Re: Salem Ben Ammar
Posté : 27 sept.16, 00:37
L’Occident n’a toujours pas compris que l’islamisme est bien pire encore que le nazisme
20/05/2015 Salem Ben Ammar Laisser un commentaire
Du pitbull nazi au pitbull islamiste ou la capitulation légendaire de l’Occident. Obama le dompte et Sarkozy le caresse.
Jamais un islamiste ne se convertira à la démocratie, comme il ne renoncera jamais à ses délires cosmiques d’islamisation du monde et de ré-islamisation des sociétés musulmanes ou ne se pliera aux lois de la république. Il ne connaît qu’une seule loi, celle de ses délires mystico-sectaires et un seul ordre, celui de la loi de la jungle telle est supposée figurer dans le code prétendu canon de la Charia.
Qu’il soit salafiste, jihadiste, wahhabiste, qoutbiste, il est avant tout islamiste et ne se veut même pas musulman comme s’il y avait une différence fondamentale entre l’islam et l’islamisme . Le parer des vertus humanistes comme le font ses nombreux laudateurs en Occident comme dans les pays du Printemps wahhabisé, est une véritable hérésie intellectuelle et c’est même offensant pour l’islamiste lui-même.
L’islamiste ne croit qu’aux seuls prescrits de sa religion, il ne va pas se résoudre à tolérer et respecter des règles qui ne sont pas revêtues du sceau divin. Il n’y a pas pire insulte pour lui quand il se fait traiter de démocrate. Autant le traiter d’apostat plutôt que démocrate.
L’idée de démocratie l’horrifie à cause de sa nature organique concurrentielle avec sa pensée idéologique profonde telle que la fixe son école théologique acharite et codifiée par le jurisconsulte hanbalite Ibn Taymmiya source nourricière du wahhabisme et maître à penser de Mohamed ibn Abdelwahhab le fondateur du wahhabisme, qui réprouve et condamne dogmatiquement toute autre forme d’expression politique dans la vie de la cité. Par conséquent, seule la volonté de Dieu doit s’imposer aux hommes qui en est le maître absolu et dont il se veut l’exécutant. Il ne perdra pas son âme pour la futilité démocratique.
Habile, perfide, fourbe, transmutant, retors et rusé, il cherche surtout à endormir la vigilance de son interlocuteur, à le berner, à désinihiber les peurs chez ses proies potentielles, c’est-à-dire toutes celles qui n’ont pas ses attributs idéologiques et dont le meurtre est légitime et sacré. Il a l’art de se fondre dans son environnement, il est tel un caméléon qui peut changer de couleurs en fonction du décor, mais contrairement au vrai reptile connu pour ses vertus bénéfiques, son changement de couleur dû aussi à son état psychique peut intervenir à l’approche de sa proie.
L’islamiste possède un autre don, celui de l’ubiquité. Il peut se présenter sous plusieurs visages à la fois mais au même endroit, faisant apparaître plusieurs facettes différentes de sa personnalité impréhensible et déroutante. Il est djihadiste quand il passe en mode terroriste, salafiste quand il est dans ses élucubrations endiablées et en plein délires hallucinatoires , qoutbiste quand il est en mode politique de caractère ésotérique et sectaire et enfin wahhabite quand il est en mode prosélyte et argentier.
Sa multiplication de personnalité est à la cause principale de son état schizoïde et paranoïde permanent. Ses changements d’apparence sont trompeurs, c’est juste un voile pour dissimuler sa vraie nature ténébreuse et terrifiante et révéler au grand jour cette bête immonde qui irrigue son corps et son esprit. Il a beau se grimer en Dr Jeckil pour les besoins du scénario mais il reste substantiellement en son for intérieur M. Hyde, ce personnage hideux, difforme, immonde, pervers, perfide, imprévisible, mu par des pulsions de meurtre, plus satanique que Quasimodo.
Quand les Juppé et les Hilary Clinton, les nouveaux Daladier et Chamberlain se plaisent à le caresser dans le sens du poil, à l’amadouer, à vanter ses mérites pacificateurs, ils cherchent surtout à le domestiquer, à le dresser, à le dompter comme un dresseur de fauves ou un maître-chien avec son pitbull. Ils sont dans un jeu de rôle dont le scénario est inspiré par les traumatismes des morsures meurtrières que ce pitbull leur a infligées dans le passé et dont ils cherchent à s’immuniser contre sa férocité et sa cruauté en voulant canaliser ses pulsions terroristes en lui trouvant de nouvelles proies plus compatibles avec son milieu naturel qu’ils s’efforcent de rassurer en drapant le pitbull islamiste de toutes les vertus. N’hésitant pas à s’afficher ouvertement à ses côtés, le couvant de tous les regards, ne manquant pas à manoeuvrer en coulisses pour persuader les futures proies tunisiennes, égyptiennes voire libyennes, que le pitbull est devenu inoffensif et paisible.
Balayer toutes les peurs et les angoisses suscitées par cette bête féroce. Eux dont les pays veulent faire rapatrier de Chine d’ailleurs les unités de production de leurs entreprises nationales pour relancer leur appareil économique désespérément en panne, ils se mettent aujourd’hui à pratiquer une politique de délocalisation du pitbull islamiste en lui trouvant de nouveaux enclos plus adaptés à son milieu naturel avec le dessein inavoué d’en faire un nouveau chien de garde de leur sécurité intérieure et extérieure. Ils s’imaginent ainsi qu’avec les nouveaux enclos apparus depuis la chute des anciens despotes à laquelle ils ne sont pas totalement étrangers, surtout en ce qui concerne le Département d’Etat et la célérité rare dont a fait preuve Obama pour féliciter
le peuple tunisien pour la réussite de sa révolution qui est surtout une expression de sa propre autosatisfaction pour la réussite du premier palier de sa nouvelle stratégie géo-sécuritaire.
L’Administration américaine au lieu d’agir directement sur les vraies causes de la prolifération du pitbull islamiste, se borne à faire des effets la source de la cause. En lui octroyant un nouveau statut d’animal domestique, elle pense pouvoir étouffer ses ardeurs velléitaires et celles qui couvraient chez les peuples musulmans abrutis et annihilés par des siècles d’oppression théocratique et de despotisme politique. qui ne semblent leur offrir les garanties sécuritaires escomptées, ils ont opté pour une alternative plus radicale leur permettant d’agir directement sur les supposées sources de la prolifération du pitbull islamiste en lui octroyant même le statut de berger allant jusqu’à s’impliquer directement dans le réinvestissement du pitbull dans son milieu naturel. Le pitbull a une caractéristique rare celle d’être à la fois un chien d’attaque et de défense. Une vraie aubaine pour la brigade cynophile occidentale qui s’en sert comme une arme pour effrayer les masses démunies et miséreuses des pays du Croissant arabisé frustrées de liberté vivant sous la dictature totale de la religion depuis 14 siècles .
Avilies et asservies par un système idéologique des plus réactionnaires, inégalitaires et liberticides pouvaient assimiler aux congénères potentiels du pitbull islamiste.
L’occident incapable de résoudre la quadrature du cercle islamiste, aveuglé par son ethnocentrisme et égocentrisme, bourré de préjugés anti-populations des rivages sud de la Méditerranée fait du problème islamiste une solution à leur propre problème sécuritaire en en faisant un nouveau problème épineux à ces peuples écrasés et anéantis par toutes sortes de problèmes. Ceux de leur survie et leur dignité humaine.
De ce fait, on a préféré transformer l’éveil démocratique né en véritable sacre de la théocratie religieuse. Au lieu d’aider la démocratie à s’enraciner dans le sol tunisien par exemple, ils ont joué ouvertement la carte du pitbull islamiste, comme si elle était la carte de leur propre survie. Ils ont déversé sur sa scène des meutes entières de pitbull de toutes variétés, lesquelles recrachent sans arrêt ces boulettes indigestes et contaminées aux damnés de la terre contents de pouvoir jouir enfin de ce qu’ils croient être un avant goût du festin divin qu’ils leur promettent en guise d’avenir humain. Quant aux nantis tunisiens, ils y voient avec le déferlement de ces meutes de pitbull un moyen des plus redoutables et efficaces pour préserver et pérenniser leur richesse et conserver leur position sociale dominante.
L’occident porte une lourde responsabilité dans l’enlisement antidémocratique actuel de la Tunisie. Pour exorciser ses propres peurs, il se livre à des figures de style mélangeant, l’abdication, la compromission, la couardise, l’opportunisme, la duplicité et l’égoïsme invétéré. Son ingérence éhontée dans la campagne électorale tunisienne, son outrecuidance à l’égard du peuple tunisien et son mépris pour les forces démocratiques du pays, ne peuvent que refléter son état d’angoisse pathologique et désespéré à traiter son mal par le mal infligé à autrui.
Une thérapie aux conséquences néfastes pour sa propre santé de par son effet boomerang qu’elle ne manque pas de provoquer à chaque fois que l’on recourt à ce type de méthode thérapeutique. Du fait tout simplement de sa nature contagieuse. Le mal ne se guérit pas non plus par le mal.
La période de rémission n’est que provisoire et les risques de la métastase sont loin d’être écartés. Le spectacle pathétique et lamentable offert par H. Clinton et A. Juppé n’est pas sans rappeler celui offert par le duo de la capitulation franco-anglaise en 1938. Devenus de véritables cynophiles de luxe couvant d’un oeil amouraché leur pitbull favori participant à un concours de beauté canine.
On épouse pas la cause islamiste aux dépens de la cause de la démocratie des peuples qui en sont dépourvus mais qu’ils appellent de tous leurs voeux sans risque et surtout avec le risque qu’en croyant sauver de la sorte leur propre démocratie qu’ils ne se rendent pas compte qu’ils sont pas en train de précipiter sa mort en contribuant à la mise en bière du rêve démocratique en Tunisie comme en Egypte avec la complicité du Qatar et de l’Arabie Saoudite.
Quoi qu’ il en soit ils sont amnésiques et ignorants de leur propre passé. Leur mépris, leur vélinie et veulerie leur ont fait certainement oublier les enseignements des échecs tragiques de leur pays dans le passé. Comme ce fut le cas avec le pitbull nazi. Au lieu de prendre toute la mesure du problème et s’en prémunir d’entrée de jeu ils s’étaient mis à louvoyer, lui apportant toute leur caution politque et la reconnaissance internationale comme en 1936 avec les J.O. de Berlin( voir mon article sur les fantasmes hitlériens de R.Ghannouchi ) à l’encenser et à le doter d’apparat humain. Les mêmes causes produisent souvent les mêmes les effets comme le dit l’adage.
Comment ne peut-on pas être surpris et inquiet par autant de cécité de la part de l’Occident ? On ne qu’être interloqué par autant de ressemblance de l’approche politique indécente et irresponsable ouvertement favorable à chaque fois aux forces du mal incarnées dans les années 30 par le pitbull nazi et aujourd’hui par le pitbull islamiste.
L’exemple du pitbull nazi devrait pourtant les rendre plus vigilants et circonspects mais ils y passent outre. Comme ils passsent outre les actes de pogroms contre les Juifs, la nuit de Cristal, les autodafés antisémites et les lois raciales de Nuremberg de 1935. L’histoire se répète et finit toujours par rattraper tous ceux qui veulent occulter de leur mémoire. Elle commence déjà à se profiler dans le ciel gris et noir tunisien avec le spectacle pogromesque et infamant offert par les islamistes tunisiens à l’occasion de la visite d’un digne héritier du Mufti de Jérusalem nazi notoire, Al-Husseini oncle de Yasser Arafat et grand-père maternel de Leïla Chahid, promu chef d’une division Waffen SS lors de la 2 e guerre mondiale.
20/05/2015 Salem Ben Ammar Laisser un commentaire
Du pitbull nazi au pitbull islamiste ou la capitulation légendaire de l’Occident. Obama le dompte et Sarkozy le caresse.
Jamais un islamiste ne se convertira à la démocratie, comme il ne renoncera jamais à ses délires cosmiques d’islamisation du monde et de ré-islamisation des sociétés musulmanes ou ne se pliera aux lois de la république. Il ne connaît qu’une seule loi, celle de ses délires mystico-sectaires et un seul ordre, celui de la loi de la jungle telle est supposée figurer dans le code prétendu canon de la Charia.
Qu’il soit salafiste, jihadiste, wahhabiste, qoutbiste, il est avant tout islamiste et ne se veut même pas musulman comme s’il y avait une différence fondamentale entre l’islam et l’islamisme . Le parer des vertus humanistes comme le font ses nombreux laudateurs en Occident comme dans les pays du Printemps wahhabisé, est une véritable hérésie intellectuelle et c’est même offensant pour l’islamiste lui-même.
L’islamiste ne croit qu’aux seuls prescrits de sa religion, il ne va pas se résoudre à tolérer et respecter des règles qui ne sont pas revêtues du sceau divin. Il n’y a pas pire insulte pour lui quand il se fait traiter de démocrate. Autant le traiter d’apostat plutôt que démocrate.
L’idée de démocratie l’horrifie à cause de sa nature organique concurrentielle avec sa pensée idéologique profonde telle que la fixe son école théologique acharite et codifiée par le jurisconsulte hanbalite Ibn Taymmiya source nourricière du wahhabisme et maître à penser de Mohamed ibn Abdelwahhab le fondateur du wahhabisme, qui réprouve et condamne dogmatiquement toute autre forme d’expression politique dans la vie de la cité. Par conséquent, seule la volonté de Dieu doit s’imposer aux hommes qui en est le maître absolu et dont il se veut l’exécutant. Il ne perdra pas son âme pour la futilité démocratique.
Habile, perfide, fourbe, transmutant, retors et rusé, il cherche surtout à endormir la vigilance de son interlocuteur, à le berner, à désinihiber les peurs chez ses proies potentielles, c’est-à-dire toutes celles qui n’ont pas ses attributs idéologiques et dont le meurtre est légitime et sacré. Il a l’art de se fondre dans son environnement, il est tel un caméléon qui peut changer de couleurs en fonction du décor, mais contrairement au vrai reptile connu pour ses vertus bénéfiques, son changement de couleur dû aussi à son état psychique peut intervenir à l’approche de sa proie.
L’islamiste possède un autre don, celui de l’ubiquité. Il peut se présenter sous plusieurs visages à la fois mais au même endroit, faisant apparaître plusieurs facettes différentes de sa personnalité impréhensible et déroutante. Il est djihadiste quand il passe en mode terroriste, salafiste quand il est dans ses élucubrations endiablées et en plein délires hallucinatoires , qoutbiste quand il est en mode politique de caractère ésotérique et sectaire et enfin wahhabite quand il est en mode prosélyte et argentier.
Sa multiplication de personnalité est à la cause principale de son état schizoïde et paranoïde permanent. Ses changements d’apparence sont trompeurs, c’est juste un voile pour dissimuler sa vraie nature ténébreuse et terrifiante et révéler au grand jour cette bête immonde qui irrigue son corps et son esprit. Il a beau se grimer en Dr Jeckil pour les besoins du scénario mais il reste substantiellement en son for intérieur M. Hyde, ce personnage hideux, difforme, immonde, pervers, perfide, imprévisible, mu par des pulsions de meurtre, plus satanique que Quasimodo.
Quand les Juppé et les Hilary Clinton, les nouveaux Daladier et Chamberlain se plaisent à le caresser dans le sens du poil, à l’amadouer, à vanter ses mérites pacificateurs, ils cherchent surtout à le domestiquer, à le dresser, à le dompter comme un dresseur de fauves ou un maître-chien avec son pitbull. Ils sont dans un jeu de rôle dont le scénario est inspiré par les traumatismes des morsures meurtrières que ce pitbull leur a infligées dans le passé et dont ils cherchent à s’immuniser contre sa férocité et sa cruauté en voulant canaliser ses pulsions terroristes en lui trouvant de nouvelles proies plus compatibles avec son milieu naturel qu’ils s’efforcent de rassurer en drapant le pitbull islamiste de toutes les vertus. N’hésitant pas à s’afficher ouvertement à ses côtés, le couvant de tous les regards, ne manquant pas à manoeuvrer en coulisses pour persuader les futures proies tunisiennes, égyptiennes voire libyennes, que le pitbull est devenu inoffensif et paisible.
Balayer toutes les peurs et les angoisses suscitées par cette bête féroce. Eux dont les pays veulent faire rapatrier de Chine d’ailleurs les unités de production de leurs entreprises nationales pour relancer leur appareil économique désespérément en panne, ils se mettent aujourd’hui à pratiquer une politique de délocalisation du pitbull islamiste en lui trouvant de nouveaux enclos plus adaptés à son milieu naturel avec le dessein inavoué d’en faire un nouveau chien de garde de leur sécurité intérieure et extérieure. Ils s’imaginent ainsi qu’avec les nouveaux enclos apparus depuis la chute des anciens despotes à laquelle ils ne sont pas totalement étrangers, surtout en ce qui concerne le Département d’Etat et la célérité rare dont a fait preuve Obama pour féliciter
le peuple tunisien pour la réussite de sa révolution qui est surtout une expression de sa propre autosatisfaction pour la réussite du premier palier de sa nouvelle stratégie géo-sécuritaire.
L’Administration américaine au lieu d’agir directement sur les vraies causes de la prolifération du pitbull islamiste, se borne à faire des effets la source de la cause. En lui octroyant un nouveau statut d’animal domestique, elle pense pouvoir étouffer ses ardeurs velléitaires et celles qui couvraient chez les peuples musulmans abrutis et annihilés par des siècles d’oppression théocratique et de despotisme politique. qui ne semblent leur offrir les garanties sécuritaires escomptées, ils ont opté pour une alternative plus radicale leur permettant d’agir directement sur les supposées sources de la prolifération du pitbull islamiste en lui octroyant même le statut de berger allant jusqu’à s’impliquer directement dans le réinvestissement du pitbull dans son milieu naturel. Le pitbull a une caractéristique rare celle d’être à la fois un chien d’attaque et de défense. Une vraie aubaine pour la brigade cynophile occidentale qui s’en sert comme une arme pour effrayer les masses démunies et miséreuses des pays du Croissant arabisé frustrées de liberté vivant sous la dictature totale de la religion depuis 14 siècles .
Avilies et asservies par un système idéologique des plus réactionnaires, inégalitaires et liberticides pouvaient assimiler aux congénères potentiels du pitbull islamiste.
L’occident incapable de résoudre la quadrature du cercle islamiste, aveuglé par son ethnocentrisme et égocentrisme, bourré de préjugés anti-populations des rivages sud de la Méditerranée fait du problème islamiste une solution à leur propre problème sécuritaire en en faisant un nouveau problème épineux à ces peuples écrasés et anéantis par toutes sortes de problèmes. Ceux de leur survie et leur dignité humaine.
De ce fait, on a préféré transformer l’éveil démocratique né en véritable sacre de la théocratie religieuse. Au lieu d’aider la démocratie à s’enraciner dans le sol tunisien par exemple, ils ont joué ouvertement la carte du pitbull islamiste, comme si elle était la carte de leur propre survie. Ils ont déversé sur sa scène des meutes entières de pitbull de toutes variétés, lesquelles recrachent sans arrêt ces boulettes indigestes et contaminées aux damnés de la terre contents de pouvoir jouir enfin de ce qu’ils croient être un avant goût du festin divin qu’ils leur promettent en guise d’avenir humain. Quant aux nantis tunisiens, ils y voient avec le déferlement de ces meutes de pitbull un moyen des plus redoutables et efficaces pour préserver et pérenniser leur richesse et conserver leur position sociale dominante.
L’occident porte une lourde responsabilité dans l’enlisement antidémocratique actuel de la Tunisie. Pour exorciser ses propres peurs, il se livre à des figures de style mélangeant, l’abdication, la compromission, la couardise, l’opportunisme, la duplicité et l’égoïsme invétéré. Son ingérence éhontée dans la campagne électorale tunisienne, son outrecuidance à l’égard du peuple tunisien et son mépris pour les forces démocratiques du pays, ne peuvent que refléter son état d’angoisse pathologique et désespéré à traiter son mal par le mal infligé à autrui.
Une thérapie aux conséquences néfastes pour sa propre santé de par son effet boomerang qu’elle ne manque pas de provoquer à chaque fois que l’on recourt à ce type de méthode thérapeutique. Du fait tout simplement de sa nature contagieuse. Le mal ne se guérit pas non plus par le mal.
La période de rémission n’est que provisoire et les risques de la métastase sont loin d’être écartés. Le spectacle pathétique et lamentable offert par H. Clinton et A. Juppé n’est pas sans rappeler celui offert par le duo de la capitulation franco-anglaise en 1938. Devenus de véritables cynophiles de luxe couvant d’un oeil amouraché leur pitbull favori participant à un concours de beauté canine.
On épouse pas la cause islamiste aux dépens de la cause de la démocratie des peuples qui en sont dépourvus mais qu’ils appellent de tous leurs voeux sans risque et surtout avec le risque qu’en croyant sauver de la sorte leur propre démocratie qu’ils ne se rendent pas compte qu’ils sont pas en train de précipiter sa mort en contribuant à la mise en bière du rêve démocratique en Tunisie comme en Egypte avec la complicité du Qatar et de l’Arabie Saoudite.
Quoi qu’ il en soit ils sont amnésiques et ignorants de leur propre passé. Leur mépris, leur vélinie et veulerie leur ont fait certainement oublier les enseignements des échecs tragiques de leur pays dans le passé. Comme ce fut le cas avec le pitbull nazi. Au lieu de prendre toute la mesure du problème et s’en prémunir d’entrée de jeu ils s’étaient mis à louvoyer, lui apportant toute leur caution politque et la reconnaissance internationale comme en 1936 avec les J.O. de Berlin( voir mon article sur les fantasmes hitlériens de R.Ghannouchi ) à l’encenser et à le doter d’apparat humain. Les mêmes causes produisent souvent les mêmes les effets comme le dit l’adage.
Comment ne peut-on pas être surpris et inquiet par autant de cécité de la part de l’Occident ? On ne qu’être interloqué par autant de ressemblance de l’approche politique indécente et irresponsable ouvertement favorable à chaque fois aux forces du mal incarnées dans les années 30 par le pitbull nazi et aujourd’hui par le pitbull islamiste.
L’exemple du pitbull nazi devrait pourtant les rendre plus vigilants et circonspects mais ils y passent outre. Comme ils passsent outre les actes de pogroms contre les Juifs, la nuit de Cristal, les autodafés antisémites et les lois raciales de Nuremberg de 1935. L’histoire se répète et finit toujours par rattraper tous ceux qui veulent occulter de leur mémoire. Elle commence déjà à se profiler dans le ciel gris et noir tunisien avec le spectacle pogromesque et infamant offert par les islamistes tunisiens à l’occasion de la visite d’un digne héritier du Mufti de Jérusalem nazi notoire, Al-Husseini oncle de Yasser Arafat et grand-père maternel de Leïla Chahid, promu chef d’une division Waffen SS lors de la 2 e guerre mondiale.