estra2 a écrit : ↑10 nov.24, 21:14
Bonjour à tous,
Pure invention, Constantin ne croyait pas que Jésus soit un second Dieu, la preuve il s'est fait baptiser par un défenseur acharné de l'arianisme, d'autre part, Jésus était présenté comme Dieu par des chrétiens bien avant Constantin.
Mais bon, je te l'ai déjà dit, j'ai déjà apporté des preuves mais tu continues à raconter les mêmes salades.
Tu as tort car l'empereur Constantin qui est mis au courant de l'Evangile par les évêques apprend que Jésus est le Fils Unique de l'ETERNEL et à ce titre le prend pour un Dieu.
Et que Jésus eut été considéré comme un Dieu auparavant, avant lui Constantin ne change rien au problème.
"Quiconque demeure en lui ne pèche point quiconque pèche ne l'a pas vu et ne l'a pas connu"
L'histoire nous montre, au contraire, que Constantin est un chrétien arianiste puisqu'il a été baptisé par le plus grand partisan d'Arius.
Constantin a donc choisi, au moment de son baptême, l'arianisme qui professait que "le fils ayant été créé par le père, a pris naissance et n’est donc pas éternel. Sa relation d’obéissance et de subordination envers son père est abondamment témoignée" à l'opposé d'Athanase qui présentait Jésus comme "l'incarnation du Dieu d'Israël".
Donc, les faits sont là, Constantin n'a JAMAIS été un chrétien trinitaire et a rejeté de façon claire, par son baptême, le dogme de Nicée.
Celui donc que tu présentes comme le Diable est en réalité quelqu'un qui a rejeté le message des évêques de Nicée.
"Les religions sont comme les vers luisants: pour briller, elles ont besoin d'obscurité.
Un certain degré d'ignorance générale est la condition de toutes les religions, le seul élément dans lequel elles peuvent vivre."" Arthur Schopenhauer
Qui peut dire ce qu'aurait été l'histoire si l'arianisme avait triomphé à Nicée...
Il y aurait eu moins d'opposition entre le judaïsme et le christianisme et peut être même que l'Islam ne serait même pas apparu.
Il n'y aurait peut être pas eu de schisme entre Occident et Orient...
Mais bon, la dystopie est un exercice de style et avec des si...
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Un certain degré d'ignorance générale est la condition de toutes les religions, le seul élément dans lequel elles peuvent vivre."" Arthur Schopenhauer
Stop ! a écrit : ↑11 nov.24, 00:23
Bonjour estra2,
Que pèsent des preuves compréhensibles par des humains face à celles que seul Dieu peut comprendre ?
Coucou Stop,
En même temps, s'il comprenait quelque chose aux humains, depuis le temps, ça se saurait
Le Dieu de la Bible est en permanence dépassé par ses créatures...
"Les religions sont comme les vers luisants: pour briller, elles ont besoin d'obscurité.
Un certain degré d'ignorance générale est la condition de toutes les religions, le seul élément dans lequel elles peuvent vivre."" Arthur Schopenhauer
estra2 a écrit : ↑10 nov.24, 22:50
L'histoire nous montre, au contraire, que Constantin est un chrétien arianiste puisqu'il a été baptisé par le plus grand partisan d'Arius.
Constantin a donc choisi, au moment de son baptême, l'arianisme qui professait que "le fils ayant été créé par le père, a pris naissance et n’est donc pas éternel. Sa relation d’obéissance et de subordination envers son père est abondamment témoignée" à l'opposé d'Athanase qui présentait Jésus comme "l'incarnation du Dieu d'Israël".
Donc, les faits sont là, Constantin n'a JAMAIS été un chrétien trinitaire et a rejeté de façon claire, par son baptême, le dogme de Nicée.
Celui donc que tu présentes comme le Diable est en réalité quelqu'un qui a rejeté le message des évêques de Nicée.
Tu te trompes complètement
Encyclopédie Universalis Premier concile œcuménique, c'est-à-dire s'étendant à l'Église entière, le concile de Nicée (325) a été réuni par l'empereur Constantin, devenu maître de tout l'Empire, pour résoudre les problèmes qui divisaient alors les Églises d'Orient, problèmes disciplinaires et surtout problème dogmatique, celui de l'hérésie d' Arius. Sa décision la plus importante concerne la théologie trinitaire : le Fils fut déclaré « de même substance » que le Père. Si cette définition, d'abord contestée en Orient, dut attendre l'empereur Théodose (380) pour s'imposer comme essentielle à l'orthodoxie, le concile de Nicée, important d'autre part par ses canons ou décisions en matière de discipline, créa un précédent qui explique la convocation des conciles œcuméniques ultérieurs et, jusque dans les détails, la procédure qu'ils suivront.
prisca a écrit : ↑11 nov.24, 05:24
Tu te trompes complètement
Encyclopédie Universalis Premier concile œcuménique, c'est-à-dire s'étendant à l'Église entière, le concile de Nicée (325) a été réuni par l'empereur Constantin, devenu maître de tout l'Empire, pour résoudre les problèmes qui divisaient alors les Églises d'Orient, problèmes disciplinaires et surtout problème dogmatique, celui de l'hérésie d' Arius. Sa décision la plus importante concerne la théologie trinitaire : le Fils fut déclaré « de même substance » que le Père. Si cette définition, d'abord contestée en Orient, dut attendre l'empereur Théodose (380) pour s'imposer comme essentielle à l'orthodoxie, le concile de Nicée, important d'autre part par ses canons ou décisions en matière de discipline, créa un précédent qui explique la convocation des conciles œcuméniques ultérieurs et, jusque dans les détails, la procédure qu'ils suivront.
Mais je ne me trompe pas du tout, ce n'est pas Constantin qui a décidé quoi que ce soit, il n'était même pas chrétien !
Il a juste demandé au concile de régler les problèmes de division mais lorsqu'il s'est agi de faire un choix pour lui, il s'est fait baptiser par un arianiste, Eusèbe de Nicomédie et pas par un nicéen !
Voila d'ailleurs ce que dit l'Universalis à son sujet : Évêque qui fut chef du parti arien dans la première moitié du ive siècle. Eusèbe avait été, avec Arius, élève de Lucien d'Antioche. Il fut nommé au siège de Béryte en Phénicie, puis passa à celui de la ville impériale de Nicomédie.
Lorsque, vers 320, Alexandre d'Alexandrie attaqua le prêtre Arius, Eusèbe prit parti pour son ancien condisciple ; grâce à l'influence qu'il exerçait à la Cour, il réussit à étendre la portée de ce qui n'était à l'origine qu'une querelle limitée à l'Église d'Alexandrie. Il ne parvint pas à faire triompher à Nicée, en 325, la cause d'Arius et dut signer la formule du concile, peut-être par opportunisme, ce qui ne le mit pas à l'abri d'un exil de trois ans ordonné par Constantin quelques mois plus tard. Chef habile, ambitieux, prêt à toutes les intrigues, Eusèbe, une fois rentré d'exil et après avoir retrouvé la faveur de l'empereur, consacra toute son énergie à la réhabilitation d'Arius et parvint à faire condamner successivement Eustathe d'Antioche, Athanase d'Alexandrie, Marcel d'Ancyre et Alexandre de Constantinople.
Son crédit auprès des empereurs Constantin et Constance II était immense. Il eut le privilège de baptiser Constantin sur son lit de mort (337) et fut chargé de la formation chrétienne de Julien. Eusèbe ne réussit pas à effacer complètement la doctrine de Nicée, mais, à sa mort, les ariens occupaient les sièges épiscopaux les plus importants de l'Orient : Constantinople, Alexandrie, Antioche. https://www.universalis.fr/encyclopedie ... nicomedie/
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Un certain degré d'ignorance générale est la condition de toutes les religions, le seul élément dans lequel elles peuvent vivre."" Arthur Schopenhauer
estra2 a écrit : ↑11 nov.24, 06:00
Mais je ne me trompe pas du tout, ce n'est pas Constantin qui a décidé quoi que ce soit, il n'était même pas chrétien !
Il a juste demandé au concile de régler les problèmes de division mais lorsqu'il s'est agi de faire un choix pour lui, il s'est fait baptiser par un arianiste, Eusèbe de Nicomédie et pas par un nicéen !
Voila d'ailleurs ce que dit l'Universalis à son sujet : Évêque qui fut chef du parti arien dans la première moitié du ive siècle. Eusèbe avait été, avec Arius, élève de Lucien d'Antioche. Il fut nommé au siège de Béryte en Phénicie, puis passa à celui de la ville impériale de Nicomédie.
Lorsque, vers 320, Alexandre d'Alexandrie attaqua le prêtre Arius, Eusèbe prit parti pour son ancien condisciple ; grâce à l'influence qu'il exerçait à la Cour, il réussit à étendre la portée de ce qui n'était à l'origine qu'une querelle limitée à l'Église d'Alexandrie. Il ne parvint pas à faire triompher à Nicée, en 325, la cause d'Arius et dut signer la formule du concile, peut-être par opportunisme, ce qui ne le mit pas à l'abri d'un exil de trois ans ordonné par Constantin quelques mois plus tard. Chef habile, ambitieux, prêt à toutes les intrigues, Eusèbe, une fois rentré d'exil et après avoir retrouvé la faveur de l'empereur, consacra toute son énergie à la réhabilitation d'Arius et parvint à faire condamner successivement Eustathe d'Antioche, Athanase d'Alexandrie, Marcel d'Ancyre et Alexandre de Constantinople.
Son crédit auprès des empereurs Constantin et Constance II était immense. Il eut le privilège de baptiser Constantin sur son lit de mort (337) et fut chargé de la formation chrétienne de Julien. Eusèbe ne réussit pas à effacer complètement la doctrine de Nicée, mais, à sa mort, les ariens occupaient les sièges épiscopaux les plus importants de l'Orient : Constantinople, Alexandrie, Antioche. https://www.universalis.fr/encyclopedie ... nicomedie/
Tu dis que Constantin n'a pas été celui qui a donné naissance au concept trinitaire.
Tu as tort car il est notoirement reconnu que ce concept est tout droit sorti de son imaginaire, aidé par les 318 évêques au concile de Nicée.
Pour l'historique, lire ci après l'article au complet d'Encyclopédie Universalis.
Premier concile œcuménique, c'est-à-dire s'étendant à l'Église entière, le concile de Nicée (325) a été réuni par l'empereur Constantin, devenu maître de tout l'Empire, pour résoudre les problèmes qui divisaient alors les Églises d'Orient, problèmes disciplinaires et surtout problème dogmatique, celui de l'hérésie d' Arius. Sa décision la plus importante concerne la théologie trinitaire : le Fils fut déclaré « de même substance » que le Père. Si cette définition, d'abord contestée en Orient, dut attendre l'empereur Théodose (380) pour s'imposer comme essentielle à l'orthodoxie, le concile de Nicée, important d'autre part par ses canons ou décisions en matière de discipline, créa un précédent qui explique la convocation des conciles œcuméniques ultérieurs et, jusque dans les détails, la procédure qu'ils suivront.
Constantin et le concile
Après sa victoire sur Licinius (sept. 324), Constantin achève d'étendre sa domination à tout l'Empire romain en annexant les provinces orientales ; il y trouve les Églises chrétiennes profondément divisées sur des questions de discipline ecclésiastique, comme la fixation de la date de Pâques, par l'existence en Égypte du schisme mélétien, séquelle de la grande persécution de Dioclétien, et surtout par les contestations entre partisans et adversaires d'Arius ; ce prêtre d'Alexandrie avait été condamné quelques années ou quelques mois plus tôt par son évêque Alexandre pour sa doctrine subordinatianiste, mais était soutenu par bon nombre de théologiens faisant autorité, évêques en Palestine ou en Asie Mineure.
Déjà sans doute sinon converti, du moins favorable au christianisme, Constantin se préoccupa de rétablir la paix et l'unité de l'Église ; il envoya son conseiller ecclésiastique, l'évêque espagnol Ossius de Cordoue, enquêter sur la situation à Alexandrie. Vu l'intensité de la querelle, il lui parut nécessaire de convoquer un concile œcuménique, rassemblant non plus seulement comme les conciles précédents les évêques d'une province ou d'une région, mais ceux de l'ensemble de la chrétienté. Que l'idée vînt de Constantin lui-même ou qu'elle lui ait été suggérée par tel ou tel évêque, c'est l'empereur qui mit en œuvre sa réalisation : c'est lui qui convoqua les évêques, mettant à leur disposition, privilège exceptionnel, les services de la poste impériale ; c'est lui qui, le 23 mai 325, ouvrit et présida le concile réuni à Nicée, près de Nicomédie, la résidence impériale (Constantinople n'étant pas encore inaugurée). On discute pour savoir quel a été le rôle effectif de Constantin au cours des débats, soit qu'il y ait pris une part personnelle et active, soit qu'il ait attendu que les évêques aient tranché des questions dépassant sa compétence.
Ce concile réunit plus de deux cents évêques : le nombre exact n'en est pas connu ; le chiffre de 318, qui deviendra traditionnel, fut choisi plus tard pour sa valeur symbolique (en référence au chiffre de la maison d'Abraham : Genèse, xiv, 14) ; les listes des participants qui nous ont été transmises semblent avoir été reconstituées après coup, peut-être vers 362. La très grande majorité venait d'Orient (Égypte, Palestine, Syrie, Asie Mineure) ; les Occidentaux étaient très peu nombreux : la Gaule, par exemple, qui comptait pourtant déjà entre quarante et cinquante Églises n'était représentée que par l'obscur Nicasius de Die, dont la présence en Orient était peut-être accidentelle. L'éventail des tendances théologiques présentes au concile était très ouvert : partisans ou amis d'Arius comme Eusèbe de Nicomédie ; subordinatianistes modérés comme Eusèbe de Césarée ; conservateurs timides, plus soucieux d'unité[...]
Le problème de l'arianisme
L'adoption de ce terme semble due à l'initiative personnelle d'Ossius de Cordoue, appuyée par l'empereur : suspect d'attaches hérétiques (avec les gnostiques, avec Paul de Samosate) ou d'implications trop matérielles (deux bijoux d'or sont « de même substance »), il n'était pas jusque-là utilisé en Orient pour la théologie trinitaire ; l'Égypte, seule, faisait exception dans le monde grec, mais c'est que depuis Denys d'Alexandrie, dûment chapitré par le pape Denys (257), elle s'était – et elle le restera – étroitement solidarisée avec Rome. L'Occident, au contraire, était, depuis Tertullien, familier d'une expression équivalente : le Père et le Fils sont « d'une seule et même substance ».
Le concile, d'autre part, s'occupa de réconcilier les schismatiques mélétiens, de généraliser pour la date de Pâques l'usage de Rome, qui fixait celle-ci après l'équinoxe de printemps. Il promulgua, par ailleurs, vingt canons, les uns cherchant à faciliter le retour dans la communion de la grande Église des partisans attardés de Novatien ou de Paul de Samosate, les autres édictant des règles de discipline ecclésiastique ; certaines, théoriquement reçues, devaient cependant être souvent violées dans la pratique, ainsi l'interdiction pour un évêque ou un prêtre de se faire transférer d'une Église à une autre ou de sacrer évêque un néophyte.
Constantin prit immédiatement les mesures nécessaires pour faire connaître et appliquer ces décisions : il exila les deux seuls évêques qui étaient restés solidaires d'Arius et, bientôt après, les trois autres qui avaient retiré leurs signatures, parmi lesquels Eusèbe de Nicomédie. Le concile se sépara dans une atmosphère d'euphorie ; la suite des événements allait montrer que le problème principal, celui de l'arianisme, était cependant loin d'être résolu. Un très grand nombre des évêques d'Orient n'avaient accepté le « consubstantiel » qu'avec répugnance, le trouvant équivoque : ils étaient beaucoup moins sensibles au danger de l'arianisme (dans la ligne d'Origène, ils étaient même assez disposés à accepter un certain subordinatianisme) qu'à l'hérésie opposée, celle que représentait à leurs yeux Marcel d'Ancyre et que l'homoousios paraissait tolérer. En fait, les discussions continueront avec âpreté pendant un demi-siècle ; il faut attendre l'avènement de Théodose, un Latin d'Espagne, donc partisan convaincu de l'homoousios, pour que la foi de Nicée s'impose définitivement à tout l'Empire comme définition de l'orthodoxie trinitaire (380).
L'importance historique du concile
L'importance historique du concile de Nicée tient, au moins autant qu'à cette définition dogmatique, au précédent qu'il avait créé : ainsi, la notion même du concile œcuménique comme moyen de résoudre les problèmes doctrinaux et disciplinaires intéressant l'ensemble de l'Église ; même lorsque, en réaction contre les excès du conciliarisme des conciles de Constance (1414-1418) et de Bâle (1431-1437), la papauté fut amenée à faire prévaloir la suprématie du siège de Rome, l'Église elle-même a continué à estimer nécessaire la convocation d'un tel concile, comme l'atteste l'exemple du concile de Trente et des deux conciles du Vatican.
Passant outre aux scrupules des « conservateurs » qui refusaient le terme de consubstantiel parce qu'on ne le trouvait pas dans l'Écriture sainte, le concile consacrait la fécondité de l'effort proprement théologique et reconnaissait à l'Église le droit de préciser le contenu de la foi chrétienne par une définition dogmatique consacrant le progrès réalisé dans l'explication du donné révélé.
Dans le détail, la technique même des conciles œcuméniques a suivi l'exemple de Nicée : le fait que le pape Silvestre n'y soit pas intervenu personnellement mais s'y soit fait représenter par deux prêtres romains explique que ce soit toujours par l'intermédiaire de légats que Rome soit présente dans les conciles œcuméniques ultérieurs, même lorsque, à l'époque médiévale et moderne, ils seront convoqués sur l'initiative du pape lui-même.
C'est Constantin, et non une autorité ecclésiastique qui a convoqué et dirigé le concile de Nicée ; il en sera de même aussi longtemps que durera l'Empire chrétien : Théodose convoquera le deuxième concile œcuménique (Constantinople, 381), Théodose II le troisième (Éphèse, 431), Marcien (et Pulchérie) le quatrième (Chalcédoine, 451), Justinien le cinquième (Constantinople II, 553), etc. Il ne faut pas parler à ce propos de césaropapisme : chrétien lui-même, l'empereur se sent chargé non seulement d'assurer le bien temporel mais aussi le salut même de ses sujets ; nouveau Moïse, nouveau David, il se sent responsable devant Dieu de ce nouvel Israël, de ce peuple de Dieu qu'est l'Église. D'ailleurs, même sur le plan purement politique, il ne pouvait se désintéresser des problèmes de foi. À cette époque où le problème religieux est devenu le problème central de l'existence humaine, l'unanimité en matière de foi apparaît comme le principe essentiel qui assure la cohésion de la société : l'hérésie ou le schisme mettent en danger l'unité même de l'Empire.
"Quiconque demeure en lui ne pèche point quiconque pèche ne l'a pas vu et ne l'a pas connu"
Tu devrais lire ce que tu postes !
Petit extrait de ta citation : On discute pour savoir quel a été le rôle effectif de Constantin au cours des débats, soit qu'il y ait pris une part personnelle et active, soit qu'il ait attendu que les évêques aient tranché des questions dépassant sa compétence.
La seule chose certaine, c'est que Constantin s'est fait baptiser par un arianiste acharné.
D'autre part, tu mens d'une manière incroyable en prétendant que la symbole de Nicée est sorti de l'imagination de Constantin !
Le concept de Christ/Dieu le Fils est une invention de l'Eglise d'avant Constantin, c'est un fait historique incontestable.
Constantin voulait juste faire cesser les divisions, il n'était même pas chrétien à l'époque mais adorateur du Sol Invictis.
"Les religions sont comme les vers luisants: pour briller, elles ont besoin d'obscurité.
Un certain degré d'ignorance générale est la condition de toutes les religions, le seul élément dans lequel elles peuvent vivre."" Arthur Schopenhauer
La seule chose certaine, c'est que Constantin s'est fait baptiser par un arianiste acharné.
L'empereur Constantin est celui qui a pris la décision que le Christianisme soit mis à l'honneur puisqu'il a reçu du Ciel une invitation à le faire par l'apparition d'une croix flamboyante accompagné d'un message lui indiquant qu'avec ce signe du Ciel qu'il sache qu'il sera vainqueur, ainsi il comprend très vite que D.IEU lui apporte son soutien dans ses batailles et c'est à ce moment là qu'il a la foi, maintenant qu'il ait voulu se faire baptiser par un arien peu importe, ce qui est important de retenir c'est que cet empereur a tout organisé pour que la théologie catholico Romaine voit le jour, et il a été, cet empereur, celui qui a dit haut et fort pour se faire entendre comment il considérait qu'eut été Jésus c'est pour cela qu'il a parlé de consubstantialité comme la trinité le précise.
a écrit :D'autre part, tu mens d'une manière incroyable en prétendant que la symbole de Nicée est sorti de l'imagination de Constantin !
Le concept de Christ/Dieu le Fils est une invention de l'Eglise d'avant Constantin, c'est un fait historique incontestable.
Constantin voulait juste faire cesser les divisions, il n'était même pas chrétien à l'époque mais adorateur du Sol Invictis.
La question de la trinité avant qu'elle soit au coeur des débats en l'an 325 n'a jamais abordée. Les gens imaginaient qui aurait pu être Jésus, mais le concept trinitaire lui a vu le jour lors du concile de Nicée sous la dénomination "symbole de Nicée" Voici le **Symbole de Nicée**, adopté lors du Concile de Nicée en 325:
**"Nous croyons en un seul Dieu, le Père tout-puissant, créateur du ciel et de la terre, de toutes les choses visibles et invisibles. Et en un seul Seigneur Jésus-Christ, le Fils unique de Dieu, engendré du Père avant tous les siècles: Lumière de Lumière, vrai Dieu de vrai Dieu, engendré, non pas créé, consubstantiel au Père; par lui tout a été fait. Pour nous les hommes et pour notre salut, il est descendu des cieux, et s'est incarné par le Saint-Esprit et par la Vierge Marie, et s'est fait homme; il a été crucifié pour nous sous Ponce Pilate, il a souffert la mort et a été enseveli, et est ressuscité le troisième jour, selon les Écritures; et il est monté au ciel, et il siège à la droite du Père; et il reviendra en gloire pour juger les vivants et les morts, et son règne n'aura pas de fin. Et nous croyons au Saint-Esprit, qui est Seigneur et qui donne la vie, qui procède du Père et du Fils; avec le Père et le Fils, il est adoré et glorifié; il a parlé par les prophètes. Nous croyons en une seule Église sainte, catholique et apostolique. Nous confessons un seul baptême pour le pardon des péchés. Nous attendons la résurrection des morts, et la vie du monde à venir. Amen."**
"Quiconque demeure en lui ne pèche point quiconque pèche ne l'a pas vu et ne l'a pas connu"
prisca a écrit : ↑10 nov.24, 03:35
Ce rôle c'est de faire en sorte de considérer Jésus comme un vrai fils unique de D.IEU alors que ces personnes savent pertinemment que Jésus est un être sans âme articulé par l'Eternel pour jouer le rôle d'un fils de Lui Même.
Grâce à Prisca on sait maintenant que Jésus c'est Pinocchio et son père Geppetto.
Ça explique comment il a pu être cloué sans que ça lui fasse mal ...
Question : La divinité de Jésus dans les écrits pré nicéens ?
ChatGPT a dit :
La divinité de Jésus est un thème qui apparaît de manière explicite ou implicite dans plusieurs écrits chrétiens précédant le Concile de Nicée (325). Ces écrits, bien que ne proposant pas encore une formulation doctrinale aussi précise que celle adoptée à Nicée, témoignent d'une reconnaissance claire de la nature divine de Jésus parmi les premiers chrétiens. Voici une analyse des principaux textes et auteurs pré-nicéens qui abordent ce sujet.
... Les Pères apostoliques et les apologètes
Les Pères apostoliques et les premiers apologètes chrétiens expriment également cette foi en des termes qui préfigurent les débats ultérieurs.
Ignace d'Antioche († vers 110) :
Dans ses lettres, Ignace appelle Jésus à plusieurs reprises « notre Dieu » . Par exemple, dans sa lettre aux Éphésiens : « Il n'y a qu'un seul médecin, à la fois chair et esprit, né et non-né, Dieu en l'homme, vie authentique dans la mort, fils de Marie et Fils de Dieu, d'abord passible puis désormais impassible : Jésus-Christ, notre Seigneur. »
Il insiste aussi sur l'unité de Jésus avec le Père.
Justin Martyr († vers 165) :
Dans ses Apologies et son Dialogue avec Tryphon , Justin décrit le Christ comme le Logos de Dieu , préexistant à la création et participant à l'œuvre divine de création.
Il distingue le Fils du Père tout en affirmant son rôle divin : « Nous adorons le Père, et le Fils qui est venu de lui. »
Irénée de Lyon († vers 202) :
Dans son ouvrage Contre les hérésies , Irénée insiste sur l'unité entre Jésus et Dieu : « Le Christ Jésus, notre Seigneur, notre Dieu, notre Sauveur et notre Roi. »
Il voit dans l'incarnation du Fils une manifestation de Dieu lui-même dans le monde.
Tertullien († vers 220) :
Dans Adversus Praxean , Tertullien développe une réflexion sur la Trinité. Il affirme la divinité du Fils tout en distinguant sa personne de celle du Père : « Le Fils est issue du Père, mais pas séparé de lui. »
... Conclusion
Les écrits pré-nicéens témoignent de la reconnaissance large, bien qu'encore variée dans ses formulations, de la divinité de Jésus. Les termes techniques comme homoousios (de même substance) ne sont pas encore utilisés, mais les bases doctrinales sont posées dans le Nouveau Testament et développées par les Pères de l'Église. Le Concile de Nicée viendra clarifier et uniformiser cette croyance face aux controverses, mais il s'appuie sur une tradition existante et bien enracinée."
"Les religions sont comme les vers luisants: pour briller, elles ont besoin d'obscurité.
Un certain degré d'ignorance générale est la condition de toutes les religions, le seul élément dans lequel elles peuvent vivre."" Arthur Schopenhauer
Le péché originel c'est le péché de "figure d'Adam".
Définition de l'expression : figure de.
Par exemple : Psaumes 106:20
Ils échangèrent leur gloire contre la figure d'un boeuf qui mange l'herbe.
Dans ce verset les Juifs se prosternent devant une statue en fonte.
Les Juifs ont changé leur notoriété de fils de YHVH en dignes gens de son peuple contre la notoriété d'adorateurs d'un boeuf qui mange de l'herbe, ils sont tombés bien bas.
De même dans le verset objet du sujet, Adam est figure (ressemble) Adam apparait tout comme ou Adam s'apparente à Adam qui est dépeint comme transgresseur est comparable à "cet autre homme (cet Adam) qui devait venir (puisque prophétisé)
Romains 5:14
Cependant la mort a régné depuis Adam jusqu'à Moïse, même sur ceux qui n'avaient pas péché par une transgression semblable à celle d'Adam, lequel est la figure de celui qui devait venir.
Donc le péché qui mène à la mort règne en maitre depuis Adam jusqu'à Moise (bien sûr puisque Moise en divulguant les Lois ordonnées par YHVH, et bien le péché recule et s'efface) et même si les gens n'ont pas été aussi ignobles qu'Adam ils sont néanmoins autant pécheurs qu'Adam puisqu'ils ont perpétré le même péché qu'Adam a fait, lequel Adam considéré comme le fautif de la perte des humains est SEMBLABLE à celui qui devait venir.
Franchement, est ce que vous pensez que JESUS est semblable à Adam ?
Réfléchissez au lieu de foncer tête baissée à dire n'importe quoi.
"Quiconque demeure en lui ne pèche point quiconque pèche ne l'a pas vu et ne l'a pas connu"
prisca a écrit : ↑11 nov.24, 21:44Franchement, est ce que vous pensez que JESUS est semblable à Adam ?
Tout à fait puisque Jésus, selon la Bible, est fils de Dieu exactement comme Adam.
Il n'y a que trois humains dans la Bible qui apparaissent avec l'intervention de Dieu : Adam, Eve et Jésus.
De plus, Jésus nait sans péché, exactement comme Adam.
Ajouté 18 minutes 44 secondes après :
prisca a écrit : ↑11 nov.24, 21:44 Romains 5:14
Cependant la mort a régné depuis Adam jusqu'à Moïse, même sur ceux qui n'avaient pas péché par une transgression semblable à celle d'Adam, lequel est la figure de celui qui devait venir.
Donc le péché qui mène à la mort règne en maitre depuis Adam jusqu'à Moise (bien sûr puisque Moise en divulguant les Lois ordonnées par YHVH, et bien le péché recule et s'efface)
Lorsqu'on lit un verset, il faut lire le contexte sinon on peut le comprendre de travers !
Ainsi le verset 14 vient préciser ce qui a été dit à la fin du verset 13 "Or, le péché n'est pas imputé, quand il n'y a point de loi." donc Paul montre que, même lorsqu'il n'y avait pas de loi (donc avant Moïse) la mort a régné.
Il ne dit absolument pas que le péché a disparu ou a reculé avec la Loi il dit juste que même avant qu'il y ait la Loi pour marquer le péché, tous les hommes étaient pécheurs.
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