Re: Pourquoi les chrétiens ne suivent-ils pas le coran ?
Posté : 28 juil.15, 19:15
PS. CHAPITRE 137. Sur les fleuves de Babèl 1. Sur les fleuves de Babèl, nous habitions là. Nous pleurions aussi, en mémorisant Siôn. 2. Sur les saules, en son sein, nous suspendions nos lyres. 3. Oui, nos geôliers nous demandaient les paroles d'un poème, nos pillards, de la joie: Poétisez-nous un poème de Siôn ! 4. Quoi, poétiser le poème de IHVH-Adonaï sur une glèbe étrangère ? 5. Si je t'oublie, Ieroushalaîm, que ma droite oublie ! 6. Que ma langue colle à mon palais, si je ne te mémorise pas, si je n'élève Ieroushalaîm en tête de ma joie ! 7. Mémorise, IHVH-Adonaï, les Benéi Edôm, le jour de Ieroushalaîm, eux qui disaient: Dénudez-la, dénudez-la, jusqu'en ses fondations ! 8. Fille de Babèl, la razziée, en marche qui te paiera ta rétribution, ce dont tu nous rétribuas ! 9. En marche, qui saisira et fracassera tes nourrissons contre le rocher !spin a écrit :Sauf que de la haine, il y en a beaucoup dans la Bible (voir par exemple la conclusion du Psaume 137), et encore plus dans le Coran. Et ils n'ont pas fini d'en générer.
à+
Spin, lorsque tu soutiens que c'est par le biais de la torah et du coran qu'est générée la haine, le crime, la violence humaine pour quiconque y adhère pour être juif ou musulman; comment expliqueras-tu alors la haine, le crime, la violence des chrétiens !? Par ce que si les écrits de la torah et du coran sont générateur de haine, comment les évangiles qui ne comportent aucune parole de violence que tu considères comme incitation criminelle, générait (génère encore) de tels criminels au nom de Jésus Christ !? Tu raisonnes faussement loin de la Sagesse Suprême... En lisant ce chapitre des psaumes, voici ce qu'il me rappelle :
Faisant référence au Psaume 137 - Au cours de la colonisation du territoire Mexicain par les chrétiens d'Espagne sous le couvert de l'église de Rome qui imposait une conversion religieuse que le prêtre Pedro de Cordoba rapporte:
Témoignage sur les conditions de vie des femmes par le Père Pedro de Cordoba en sa qualité de Provincial des Dominicains de la Colonie au Cardinal Jimenez de Cisneros que : "les Espagnols ne peuplent pas mais dépeuplent les Indes (Occidentales)" avec le repartimiento, en ajoutant à sa lettre au Régent du Royaume :
"les femmes ont travaillé et travaillent sur ces terres tant et plus que les hommes, et cela demi nues, sans manger, sans avoir de quoi se coucher, et même enceintes et ou après avoir accouchées. Même Pharaon et les Égyptiens ne commettaient pas de telles cruautés envers le peuple d’Israël."( Cité par Juan Friede dans "Bartolomé de Las Casas, PRECURSOR DE L’ANTICOLONIALISMO", éditions Siglo XXI, Mexico 1974, page 35)
Témoignage de Prescott qui cite "en termes atténués" Pedro Pizarro, biographe du "gran capitán de la Conquista" Francisco Pizarro après la prise de la capitale des Incas Cuzco :
"Il prit une femme de l’Inca Manco, une jeune et jolie femme à laquelle celui-ci était très attaché. Il ordonna qu’elle soit complètement dénudée, attachée à un arbre, flagellée avec des verges, et lardée par la suite de flèches jusqu’à ce que mort s’en suive."( William H.Prescott, THE COMPLETE WORKS, London 1896, volume VI, pages 125-126).
"Il fit entrer par la ruse les plus importants dans une maison de paille et il ordonna d’y mettre le feu. Ils furent brûles vifs. Tous les autres furent tués à coups de lance, une multitude à coups d’épée. Quant à la reine Anacaona, les soldats la pendirent pour l’honorer. Il arrivait que certains chrétiens, par pitié ou par cupidité, prennent des enfants pour les protéger et qu’ils ne soient pas tués, et les mettaient en croupe sur leur cheval, un autre Espagnol venait par-derrière et transperçait l’enfant de sa lance ; un autre, si l’enfant était par terre, lui coupait les jambes de son épée" (Las Casas p. 60).
"Ils arrachaient les bébés qui tétaient leurs mères, les prenaient par les pieds et leur cognaient la tête contre les rochers. D’autres les lançaient par-dessus l’épaule dans les fleuves en riant et en plaisantant et quand les enfants tombaient dans l’eau ils disaient : ’Tu frétilles, espèce de drôle !" ; ils embrochaient sur une épée des enfants avec leurs mères et tous ceux qui se trouvaient devant eux" (Las Casas p 55)
"Un certain Espagnol qui allait à la chasse au cerf ou au lapin avec ses chiens ne trouva un jour rien à chasser, et il lui sembla que les chiens avaient faim : il enlève un tout petit garçon à sa mère, et avec un poignard il lui coupe les bras et les jambes et donne à chaque chien sa part, quand les chiens ont mangé les morceaux, il jette le petit corps par terre à toute la bande" ( Las Casas p. 101).
PS: Spin, que je mette sous tes yeux que le "générateur" de violence dont tu parles est fallacieux, la preuve en est que pas une parole de l'évangile n'incite à la haine ou ne peut générer la moindre violence, or, la réalité démontre que les chrétiens commettaient (commettent) des crimes odieux.