Re: L'âme meurt-elle ?
Posté : 27 nov.13, 06:49
Bonjour Medico.
Medico écrit : « j'aime bien me semble pas.donc tu n'est pas sur te tes arguments.
Oui j’en suis sûr, mais pas de façon absolue. Je ne voudrais pas aussi péché par excès de confiance.
Par contre sans me contredire, je crois toujours possible d’ajuster mes arguments pour qu’il soit le plus conforme à la Bible mais aussi en l’enseignement de l’Église, je suis Catholique après tout !
arguments que je trouve plus philosophique que biblique.
J’ai contredis votre interprétation du fameux verset 4 d’Ézéchiel à son chap. 18 qui dit :
4 Voici, toutes les âmes sont à moi, l’âme du père comme l’âme du fils ; toutes deux sont à moi ; l’âme qui pèche est celle qui mourra.
J’ai fais cette démonstration — qui est indéniable et ce jusqu’à preuve du contraire bien démontré — non pas à l’aide de la philosophie, mais simplement par une petite analyse biblique.
Par contre oui, quand on aborde l’aspect immatériel de l’âme, un brin de philosophie est nécessaire. Oui les hébreux du 10e siècle avant J.-C. étaient très concret, mais plus que l’on avance vers le siècle de Jésus plus on fait de la pace à l’aspect abstrait des choses et ce bien sûr par le biais d’un peu de philosophie grecque. Jésus lui-même n’a pas eut peur d’y faire appelle quand il eut à réprimander les Sadducéens … Saint Paul aussi …
j'ai donné plus des scannes tirés d'un dictionnaire biblique catholique.si tu pouvais les lire ça serait super.car il donne lpas la même défintion de l'âme que toi. »
Oui, il y a la conception de l’âme du 10e siècle avant J.-C. et celle du premier siècle. Si on les compare strictement, cette conception s’est énormément développée.
Si à partir de Gn 2, 7 + Gn 3, 19 on s’en était strictement tenue à une — sous entendue — annihilation à la mort DE TOUT l’homme, il aurait alors été TOTALEMENT IMPOSSIBLE « d’introduire » cette grande et finale espérance qu’est la résurrection de la chair, que le christianisme professe dans le symbole des apôtres et qui lui SI chère !
Car avec seulement ces 2 versets: Gn 2, 7 + Gn 3, 19 tout est terminé pour l’homme… et il n’a rien à attendre d’un quelconque future, rien ……………
Mais tel n’est pas la foi des chrétiens, car une fois arrivée à Jésus, l’anthropologie biblique s’est ENORMEMENT développée. Cela était plus que nécessaire pour en arriver à la résurrection de tout l’homme : corps et âme.
Voilà.
À la prochaine.
Bertrand
Medico écrit : « j'aime bien me semble pas.donc tu n'est pas sur te tes arguments.
Oui j’en suis sûr, mais pas de façon absolue. Je ne voudrais pas aussi péché par excès de confiance.
Par contre sans me contredire, je crois toujours possible d’ajuster mes arguments pour qu’il soit le plus conforme à la Bible mais aussi en l’enseignement de l’Église, je suis Catholique après tout !
arguments que je trouve plus philosophique que biblique.
J’ai contredis votre interprétation du fameux verset 4 d’Ézéchiel à son chap. 18 qui dit :
4 Voici, toutes les âmes sont à moi, l’âme du père comme l’âme du fils ; toutes deux sont à moi ; l’âme qui pèche est celle qui mourra.
J’ai fais cette démonstration — qui est indéniable et ce jusqu’à preuve du contraire bien démontré — non pas à l’aide de la philosophie, mais simplement par une petite analyse biblique.
Par contre oui, quand on aborde l’aspect immatériel de l’âme, un brin de philosophie est nécessaire. Oui les hébreux du 10e siècle avant J.-C. étaient très concret, mais plus que l’on avance vers le siècle de Jésus plus on fait de la pace à l’aspect abstrait des choses et ce bien sûr par le biais d’un peu de philosophie grecque. Jésus lui-même n’a pas eut peur d’y faire appelle quand il eut à réprimander les Sadducéens … Saint Paul aussi …
j'ai donné plus des scannes tirés d'un dictionnaire biblique catholique.si tu pouvais les lire ça serait super.car il donne lpas la même défintion de l'âme que toi. »
Oui, il y a la conception de l’âme du 10e siècle avant J.-C. et celle du premier siècle. Si on les compare strictement, cette conception s’est énormément développée.
Si à partir de Gn 2, 7 + Gn 3, 19 on s’en était strictement tenue à une — sous entendue — annihilation à la mort DE TOUT l’homme, il aurait alors été TOTALEMENT IMPOSSIBLE « d’introduire » cette grande et finale espérance qu’est la résurrection de la chair, que le christianisme professe dans le symbole des apôtres et qui lui SI chère !
Car avec seulement ces 2 versets: Gn 2, 7 + Gn 3, 19 tout est terminé pour l’homme… et il n’a rien à attendre d’un quelconque future, rien ……………
Mais tel n’est pas la foi des chrétiens, car une fois arrivée à Jésus, l’anthropologie biblique s’est ENORMEMENT développée. Cela était plus que nécessaire pour en arriver à la résurrection de tout l’homme : corps et âme.
Voilà.
À la prochaine.
Bertrand