Re: Le devoir d'aimer
Posté : 10 févr.18, 07:16
J'aime l'anecdote merci beaucoup.
Forum Inter-Religieux de sociologie religieuse francophones
https://forum-religion.org/
Ce qui t'indigne, c'est simplement la vérité. Du haut de tes 18 ans, tu n'as pas encore une expérience de vie suffisante pour appréhender toutes les subtilités de cette existence. La vie ne t'a pas encore marqué au fer rouge. Ce n'est pas un reproche, c'est un fait. Il est donc normal que les élucubrations fantaisistes d'un petit jeune n'aient pas beaucoup d'impact sur un vieux routard de la vie comme moi. Mon fils à presque ton âge. Tu imagines bien que c'est moi qui le forme à la vie, et non le contraire.Farore97 a écrit :Franchement MLP, je suis indigné... Ta dernière phrase m'a montré à quel point tu es juste pourri d'orgueil ! Pour qui tu te prends à me ramener à une position d'un être plus jeune ? Est ce que ça me rends moins audible pour autant ? Est-ce que cela dévalorise t-il les messages que je fait ? Tu joues avec la comparaison de nos 2 âges pour te rendre plus crédible et pour me convaincre ! Quelle stratégie pitoyable ! A vrai dire je ne sais pas qui tu comptes vraiment convaincre en disant cela : Moi ? les autres ? Toi même ?...
La prochaine fois que tu traites d'enfant de quelqu'un, assure toi avant tout d'être toi même un bon exemple qu'il puisse suivre : il ne sert à rien de craché de la biles noirs sur les problèmes des autres si toi même tu n'as pas résolus les tiens !
Car du haut de mes 18 ans, je pense déjà être un meilleur exemple : MOI au moins je reconnais mes erreurs !
Tu t'enfonces dans l'absurdité. Aucune activité personnelle ne serait possible avec ce raisonnement. Tu vas au cinéma voir un film pour ton plaisir personnel et une voiture te renverse. Tu as une jambe dans le plâtre. Quel rapport avec l'amour ? Tu vas donc te dire : « je n'irai pas au cinéma voir un bon film, car je risque de me faire renverser par une voiture », « je n'irai pas à un concert, car je risque de me faire attaquer par des terroristes », « je n'irai plus nager à la piscine parce que je risque de faire une crampe et de me noyer », etc.Farore97 a écrit :L'acte et la réflexion !
Voici le lien entre une activité sportive et l'amour, monsieurs.
Je suis allé sur une piste skier vivre mon bonheur personnel par amour propre de ma personne. Et après cet incident, je suis resté perturbé pas à cause de ce que sur le plan personnel j'endurais (parce que dans 1 an je serai rétabli) mais par tout ce que les autres ont fait pour moi. J'ai chambouler leur planning, les ai mis dans des situations emmerdantes, je les ai inquiété,...
Tous ça parce que j'ai voulu vivre mon foutu bonheur personnel. A mon retour de l'hôpital de nombreuses personnes sont venu prendre de mes nouvelles.
Tu vois tous ça MLP, je ne l'ai pas vu, que autant de gens m'aimaient. Et si j'avais fini comme Schumarer (qui lui contrairement à moi a pris des précautions) j'aurai eu l'air du plus gros con du monde, non pas parce que à titre personnel j'aurai briser ma vie, mais parce que j'aurai sans doute fais de la peine à ma famille et aux autres et qui n'ont pas demandé de vivre cette souffrance !
Et pourtant dans l'immédiat je n'ai pris en compte tous cela : il y avais seulement moi ! Une fois de plus, la vie me rappelle que mes actes qui me semblent attaché à ma liberté personnelle peuvent impacté le moral des autres et les faire souffrir.
Mais qu'est ce qui t'oblige à souffrir ? RIEN ! A part la souffrance physique que tu ne peux éviter parce qu'elle est un indicateur essentiel pour toi, tu devrais apprendre à ne plus te mettre en situation de souffrir. La souffrance mentale provient de ta seule pensée, de l'idée que tu te fais d'une chose ou d'une situation. Elle n'est réelle que dans ta tête.Farore97 a écrit :Quand on souffre MLP, on peut pas ressentir la plenitude du bonheur,car l'amour tourné vers soi ne permet EN RIEN de se répartir de ta souffrance. Il n'y a que le soutien de l'autre qui te permet de guérir de cela. Seul, tu ne fait que cicatriser tes blessures, sans en effacer les marques de souffrances lié à ton passé.
Au contraire, l'expérience humaine est l'occasion de se connaître soi même, et de s'améliorer. Elle est essentielle à notre croissance personnelle.Farore97 a écrit :Et si en tant qu'Humain, vivre une expérience humaine t'indiffère au plus haut point, c'est que l'amour dont tu prétends sois disant faire preuve n'en ai pas : car l'amour c'est justement de ne pas faire preuve de cette indifférence !
Complètement absurde encore une fois, parce que sinon, tu devrais arrêter toute forme d'activité. Aller en soirée s'amuser avec des amis ? Non, car tu risque d'inquiéter tes parents. Prendre la voiture pour aller voir sa copine. Non, car tu vas inquiéter tes parents, vu que tu risques de faire un accident, etc. C'est absurde ! Si c'est ça que tu prends pour de l'amour, c'est parce que tu es encore un gamin qui cherche à contenter ses parents et à ne pas leur causer de souci. Encore une fois, ton jeune âge ne te permet pas de voir plus loin.Farore97 a écrit :AH oui ? Et en quoi c'est légitime d'inquiéter tes parents ? d'emmerder les autres à causes de ce dont tu étais censé être responsable ?
Ca à voir encore une fois avec l'amour parce que je ne me serai pas retrouvé dans cette situation j'avais pensé aux autres et fait preuvent d'un amour tourné vers les autres. A part ça, j'ai fais c***r tout monde : c'est pas digne d'une personne qui aime et qui a une once de souciance vis à vis de l'autre ! Voilà en quoi ça a à voir avec l'amour !
Tu démontres encore une fois que tu es motivé par la peur de causer du tort à l'autre. Ce n'est donc pas de l'amour, c'est seulement de la peur. Tu agis par peur, et tu es convaincu que c'est ça l'amour. Je te l'avais dit : tu es loin de savoir ce qu'est l'amour.Farore97 a écrit :Non MLP : ça s'appelle de la réthorique appliquée. Je prouve ainsi que ta manière de fonctionner est juste absurde et que ta defintion de l'amour est incohérentes! Il est evident que l'on atteint pas le bonheur en accumulant les activité plainsantes, mais plutôt en tempérant son bonheur par la question de l'autre dans cette histoire, s'il ne risque rien ... Et seulement après t'être fixé ces limites tu peux. Et ta manière d'argumenter jusqu'à là, montre bien à quel point ton bonheur prévaut sur le bien être des autres !
Et bien tu n'auras pas perdu ton temps avec Farore 97. Un bon entraînement rhétorique qui servira dans tes rapports parentaux.MonstreLePuissant a écrit :. Mon fils à presque ton âge. Tu imagines bien que c'est moi qui le forme à la vie, et non le contraire.
Je sais. C'était bien le sens de mon intervention.MonstreLePuissant a écrit :Inti, ce n'est pas du temps perdu si un jour il arrive à comprendre qu'il confond l'amour avec la peur. Dans son petit cocon familiale privilégié, il est persuadé de connaître la vie.
J'ai donné suffisamment d'exemple pour te faire comprendre l'absurdité de ce genre de réflexion.Farore97 a écrit :2) Sauf que dans ton exemple avec le cinéma je n'y suis fichtrement pour rien, parce qu'il y a un chauffard qui a fait le demeuré sur la route. Tandis que dans mon exemples, j'ai pris une decision dont je suis seul responsables.
Voilà ! Tu agis toujours par peur de faire souffrir l'autre. Et tant que tu agiras motivé par la peur, tu t'éloigneras de ce qui est l'amour.Farore97 a écrit :Pourquoi suis je prêt a souffrir pour l'autre plutôt que de le laisser souffrir a causes de mes actions lié a mln bonheur personnel ? Tout simplement parce que je l'aime voilà tout. Si tu laisses quelqu'un souffrir c'est que tu ne l'aime tout simplement pas. Parce que tu y es tout simplement indifférent.
La vie est déjà une aventure. Et quand on est suffisamment intelligent, on fait en sorte que ce soit l'aventure la plus agréable et enrichissante qui soit. La souffrance est donc totalement inutile.Farore97 a écrit :L'amour c'est une aventure MLP. Et une aventure est accompagné par de diverses péripéties, dont la souffrance. Si tu cherche le bien être, tu ne cherche pas l'aventure ; tu ne cherches pas l'amour. (L'aventure l'ennui et le sérieux de Jankelevitch).
Justement, j'ai changé en me recentrant sur moi même, et en devenant indépendant des autres. Une décision pleine de bon sens.Farore97 a écrit :Quant à ton erreur lié a ton passé, sache que c'est évident que tu ai été malheureux parce que tu attendais quelques choses de l'autres alors qu'il aurai fallut que ce soit toi qui change, qui t'harmonises avec les autres.
Il ne résoudra rien car il est illusoire. Il ne fonctionnera qu'au pays de Oui-Oui ! (En même temps, il n'y a pas si longtemps que tu lisais Oui-Oui. Il doit y avoir un rapport)Farore97 a écrit :Sache que le devoir d'amour se veut de resoudre tout nos problème personnel car il impose le changement a soi même qui sera bénéfique. Comme le.dis ta phrase a la fin de ton 3ème commentaire...
Le changement commence par soi même !
Tu dis une chose et son contraire dans la même phrase. Si tu ne souhaites pas les décevoir, c'est que tu cherches à les contenter. Ca prouve à quel point tu n'as pas compris ton propre fonctionnement, et par la même occasion, ta propre prison. Toujours la peur de décevoir l'autre.Farore97 a écrit :4) je ne cherche pas a contenter mes parents, gros bêta. Mes amis et ma famille toute entière sont derrière moi. Ils compétent sur moi vois tu : et je ne souhaite pas les décevoir !
Encore une fois, cela s'appelle aimer, MLP.
Je te souhaite bonne réflexion.Farore97 a écrit :Si tu laisses quelqu'un souffrir c'est que tu ne l'aime tout simplement pas.
Tu en as donné suffisamment pour te convaincre que tu avais raison. Mais tu viens de confondre ici l'acte des autres et les acte qui sont lié à mes choix.J'ai donné suffisamment d'exemple pour te faire comprendre l'absurdité de ce genre de réflexion.
Alors ça, c'est la meilleur !Voilà ! Tu agis toujours par peur de faire souffrir l'autre. Et tant que tu agiras motivé par la peur, tu t'éloigneras de ce qui est l'amour.
Tu te fais des illusions ! Est-ce que la mémoire par hasard te ferait elle déjà défaut ? Et après ça prétend être un Homme d'expérience ; encore faudrait il qu'il reste quelque choses de viables dans ta mémoire qui puisse être partagé.La vie est déjà une aventure. Et quand on est suffisamment intelligent, on fait en sorte que ce soit l'aventure la plus agréable et enrichissante qui soit. La souffrance est donc totalement inutile.
C'est aussi stupide que de foncer dans une tempête en mer, alors qu'on peut naviguer tranquillement et profiter des bonnes conditions météo. Seul un idiot trouvera que foncer dans la tempête est utile à son aventure.
...Mais qui n'a certainement pas la prétention de faire intervenir la notion d'amour ! Ca c'est la volonté de bien être. Et comme dit au dessus, l'amour est une aventure qui te mettras à mal de nombreuses fois, mais qui ne te rendras que plus fort !Justement, j'ai changé en me recentrant sur moi même, et en devenant indépendant des autres. Une décision pleine de bon sens.
Oui effectivement, ...Que le temps passe vite MLP ! Hier j'étais sur du OUI-OUI et aujourd'hui je suis sur du Kant, du Nietszcz, et du Jean Paul Sartre ! Tu semble si ... dépassé !Il ne résoudra rien car il est illusoire. Il ne fonctionnera qu'au pays de Oui-Oui ! (En même temps, il n'y a pas si longtemps que tu lisais Oui-Oui. Il doit y avoir un rapport)
Ce concept ne créera que des conflits supplémentaires, car il est impossible de satisfaire tout le monde. Ton "amour" ne vise qu'à satisfaire tout le monde, et c'est totalement illusoire.
Pour ma phrase qui semble contradictoire, je voulais dire qu'il ne s'agissait pas que de mes parents, mais de tous ceux qui m'aiment.Tu dis une chose et son contraire dans la même phrase. Si tu ne souhaites pas les décevoir, c'est que tu cherches à les contenter. Ca prouve à quel point tu n'as pas compris ton propre fonctionnement, et par la même occasion, ta propre prison. Toujours la peur de décevoir l'autre.
Encore une fois, ce que tu prends pour de l'amour n'est que l'expression de ta peur.
Je te soumets le dilemme de la belle-fille pour voir comment tu le résous avec ton amour version 18-a.
Ta mère et ta femme ne sont pas d'accord. Elle s'opposent l'une à l'autre et tu dois trancher. Soutenir l'une ou soutenir l'autre. Mais tu prétends les aimer toutes les deux et tu ne veux pas les décevoir. Mais si tu prends partie pour l'une, tu décevras automatiquement l'autre et tu la feras souffrir irrémédiablement. Si tu fais souffrir l'une, ça signifiera que tu ne l'aimes pas selon ta propre notion de l'amour. C'est ou ta mère que tu aimes, ou ta femme. Mais tu dois nécessairement choisir, ce qui constituera une trahison vis à vis de l'autre. Aucun détour, et aucune entente n'est possible, et elles te somment de choisir. Donc, comment résous tu ce dilemme ?
Ton choix, c'est d'aller au cinéma, aller voir ta copine, aller faire du sport, et ce faisant, tu prends un risque. Il ne s'agit pas des actes des autres, mais bien des tiens.Farore97 a écrit :Tu en as donné suffisamment pour te convaincre que tu avais raison. Mais tu viens de confondre ici l'acte des autres et les acte qui sont lié à mes choix.
Tu as peur de faire du mal aux autres. Ca n'a rien d'une ambition. Une ambition, c'est ce vers quoi on tend, mais là tes décisions et tes choix sont fondés sur cette peur.Farore97 a écrit :1) Premièrement : Ce n'est pas de la peur mais c'est de l'amibition MLP. A la différence de la peur, l'ambition n'éprouve pas cette crainte d'echouer, parce qu'elle sait parfaitement qu'elle ne peut atteindre ses objectif qu'en apprenant de ses erreurs.
L'échec est le meilleur des maitres ! Et moi je n'ai pas peur de tomber encore et encore, et de plus en plus haut !
Cela s'oppose à la peur de ne pas savoir comment on pourra parvenir à triompher de tout cela. Cela s'oppose à toi, qui a abandonner cette voie pour trouver ton bonheur ailleurs.
Excuse moi, mais ce que tu dis n'as aucun sens. Je ne vois pas en quoi le fait d'être obligé d'aimer les autres me remettrait dans la même situation que dans mon enfance, puisque je ne me suis jamais senti obligé d'aimer les autres. J'étais malheureux parce que j'avais des attentes. Et je ne vois pas comment le fait d'être obligé d'aimer les autres créerait à nouveau des attentes.Farore97 a écrit :2) Mais quand bien même, au cas où tu arriverai à me démontrer que j'ai tort (ce dont je doute fort), j'ai mon petit joker à jouer :
Si Moi j'ai peur de ne pas tenir mes promesses aux autres, et de leur faire de la peine, toi tu as peur de ce devoir d'amour parce que tu craint devoir refaire face à la souffrance que tu as vécu durant ton enfance ! Tu ne veux pas revivre cela, n'est ce pas ?
Non, justement, moi je n'ai pas peur. Je n'ai pas peur que les autres souffrent à cause de moi, et je ne décide jamais en fonction de ça. Et je n'ai pas peur de souffrir, puisque n'ayant pas d'attentes, je n'ai aucune raison de souffrir. C'est ce qui fait que je suis libre, une liberté qui me procure de la joie, la paix intérieure, et le bonheur. Quoi demander de plus ?Farore97 a écrit :Nous avons donc tout les deux peur :
Mais qui d'entre nous à la peur la plus noble ?
Celui qui se soucie de lui-même ? Ou celui qui se souci des les autres ?
Mais mon ami, toi tu es au pied de la montagne et tu cherches encore à la gravir. Moi je suis déjà au sommet de la montagne, et je peux profiter de la vue, de l'air frais, et de la tranquillité. Mon aventure de vie continue, mais sous une autre forme. L'amour, ce n'est pas une aventure, c'est le sommet de la montagne. C'est le sentiment de liberté, de plénitude, d'accomplissement de soi, de paix et de joie. C'est ça qui fait l'amour. L'absence de peur.Farore97 a écrit :L'aventure, MLP, n'a rien à voir avec un long fleuve tranquille. Et elle ne te montrera d'ailleurs pas toujours ce que tu veux voir. L'aventure se fiche complètement de savoir si elle te convient ou pas : c'est une femme aussi ravissante qu'imprévisible tu sais. L'enrichissement ne passe pas toujours par la paix.
Il passe des fois par ce qui te déplait et pourtant qui constitue ta réalité.
Ainsi, choisir de naviguer tranquillement avec de bonne condition meteorologique, signifie que tu cherhce à ne pas te confronter au caractére inconnu de l'aventure : tu ne la cherche donc pas du tout. Et l'amour, fait parti de l'aventure.
C'est leur façon de s'accomplir. Mais pour toi, logiquement, c'est un manque d'amour pour les autres, puisqu'ils prennent un risque. Il faut que tu sois cohérent. Dans ta logique, si ils aiment leurs proches, ils ne prendraient pas ce genre de risque. Tu ne peux donc pas les encourager à se lancer dans l'aventure puisque ça constitue pour toi un manque d'amour.Farore97 a écrit :Celui qui fonce dans la tempête est celui qui a envie donc d'en ressortir autre, même si il sait pertinnement qu'il peut ne jamais en revenir ! Pourquoi des gens à ton avis vont sur le mont Everest pour risquer leur vie ? Sont ils pour autant stupide ?
Avoir la maîtrise de A à Z est totalement impossible et illusoire. Et je n'ai pas besoin de me protéger des avis des autres, puisqu'ils sont sans effet sur moi. Et oui, je peux vivre en toute liberté. Quand tu as goûté à la liberté, tu ne veux plus jamais y renoncer. Est ce mal ?Farore97 a écrit :Tout compte fais MLP tu ne comptes pas t'enrichir, parce que tu veux au final avoir la maitrise de A à Z sur tout.
Tu t'enferme dans un quotidien prosaique, un val sans retour, qui selon toi te permet de te protéger des avis des autres et de vivre ta liberté.
La vie est déjà une aventure, sans ton devoir d'aimer. Et c'est une aventure formidable à condition de la maîtriser. Et toi, tu veux empêcher aux gens de maîtriser leur aventure en leur imposant le chemin. Je trouve ça absurde. Tout l'intérêt de l'aventure est de pouvoir choisir son propre chemin.Farore97 a écrit :Ce devoir d'amour permettrai aux autres de s'ouvrir les uns sur les autres, d'avoir un grand choix d'aventure pour tous et de s'enrichir le plus possible ! De faire de la vie une véritable aventure
Celui qui a quelque chose à perdre, c'est celui là qui a peur. Et faire face ne signifie pas que tu n'as pas peur. Ca signifie seulement que tu la domines. C'est ça la différence !Farore97 a écrit :Dis moi donc au final, qui est-ce qui a peur, ici ?
Celui qui se protège ? ou celui qui fais face ?
Tu es encore dans l'erreur. L'amour n'apporte que du bien être, que de la liberté, que de la joie, que de la paix. Si l'amour t'apporte du malheur, c'est que ce n'est pas véritablement de l'amour. C'est ta peur qui te domine, et tu réagis à ta peur, par la colère, la frustration et la déception. Tant que tu ne sauras pas différencier la peur de l'amour, tu seras dans l'erreur, et tu auras une mauvaise analyse de la situation. Toute ta vie est aujourd'hui dominée par la peur, et tu crois que c'est ça l'amour. Tu es donc à mille lieux que connaître ce sentiment extraordinaire et fabuleux qu'est l'amour. Quand on connait ça, il n'est plus question de revenir en arrière.Farore97 a écrit :...Mais qui n'a certainement pas la prétention de faire intervenir la notion d'amour ! Ca c'est la volonté de bien être. Et comme dit au dessus, l'amour est une aventure qui te mettras à mal de nombreuses fois, mais qui ne te rendras que plus fort !
La plus grande liberté qui soit, c'est la liberté d'être. C'est à dire, la liberté de choisir qui on veut être. Et cette liberté d'être m'autorise à m'asseoir au bar à siroter mon Martini, sans qu'un type sorti de nulle part viennent troubler ma tranquillité. Elle m'autorise à détester l'autre parce qu'il est différent de moi. Elle m'autorise à être différent des autres. A aimer les fraises plutôt que les pommes. Les brunes plutôt que les blondes. Elle m'autorise à choisir mes amis et mes partenaires en fonction de MES critères. Et cette liberté d'être, tu ne peux et tu ne pourras jamais aller contre. Elle est le fondement même de l'identité. En niant cette liberté d'être, tu ne feras que créer des conflits et des frustrations, ce que soit disant tu veux éviter.Farore97 a écrit :Ce concepte créera la liberté d'être aimer, car elle donnera l'opportunité de s'ouvrir sur autrui. Des gens se ferme aux autres aux premiers regards, se detestent , puis s'entretue pour de simple différence apparente !
Des gens s'ignore alors qu'il pourrait boire une bière dans un bar et passer un moment très sympathique !
Non, ce devoir d'amour ne mènera des conflits parce que tu nies l'identité de l'autre. Tu nies son caractère. Tu nies ses rêves, ses projets, ses ambitions pour lui imposer une façon de vivre. Tout ça n'est motivé que par la peur. L'amour véritable rend libre. Il te permet au contraire d'être qui tu veux être et permet surtout aux autres d'être qui ils veulent être. Il n'y a pas d'amour sans liberté. Si tu restreint la liberté, tu restreins l'amour.Farore97 a écrit :C'est ça la vrai harmonie que permettra ce devoir d'amour. Laisser cela libre, nous mène à se fier au hasard et peut être à ne jamais vivre l'aventure que l'on souhaite mener...
Donc, c'est encore pire. Tu cherches réellement à contenter tous ceux qui t'aiment. C'est toujours ta peur qui parle, ta peur de décevoir. Je ne vois que de la peur chez toi, et pas beaucoup d'amour.Farore97 a écrit :Pour ma phrase qui semble contradictoire, je voulais dire qu'il ne s'agissait pas que de mes parents, mais de tous ceux qui m'aiment.
Echec ! C'est toi qui devais trancher le dilemme, et là, tu fais appelles à leur raison ou leurs bons sentiments pour que tu n'ais pas à trancher. Echec sur toute la ligne. Je te le répète, la décision doit venir de toi. C'est ou l'une ou l'autre. Il n'y a pas de négociation de paix, et il ne s'agit pas de savoir qui a raison ou qui a tort, mais qui TU choisis. Tu n'es pas un lâche j'espère. Tu ne vas pas te défiler ? Non ! Donc, tu dois choisir. Mère ou épouse ? A moins que tu choisisses de trahir les deux. C'est toujours possible !Farore97 a écrit :Pour ce qui est de ton dilemne, il n'y a rien de plus simple !
Je les prends tout les deux à part et discute avec eux, en les faisant raisonner et en dédramatisant le conflit. Je leur laisse le temps de s'habituer à cette réalité et à s'accepter, en espérant que cela marche.
Je prends parti pour les deux et à la fois je m'oppose aux deux afin qu'elles fassent la paix. Rien de plus rien de moins. Car ma place est celle qui est entre les deux, à savoir celui qui va les empêcher de se blesser mutuellement. Car je les aime toutes les deux.
Mais d'un autre côté aussi tout dépends du conflit qui est à gérer !... il y a mille et un chemin pour résoudre un conflit.
Si je vais au cinéma, avec ma copine et que je reviens mais me fait ecraser alors que j'avais pris toutes les précautions du monde ? Je ne suis pas en tort ici ; il s'gait de l'autre qui a rouler sans doute à 110 km en ville (ou qui avait un taux d'alcoolémie très fort). Ce sont ces choix pas les miens. Dans mon exemple à moi j'ai décidé d'aller viter malgré la topologie du terrain !Ton choix, c'est d'aller au cinéma, aller voir ta copine, aller faire du sport, et ce faisant, tu prends un risque. Il ne s'agit pas des actes des autres, mais bien des tiens.
Je vais jouer à argumenter comme toi :Tu as peur de faire du mal aux autres. Ca n'a rien d'une ambition. Une ambition, c'est ce vers quoi on tend, mais là tes décisions et tes choix sont fondés sur cette peur.
Si si ! ca à du sens pour ceux qui savent lire et qui ont un peu de flexibilité spirituelle (et oui vieille poutrelle, un point de plus pour la jeunesse et sa plasticité cérébrale ! )Excuse moi, mais ce que tu dis n'as aucun sens. Je ne vois pas en quoi le fait d'être obligé d'aimer les autres me remettrait dans la même situation que dans mon enfance, puisque je ne me suis jamais senti obligé d'aimer les autres. J'étais malheureux parce que j'avais des attentes. Et je ne vois pas comment le fait d'être obligé d'aimer les autres créerait à nouveau des attentes.
Je n'ai plus d'attentes, donc je n'ai plus aucune raison de souffrir. Et ton "devoir d'aimer" n'y changera absolument rien. Je te l'ai dit, seul un imbécile foncerait dans une tempête.
Si la preuve au dessusNon, justement, moi je n'ai pas peur. Je n'ai pas peur que les autres souffrent à cause de moi, et je ne décide jamais en fonction de ça. Et je n'ai pas peur de souffrir, puisque n'ayant pas d'attentes, je n'ai aucune raison de souffrir. C'est ce qui fait que je suis libre, une liberté qui me procure de la joie, la paix intérieure, et le bonheur. Quoi demander de plus ?
Mdr ! Tu es arrivé au sommet du Mont St Hélène en croyant avaoir gravi une montagne et t'attends que ça t'explose à la gueule ! Profite bien de la vue tant qu'il est encore temps ! Tomber de très haut n'est jamais agréable. Assure toi d'appeler au bon moment les secours pour la redescendre en douceur ta montagne, sinon c'est à la petite cuillère qu'on va te ramasser.Mais mon ami, toi tu es au pied de la montagne et tu cherches encore à la gravir. Moi je suis déjà au sommet de la montagne, et je peux profiter de la vue, de l'air frais, et de la tranquillité. Mon aventure de vie continue, mais sous une autre forme. L'amour, ce n'est pas une aventure, c'est le sommet de la montagne. C'est le sentiment de liberté, de plénitude, d'accomplissement de soi, de paix et de joie. C'est ça qui fait l'amour. L'absence de peur.
Qui t'a dis que je les encourageais ? Je n'ai que pris un simple exemple, c'est tout... Et puis d'abord j'ai fais la même chose en skiant : comment pourrais - je avoir l'orgueil de leur dicté leur vie sur ce plan là ? Je ne peux que les encouragers à être prudent et à prendre cette avanture au sérieux.C'est leur façon de s'accomplir. Mais pour toi, logiquement, c'est un manque d'amour pour les autres, puisqu'ils prennent un risque. Il faut que tu sois cohérent. Dans ta logique, si ils aiment leurs proches, ils ne prendraient pas ce genre de risque. Tu ne peux donc pas les encourager à se lancer dans l'aventure puisque ça constitue pour toi un manque d'amour.
Je comprends donc pourquoi tu es difficilement ouvert à la critique d'autrui alors ...je n'ai pas besoin de me protéger des avis des autres, puisqu'ils sont sans effet sur moi.
Je n'impose à personne de suivre un chemin. J'impose à tout le monde de ne barrer la route à personne : nuance. Et le fait de laisser le droit d'aimer insinue le fait que tu as le droit ne pas en faire usage. Et donc à la place de donner le droit d'avoir une attitude gouvernée par la peur, la haine ou l'indifférence. Et cela obstrue non seulement ceux qui sont autour de toi, mais t'enferme dans une spirale infernale.La vie est déjà une aventure, sans ton devoir d'aimer. Et c'est une aventure formidable à condition de la maîtriser. Et toi, tu veux empêcher aux gens de maîtriser leur aventure en leur imposant le chemin. Je trouve ça absurde. Tout l'intérêt de l'aventure est de pouvoir choisir son propre chemin.
Quant à s'ouvrir les uns sur les autres, c'est un choix qui appartient à chacun de choisir vers qui il veut s'ouvrir. S'ouvrir à tous, c'est un peu comme coucher avec tout le monde. CA retire tout l'intérêt de partager quelque chose de spécial, avec ceux qu'on a choisi. La vraie aventure, c'est aussi pouvoir choisir ses compagnons de route. Mais avec ton devoir d'aimer, tu veux priver les gens de cette liberté qui fait leur identité.
Ah bon ? Tu penses que t'as femme n'a pas de risques d'être emporté par une attaque, que ton fils n'a aucun risque de se faire harceler en dehors du bahut ? Tu penses que tes amis seront toujours là à tes côté et que rien ne fera qu'un jour ils serotn emporté par la mort ?Tout l'intérêt, c'est de n'avoir rien à perdre. Si tu n'as rien à perdre, tu n'as aucune raison d'avoir peur et tu peux t'épanouir, dans la joie et la sérénité. C'est ça l'amour : l'absence de peur.
L'amour (encore faut il que nous parlions bien du même)est une forme de bien être. Mais toute forme de bien être n'est pas de l'amour ! La vengeance accomplie est une forme de bien être au combien jouissif pour celui qui s'y prends, mais au combien destructeur pour autrui. Et je me garde bien d'agir de cette manière.Tu es encore dans l'erreur. L'amour n'apporte que du bien être, que de la liberté, que de la joie, que de la paix. Si l'amour t'apporte du malheur, c'est que ce n'est pas véritablement de l'amour. C'est ta peur qui te domine, et tu réagis à ta peur, par la colère, la frustration et la déception. Tant que tu ne sauras pas différencier la peur de l'amour, tu seras dans l'erreur, et tu auras une mauvaise analyse de la situation. Toute ta vie est aujourd'hui dominée par la peur, et tu crois que c'est ça l'amour. Tu es donc à mille lieux que connaître ce sentiment extraordinaire et fabuleux qu'est l'amour. Quand on connait ça, il n'est plus question de revenir en arrière.
Je ne te contraint pas à manger ce que j'aime. Mon devoir d'amour ne parle pas de cela.La plus grande liberté qui soit, c'est la liberté d'être. C'est à dire, la liberté de choisir qui on veut être. Et cette liberté d'être m'autorise à m'asseoir au bar à siroter mon Martini, sans qu'un type sorti de nulle part viennent troubler ma tranquillité. Elle m'autorise à détester l'autre parce qu'il est différent de moi. Elle m'autorise à être différent des autres. A aimer les fraises plutôt que les pommes. Les brunes plutôt que les blondes. Elle m'autorise à choisir mes amis et mes partenaires en fonction de MES critères. Et cette liberté d'être, tu ne peux et tu ne pourras jamais aller contre. Elle est le fondement même de l'identité. En niant cette liberté d'être, tu ne feras que créer des conflits et des frustrations, ce que soit disant tu veux éviter.
Ma defintion d'amour est claire, p*****n ! "respecter et reconnaitre la singularité d'autrui" ! N'est ce pas assez claire ! Je ne fais ici que l'accompagner dans ses différence qui en rien ne m'empêche d'être proche de lui ! C'est ça l'amour : c'est ce qui nous unis, malgré notre identité ! Elle transcende nos différents ! Elle se contre fiche justement de ce qui nous caractérise ! C'est ça aimer MLP.Non, ce devoir d'amour ne mènera des conflits parce que tu nies l'identité de l'autre. Tu nies son caractère. Tu nies ses rêves, ses projets, ses ambitions pour lui imposer une façon de vivre. Tout ça n'est motivé que par la peur. L'amour véritable rend libre. Il te permet au contraire d'être qui tu veux être et permet surtout aux autres d'être qui ils veulent être. Il n'y a pas d'amour sans liberté. Si tu restreint la liberté, tu restreins l'amour.
Non, MLP ! Tu y vois ma destinée ! Tu vois mes origines, et m'ont passé. Tu y vois LE RESPECT, la prise de conscience que l'autre existe ! Tu y vois l'identité à laquelle je suis fidèle et dont je defends les couleurs. Tu t'es tous simplement heurter à l'essence même dont je suis issu et qui m'a construit !Donc, c'est encore pire. Tu cherches réellement à contenter tous ceux qui t'aiment. C'est toujours ta peur qui parle, ta peur de décevoir. Je ne vois que de la peur chez toi, et pas beaucoup d'amour.
Ecoute moi bien vieil insolent !Echec ! C'est toi qui devais trancher le dilemme, et là, tu fais appelles à leur raison ou leurs bons sentiments pour que tu n'ais pas à trancher. Echec sur toute la ligne. Je te le répète, la décision doit venir de toi. C'est ou l'une ou l'autre. Il n'y a pas de négociation de paix, et il ne s'agit pas de savoir qui a raison ou qui a tort, mais qui TU choisis. Tu n'es pas un lâche j'espère. Tu ne vas pas te défiler ? Non ! Donc, tu dois choisir. Mère ou épouse ? A moins que tu choisisses de trahir les deux. C'est toujours possible !
Voilà qui me semble intéressant ! pourrais-tu m'éclairer davantage ? Dans quelles circonstances se fait ce choix avant la naissance ?septour a écrit :SI TU MEURS ecrase, dis toi bien que c'etait prevu....par toi meme et avant de naitre, et oui, pas de hasard. Tu choisis ta vie(et ta mort) AVANT de naitre avec TOUS les intervenants et péripéties incluses.