivera pas", je me suis montré présomptueux. Cette déclaration ne provenait manifestement pas de mon être véritable, mais de mon mental. Je voulais tellement que notre relation spirituelle ne s'arrête jamais... Le mental est redoutable et profite de la moindre faille pour reprendre les commandes du personnage. Il m'a trompé en cette occasion, je suis bien obligé de le reconnaître. Et cela arrive de temps en temps, ça fait partie du voyage, on se prend quelques bonnes petites vagues en pleine figure, et avec le temps ça finit par faire de nous d'excellents navigateurs.
alors que c'est toi en vérité qui me pousse à me séparer de toi en me demandant une chose que suis incapable de faire, renoncer à affirmer que je n'ai pas la pensée de Christ en tout temps ? Tu ne comprends pas que ce n'est plus moi qui vit, c'est lui qui vit en moi, et que même si je n'ai pas atteint la perfection, que je peux donc exprimer maladroitement sa pensée, de manière non mature, elle n'en demeure pas moins sa pensée.
Ce participant dont tu parles avait fait la même chose avec moi dès que je n'ai plus été d'accord avec lui, et non l'inverse, à cause de Jésus-Christ et de ce qu'il en disait, il s'est alors mis à me mépriser alors que je ne l'ai jamais fait à son égard. Ici, c'est bien toi aussi qui me contraint à me séparer de toi à cause de ton enseignement sur l'âme humaine contraire à l'enseignement de Jésus-Christ, puisque dans ton enseignement l'homme n'a pas à se repentir ni à se convertir. La croyance, le péché, sont des mots, si j'ai bien tout compris, que tu n'emploies pas, considérant la croyance poison, le péché n'existe pas et donc le pardon est sans fondement ? tu me pardonnes d'avance, mais pourquoi ? je n'ai jamais insulté, ni injurié, ni méprisé personne, j'en suis incapable.
Mais où est l'amour du prochain, avec un tel enseignement, et où est l'amour de Dieu si tu n'enseignes pas la doctrine de Jésus-Christ, mon frère ?
Ajouté 20 minutes 15 secondes après :
Il y a une chose dont je suis lasse, c'est de devoir justifier ce que je dis car depuis que je suis ici, je passe les trois quarts de mon temps non à partager mon point de vue, mes pensées, mais à justifier mon point de vue et mes pensées. Sans parler du nombre de fois où, parce que j'appuie mes propos par les Ecritures, je me vois reprocher de citer les Ecritures.
Où est l'amour du prochain dans cette manière de faire ?