La différence mon ami, c'est que dans le Coran, c'est ton Allah qui dit "Tuez les tous". Dans la Bible, c'est une narration de faits humains.Tokugawa Ieyasu a écrit : dixit un chrétien ayant Josué dans son livre saint...
nier la shoa ajoute t'il a la liberté d'expression ?
- Tokugawa Ieyasu
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Ecrit le 18 mars08, 12:14
mais si on prend des bombes sur le coin de la tête. On périra toi, moi comme eux et nous.Sosa a écrit : Etant né en France j'ai pris certaines valeurs des blancs comme le pragmatisme le jour où le rapport de force sera de notre coté on se vengera.
La bombe ne distingue pas les groupes
C'est l'an 2000, on fait la guerre avec l'arme atomique. Quel est le premier assez fou pour la laisser partir en premier ?
Yen a 8 dans le Monde. Qui appui sur le bouton ?
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Ecrit le 18 mars08, 23:36
1) WM = webmaster = EliaqimDéborah a écrit :1/ que veut dire WM ?
2/ pourquoi c'est interdit de reprendre ce que les autres disent ? car cela ne vous dérange pas de ramener les dires des musulmans d'autres forums qui seraient bannis ici.
3/ a-ton avis Merek fait parti des administrateurs de ce forum ?
2) c'est comme si le propriétaire d'une maison ne voulait pas que quelqu'un y entre et que toi, qui a la clef, le fait entrer quand même
3) ce n'est pas mon problème - il y en a d'autres qui ne devraient pas être modos, surtout quand il se serent de leur petit pouvoir pour espionner les autres
Ecrit le 18 mars08, 23:40
Pourquoi n'aurait-il pas le droit d'y entrer ? car il va ridiculiser Merek ? ou parce qu'il est catholique ? n'y aurait-il que des TJ comme chrétiens ici ?
et je te signalerais qu'au départ, ils avaient bloqué mon ip quand je me suis faché contre samuel , je ne pouvais même plus lire
et je te signalerais qu'au départ, ils avaient bloqué mon ip quand je me suis faché contre samuel , je ne pouvais même plus lire
- bobesite
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Ecrit le 19 mars08, 00:08
[quote="Déborah"]Comme Phil est bloqué à l'entrée et qu'il parle de ce sujet, je transmets :
Philmo (athéé et irrespectueux envers Dieu) :
"
votre copain phil, annonce la couleur d'entrée de jeu.Au moins il n'y a pas d'ambiguité a son sujet. On a tout de suite compris derrière quelle bannière il se range.
la shoah n'est en rien comparable avec un autre génocide.
la shoah a ses spécificités Notamment elle s'es t passée en europe et la France a même été "complice".Dans les autres génocides l'extermination ne s'est pas faite scientifiquement, organisée, planifiée. comme cela a été le cas par les nazis.
Vous etes prets a toutes les manipulations pour justifier ou nier la shoah.
belle mentalité.
Philmo (athéé et irrespectueux envers Dieu) :
"
votre copain phil, annonce la couleur d'entrée de jeu.Au moins il n'y a pas d'ambiguité a son sujet. On a tout de suite compris derrière quelle bannière il se range.
la shoah n'est en rien comparable avec un autre génocide.
la shoah a ses spécificités Notamment elle s'es t passée en europe et la France a même été "complice".Dans les autres génocides l'extermination ne s'est pas faite scientifiquement, organisée, planifiée. comme cela a été le cas par les nazis.
Vous etes prets a toutes les manipulations pour justifier ou nier la shoah.
belle mentalité.
Ecrit le 19 mars08, 00:14
Il ne cherche pas à la nier, il dit qu'on ne peut pas parler de la shoah sans tomber sous le coup de la loi française!!!!!!!bobesite a écrit : votre copain phil, annonce la couleur d'entrée de jeu.Au moins il n'y a pas d'ambiguité a son sujet. On a tout de suite compris derrière quelle bannière il se range.
la shoah n'est en rien comparable avec un autre génocide.
la shoah a ses spécificités Notamment elle s'es t passée en europe et la France a même été "complice".Dans les autres génocides l'extermination ne s'est pas faite scientifiquement, organisée, planifiée. comme cela a été le cas par les nazis.
Vous etes prets a toutes les manipulations pour justifier ou nier la shoah.
belle mentalité.
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Ecrit le 19 mars08, 00:19
ce qui est interdit par la loi, c'est le négationnisme, ce que ton copain semble regretter
Le terme négationnisme désigne, dans sa signification première, la négation de la réalité du génocide pratiqué par l'Allemagne nazie pendant la Seconde Guerre mondiale contre les Juifs et les Tziganes. Le négationnisme consiste ainsi à prétendre, notamment par la négation de l'existence des chambres à gaz d'extermination ou de la volonté d'extermination des Juifs d'Europe par les nazis, que la réalité de ces crimes relèverait de mythes. L'expression publique de ces propos est sanctionnée dans de nombreux pays. Le 26 janvier 2007, l'Assemblée Générale des Nations Unies a adopté par consensus une résolution condamnant la négation du génocide des Juifs par l'Allemagne nazie pendant la Seconde Guerre mondiale.
Les motivations des négationnistes peuvent être diverses. Dans le cas de la négation du génocide juif commis par les nazis, elles apparaissent être principalement l'antisémitisme et la volonté de défendre - en niant la réalité des faits - le régime nazi et ses collaborateurs (comme le régime de Vichy en France). Mais il existe aussi un négationnisme issu de l'« ultra-gauche » (comme celui du groupe français La Vieille Taupe fondé par Pierre Guillaume) qui visait initialement à défaire la pensée politique du consensus de l'antifascisme jugé préjudiciable à la possibilité de la révolution. Ce groupe très minoritaire est, de fait, conduit à se tourner vers l'extrême droite négationniste.
La négation d’un génocide (Shoah, Génocide arménien, Rwanda, etc.) vise notamment, de facto, à obtenir un non-lieu pour ce qui est admis comme un crime, et à retirer aux victimes ou à leurs ayants droit tout droit à la moindre réparation (en l’absence de crime il n’y a plus ni criminels ni victimes). Le négationnisme peut ainsi servir à protéger aussi bien les auteurs d'un génocide, que les complices d'un génocide et les héritiers idéologiques d'un génocide.
Les thèses négationnistes reposent le plus souvent sur des faits maquillés ou l'omission délibérée d'éléments à charge. On estime en conséquence que ces thèses sont le fait d'extrémistes (antisémitisme, etc.) et de faussaires.
Le but est aussi de se montrer socialement acceptable, tout en revendiquant son nazisme, ou encore de décourager les opposants, pour recommencer
_________________________________________________-
la preuve qu'on peut parler de la Shoa :
Le terme Shoah (hébreu : השואה) désigne l'extermination par l'Allemagne nazie des trois quarts des Juifs de l'Europe occupée, soit les deux tiers de la population juive européenne totale et environ 40 % des Juifs du monde, pendant la Seconde Guerre mondiale — ce qui représente entre cinq et six millions de victimes selon les estimations des historiens[1]. Ce génocide des Juifs constituait pour les nazis « la Solution finale à la question juive » (die Endlösung der Judenfrage).
L'extermination des Juifs, cible principale des nazis, fut perpétrée par la faim dans les ghettos de Pologne et d'URSS occupées, par les fusillades massives des unités mobiles de tuerie des Einsatzgruppen sur le front de l'Est, au moyen de l'extermination par le travail forcé dans les camps de concentration, et dans les chambres à gaz des camps de la mort.
L'horreur de ce « crime de masse »[2] a conduit, après-guerre, à l'élaboration des notions juridiques de « crime contre l'humanité »[3] et de « génocide »[4], utilisé postérieurement dans d'autres contextes (génocide arménien, génocide des Tutsi, etc.). Une très grave lacune du droit international humanitaire a également été complétée avec l'adoption des Conventions de Genève de 1949, qui protègent la population civile en temps de guerre[5].
L'extermination du peuple juif durant la Seconde Guerre mondiale se distingue toutefois par son caractère industriel, bureaucratique et systématique, qui la fait rester à l'heure actuelle unique dans l'histoire humaine. Paroxysme d'un antisémitisme européen à la très longue histoire, ce génocide a voulu éliminer radicalement la totalité d'une population qui ne représentait aucune menace militaire ou politique pour les bourreaux. Les femmes, les bébés ou les vieillards furent tout aussi systématiquement traqués et voués à la mort de masse que les hommes adultes. En particulier, 1 500 000 enfants furent victimes de l'anéantissement[6].
L'extermination physique des Juifs fut aussi précédée ou accompagnée de leur spoliation systématique (aryanisation) et de la destruction d'une part considérable de leur patrimoine culturel ou religieux.
Le Troisième Reich, qui désirait durer mille ans, a aussi exterminé en masse les Tziganes (Porajmos), les homosexuels allemands, dans le Programme Aktion T4 les handicapés mentaux (beaucoup de maîtres-d'œuvre de l’"euthanasie" étant ensuite affectés au gazage massif des Juifs). Il a assassiné dans ses prisons et ses camps de concentration les Témoins de Jéhovah, les franc-maçons, les esperantophones, les dissidents politiques et les résistants de toute l'Europe en général, en particulier les communistes.
Le terme « Shoah », néanmoins, se réfère plus particulièrement au génocide des juifs, et à sa spécificité radicale, amplement établie par l'historiographie et intégrée par la conscience contemporaine depuis sa redécouverte dans les années 1970.
Le terme négationnisme désigne, dans sa signification première, la négation de la réalité du génocide pratiqué par l'Allemagne nazie pendant la Seconde Guerre mondiale contre les Juifs et les Tziganes. Le négationnisme consiste ainsi à prétendre, notamment par la négation de l'existence des chambres à gaz d'extermination ou de la volonté d'extermination des Juifs d'Europe par les nazis, que la réalité de ces crimes relèverait de mythes. L'expression publique de ces propos est sanctionnée dans de nombreux pays. Le 26 janvier 2007, l'Assemblée Générale des Nations Unies a adopté par consensus une résolution condamnant la négation du génocide des Juifs par l'Allemagne nazie pendant la Seconde Guerre mondiale.
Les motivations des négationnistes peuvent être diverses. Dans le cas de la négation du génocide juif commis par les nazis, elles apparaissent être principalement l'antisémitisme et la volonté de défendre - en niant la réalité des faits - le régime nazi et ses collaborateurs (comme le régime de Vichy en France). Mais il existe aussi un négationnisme issu de l'« ultra-gauche » (comme celui du groupe français La Vieille Taupe fondé par Pierre Guillaume) qui visait initialement à défaire la pensée politique du consensus de l'antifascisme jugé préjudiciable à la possibilité de la révolution. Ce groupe très minoritaire est, de fait, conduit à se tourner vers l'extrême droite négationniste.
La négation d’un génocide (Shoah, Génocide arménien, Rwanda, etc.) vise notamment, de facto, à obtenir un non-lieu pour ce qui est admis comme un crime, et à retirer aux victimes ou à leurs ayants droit tout droit à la moindre réparation (en l’absence de crime il n’y a plus ni criminels ni victimes). Le négationnisme peut ainsi servir à protéger aussi bien les auteurs d'un génocide, que les complices d'un génocide et les héritiers idéologiques d'un génocide.
Les thèses négationnistes reposent le plus souvent sur des faits maquillés ou l'omission délibérée d'éléments à charge. On estime en conséquence que ces thèses sont le fait d'extrémistes (antisémitisme, etc.) et de faussaires.
Le but est aussi de se montrer socialement acceptable, tout en revendiquant son nazisme, ou encore de décourager les opposants, pour recommencer
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la preuve qu'on peut parler de la Shoa :
Le terme Shoah (hébreu : השואה) désigne l'extermination par l'Allemagne nazie des trois quarts des Juifs de l'Europe occupée, soit les deux tiers de la population juive européenne totale et environ 40 % des Juifs du monde, pendant la Seconde Guerre mondiale — ce qui représente entre cinq et six millions de victimes selon les estimations des historiens[1]. Ce génocide des Juifs constituait pour les nazis « la Solution finale à la question juive » (die Endlösung der Judenfrage).
L'extermination des Juifs, cible principale des nazis, fut perpétrée par la faim dans les ghettos de Pologne et d'URSS occupées, par les fusillades massives des unités mobiles de tuerie des Einsatzgruppen sur le front de l'Est, au moyen de l'extermination par le travail forcé dans les camps de concentration, et dans les chambres à gaz des camps de la mort.
L'horreur de ce « crime de masse »[2] a conduit, après-guerre, à l'élaboration des notions juridiques de « crime contre l'humanité »[3] et de « génocide »[4], utilisé postérieurement dans d'autres contextes (génocide arménien, génocide des Tutsi, etc.). Une très grave lacune du droit international humanitaire a également été complétée avec l'adoption des Conventions de Genève de 1949, qui protègent la population civile en temps de guerre[5].
L'extermination du peuple juif durant la Seconde Guerre mondiale se distingue toutefois par son caractère industriel, bureaucratique et systématique, qui la fait rester à l'heure actuelle unique dans l'histoire humaine. Paroxysme d'un antisémitisme européen à la très longue histoire, ce génocide a voulu éliminer radicalement la totalité d'une population qui ne représentait aucune menace militaire ou politique pour les bourreaux. Les femmes, les bébés ou les vieillards furent tout aussi systématiquement traqués et voués à la mort de masse que les hommes adultes. En particulier, 1 500 000 enfants furent victimes de l'anéantissement[6].
L'extermination physique des Juifs fut aussi précédée ou accompagnée de leur spoliation systématique (aryanisation) et de la destruction d'une part considérable de leur patrimoine culturel ou religieux.
Le Troisième Reich, qui désirait durer mille ans, a aussi exterminé en masse les Tziganes (Porajmos), les homosexuels allemands, dans le Programme Aktion T4 les handicapés mentaux (beaucoup de maîtres-d'œuvre de l’"euthanasie" étant ensuite affectés au gazage massif des Juifs). Il a assassiné dans ses prisons et ses camps de concentration les Témoins de Jéhovah, les franc-maçons, les esperantophones, les dissidents politiques et les résistants de toute l'Europe en général, en particulier les communistes.
Le terme « Shoah », néanmoins, se réfère plus particulièrement au génocide des juifs, et à sa spécificité radicale, amplement établie par l'historiographie et intégrée par la conscience contemporaine depuis sa redécouverte dans les années 1970.
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Ecrit le 19 mars08, 00:20
Il ne cherche pas à la nier, il dit qu'on ne peut pas parler de la shoah sans tomber sous le coup de la loi française!!!!!!![/quote]Déborah a écrit : votre copain phil, annonce la couleur d'entrée de jeu.Au moins il n'y a pas d'ambiguité a son sujet. On a tout de suite compris derrière quelle bannière il se range.
la shoah n'est en rien comparable avec un autre génocide.
la shoah a ses spécificités Notamment elle s'es t passée en europe et la France a même été "complice".Dans les autres génocides l'extermination ne s'est pas faite scientifiquement, organisée, planifiée. comme cela a été le cas par les nazis.
Vous etes prets a toutes les manipulations pour justifier ou nier la shoah.
belle mentalité.
qu'est ce qu'on fait sinon parler de la shoah???
vous jouez encore sur les mots, pour éviter de dire le fond de votre pensée.Ce n'est pas parler de la shoah dont vous avez envie , mlais bien d'avoir la pôssibilité de nier sa réalité.
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