Posté : 18 avr.06, 08:29
Je crois qu'il ya quelque chose que tu as du mal à comprendre. Oublie tes phénomènes physiques, nous ne sommes plus dans la physique mais dans la métaphysique, je t'ai même rappeler la définition, alors tu es gentil, relis ce que je t'ai mis avant car tout y est :
Pour ton poulet, c'est pareil que pour les hommes : je ne sais pas ! Je pense que toute vie a un sens... mais ne compte pas sur moi pour le démontrer, sinon je l'aurai déja fait
Je suis religieux et je ne vois pas en quoi la religion insulte Dieu, c'est plus un éloge de Dieu qu'autre chose. Ce sont les athées qui parfois, insultent Dieu certainement pas les religions. Prouve moi le contraire, sinon.
Pour ce qui est d'Epicure et des matérialistes :
L'éclair c'est pareil, c'est de la physique. Là, il s'agit de problemes métaphysiques ! Incomparable...Avant qu'il puisse y avoir des phénomènes physiques ( qui certes, sont responsables de l'organisation de l'univers ) il faut qu'il y ai déja de la matière car il n'y a pas de phénomènes physiques sans matière. Et moi, ce que je te demande, c'est d'où vient cette matière et ces phénomènes physiques ?
Pour ton poulet, c'est pareil que pour les hommes : je ne sais pas ! Je pense que toute vie a un sens... mais ne compte pas sur moi pour le démontrer, sinon je l'aurai déja fait
Je suis religieux et je ne vois pas en quoi la religion insulte Dieu, c'est plus un éloge de Dieu qu'autre chose. Ce sont les athées qui parfois, insultent Dieu certainement pas les religions. Prouve moi le contraire, sinon.
Pour ce qui est d'Epicure et des matérialistes :
L’épicurisme considère la nature comme la donne de départ, comme ce qui est. Toute représentation de l’esprit devra donc être en accord avec elle, ce qui disqualifiera d’emblée tout recours à des hypothèses surnaturelles ; toute conduite devra par ailleurs y être référée. La seule vertu qu’il lui concède, c’est sa fécondité, d’où l’apologie allégorique de Vénus génitrix au début du livre 1 du De natura rerum[3], de Lucrèce. Il n’y a pas de place dans cette nature pour un destin, ou pour une quelconque intention : tout s’explique à partir du mouvement des atomes, selon un principe qu’Epicure emprunte à Démocrite « tout ce qui existe dans le monde est le fruit du hasard et de la nécessité »