Re: matthieu 24:14
Posté : 11 févr.17, 08:16
En Chine la bonne nouvelle a été aussi prêchée aux temps des apôtres
Confirmation archéologique en 2016
Par saint Thomas, ce qu'a toujours affirmé l'Église et qu'on ne croyait pas.
http://fr.aleteia.org/2014/06/27/lapotr ... -la-chine/
Sur la paroi rocheuse de Kong Wang Shan, au sud-est de Beijing (Pékin), deux sculptures datant de 60 après Jésus Christ intriguent les archéologues chinois : les personnages ressemblent à des moines bouddhistes, mais les postures et les symboles ne correspondent pas ! Selon Pierre Perrier, spécialiste des sociétés moyen orientale et parlant l’araméen, ils représentent un moine et un prêtre chrétiens.
Pierre Perrier a consacré un livre sur ce sujet : Thomas fonde l’église en Chine (65-68) dans lequel il décrit ce que le quotidien du peuple (journal officiel du parti communiste chinois) a appelé un « tremblement de terre ».
Thomas fonde l'Eglise en Chine : 65-68 apr. J.-C.
Les preuves littéraires et archéologiques sont aujourd'hui de plus en plus nombreuses : L'apôtre Thomas serait venu en Chine de 65 à 68, fondant une grande église chinoise de source judéo-chrétienne plus d'un siècle avant l'arrivée du bouddhisme. Une thèse audacieuse qui fera débat, et mérite d'être étudiée.
La frise de Kong Wang Shan
Il faut se rendre compte du fait que les chrétiens ont été rapidement nombreux en Asie, au long d’une histoire encore largement méconnue en Occident, et ont contribué notamment aux plus grandes périodes de gloire de l’Empire du Milieu. Cette incompréhension est principalement due à la coupure géographique intervenue entre le siège de l’Eglise d’Orient (à Séleucie-Ktésiphon, la capitale des Parthes) et Rome surtout à partir des invasions islamiques : l’Islam a empêché les contacts suivis entre l’Occident et l’Orient, et a isolé la Chine, qui avait mobilisé une armée pour soutenir l’Empire parthe – elle arriva trop tard.
http://www.eecho.fr/frise-kong-wang-shan-dessin/
Confirmation archéologique en 2016
Par saint Thomas, ce qu'a toujours affirmé l'Église et qu'on ne croyait pas.
http://fr.aleteia.org/2014/06/27/lapotr ... -la-chine/
Sur la paroi rocheuse de Kong Wang Shan, au sud-est de Beijing (Pékin), deux sculptures datant de 60 après Jésus Christ intriguent les archéologues chinois : les personnages ressemblent à des moines bouddhistes, mais les postures et les symboles ne correspondent pas ! Selon Pierre Perrier, spécialiste des sociétés moyen orientale et parlant l’araméen, ils représentent un moine et un prêtre chrétiens.
Pierre Perrier a consacré un livre sur ce sujet : Thomas fonde l’église en Chine (65-68) dans lequel il décrit ce que le quotidien du peuple (journal officiel du parti communiste chinois) a appelé un « tremblement de terre ».
Thomas fonde l'Eglise en Chine : 65-68 apr. J.-C.
Les preuves littéraires et archéologiques sont aujourd'hui de plus en plus nombreuses : L'apôtre Thomas serait venu en Chine de 65 à 68, fondant une grande église chinoise de source judéo-chrétienne plus d'un siècle avant l'arrivée du bouddhisme. Une thèse audacieuse qui fera débat, et mérite d'être étudiée.
La frise de Kong Wang Shan
Il faut se rendre compte du fait que les chrétiens ont été rapidement nombreux en Asie, au long d’une histoire encore largement méconnue en Occident, et ont contribué notamment aux plus grandes périodes de gloire de l’Empire du Milieu. Cette incompréhension est principalement due à la coupure géographique intervenue entre le siège de l’Eglise d’Orient (à Séleucie-Ktésiphon, la capitale des Parthes) et Rome surtout à partir des invasions islamiques : l’Islam a empêché les contacts suivis entre l’Occident et l’Orient, et a isolé la Chine, qui avait mobilisé une armée pour soutenir l’Empire parthe – elle arriva trop tard.
http://www.eecho.fr/frise-kong-wang-shan-dessin/