SALUT FALENN.
Je crois que tu te trompes depersonne car je ne comprends rien à ton interpellation. En tout cas je ne vois rien dans mes interventions qui justifient ce que tu m'écris, à moi et à Eliaqim. je laisse bien évidemment Eliaqim le soin de répondre pour cequi leconcerne. Quant à moi, je vais te dire ceci:
1) La mythologie: je sais ce que c'est. Excuse-moi, mais j'ai dû passer du temps à l'étudier à l'université et je sais en quoi leslivres bibliques en diffèrent.
2) D'une part, j'ignore ce que tu appelles un préjugé idéologique. Suffit pas de l'écrire... ce serait trop facile. D'autre part, il est impossible de poser un quelconque jugement sans avoir établi un référent culturel, social, politique, religieux, philosophique et j'en passe. Tout est toujours "en relation" et un jugement consiste à exprimer cette relation (tout au moins, si j'ai bien compris quelque chose à la Rhétorique d'Aristote).
3) J'ai moi aussi "l'immense privilège" - je ne voyais pas cela comme tel avant que de te lire - de n'avoir pas baigné dans un discours religieux dans mon enfance.
Comme quoi, nous sommes au moins deux ! et tu ferais mieux de poser des questions aux personnes à qui tu t'adresses avant de croire trop sommairement ceci ou cela, ce qui, à mes yeux, constitue un "a priori" ou "préjugé".
Cherche l'erreur par rapport au point 2.
Chacun doit évidemment assumer ses propres contradictions.
Je ne t'en fais pas grief, mais toi ? Que t'en semble ?
4) Je ne sais ce que tu veux dire avec tes crucifix. Tu parles de ta propre enfance. Moi, je n'ai pas baigné dans un univers avec des crucifix, désolé, sauf lorsque je suis allé pendant deux années dans un collège catholique romain. En dehors dufait que j'étais obligé d'aller àmamesse, la vue d'un crucifix nem'a jamais paru "monstrueux", pas plus que les Calvaires dans les chemins de campagne ou les potales innombrables qui sillonnent l'entre Seine, Rhin et Danube.
5) Je me suis fait baptiser à l'âge de trente-quatre ans bien sonnés. je préfère te le dire car tu sembles croire autre chose comme allant de soi ! Je suis prudent de nature, moi.
6) Concernant la fin de ton interpellation, je n'ai pas compris le texte. Désolé. Je sens que tu veux dire quelque chose d'important, mais il est des subtilités qui m'échappent à moi aussi.
Je te souhaite ceque tu me souhaites si toutefois ce que nous nous souhaitons est bien dans la lignée de la charte. Bonne soirée à toi