Michline a écrit :
Non , tu vois bien qu'il a mené une troupe de 30 000 hommes pour empêcher les byzantins d'oppresser les arabes qui voulait l'unité avec la religion de Mahomet .
L'agression a commencé par les byzantins puis mahomet a décidé de défendre sa nation, c'est tout aussi simple.
Je peux avoir ton lien au sujet de Abbas? soit tu as oublier soit tu ma feinté ?
aucune preuve que les byzantins voulaient oppresser les arabe
aucune preuve que les arabes (chrétiens ou autres) voulaient l'unité avec la religion de Mahomet
aucune preuve que l'agression a commencé par les byzantins
Tout ce que tu as montré c'est un texte qui parle de rumeurs
tu n'as pas répondu ...la source de quoi ? sois précise.
Tu contestes que Abbas est resté paien jusqu"à la conquete de la Mecque ?
eric121 a écrit :
la source de quoi ? sois précise.
Tu contestes que Abbas est resté paien jusqu"à la conquete de la Mecque ? Sais-tu qu'il a été fait prisonnier à la bataille de badr et relaché contre rançon ?
Tu contestes que seul Hamza l'a suivit à Medine ? Ses autres oncles sont morts paiens comme Abou lahab. Celui qui le protégeait (Abou Talib) a refusé de se convertir
C'est toi qui n'a pas apporté d'arguments pour les agressions, relis ma réponse, tu n'as apporté de preuves qu'à une seule et ta prétendue agression c'était des rumeurs.
Hamza est le lion d'Allah et de son Messager, c'est son oncle mais né à la meme année que lui
Mohammed et Hamza ont joué ensemble quand ils étaient enfants et hamza a toujours connu et reconnu la grandeur d'ame de mohammed pbsl sans pareil parmi les premiers et les derniers
Abou lahab l'autre oncle ne s'est pas converti en effet et le coran le dénonce dans sourate el massed
Abou talib les salafistes fond une confusion générale sur lui, ils disent il a été mécréant et ira en enfir alors qu'on sait qu'à l'époque mecquoise Abou talib et Khadidja sont les deux qui ont protégé le plus le prophete pbsl, le soutien de abou talib à mohammed et la défense de son neveu prouve son islam
Mais les injustes disent il ne l'a pas prononcé devant tout le monde, et alors? aussi quand les polythéistes ont fait un blocus sur les musulmans et ont décidé de ne rien vendre et acheter de chez eux? abou talib était avec les mouslims ou avec quraich? la réponse avec les musulmans et il est mort la meme année que khadidja, l'année de la detresse, juste aprés l'ordre de migrrer à médine est venue
Et qui a défendu Mohammed pbsl aprés? Ali le fils d'abou talib et Fatima la fille khadidja
à chaque fois le messager parlait de Ali et Fatima et leurs mérites, dans les textes sunnites aussi, partout et il le rappelait à chaque évenement, quand il est décidé pbsl, ils les ont mal traités
eric121 a écrit :
aucune preuve que les byzantins voulaient oppresser les arabe
aucune preuve que les arabes (chrétiens ou autres) voulaient l'unité avec la religion de Mahomet
aucune preuve que l'agression a commencé par les byzantins
Tout ce que tu as montré c'est un texte qui parle de rumeurs
tu n'as pas répondu ...la source de quoi ? sois précise.
Tu contestes que Abbas est resté paien jusqu"à la conquete de la Mecque ?
L'histoire qui n'est pas raconté par les salafo sunnites est que OUSSAMA IBN ZAYD a été envoyé par le prophete pbsl pour jerusalem, pour leurs parler de l'islam et le Prophete pbsl a demandé à abou bakr et omar d'etre sous la bandrole de ce jeune courageux, chose qu'ils ont refusé eux les notables!!
Le Messager pbsl a envoyé des lettres aux Nasaras Unitariens, négus en éthiopie par exemple
djafar ibn abi talib l'éloquant frère de Ali était envoyé par le prophete pbslauparavant avec une délégation et les polythéistes ont envoyé amr ibn as qui aprés est devenu un héros de l'islam de l'épé
et Hiraclus à constantinople une lettre a été envoyé et Mohammed pbsl lui a dit aslim taslam et laisse les ariens (aryusiyines) reconnaitre mon message...donc mohammed pbsl a protegé les unitariens
à ce moment abou soufiane le tyran est allé voir hiraclus et ce dernier lui a posé des questions sur Mohammed, trahit il? non, est il fils de roi? non, les pauvres le suivent ou les riches? les pauvres
son message grandit ou diminue? il grandit, il vous bat à chaque fois? non des fois lui des fois nous
Alors hiraclus a dit à abou soufiane, Ce prophete est mentionné chez nous et je sais que la ou je mets mon pied suivera son message prochainement, éric et les autres, niez vous ces faits?
eric121 a écrit :
sauf que pour les musulmans le coran n'a pas de limite dans le temps et que surtout ces versets sont à la forme impérative : combattez ! tuez ! luttez ! l"ordre doit etre exécuté et c'est ce que font les jihadistes
Tu le dis à chaque fois et on te dit non, donc vous etes d'accord avec les djihadistes
Le prophete pbsl nous a parlé de vous, car vous allez aider les omeyyadistes à la fin des temps
cette idéologie de l'épé et de tuez ceux qui refusent n'est pas l'islam de mohammed pbsl mais de mou'awiya et de yazid et vous defendez ça et dites ils ont raison et vous comprenez le coran comme eux
A la fin des temps, trés trés prochainement, le Soufiani sera en Syrie, le gouverneur de syrie va fuir selon les récits de Ahl el bayt et le soufiani fera de trés grands massacres, plus que ce qui s'est deja passé pour le moment et ensuite voudra entrer en Iraq et massacrera les chiites et meme les sunnites qui ne pensent pas comme eux les salafo omeyyadistes, à ce moment Khourassani s'opposera à lui
et le Yamani enfin et ce dernier battera le soufiani (la mentalité que tu defends de l'islam des tuerie)
Donc il y'a deja un conflit interne en islam entre l'islam des omeyyades et l'islam des hachimites
et dans l'islam des hachimites il y'a un autre conflit = descendants de ALI vs descendants de Abbas
Je peux affirmer que le chiisme actuel = la mentalité de l'abbassisme, car qu'on fait ces gens jadis
ils ont lutté contre les omeyyades ok, mais leurs slogans étaient la satisfaction de ahl mohammed
exactement comme fond les chiites ayatollahistes actuellement, ils disent aaah nous on aime que ahl el bayt et on defend leurs cause, mais en réalité les combattent, et donc si le salafo wahhabisme = omeyyadisme, sachez que le chiisme ayatollahiste en Iraq et Iran = la mentalité abbasside
C'est la lecture générale la plus globale possible, paix
@Marmhonie :
Bonsoir, j'ai déjà répondu que j'étais contre leurs actes. Je me permets, juste de rectifier la formulation de votre question :
"est ce mal que le terrorisme?" je réponds : oui. Je le condamne? oui comme la plupart de nos savants reconnus pour leur science religieuse, leur bonne compréhension des Textes.
Bonne soirée
"Une théorie cohérente ne démontre pas sa propre cohérence" (Kurt Gödel)
@Marmhonie :
Bonsoir, j'ai déjà répondu que j'étais contre leurs actes. Je me permets, juste de rectifier la formulation de votre question :
"est ce mal que le terrorisme?" je réponds : oui. Je le condamne? oui comme la plupart de nos savants reconnus pour leur science religieuse, leur bonne compréhension des Textes.
Bonne soirée
salam !!
plus que cela il se trouve le terme MARTYR = djihadiste ( chahid) n'est pas mentionnée une fois dans le coran !!
ce terme matyr est un terme politique inventé par benioumeya pour encouragée les naifs musulmans à commettre des massacres l'hors de leur expansion dans le monde !!
l’islam est la religion qui est en harmonie constante avec la nature humaine ; qu’Allah a originellement donné aux êtres humains.
@eric : . ils n'ont pas fomenté des complots en vue d'éliminer le Prophète et n'ont jamais été responsables de la mort de musulmans et n'ont jamais commis de crimes de guerre :
Si nous ne sommes pas, tous les deux, de mauvaise foi, cela signifie que nous n'avons pas eu accès aux mêmes sources d'informations. Les miennes mentionnent qu'ils avaient fomenté des complots contre le prophète et les musulmans.. Modération de rappel : vous devez citer vos références précisément. Or il n'y a toujours rien.
Marmhonie, modérateur
plus tard je donnerai des exemples
Bonne soirée et bonne nuit
Modifié en dernier par Marmhonie le 08 déc.14, 11:02, modifié 1 fois.
Raison :Modération de rappel sur jamais aucune référence.
"Une théorie cohérente ne démontre pas sa propre cohérence" (Kurt Gödel)
Et Michline (p9) qui met les Berbères et les Arabes dans le même panier, en disant, en plus, que les Berbères n'ont pas su s'adapter!
Mais que de sottises!
En France, comme en Italie, comme en Allemagne, ce qu'on appelle les "épiceries arabes" sont des épiceries berbères, tenues par des Ch'leuhs, parlant tachla'hid (Mamkatguid, agouma? ).
Pas par des Arabes.
Et pour avoir naguère enseigné dans les prisons, je vous certifie que les Ch'leuhs y sont absents! Et que des Conseils de discipline dans les lycées et collèges, pour des petits Ch'leuhs, je n'en n'ai jamais vu un seul!
Les Berbères, au sens large (plusieurs peuples confondus), et quel que soit leur pays d'origine, s'adaptent 100 fois mieux en Occident que les "Arabes". Peut-être parce que ceux-ci sont des nomades conquérants, tandis que les Berbères sont des sédentaires -et les 1ers occupants de leurs terres colonisées par les "Arabes"?
Mais quelle caravane de sottises, d'amalgames, chez certains, sur ce fofo!
On demandait si vous condamniez le terrorisme: merci à ceux qui ont dit: oui.
Ce sera clair pour vous: je le condamne aussi. La vie, Dieu l'a donnée; Dieu la reprend. Personne n'a le droit de se substituer à LUI. (Quel orgueil!)
"Ethnographie des âmes en peine" -expression poétique de P.V. qui me fait rêver... (Variété -Etudes philosoph. p 960) "Dieu oublié, plus rien n'est digne de mémoire" Carlyle
bahhous a écrit :Il se trouve le terme MARTYR = djihadiste ( chahid) n'est pas mentionnée une fois dans le coran !!
Non, en effet, pas 1 fois, mais 55 fois !
Un de plus qui ne lit pas le Coran arabe...
Shahîd, en arabe au singulier (que vous orthographiez "chahid"), et shuhadâ au pluriel, est exactement le sens étymologique du mot grec Martyros. Nous sommes bien d'accord donc. Pas 1 fois donc : 55 fois !
Je vous cite quelques versets ? Allez, pour vous informer : Coran, 4-69, 39-69, 57-19
bahhous a écrit :Il se trouve le terme MARTYR = djihadiste ( chahid) n'est pas mentionnée une fois dans le coran !!
Ce n'est pas du tout ce qu'on vous demande et vous répondez faussement à côté. Est-ce que, oui ou non, vous condamnez le terrorisme musulman ? Oui/Non(cocher la case)
Merci de respecter le sujet au lieu de le noyer sans répondre.
Ayant aujourd'hui eu quelques heures de temps libre, j'en ai profité pour feuilleter la savante « Encyclopédie de l'Islam », t. 2., Brille, 1965.
Voilà ce que nous trouvons à l'entrée "djihad", pp. 551-553.
DJIHAD :
« Étymologiquement signifie « effort tendu vers un but déterminé ». [...]
Juridiquement, d’après la doctrine classique générale et dans la tradition historique, le djihâd consiste dans l’action armée en vue de l’expansion de l’Islam, et éventuellement, de sa défense.
Il procède du principe fondamental d’universalisme de l’Islam : cette religion, et ce qu’elle implique de puissance temporelle, doit s’étendre à tout l’univers, au besoin par la force. Mais ce principe doit se combiner partiellement avec un autre qui tolère l’existence au sein de la communauté islamique, des adeptes des « religions à livres saints », Chrétiens, Juifs, Madjus. Pour ceux-là, le djihâd s’arrête dès lors qu’ils acceptent de se soumettre à l’autorité politique de l’Islam et au paiement de tribut de capitation (djizya) et de l’impôt foncier (kharadj). [...] Quant aux non-scripturaires, notamment les idolâtres, cette demi-mesure est exclue, d’après l’opinion de la majorité : leur conversion à l’Islam est obligatoire sous peine de mise à mort ou de réduction en esclavage. [...] Le djihâd est une obligation. Ce précepte est proclamé dans toutes les sources. Sans doute, on relève dans le Kur’an des textes divergents, voire contradictoires. La doctrine les classe, sauf quelques variantes de détail, en quatre catégories successives :
- ceux qui ordonnent le pardon des offenses et incitant à l’appel à l’Islam par la persuasion.
- ceux qui ordonnent le combat pour repousser les agressions.
- ceux qui ordonnent l’initiative de l’attaque, mais en dehors des quatre mois sacrés. - ceux qui ordonnent l’initiative de l’attaque, absolument en tous temps ou tous lieux.
En gros, les divergences correspondent à l’évolution de la pensée de Muhammad et aux modifications des circonstances : phase mekkoise pendant laquelle Muhammad se borne, en général, à un enseignement moral et religieux ; phase médinoise où, devenu chef d’une communauté politico-religieuse, il peut entreprendre, spontanément, la lutte contre ceux qui n’entendent pas s’y agréger ou se soumettre à son autorité. La doctrine considère que les textes postérieurs abrogent les textes antérieurs contraires (théorie du naskh) de telle sorte que, seuls restent définitivement valables ceux de la dernière catégorie; et en conséquence la règle, en la matière, est formulée en ces termes absolus : « la lutte (djihâd) est obligatoire même s’ils (les infidèles) n’ont pas eux-mêmes commencé ». [...]
Le djihâd n’est pas une fin en lui-même ; c’est un moyen qui, en soi, est un mal (fasad), mais qui devient légitime et nécessaire en raison du but auquel il tend : débarrasser le monde d’un mal plus grand ; il est « bon » du fait que son but est « bon » (hasan li-husn gayrih).
Le djihâd tend à étendre le règne de la religion ; il est prescrit par Dieu et son Prophète ; le musulman se consacre au djihâd comme, en Chrétienté, le moine se consacre au service de Dieu , aussi, dans divers hadiths, on dit que « le djihâd est le monachisme de l’Islam » ; le djihâd est un « acte de dévotion pure » ; il est « une des portes du Paradis » ; de grandes récompenses célestes sont assurées à ceux qui s’y adonnent ; ceux qui y périssent sont des martyrs de la foi etc... Une bonne partie de la doctrine range le djihâd parmi les fondements (arkan) même de la religion avec la prière, le jeûne, etc. Il est obligatoire pour tout musulman, de sexe masculin, libre, solide. [...] On enseigne, en général, que le djihâd s’impose d’abord individuellement, à titre de fard ‘ayn, aux habitants du territoire qui est le plus proche de l’ennemi [...].
[...] L’obligation du djihâd persiste tant que l’universalité de l’Islam n’est pas réalisé, « jusqu’au jour de la Résurrection », « jusqu’à la fin du monde » disent les adages. La paix avec les nations non-musulmanes est donc un état provisoire : ce ne sont que des circonstances accidentelles qui peuvent la justifier temporairement. Aussi, ne peut-il pas intervenir de véritables traités de paix avec ces nations ; seules sont autorisées des trêves dont la durée ne doit pas, en principe, dépasser dix ans. Mais, même ces trêves sont précaires et elles peuvent, avant leur terme, être dénoncé unilatéralement s’il apparaît plus utile pour l’Islam de reprendre la lutte. »
Il faut d'abord avoir raison. Une idée fausse est une idée fausse.
Seleucide a écrit :Ayant aujourd'hui eu quelques heures de temps libre, j'en ai profité pour feuilleter la savante « Encyclopédie de l'Islam », t. 2., Brille, 1965.
Voilà ce que nous trouvons à l'entrée "djihad", pp. 551-553.
DJIHAD :
« Étymologiquement signifie « effort tendu vers un but déterminé ». [...]
Juridiquement, d’après la doctrine classique générale et dans la tradition historique, le djihâd consiste dans l’action armée en vue de l’expansion de l’Islam, et éventuellement, de sa défense.
Il procède du principe fondamental d’universalisme de l’Islam : cette religion, et ce qu’elle implique de puissance temporelle, doit s’étendre à tout l’univers, au besoin par la force. Mais ce principe doit se combiner partiellement avec un autre qui tolère l’existence au sein de la communauté islamique, des adeptes des « religions à livres saints », Chrétiens, Juifs, Madjus. Pour ceux-là, le djihâd s’arrête dès lors qu’ils acceptent de se soumettre à l’autorité politique de l’Islam et au paiement de tribut de capitation (djizya) et de l’impôt foncier (kharadj). [...] Quant aux non-scripturaires, notamment les idolâtres, cette demi-mesure est exclue, d’après l’opinion de la majorité : leur conversion à l’Islam est obligatoire sous peine de mise à mort ou de réduction en esclavage. [...] Le djihâd est une obligation. Ce précepte est proclamé dans toutes les sources. Sans doute, on relève dans le Kur’an des textes divergents, voire contradictoires. La doctrine les classe, sauf quelques variantes de détail, en quatre catégories successives :
- ceux qui ordonnent le pardon des offenses et incitant à l’appel à l’Islam par la persuasion.
- ceux qui ordonnent le combat pour repousser les agressions.
- ceux qui ordonnent l’initiative de l’attaque, mais en dehors des quatre mois sacrés. - ceux qui ordonnent l’initiative de l’attaque, absolument en tous temps ou tous lieux.
En gros, les divergences correspondent à l’évolution de la pensée de Muhammad et aux modifications des circonstances : phase mekkoise pendant laquelle Muhammad se borne, en général, à un enseignement moral et religieux ; phase médinoise où, devenu chef d’une communauté politico-religieuse, il peut entreprendre, spontanément, la lutte contre ceux qui n’entendent pas s’y agréger ou se soumettre à son autorité. La doctrine considère que les textes postérieurs abrogent les textes antérieurs contraires (théorie du naskh) de telle sorte que, seuls restent définitivement valables ceux de la dernière catégorie; et en conséquence la règle, en la matière, est formulée en ces termes absolus : « la lutte (djihâd) est obligatoire même s’ils (les infidèles) n’ont pas eux-mêmes commencé ». [...]
Le djihâd n’est pas une fin en lui-même ; c’est un moyen qui, en soi, est un mal (fasad), mais qui devient légitime et nécessaire en raison du but auquel il tend : débarrasser le monde d’un mal plus grand ; il est « bon » du fait que son but est « bon » (hasan li-husn gayrih).
Le djihâd tend à étendre le règne de la religion ; il est prescrit par Dieu et son Prophète ; le musulman se consacre au djihâd comme, en Chrétienté, le moine se consacre au service de Dieu , aussi, dans divers hadiths, on dit que « le djihâd est le monachisme de l’Islam » ; le djihâd est un « acte de dévotion pure » ; il est « une des portes du Paradis » ; de grandes récompenses célestes sont assurées à ceux qui s’y adonnent ; ceux qui y périssent sont des martyrs de la foi etc... Une bonne partie de la doctrine range le djihâd parmi les fondements (arkan) même de la religion avec la prière, le jeûne, etc. Il est obligatoire pour tout musulman, de sexe masculin, libre, solide. [...] On enseigne, en général, que le djihâd s’impose d’abord individuellement, à titre de fard ‘ayn, aux habitants du territoire qui est le plus proche de l’ennemi [...].
[...] L’obligation du djihâd persiste tant que l’universalité de l’Islam n’est pas réalisé, « jusqu’au jour de la Résurrection », « jusqu’à la fin du monde » disent les adages. La paix avec les nations non-musulmanes est donc un état provisoire : ce ne sont que des circonstances accidentelles qui peuvent la justifier temporairement. Aussi, ne peut-il pas intervenir de véritables traités de paix avec ces nations ; seules sont autorisées des trêves dont la durée ne doit pas, en principe, dépasser dix ans. Mais, même ces trêves sont précaires et elles peuvent, avant leur terme, être dénoncé unilatéralement s’il apparaît plus utile pour l’Islam de reprendre la lutte. »
Merci pour ces informations
C’est Dieu qui t’offre ton visage, mais le sourire doit venir de toi. (Proverbe Irlandais)