Ta ta ta... cette explication ne serait pas la seule en ce qui concerne le 'fait de sucer le téton". Quant aux avantages ces explications sont très douteuses : approfondis tes études.Jupiterus a écrit :1ère chose: il y a deux façon d'allaiter
Il ne s'agit pas d'allaitement via le têton Simplement Moi, mais le fait de donner du lait maternelle en le retirant pas sucion et mis dans un récipient. Comme de nos jour une mère peut sortir son lait et le conserver au frais dans un biberon pour plus tard. C'est ce qu'a fait Aïcha. As-tu vraiment cru que la mère des croyants aurait donné son sein à un pubère....
2ème chose: avantage pour l'adulte
L'avantage est que cet adulte devient enfant de lait pour Aïcha et donc considéré comme son fils de lait; Aïcha n'aura pas à se voiler devant lui car considéré comme "son fils" excluant un mariage possible. En effet, les frères et soeurs de lait sont considéré comme les vrais frères et soeurs et donc un frère ne se pourra se marier avec sa soeur ni un fils avec sa mère. Le lait maternelle rend incestueux toute relation, d'où l'autorisation à cet adulte de voir sa mère de lait comme il verrait sa mère (sans voile).
Tu verras plus clair ici:
http://www.al-eman.com/feqh/viewchp.asp ... CID=211#s5):
Site sunnite, question 1870
Donc ou Aisha raconte n'importe quoi.. ou bien il faut se fier a ces commentaires et hadiths.وأما صفة الرضاع المحرم فإنما هو ما امتصه الراضع من ثدي المرضعة بفيه فقط فأمّا من سقي لبن امرأة فشربه من أناء أو حلب في فيه فبلعه أو أطعمه بخبز أو في طعام أو صب في فمه أو في أنفه أو في أذنه أو حقن به فكل ذلك لا يحرم شيئا […] برهان ذلك قول الله عز وجل […] وأمهاتكم اللاتي أرضعنكم وأخواتكم من الرضاعة […] وقال رسول الله صلى الله عليه وسلم يحرم من الرضاع ما يحرم من النسب […] ولا يسمى إرضاعا إلا ما وضعته المرأة المرضعة من ثديها في الرضيع يقال أرضعته ترضعه إرضاعا ولا يسمى رضاعة ولا إرضاعا إلا أخذ المرضع أو الرضيع بفيه الثدي وامتصاصه إياه تقول رضع يرضع رضاعا ورضاعة وأما كل ما عدا ذلك مما ذكرنا فلا يسمى شيء منه أرضاعا ولا رضاعة ولا رضاعا إنما هو حلب وطعام وسقاء وشرب وأكل وبلع وحقنة وسعوط وتقطير…
المحلى، ج10 ص7
Traduction: Quant à la description de l'allaitement qui entraîne apparentement, c'est uniquement ce que le nourrisson tête du sein de la nourrice avec sa bouche, sans plus. Quant à celui qui est abreuvé du lait d'une femme et qui le boit d'un récipient; ou qui est trait dans sa bouche et qui l'avale; ou à qui il est donné à manger avec du pain ou dans une nourriture; ou à qui il est projeté dans la bouche, le nez ou l'oreille; ou qui lui est injecté; eh bien tout cela n'entraîne pas le moindre apparentement. […] La preuve en est la parole de Dieu, tout-puissant et majestueux: "[…] et vos mères qui vous ont allaitées (arda'nakom) et vos sœurs par allaitement (min ar-radâ'a)" (Cor. 4.23); et le Messager de Dieu, Dieu le bénisse et lui donne la paix, a dit: "L'apparentement par allaitement interdit ce qu'interdit l'apparentement par généalogie". […] Or, on ne nomme irdâ' que ce que la femme nourricière met de son sein dans [la bouche du] nourrisson; on dit: "arda'atho, tordi'oh, irdâ'â". Et on ne nomme radâ'a et irdâ' que la prise du sein en bouche par le téteur ou nourrisson et sa succion; on dit: "rada'a, yarda'o, radâ'â et radâ'at". Quant à tout ce que nous avons mentionné d'autre [c’est-à-dire les diverses formes d'allaitement indirect], rien de tout cela n'est nommé ni irdâ' ni radâ'at ni radâ'; il s'agit tout simplement de traire (halab), nourrir (ta'âm), abreuver (saqâ'), boire (shorb), manger (akl), avaler (bal'), injecter (hoqna), injecter dans les narines (so'out) et distiller (taqtîr)… (al-Mohallâ, v.10 p.7)
Le reste fiables, pas fiables, a croire à ne pas croire... c'est votre problème et conscience de musulmans.
Moi je ne fais que soulever le thème pour que l'on se rende compte de "visu" des aberrations et préceptes d'ou est tiré votre dogme et des ces discussions "arrangeantes" pour contourner et interpréter à leur sauce ces mêmes "savants" le tout.
Si vous trouvez cela ridicule... -moi OUI, je serai d'accord avec vous a 100%....- ensuite....à se demander ce que d'autres hadiths donnent à l'examen de la critique.
pour essayer de répondre en ayant raison...
