pauline.px a écrit : ↑08 nov.20, 02:20
La question cruciale est de savoir s’ils étaient au courant qu’il s’agissait de contre-vérités ou, au contraire, s’ils croyaient sincèrement proclamer la vérité.
Paul avoue ici mentir pour la gloire de Dieu:
Romains 3: 8 Et si, par mon mensonge, la vérité de Dieu éclate davantage pour sa gloire, pourquoi suis-je moi-même encore jugé comme pécheur ?
Bon ! que Pollux soit épatant, je n'en doute pas mais que dois-je penser : le saint apôtre Paul ment-il ou ne ment-il pas ???
Professe-t-il des enseignements ambigus dans le but de tromper toute l’humanité ?
A-t-il perdu le sens du bien et du mal ?
Pollux, vous avez raison, le saint apôtre Paul reconnaît ses faiblesses mais pour autant annonce-t-il que tous les mensonges sont permis pour la plus grande gloire de D.ieu ? béni soit-Il !
Bien que saint Paul ne soit pas ma tasse de thé, je ne crois pas qu’il avoue mentir pour la gloire de D.ieu, béni soit-Il, je crois même qu’il s’insurge contre une telle idée.
Une lecture attentive démontre un élément constant de la rhétorique du saint apôtre Paul : Il lance une affirmation ou une question juste histoire d’éclairer ses ouailles. Et dans l'épître aux Romains il accorde une large place à la question du péché dans les deux Alliances avec notamment l’idée que la vertu importe :
Romains 6:1 Que dirons-nous donc ? Demeurerions-nous dans le péché, afin que la grâce abonde ?
Et
Romains 6:15 Quoi donc ! Pécherions-nous, parce que nous sommes, non sous la loi, mais sous la grâce ? Loin de là !
Qui me paraît une des clés de compréhension.
Si je reprends le contexte.
Depuis le verset 2:17, il est clairement question seulement des Juifs et exclusivement de la Première Alliance.
Ici, il s’agit de savoir si les Juifs sont justifiés, c’est-à-dire pardonnés ou absous, par les œuvres de la Loi :
1 Quelle est donc la supériorité du Juif ? Quelle est l’utilité de la circoncision ?
2 Grande à tous égards ! Et d’abord, c’est à eux que les révélations de Dieu ont été confiées.
La question 3 Quoi donc ? Si certains furent infidèles, leur infidélité va-t-elle annuler la fidélité de Dieu ? La réponse 4 Certes non !
4b Dieu doit être reconnu véridique et tout homme menteur, selon qu’il est écrit : « Il faut que tu sois reconnu juste dans tes paroles, et que tu triomphes lorsqu’on te juge. »
C’est à dire : L’infidélité de quelques Juifs n’annule pas la Première Alliance. C’est D.ieu, béni soit-Il, qui est véridique.
La question 5 Mais si notre injustice met en relief la justice de Dieu, que dire ? Dieu n’est-il pas injuste en nous frappant de sa colère ? Je parle selon la logique humaine. La réponse 6 Certes non !
Car alors, comment Dieu jugera-t-il le monde ?
C’est-à-dire : D.ieu, béni soit-Il, a raison de punir les injustes même si leur injustice met en valeur la justice divine, Il ne peut Se contredire, Il ne peut être complice de l’injustice des humains..
La question 7 Mais si, par mon mensonge, la vérité de Dieu éclate d’autant plus pour sa gloire, pourquoi donc, moi, suis-je encore condamné comme pécheur ?
C’est la même question, les injustes seront condamnés et c’est pareil pour les menteurs, quelles que soient les conséquences, qu’elles soient positives ou non..
La question 8 Et alors, pourquoi ne ferions-nous pas le mal afin qu’il en résulte du bien, comme certains calomniateurs nous le font dire ? La réponse Ces gens-là méritent leur condamnation !
Et après l’injustice, le mensonge, c’est commettre le mal en général qui est condamné malgré la grâce et malgré l’éventualité de conséquences utiles à la Gloire de D.ieu, béni soit-Il.
La question 9 Mais quoi ? avons-nous encore, nous Juifs, quelque supériorité ? La réponse Absolument pas ! Car nous l’avons déjà établi : tous, Juifs comme Grecs, sont sous l’empire du péché.
Alors la Première Alliance n’accorde aucun privilège au pécheur. L'injustice, le mensonge et le mal sont condamnés même s'ils œuvrent dans le bon sens.
Et suit une longue citation biblique, autour de l’universalité du péché.
10 Comme il est écrit : Il n’y a pas de juste, pas même un seul. <…> 18 Nulle crainte de Dieu devant leurs yeux !
19 Or, nous savons que tout ce que dit la Loi, elle le dit à ceux qui sont sous la loi, afin que toute bouche soit fermée et que le monde entier soit reconnu coupable devant Dieu.
C’est-à-dire : La Loi s’adresse au peuple élu mais elle a pour objet de faire apparaître la culpabilité universelle.
20 « Voilà pourquoi personne ne sera justifié devant lui » par les œuvres de la loi ; la loi, en effet, ne donne que la connaissance du péché.
Le saint apôtre conclut donc que la Loi ne justifie pas, elle apporte la parole de D.ieu et elle révèle et fait connaître le péché.
En définitive, je vois mal comment exploiter ce passage consacré la justification sous la Loi pour affirmer que le saint apôtre Paul reconnaît mentir pour la plus grande gloire de D.ieu, béni soit-Il.
Et quand bien même mentirait-il qu’il recevrait une punition méritée.
Et puisque l’on parle de l’épître aux Romains, uel sens donner à l’expression "est mort" dans les versets ci-dessous ? mensonge ou amphibologie ?
Romains 5:6 Car, lorsque nous étions encore sans force, Christ, au temps marqué, est mort pour des impies.
Romains 5:8 Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous.
Romains 6:10 Car il est mort, et c’est pour le péché qu’il est mort une fois pour toutes ; il est revenu à la vie, et c’est pour Dieu qu’il vit.
Romains 8:34 Qui les condamnera ? Christ est mort ; bien plus, il est ressuscité, il est à la droite de Dieu, et il intercède pour nous !
Romains 14:9 Car Christ est mort et il a vécu, afin de dominer sur les morts et sur les vivants.
Romains 14:15 Mais si, pour un aliment, ton frère est attristé, tu ne marches plus selon l’amour : ne cause pas, par ton aliment, la perte de celui pour lequel Christ est mort.
pauline.px a écrit : ↑11 nov.20, 23:56
Bonjour Pollux, Bonjour Prisca.
Bon ! que Pollux soit épatant, je n'en doute pas mais que dois-je penser :
le saint apôtre Paul ment-il ou ne ment-il pas ???
Professe-t-il des enseignements ambigus dans le but de tromper toute l’humanité ?
A-t-il perdu le sens du bien et du mal ?
Pollux, vous avez raison, le saint apôtre Paul reconnaît ses faiblesses mais pour autant annonce-t-il que tous les mensonges sont permis pour la plus grande gloire de D.ieu ? béni soit-Il !
Bien que saint Paul ne soit pas ma tasse de thé, je ne crois pas qu’il avoue mentir pour la gloire de D.ieu, béni soit-Il, je crois même qu’il s’insurge contre une telle idée.
Une lecture attentive démontre un élément constant de la rhétorique du saint apôtre Paul : Il lance une affirmation ou une question juste histoire d’éclairer ses ouailles. Et dans l'épître aux Romains il accorde une large place à la question du péché dans les deux Alliances avec notamment l’idée que la vertu importe :
Romains 6:1 Que dirons-nous donc ? Demeurerions-nous dans le péché, afin que la grâce abonde ?
Et
Romains 6:15 Quoi donc ! Pécherions-nous, parce que nous sommes, non sous la loi, mais sous la grâce ? Loin de là !
Qui me paraît une des clés de compréhension.
Si je reprends le contexte.
Depuis le verset 2:17, il est clairement question seulement des Juifs et exclusivement de la Première Alliance.
Ici, il s’agit de savoir si les Juifs sont justifiés, c’est-à-dire pardonnés ou absous, par les œuvres de la Loi :
1 Quelle est donc la supériorité du Juif ? Quelle est l’utilité de la circoncision ?
2 Grande à tous égards ! Et d’abord, c’est à eux que les révélations de Dieu ont été confiées.
La question 3 Quoi donc ? Si certains furent infidèles, leur infidélité va-t-elle annuler la fidélité de Dieu ? La réponse 4 Certes non !
4b Dieu doit être reconnu véridique et tout homme menteur, selon qu’il est écrit : « Il faut que tu sois reconnu juste dans tes paroles, et que tu triomphes lorsqu’on te juge. »
C’est à dire : L’infidélité de quelques Juifs n’annule pas la Première Alliance. C’est D.ieu, béni soit-Il, qui est véridique.
La question 5 Mais si notre injustice met en relief la justice de Dieu, que dire ? Dieu n’est-il pas injuste en nous frappant de sa colère ? Je parle selon la logique humaine. La réponse 6 Certes non !
Car alors, comment Dieu jugera-t-il le monde ?
C’est-à-dire : D.ieu, béni soit-Il, a raison de punir les injustes même si leur injustice met en valeur la justice divine, Il ne peut Se contredire, Il ne peut être complice de l’injustice des humains..
La question 7 Mais si, par mon mensonge, la vérité de Dieu éclate d’autant plus pour sa gloire, pourquoi donc, moi, suis-je encore condamné comme pécheur ?
C’est la même question, les injustes seront condamnés et c’est pareil pour les menteurs, quelles que soient les conséquences, qu’elles soient positives ou non..
La question 8 Et alors, pourquoi ne ferions-nous pas le mal afin qu’il en résulte du bien, comme certains calomniateurs nous le font dire ? La réponse Ces gens-là méritent leur condamnation !
Et après l’injustice, le mensonge, c’est commettre le mal en général qui est condamné malgré la grâce et malgré l’éventualité de conséquences utiles à la Gloire de D.ieu, béni soit-Il.
La question 9 Mais quoi ? avons-nous encore, nous Juifs, quelque supériorité ? La réponse Absolument pas ! Car nous l’avons déjà établi : tous, Juifs comme Grecs, sont sous l’empire du péché.
Alors la Première Alliance n’accorde aucun privilège au pécheur. L'injustice, le mensonge et le mal sont condamnés même s'ils œuvrent dans le bon sens.
Et suit une longue citation biblique, autour de l’universalité du péché.
10 Comme il est écrit : Il n’y a pas de juste, pas même un seul. <…> 18 Nulle crainte de Dieu devant leurs yeux !
19 Or, nous savons que tout ce que dit la Loi, elle le dit à ceux qui sont sous la loi, afin que toute bouche soit fermée et que le monde entier soit reconnu coupable devant Dieu.
C’est-à-dire : La Loi s’adresse au peuple élu mais elle a pour objet de faire apparaître la culpabilité universelle.
20 « Voilà pourquoi personne ne sera justifié devant lui » par les œuvres de la loi ; la loi, en effet, ne donne que la connaissance du péché.
Le saint apôtre conclut donc que la Loi ne justifie pas, elle apporte la parole de D.ieu et elle révèle et fait connaître le péché.
En définitive, je vois mal comment exploiter ce passage consacré la justification sous la Loi pour affirmer que le saint apôtre Paul reconnaît mentir pour la plus grande gloire de D.ieu, béni soit-Il.
Et quand bien même mentirait-il qu’il recevrait une punition méritée.
Et puisque l’on parle de l’épître aux Romains, uel sens donner à l’expression "est mort" dans les versets ci-dessous ? mensonge ou amphibologie ?
Romains 5:6 Car, lorsque nous étions encore sans force, Christ, au temps marqué, est mort pour des impies.
Romains 5:8 Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous.
Romains 6:10 Car il est mort, et c’est pour le péché qu’il est mort une fois pour toutes ; il est revenu à la vie, et c’est pour Dieu qu’il vit.
Romains 8:34 Qui les condamnera ? Christ est mort ; bien plus, il est ressuscité, il est à la droite de Dieu, et il intercède pour nous !
Romains 14:9 Car Christ est mort et il a vécu, afin de dominer sur les morts et sur les vivants.
Romains 14:15 Mais si, pour un aliment, ton frère est attristé, tu ne marches plus selon l’amour : ne cause pas, par ton aliment, la perte de celui pour lequel Christ est mort.
Très cordialement
Votre sœur
pauline
Bonjour Pauline
J'ai mis en surbrillance deux questions essentielles.
Est ce que Paul ment ?
Oui.
La fin justifie les moyens. Mais Paul lui ne fait rien, il est un instrument et c'est DIEU qui veut qu'il soit dit "Christ est mort" même si c'est faux car satan lit la Bible et lui il doit savoir que Jésus a la faiblesse de l'humain, puisqu'à l'image d'un Hercule par exemple, Jésus, même né d'un dieu, est humain du côté de sa mère. C'est cela qui incitera satan à libérer de son joug ses prisonniers.
Dieu jugera qui d'entre nous Lui aura tenu respect.
Est ce que c'est respectueux de dire que Jésus s'est montré plus charitable que son Père en s'offrant au Père qui, en échange, décide de pratiquer sa Miséricorde seulement en renonçant à mettre en application sa Justice ? Pauline ?
"Quiconque demeure en lui ne pèche point quiconque pèche ne l'a pas vu et ne l'a pas connu"
En définitive, vous apportez de l’eau au moulin des mythistes.
Pour vous les auteurs néotestamentaires ne disent pas la vérité.
Pourquoi peut-on croire une seule de leurs affirmations puisque, selon vous, ces écrits ont été rédigés pour tromper ?
Vous êtes une ennemie de la crédibilité du Nouveau Testament.
PRISCA a écrit : Est ce que c'est respectueux de dire que Jésus s'est <…> à mettre en application sa Justice ?
Veuillez me pardonner mais je ne supporte plus que sous prétexte d’une citation imaginaire vous vous plaisiez à blasphémer.
Si à chaque message j’écrivais « Est ce que c'est respectueux de dire que Prisca est possédée du démon ou de dire que c'est le satan qui parle par ses écrits ? » trouveriez-vous que cette question rhétorique et ses répétitions vous respectent ?
Comme le dit si justement Pollux, Dieu a posé ses pieds sur terre en ayant endossé le rôle d'un FILS fait de chair et d'os.
Rôle d'un fils.
Les gens instrumentalisés par DIEU que sont les apôtres et non pas "les auteurs" testamentaires, et ils ont dit ce qu'ils ont dit, parce que Dieu le veut.
Dieu s'en tient à son plan de sauvetage de l'humanité qui consiste à créer un scénario parfaitement ficelé pour confondre satan, car JESUS se sacrifie pour le vaincre, c'est le seul but de la Crucifixion de Jésus.
Le point de départ pour aboutir à la conclusion que la théologie telle que vous la maintenez en vie est un outrage, c'est à partir de la Genèse.
Votre fondation part mal, donc ce que vos prêtres ont érigé sur la fondation menace de tomber.
A la fondation vous dites que l'homme a sombré dans le péché à cause de sa désobéissance et parce que l'homme par sa nature n'a pas la capacité de s'en sortir du péché, car l'homme a des limites infranchissables à cause de la chair qui domine ses pulsions dévastatrices, Dieu envoie Jésus pour que l'homme obtienne la rédemption et l'homme indomptable car irréductible doit en premier lieu procéder à son baptême pour purifier son être afin de rentrer pur dans la sphère Chrétienne pour connaitre un jour le Ciel qui lui est acquis quoi qu'il fasse puisque Jésus le rachète, mais au moins l'homme doit pouvoir remercier Jésus de lui avoir donné cette chance, donc l'homme doit toute sa vie être en proie au doute s'il agit mal ou bien, il doit faire de son mieux, pour rendre Grâce à Jésus, sauf que s'il ne parvient pas à se rendre bon, la Grâce y pourvoira.
Vous êtes partis défaitistes et donc, bon an, mal an, vous voyez le mal qui se répand sur terre, il y a vraiment beaucoup beaucoup de débordements, comme si le monde était pris de frénésie du mal, mais vous vous dites que c'est normal car justement Jésus est venu contrebalancer le mal en s'offrant au Père Lui Même, Lui qui est Saint et comme Fils de DIEU sa Sainteté n'a pas son égal.
C'est comme si sur la balance d'un côté tout penche dangereusement vers la chute, les hommes sont abominables et JESUS se pose sur l'autre côté de la balance en payant par sa Vie pour contrebalancer le mal et faire en sorte que peu importe le mal, DIEU est satisfait car Jésus paie, et les hommes vont au Paradis, sauf le blasphème contre l'Esprit Saint ne les autorisera pas à y entrer.
En quelques lignes votre façon de penser, et je suis contre bien entendu car ce scénario comporte beaucoup de zones d'ombres dont une zone d'ombre est d'avoir maintenu que Jésus est un DIEU qui est né de DIEU des Juifs après que le Saint Esprit ait fécondé Marie donc vous visualisez Jésus au Ciel, qui existe déjà, et DIEU envoie son Fils sur terre pour naitre avec une généalogie, et Marie est la Mère qui portera l'enfant à naitre, Jésus en naissant est vrai homme comme vous dites, par sa Mère, et vrai Dieu par son Père, 100 % Dieu car Fils de Dieu, 100 % homme car fils de Marie.
C'est tout à fait ce que disaient les Romains les Egyptiens des demi dieux, il n'y a aucune différence.
Mais pour que votre théologie du Salut tienne, vous ne pouvez pas faire autrement que de dire que Jésus n'est pas DIEU Lui Même mais un autre DIEU né du vrai Dieu afin que le Père pardonne car le FILS se donne.
C'est à cause de l'économie du salut tel que vous l'entrevoyez qui est la cause du blasphème de dire que DIEU n'est pas unique, un FILS lui est né et son Fils a autant de pouvoir que son Père pourrait en avoir sauf que toujours le Père décide en toutes circonstances.
La point de départ de la foi chez quiconque est de dire : DIEU est Unique.
Or vous vous dites qu'il y a deux DIEUX Dieu le Père, et Dieu le Fils.
Puisqu'il est évident qu'il faut abandonner de dire que Jésus est un second DIEU votre manière d'expliquer la Crucifixion de Jésus ne tient plus, donc il faut envisager une autre explication qui est de dire que non pas DIEU perçoit la rançon, mais satan perçoit la rançon, et de ce fait DIEU a fait en sorte que satan la perçoive et libère les gens de sa soumission, donc Jésus n'est pas Fils mais a joué le rôle du Fils.
"Quiconque demeure en lui ne pèche point quiconque pèche ne l'a pas vu et ne l'a pas connu"
Pour neutraliser Satan il faut utiliser la ruse et c'est ce que Paul a fait. Il ne faut pas s'imaginer qu'à la fin des temps Satan va se laisser enchaîner comme un bon petit chienchien obéissant. Au contraire quand il va comprendre qu'il a été piégé il va être très en colère et ça risque d'avoir des répercussions importantes au niveau mondial (cf. Apocalypse 12) mais ce sera trop tard pour lui à ce moment là et il sera mis a nu devant la face du monde et perdra tous ses pouvoirs de séduction.
Le rôle de Paul c'était de transmettre la puissance d'égarement pour piéger Satan et il a parfaitement accompli sa mission.
Pollux a écrit : ↑13 nov.20, 04:52Pour neutraliser Satan il faut utiliser la ruse
1 ) Pourquoi "il faut" ?
Est-il plus fort que D.ieu ? béni soit-Il !
2 ) Je ne suis pas contre l'idée que D.ieu, béni soit-Il, ait préféré berner le satan plutôt que d'abuser de la force.
La ruse pouvait ne viser que l'adversaire.
Voilà pourquoi je ne peux pas croire que D.ieu, béni soit-Il, ait trompé tout le monde et induit des mensonges parce qu'Il aurait été incapable de ne tromper que le satan.
Et comme nous n'avons aucune preuve que D.ieu, béni soit-Il, nous ait trompé je ne vois pas pourquoi ce scénario absurde a été inventé.
Pollux a écrit :Au contraire quand il va comprendre qu'il a été piégé il va être très en colère
1 ) Mince, et D.ieu, béni soit-Il, serait démuni face à la colère du satan.
Voulez-vous dire qu'Il en a peur ?
2 ) Mais alors, à quoi a servi la ruse ?
Pollux a écrit :et perdra tous ses pouvoirs de séduction.
pauline.px a écrit : ↑13 nov.20, 08:51
1 ) Pourquoi "il faut" ?
Est-il plus fort que D.ieu ? béni soit-Il !
Si Dieu avait pu neutraliser Satan en claquant des doigts il l'aurait fait depuis longtemps.
a écrit :2 ) Je ne suis pas contre l'idée que D.ieu, béni soit-Il, ait préféré berner le satan plutôt que d'abuser de la force.
La ruse pouvait ne viser que l'adversaire.
Voilà pourquoi je ne peux pas croire que D.ieu, béni soit-Il, ait trompé tout le monde et induit des mensonges parce qu'Il aurait été incapable de ne tromper que le satan.
Satan n'est pas une personne mais un esprit qui s'est infiltré presque partout dans notre monde. Il fallait donc viser très large pour l'atteindre.
a écrit :1 ) Mince, et D.ieu, béni soit-Il, serait démuni face à la colère du satan.
Voulez-vous dire qu'Il en a peur ?
Ce n'est pas Dieu qui va écoper mais les humains qui se sont laissé séduire.
a écrit :2 ) Mais alors, à quoi a servi la ruse ?
La meilleure façon de coincer un criminel c'est de lui tendre un piège.
a écrit :C'est mal parti.
Tôt ou tard il va y avoir un renversement spectaculaire de la situation au moment où on s'y attend le moins. Libre à vous de me croire ou pas.
Modifié en dernier par Pollux le 13 nov.20, 12:15, modifié 1 fois.
« Le Destin n'est pas fait pour nous écraser, ni pour nous punir; il est fait pour nous contraindre à grandir.» Satprem
Dieu PERMET qu'il existe
Si il voudrais Satan serais déjà mort
Mais à quoi ça servirais?
Satan a voulu montrer que si on se fou de Dieu Que c'est mieux pour les humains, qu'ils peuvent réussir et avoir une meilleur vie en agissant a sa tete
Alors il faut le prouver ...
Jesus et ses anges sont plus fort que le Diable
Jesus a jeter Satan hors du ciel
Il n'as plus accès au ciel maintenant
Il lui laisse prouver si les humains aiment Dieu par amour ou par cupidité ...
Chaque chose en son temps
C'est prévue de detruire le Diable
Mais à la fin des 1000 ans ...
Quel chance vous avez d'avoir le profil de satan lequel vous pouvez analyser à loisir.
satan lié durant mille ans par Jésus qui l'a vaincu
Constantin Ier le Grand : biographie courte, dates, citations
La Rédaction, Mis à jour le 06/02/19 12:29
BIOGRAPHIE DE CONSTANTIN IER LE GRAND - Empereur romain de 306 à 337. , Constantin Ier le Grand est né le 17 février 270 à Nish (Serbie). Il est mort le 22 mai 337 à Ancyrona, près de Nicomédie (Asie mineure). Il permit au Christianisme de se développer et choisit Constantinople pour être la capitale de son empire.
Biographie courte de Constantin Ier le Grand -
Flavius Valerius constantinus naît de Constance Chlore et de sainte Hélène. A la mort de son père, il est proclamé Empereur par l'armée (306). En 312, il remporte une grande victoire contre Maxence, son adversaire italien, et se partage les territoires romains avec Licinius, époux de sa soeur. Convaincu d'être sorti victorieux grâce à l'aide du Christ, il promulgue l'édit de Milan qui accorde la tolérance aux Chrétiens. Le royaume est mis en péril par les conflits naissants entre Constantin et Licinius. C'est finalement le premier qui aura raison du second en 324, unifiant ainsi l'empire. Empruntant le sillage politique de Dioclétien, Constantin le Grand réorganise l'administration. Soutenant de plus en plus l'Eglise, il convoque le concile oecuménique de Nicée. Sa conversion au christianisme n'est toutefois pas immédiate. Il se préoccupe également de la construction de sa nouvelle capitale, Constantinople. Erigée sur l'emplacement de Byzance, elle est achevée en 330. Constantin n'est baptisé que sur son lit de mort, le 22 mai 337.
CONSTANTIN IER LE GRAND : DATES CLÉS
28 octobre 312 : Bataille du pont Milvius
L'empereur romain Constantin bat son rival Maxence sur le pont de Milvius à trois kilomètres de Rome. La légende veut que Constantin ait eu la vision d'une croix dans le ciel peu avant la bataille où il y était écrit en grec "en toutô nika", "triomphe par ceci." Cette apparition incita le monarque à placer des chrismes sur les boucliers de ses soldats pour les protéger. La victoire contre Maxence le réconforte dans son idée. Dès lors Constantin choisit de défendre le christianisme.
8 décembre 324 : La création de Constantinople
L'empereur Constantin Ier pose la première pierre de la ville qui doit succéder à Rome comme capitale de l'Empire romain d'Orient. Constantinople connaîtra sa plus belle période sous le règne de Justinien (527-565). Elle tombera le 29 mai 1453 aux mains des Turcs et, sous le nom d'Istanbul, elle deviendra la capitale de l'Empire ottoman. Le 13 octobre 1923, elle perdra sa 1ère place au profit d'Ankara, capitale de la nouvelle Turquie.
11 mai 330 : Naissance de Constantinople
Constantinople, fondée en 324 par Constantin le Grand sur le site de l'antique colonie grecque de Byzance, est inaugurée. Elle supplante rapidement Rome par sa richesse et le nombre d'habitants qui y vivent. En 395, elle deviendra la capitale de l'Empire romain d'Orient (ou Empire byzantin) et, à la chute de celui-ci en 1453, celle de l'Empire ottoman.
satan réapparu par le 8ème roi, le pape François
Voici un autre profil de satan que vous pouvez analyser de tout votre soul.
Pape François : biographie du 266e Pape
La Rédaction, Mis à jour le 30/03/20 10:13
Pape François : biographie du 266e PapeBIOGRAPHIE DU PAPE FRANCOIS - Homme d'église argentin, il possède la plus haute fonction en étant le chef de l'Eglise catholique. Retour sur sa vie.
SOMMAIRE
Biographie courte du pape François
Jeunesse et formation du pape François
Sa carrière en homme d'église
Son lien avec la dictature argentine
L'élection du nouveau pape
Le pape François engagé contre la pauvreté
Un pape jésuite, une première
Mariage des prêtres, des homosexuels et avortement
Japon, Maroc, Madagascar... Ses relations internationales
La lettre du pape sur la signification de la crèche
Twitter, Instagram... Un pape connecté
Citations du Pape François
Pape François : dates clés
Biographie courte du Pape François - De son vrai nom Jorge Mario Bergoglio, il est né le 17 décembre 1936 à Buenos Aires, en Argentine. Après avoir été archevêque de Buenos Aires et cardinal, il est élu pape de l'Église catholique le 13 mars 2013. En succédant à Benoît XVI, le pape François, dit "le pape des pauvres", devient le 266ème pape et est également le premier pape non européen depuis le XIIIème siècle.
Jeunesse et formation du pape François
Enfant d'immigrés italiens, le pape François a deux frères et deux sœurs, mais seule Maria Elena est encore vivante lors de son élection papale. Le 25 décembre 1936, il est baptisé par le père Enrique Pozzoli, qui devient plus tard son directeur spirituel. En 1949, il étudie au collège salésien "Wilfrid Baron" dans la ville de Ramos Mejia, puis obtient un diplôme de technicien en chimie à l'école industrielle E.N.E.T. . Pendant ce temps, pour subvenir à ses besoins, il fait des ménages dans une usine locale et est également videur dans une boîte de nuit mal fréquentée à Cordoba (Argentine). Alors fiancé à une jeune femme, il est dans une profonde réflexion qui l'amène à rompre ses fiançailles et entrer dans les ordres. En effet, il fréquente l'église San José du quartier Flores (Buenos Aires) puis, en 1953, il côtoie l'expérience "de la miséricorde de Dieu", pendant une confession, et a "une révélation divine pour entrer dans les ordres", cite l'AFP. De fait, le 11 mars 1958, il commence un noviciat de la Compagnie de Jésus. Il poursuit sa formation spirituelle au Chili, puis retourne à Buenos Aires en 1963 pour y étudier la philosophie. Le jeune homme enseigne quelque temps la littérature dans un collège à Santa Fe puis à Buenos Aires. Jorge étudie ensuite la théologie à San Miguel. Le 13 décembre 1969, Monseigneur Ramon José Castellano, archevêque de Cordoba, l'ordonne prêtre.
Sa carrière en homme d'église
En 1971 et 1972, le futur pape François fait son Troisième An (troisième année de formation d'un jésuite) à Alcala de Henares, en Espagne. Il est ensuite nommé maître des novices du Colegio Maximo San José, une institution jésuite de San Miguel, et le 22 avril 1973, il fait profession solennelle. Le 31 juillet 1973, il est nommé provincial (il a autorité sur les jésuites et les ministères de sa zone) des jésuites d'Argentine pour six ans. Après la dictature de 1976 à 1983, il devient recteur de la faculté de théologie et de philosophie de San Miguel, tout en restant professeur de théologie. Dans le même temps, il est curé de la paroisse Saint-Joseph de San Miguel. A travers ses homélies, le futur pape François fait quelque peu de la politique, dénonçant la corruption des politiciens et la crise des valeurs dans le pays. Par la suite, il a des problèmes avec son ordre, à cause de sa manière de diriger l'école. Il part donc en Allemagne, à Francfort, pour écrire une thèse à la faculté de philosophie et théologie de Sankt Georgen. N'étant pas à son aise, il retourne en Argentine, où il devient prêtre de quartier et confesseur à Cordoba.
Le 20 mai 1992, le futur pape François est nommé évêque auxiliaire de Buenos Aires par le pape Jean-Paul II, à 55 ans. Le 3 juin 1997, il est fait coadjuteur du même archidiocèse. L'année suivante, le 28 février, il devient archevêque de l'archidiocèse de Buenos Aires, suite au décès du cardinal Antonio Quarracino. Puis le 21 février 2001, il est institué cardinal-prêtre par Jean-Paul II au titre cardinalice, ce qui le rattache au clergé romain et de fait, au clergé du pape, évêque de Rome, de San Roberto Bellarmino. En 2005, il aurait été dans la course pour être élu pape, mais le choix s'est porté finalement vers Joseph Ratzinger, devenu Benoît XVI. Le cardinal Bergoglio est élu président de la commission de rédaction du document final, appelé "document d'Aparecida", lors de la Ve conférence générale du Conseil épiscopal latino-américain qui a eu lieu au sanctuaire d'Aparecida au Brésil, le 15 mai 2007. Etant président de la conférence des évêques d'Argentine, il effectue sa visite "ad limina" (une visite que doivent faire les évêques tous les cinq ans à Rome), le 14 mars 2009. Jorge Bergoglio est également membre de la Congrégation pour les instituts de vie consacrée et les sociétés de vie apostolique, de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, de la Congrégation pour le clergé, de la Commission pontificale pour l'Amérique latine et du Conseil pontifical pour la famille, au sein de la Curie romaine.
Son lien avec la dictature argentine
Le rôle du futur pape François dans la dictature militaire entre 1976 et 1983 en Argentine reste flou. En 2005, le journaliste et directeur du quotidien "Pagina 12", Horacio Verbitsky, publie "El Silencio" et lance la polémique. En effet, il accuse Jorge Mario Bergoglio d'avoir collaboré avec la junte et de ne pas avoir essayé de faire libérer Franz Jalics et Orlando Yorio, deux jésuites qui travaillaient sous ses ordres à cette époque. La polémique est relancée lorsque Jorge Mario Bergoglio est élu pape. Les accusations sont démenties le lendemain par le Service d'Information du Vatican. Il n'existe actuellement aucun document qui permettrait de lier le pape avec la dictature militaire, puis, selon le Vatican, de nombreux témoignages prouvent que le père Bergoglio a protégé ces personnes. Pour Franz Jalics, l'un des deux jésuites, après avoir discuté avec Bergoglio et concélébré une messe fraternelle, l'histoire est close. Pourtant l'implication du futur pape François est toujours controversée. Mais le sociologue de l'université de Buenos Aires, Mallimacci Fortunato a notamment avancé dans la presse argentine que des "témoins ont déclaré que Bergoglio n'a non seulement pas lutté contre la dictature, mais qu'il aurait même contribué à l'enlèvement, la torture ou la disparition de nombreux prêtres et laïcs". Des affirmations qui n'ont jamais été prouvées.
Le pape François engagé contre la pauvreté
La vie du pape François est marquée par l'austérité, lui qui se lève à 4h30, pour terminer sa journée à 21 heures. Le pape est décrit comme un homme timide, humble, tout en retenue. Un religieux qui n'est pas expansif, préférant la modestie. Il fuit volontiers le faste et est fidèle à sa grande cause : la pauvreté. En effet, lorsqu'il est nommé archevêque en 1998 en Argentine, le futur pape privilégie la vie dans un appartement modeste plutôt que dans un somptueux palais, auquel il a pourtant droit. Il voyage alors en transports en commun. De même, lorsqu'il est fait cardinal-prêtre en 2001 par Jean-Paul II, il se rend à cette cérémonie à pied, tout simplement. A cette occasion, il refuse que ses compatriotes viennent à Rome et ordonne que l'argent récolté pour payer les billets d'avion soit distribué aux pauvres. A l'hôpital Francisco Muniz de Buenos Aires, il lave les pieds de douze patients malades atteints du sida, affirmant à la presse que la "société oublie les malades et les pauvres". De plus, durant sa carrière en Argentine, Jorge Bergoglio s'est rendu régulièrement dans les bidonvilles, à la rencontre de la misère. Il s'y est même installé un temps, pour soutenir un prêtre menacé par des trafiquants de drogues. De quoi prendre rapidement le surnom de "pape des pauvres". Ces anecdotes font d'ailleurs écho à ses premiers jours en tant que pape. En effet, au soir de son élection, le 13 mars 2013, le pape François refuse de monter dans une voiture avec chauffeur, préférant se glisser dans le minibus emprunté par les cardinaux pour se rendre à la maison Sainte Marthe. Le nom choisi par le 266e pape, "François", n'est d'ailleurs pas anodin. Il renvoie notamment à Saint François d'Assise, ce religieux d'origine italienne qui, issu d'une famille aisée, avait fait le choix de la pauvreté, se mêlant aux lépreux et allant jusqu'à faire l'aumône.
Un pape jésuite, une première
Jorge Mario Bergoglio choisit de devenir Jésuite. Cela signifie qu'il fait partie de la Compagnie de Jésus, une obédience dévouée à la papauté. Pour intégrer cet ordre, les études sont longues. Le futur pape François étudie ainsi pendant une quinzaine d'années plusieurs matières, dont la théologie, la philosophie et la psychologie. Ordonné prêtre en 1969, ce n'est qu'à l'âge de 37 ans qu'il achève son parcours initiatique, en prononçant son dernier vœu, celui d'allégeance au pape. Conformément à la tradition jésuite, Jorge Mario Bergoglio est donc un intellectuel. Un érudit, qui, outre le français, l'anglais, l'espagnol et le portugais, parle couramment l'italien, qui est la langue de ses parents, mais aussi l'allemand et évidemment le latin. Durant son temps libre, il aime lire les œuvres de Jorge Luis Borges et de Dostoïevski, mais feuillette aussi la presse. Il est également amateur d'opéra et de football.
Japon, Maroc, Madagascar... Ses relations internationales
Avec le pouvoir actuel en Argentine, le pape François a entretenu des relations tendues. Au rang de ses détracteurs figure aussi une partie de l'opinion publique britannique. Ainsi, en 2011, le futur pape, prenant clairement position dans le conflit qui oppose le Royaume-Uni à l'Argentine sur les Malouines, a ainsi affirmé que "les Malouines appartiennent à l'Argentine". Les 30 et 31 mars 2019, pour son 28e voyage apostolique, le pape est en visite au Maroc. Sous le signe de l'espérance, il répond à l'invitation du roi Mohammed VI, afin de dialoguer sur l'islam et la problématique des migrations. Après l'entrevue, le saint homme se rend à l'Institut de formation des imams, ce qui est une première pour un pape dans un pays à 99% musulman, et ses 30 000 à 35 000 catholiques. Le dernier pape à avoir visité le Maroc est Jean-Paul II, en 1985.
Le pape François s'est également rendu à Madagascar, début septembre 2019. Là-bas, il dénonce la déforestation excessive, la corruption, l'exclusion et la pauvreté, demandant aux autorités la création d'emplois qui respectent l'environnement. Madagascar est en effet l'un des pays les plus pauvres du monde, où 9 personnes sur 10 vivent avec moins de deux dollars par jour. Il a aussi visité le Japon, fin novembre 2019, un pays qu'il souhaitait voir depuis sa jeunesse. Pour le pays du Soleil levant, son message prône le désarmement nucléaire : "Sous peu, je visiterai Nagasaki et Hiroshima où je prierai pour les victimes du bombardement affreux de ces deux villes et je me ferai l'écho de vos propres appels prophétiques pour le désarmement nucléaire". Il prie également pour les victimes du tsunami de mars 2011, et a une pensée pour les "chrétiens cachés" qui se sont transmis la religion catholique, sans prêtre, pendant deux siècles : "Ces 'chrétiens cachés' ont gardé la foi pendant des générations grâce au baptême, à la prière et à la catéchèse ! Ce sont d'authentiques Eglises domestiques qui resplendissaient dans ce pays, peut-être sans le savoir, comme un miroir de la famille de Nazareth".
La lettre du pape sur la signification de la crèche
Le 1er décembre 2019, le pape François publie une lettre apostolique "Admirabile signum" sur la valeur de la crèche et sa signification. "Le merveilleux signe de la crèche, si chère au peuple chrétien, suscite toujours étonnement et émerveillement", tel est le début de la lettre du pape. Il décrit la tradition familiale qu'on apprend dès l'enfance comme "un Évangile vivant", et souhaite que cette tradition "tombée en désuétude, [...] puisse être redécouverte et revitalisée". Il soutient aussi le fait d'étendre l'installation de cette coutume sur les lieux de travail, les écoles, les prisons, les hôpitaux ... Le pape salue également l'initiative de Saint François, qui mit en place la première crèche vivante pour Noël à Greccio, en 1223.
Twitter, Instagram... Un pape connecté
Le pape François est présent sur le réseau social Twitter, via le compte @Pontifex. Ses buts sont d’évangéliser à travers des tweets et de se rapprocher de la jeunesse. Chaque tweet est publié en neuf langues. En février 2020, il possède 1,5 million d'abonnés pour son compte twitter français.
"Quiconque demeure en lui ne pèche point quiconque pèche ne l'a pas vu et ne l'a pas connu"
Auparavant pp a écrit : Est-il plus fort que D.ieu ? béni soit-Il !
Pollux a écrit : ↑13 nov.20, 11:49Si Dieu avait pu neutraliser Satan en claquant des doigts il l'aurait fait depuis longtemps.
En clair, vous affirmez que D.ieu, béni soit-Il, ne peut pas neutraliser le satan en claquant des doigts.
Est-ce que cela signifie que le satan ne peut être vaincu que par la ruse car D.ieu, béni soit-Il, n’est pas assez fort pour l’affronter ?
POLLUX a écrit :Satan n'est pas une personne mais un esprit qui s'est infiltré presque partout dans notre monde. Il fallait donc viser très large pour l'atteindre.
Et donc tromper tout le monde ?
Affirmez-vous que D.ieu, béni soit-Il, a choisi de tromper tout le monde avec une comédie, un simulacre de crucifixion et une fausse résurrection.
POLLUX a écrit :Libre à vous de me croire ou pas.
Qui croire à présent puisque selon vous-même D.ieu, béni soit-Il, organise un mensonge universel ?
Seriez-vous plus crédible que Celui que vous traitez de menteur ?
pauline.px a écrit : ↑14 nov.20, 09:37
En clair, vous affirmez que D.ieu, béni soit-Il, ne peut pas neutraliser le satan en claquant des doigts.
Est-ce que cela signifie que le satan ne peut être vaincu que par la ruse car D.ieu, béni soit-Il, n’est pas assez fort pour l’affronter ?
Dieu nous a accordé le libre arbitre et il respecte son engagement. Ceux qui veulent se tourner vers Satan ont donc le champ libre pour le faire, Dieu n'interviendra pas avant le moment prévu.
a écrit :Affirmez-vous que D.ieu, béni soit-Il, a choisi de tromper tout le monde avec une comédie, un simulacre de crucifixion et une fausse résurrection.
Pas tout le monde mais seulement ceux qui font des interprétations littérales de la Bible et attachent plus d'importance à la signification matérielle que spirituelle.
2 Corinthiens 3: 6 Il nous a aussi rendus capables d'être ministres d'une nouvelle alliance, non de la lettre, mais de l'esprit; car la lettre tue, mais l'esprit vivifie.
La crucifixion et la résurrection ne sont pas fausses mais s'interprètent de façon spirituelle.
a écrit :Qui croire à présent puisque selon vous-même D.ieu, béni soit-Il, organise un mensonge universel ?
Seriez-vous plus crédible que Celui que vous traitez de menteur ?
Je ne fais pas partie de ces gens qui se permettent de juger Dieu sur sa façon de procéder pour amener l'humanité à la repentance, par contre je ne me gêne pas pour dénoncer les scénarios iniques imaginés par des interprètes religieux qui cherchent à tout prix à sauver leur vision d'un Dieu exterminateur. Je sais que beaucoup de croyants ne pourraient pas supporter l'idée que Dieu nous ait volontairement égaré avec des textes ambigus, même si c'est pour mettre le mal en échec en limitant les dégâts, mais cela était clairement annoncé dans la Bible:
2 Thessaloniciens 2: 11-12 Aussi Dieu leur envoie une puissance d'égarement, pour qu'ils croient au mensonge, afin que tous ceux qui n'ont pas cru à la vérité, mais qui ont pris plaisir à l'injustice, soient condamnés.
L'essentiel de la vision de Paul est résumé par ce verset.
Ne reste plus qu'à choisir son clan: ou bien on s'incline devant la méthode douce choisie par Dieu, ou bien on laisse notre inhumanité prendre le dessus et on se range du côté de ceux qui préféreraient que tout se règle par un bain de sang ou une destruction planétaire.
C'est le dilemme que l'Apocalypse nous présente. À nous de faire le bon choix.
Modifié en dernier par Pollux le 15 nov.20, 01:24, modifié 17 fois.