Re: Pourquoi l'islam est un danger pour l'humanité
Posté : 13 août16, 06:43
Allah Puissant et Sage transfert les pêchés des musulmans aux juifs et chrétiens
— Début de la traduction —
51 – (…) Nous avons été entretenus par Mohammed bin Amrou bin Oubad ibn Jabala bin Abi Rawad, nous avons été entretenus par Harrami bin Umara, nous avons été entretenus par Chaddad Abu Talha al-Rassibi, d’après Ghaylane bin Jourayr, d’après Abi Bourda, d’après son père, d’après le prophète qui a dit :
« Le jour du jugement dernier, viendront des gens parmi les musulmans avec des péchés comme des montagnes. Dieu les leur pardonne et il les met sur le compte des juifs et des chrétiens » D’après ce que je crois .
[…]
Abi Bourda a dit : j’ai narré ce hadith à Omar ibn Abi al-Aziz.
Il a dit : tu es sûr que ton père t’a dit ce hadith d’après le prophète.
J’ai répondu : oui.
— fin de la traduction —
Notes de traduction
: C’est le prophète qui dit « D’après ce que je crois. ». Cette formulation était assez peu courante chez-lui et semble témoigner d’un avis personnel. C’est peut-être Abi Bourda qui l’a rajoutée pour adoucir le hadith un peu.
Sahih Muslim
De : Muslim ibn al-Hadjaj (815 – 875)
Page 1269
Analyse :
Heureusement qu’il y a des juifs et des chrétiens ! Merci d’exister les gars. Autrement, les musulmans avec des « péchés comme des montagnes » iraient en enfer.
C’est dingue comme Allah ne semble pas trop soucieux de justice. Il veut surtout punir. Pour Lui, peu importe qui a commis le mal. Au fond, il veut avoir la peau des juifs et des chrétiens. Potentiellement, il peut donc punir pour vol, meurtre, fornication, mensonge… des gens qui n’ont pas du tout commis cela !
Voici donc la justice divine version « religion du califat ». A force de tuer jusqu’aux bébés, les califes ont dû imposer l’idée que Dieu était une pourriture comme eux. Lui aussi n’a rien à cirer de la justice !
On voit aussi comment ce système de pensée sunnite n’a jamais réussi à créer une société équilibrée. Les sociétés (et mêmes les quartiers) « sunnites » sont devenus universellement connues pour le crime et la violence. Nul ne peut évoluer avec l’esprit qu’il est supérieur aux autres et que l’injustice divine va punir d’autres pour ses crimes à lui.
Pour placer les personnages et savoir d’où vient cette école « religieuse » (politique serait plus correct) voici les protagonistes :
Abi Bourda était Kadi ou juge nommé en poste par le gouverneur omeyyade d’Irak Al-Hajaj ibn Youssouf. Ce gouverneur était l’une des pires crapules de l’Histoire musulmane. Les livres le décrivent comme une brute assoiffée de sang humain n’ayant que l’invective et la menace à la bouche. On imagine bien que s’il nomme Abi Bourda comme juge, c’est qu’il le trouve compatible avec les normes de son gouvernorat.
Omar ibn Abi al-Aziz, celui qui sollicite le hadith, est appelé aussi Omar II. C’était un calife Omeyyade qui a régné de 717 à 720. On constate que lui-même a du mal à croire au hadith. Dans d’autres versions de cette histoire, il fait jurer Abi Bourda trois fois qu’il l’a bien entendu de son père.
Qui est le père d’Abu Bourda ? Nul autre que le fils du fameux Abu Moussa al-Alchaari, un compagnon du prophète et un homme de politique et de guerre qui a travaillé pour le califat omeyyade également.
— Début de la traduction —
51 – (…) Nous avons été entretenus par Mohammed bin Amrou bin Oubad ibn Jabala bin Abi Rawad, nous avons été entretenus par Harrami bin Umara, nous avons été entretenus par Chaddad Abu Talha al-Rassibi, d’après Ghaylane bin Jourayr, d’après Abi Bourda, d’après son père, d’après le prophète qui a dit :
« Le jour du jugement dernier, viendront des gens parmi les musulmans avec des péchés comme des montagnes. Dieu les leur pardonne et il les met sur le compte des juifs et des chrétiens » D’après ce que je crois .
[…]
Abi Bourda a dit : j’ai narré ce hadith à Omar ibn Abi al-Aziz.
Il a dit : tu es sûr que ton père t’a dit ce hadith d’après le prophète.
J’ai répondu : oui.
— fin de la traduction —
Notes de traduction
: C’est le prophète qui dit « D’après ce que je crois. ». Cette formulation était assez peu courante chez-lui et semble témoigner d’un avis personnel. C’est peut-être Abi Bourda qui l’a rajoutée pour adoucir le hadith un peu.
Sahih Muslim
De : Muslim ibn al-Hadjaj (815 – 875)
Page 1269
Analyse :
Heureusement qu’il y a des juifs et des chrétiens ! Merci d’exister les gars. Autrement, les musulmans avec des « péchés comme des montagnes » iraient en enfer.
C’est dingue comme Allah ne semble pas trop soucieux de justice. Il veut surtout punir. Pour Lui, peu importe qui a commis le mal. Au fond, il veut avoir la peau des juifs et des chrétiens. Potentiellement, il peut donc punir pour vol, meurtre, fornication, mensonge… des gens qui n’ont pas du tout commis cela !
Voici donc la justice divine version « religion du califat ». A force de tuer jusqu’aux bébés, les califes ont dû imposer l’idée que Dieu était une pourriture comme eux. Lui aussi n’a rien à cirer de la justice !
On voit aussi comment ce système de pensée sunnite n’a jamais réussi à créer une société équilibrée. Les sociétés (et mêmes les quartiers) « sunnites » sont devenus universellement connues pour le crime et la violence. Nul ne peut évoluer avec l’esprit qu’il est supérieur aux autres et que l’injustice divine va punir d’autres pour ses crimes à lui.
Pour placer les personnages et savoir d’où vient cette école « religieuse » (politique serait plus correct) voici les protagonistes :
Abi Bourda était Kadi ou juge nommé en poste par le gouverneur omeyyade d’Irak Al-Hajaj ibn Youssouf. Ce gouverneur était l’une des pires crapules de l’Histoire musulmane. Les livres le décrivent comme une brute assoiffée de sang humain n’ayant que l’invective et la menace à la bouche. On imagine bien que s’il nomme Abi Bourda comme juge, c’est qu’il le trouve compatible avec les normes de son gouvernorat.
Omar ibn Abi al-Aziz, celui qui sollicite le hadith, est appelé aussi Omar II. C’était un calife Omeyyade qui a régné de 717 à 720. On constate que lui-même a du mal à croire au hadith. Dans d’autres versions de cette histoire, il fait jurer Abi Bourda trois fois qu’il l’a bien entendu de son père.
Qui est le père d’Abu Bourda ? Nul autre que le fils du fameux Abu Moussa al-Alchaari, un compagnon du prophète et un homme de politique et de guerre qui a travaillé pour le califat omeyyade également.