témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
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Le courant bouddhisme mahāyāna, terme sanskrit signifiant « Grand Véhicule » apparaît vers le 1er siècle de notre ère dans le Nord de l’Inde. Actuellement le bouddhisme mahayana a une forte présence en Chine, au Tibet, au Japon au ve siècle, en Corée en 372, au Viêtnam, à Singapour et Taïwan. La tradition du Mahayana, met l’accent sur la pratique altruiste du bodhisattva comme moyen pour parvenir à l’éveil, à la fois pour soi-même et pour les autres.
Le courant bouddhisme mahāyāna, terme sanskrit signifiant « Grand Véhicule » apparaît vers le 1er siècle de notre ère dans le Nord de l’Inde. Actuellement le bouddhisme mahayana a une forte présence en Chine, au Tibet, au Japon au ve siècle, en Corée en 372, au Viêtnam, à Singapour et Taïwan. La tradition du Mahayana, met l’accent sur la pratique altruiste du bodhisattva comme moyen pour parvenir à l’éveil, à la fois pour soi-même et pour les autres.
Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 31 mars18, 22:17...Quelque chose vous échappe!....
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Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 01 avr.18, 06:18Lol ca me rappelle Shonin et sa "preuve actuelle", à part qu'ici, la personne a compris comment l'auto conditionnement marchait !algol-x a écrit :Les membres de la SGI passent souvent beaucoup de temps a répéter leur mantra et à travailler pour la SGI. Comment les dirigeants vont les amener à le faire s'il n'y a pas un "avantage", ou "une expérience?" Je pense que cela amène les gens à interpréter des coïncidences à travers ce filtre. C'est une bonne chose qui s'est passé? C'est parce que je pratique. C'est une mauvaise ? Je n'ai pas assez pratiqué. Je n'ai pas applaudi assez fort quand ils ont montré la vidéo le président Ikeda.
Une femme que je connaissais a donné son témoignage lors d'une réunion: elle était sans emploi et a finalement trouvé un bon travail, et tout cela était dû selon elle a plusieurs heures de pratique par jour. Eh bien, oui, mais elle a également passé plusieurs heures par jour à la recherche d'un emploi - fait des appels, envoyé des CV, vu des entreprises et parler à des gens qui parlerait d'elle. En plus elle avait la bonne formation pour les emplois qu'elle voulait, cela lui a permis d'obtenir son emploi. Mais non, elle a insisté, c'était le chant (la pratique). J'ai entendu tellement d'histoires comme ça dans mes années au sein de la SGI !
Les gens veulent juste croire que leur vie a changé et que c'est seulement à cause de leur implication dans la SGI. Les membres anciens que je connaissais n'arrêtait pas de dire que leur pratique du bouddhisme SGI les avait tellement changés. Je connaissais certains d'entre eux depuis dix ou quinze ans. Peut-être que quelque chose m'échappe, mais je n'ai vu que peu ou pas de changements chez eux au cours des ans. Ils avaient toujours les mêmes personnalités, qu'ils soient colériques ou même paresseux, le même travail, santé, finance, relations ou problèmes familiaux !
http://forum.doctissimo.fr/psy [...] tm#t198412
Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 02 avr.18, 01:23Les "expériences de vie" dans la Soka Gakkai, sont le fruit d'une manipulation qui consiste à ce que l'adepte soit gratifié, reconnu par le groupe quand il interprète les évènements de sa vie selon la grille de lecture propre à Gakkai et qui conforte ses rêves, ses espoirs. Un simple reliquat de remboursement sécu peut-être perçu comme un "kudoku" c'est à dire un résultat attribué à la pratique.
La pratique ne change pas grand chose , sinon qu'elle modifie le sens que l'individu appose sur la réalité, les "résultats" excédants jamais au mieux l'effet placebo.
Un des danger de cette déréalisation est de rendre les personnes crédules, et vulnérables face à des situations qu'elles auraient pu gérer de façon avisée et prudente.
J'ai connu une pratiquante divorcée, qui était persuadée que grâce à la pratique elle avait rencontré un nouveau compagnon, et avec les yeux de l'amour, elle prenait pour de originalité chez lui, ce qui aurait pu être identifié comme des troubles du comportement.
Ce type s'est révélé être un violeur qui a abusé pendant des années de sa fille . Un jour il s'est présenté à l'improviste chez moi (j’étais responsable de zad), c'était un mercredi matin. Que se serait-t-il passé ans à l'époque, si ma fille avait été présente ce jour là et moi absent !
Il y avait eu pourtant un précédent: au cour d'une pratique un dimanche matin, se retrouvant momentanément seul avec une jeune femme, il entrepris de l'agresser! Fort heureusement le retour de l'hôte des lieux mit un terme à cette tentative, ce dernier préférant étouffer l'affaire...
Le type en question à été condamné à 20 ans de prison !
La pratique ne change pas grand chose , sinon qu'elle modifie le sens que l'individu appose sur la réalité, les "résultats" excédants jamais au mieux l'effet placebo.
Un des danger de cette déréalisation est de rendre les personnes crédules, et vulnérables face à des situations qu'elles auraient pu gérer de façon avisée et prudente.
J'ai connu une pratiquante divorcée, qui était persuadée que grâce à la pratique elle avait rencontré un nouveau compagnon, et avec les yeux de l'amour, elle prenait pour de originalité chez lui, ce qui aurait pu être identifié comme des troubles du comportement.
Ce type s'est révélé être un violeur qui a abusé pendant des années de sa fille . Un jour il s'est présenté à l'improviste chez moi (j’étais responsable de zad), c'était un mercredi matin. Que se serait-t-il passé ans à l'époque, si ma fille avait été présente ce jour là et moi absent !
Il y avait eu pourtant un précédent: au cour d'une pratique un dimanche matin, se retrouvant momentanément seul avec une jeune femme, il entrepris de l'agresser! Fort heureusement le retour de l'hôte des lieux mit un terme à cette tentative, ce dernier préférant étouffer l'affaire...
Le type en question à été condamné à 20 ans de prison !
"Une carte n'est pas le territoire" Alfred Korzybski
Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 02 avr.18, 03:33C'est quoi le rapport avec la SG ?
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
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Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 02 avr.18, 03:56Ca semble rendre pas mal de gens dérangés, mais à lire certaines réponses qui sont faites par des intervenants ici, ont peut postuler aussi qu'ils l'étaient probablementYvon a écrit :C'est quoi le rapport avec la SG ?
déjà en partie avant. Le fait de croire au mantra, et qu'il va régler leurs problèmes existentiels ou autres, ne fait qu'accentuer leurs problèmes !
Bonjour à tous,
Une de mes amies est depuis plusieurs anées adeptes de la sokka gakkaï. l'an dernier, elle n'en parlait que peu, allait à quelques réunions, etc.. Mais j'ai l'impression que sa pratique prend de plus en plus de place dans sa vie et qu'elle devient folle. Elle ne parle plus que de ça, elle ne travaille plus, reste enfermée chez elle à pleurer et prier, elle n'a plus d'argent, plus de voiture, n'a pas payé son loyer depuis des mois, n'ouvre même plus son courrier... Elle ne fait que répéter que sa foi va la sauver, qu'il lui sufit de garder la foi et tout s'arrangera, et que maintenant qu'elle avait régles ses problèmes, résolu son kharma selon elle, elle est persuadée que tout va changer tout seul. Je ne peux rien lui dire, car elle se braque rapidement ; lorsque je la vois, elle ne parle presque plus que de ça, elle me lit des textes, et elle veut "convertir" (selon ses propos) tout le monde, elle dit que c'est là sa "mission". Je me fais vraiment du souci pour elle, et je ne sais plus quoi faire. Je respecte sa foi et ses principes, après tout qui suis-je pour juger ou savoir quoi que ce soit, mais il me semble que pour améliorer sa vie, il faut se mettre en quête de solution, elle me dit que sa foi a elle seule suffit. On n'a plus aucune conversation, elle monologue, sans arrêt, elle sait tout, s'énerve des qu'on ne va pas dans son sens, et je commence à perdre patience. Elle semble ne plus supporter d'accepter que je ne veuille pas y rentrer, elle me dit toujours lorsque je lui parle d'un problème "seule la prière pourrait t'aider".
Elle n'est plus la même, moins de joie de vivre, de conversation, de centres d'intéret. Elle s'est mise en tête qu'un homme était l'homme de sa vie, qu'ils allaient se marier, elle dit que sa prière la ramène toujours à lui, elle voit des signes partout, et elle le harcèle, et lui vient de se fiancer à une autre. Elle est persuadée que si, mais qu'il ne le sait pas encore avoué. C'est tou ce à suoi elle se raccroche : sa "secte" comme elle le dit elle même (humour) et cet homme; je ne sais plus quoi faire; à vrai dire elle commence à me faire peur. Dès que je la contredis, elle s'énerve. elle est désagréable. Cela ne ressemble plus à de l'amitié, mais je connais son coeur, je l'aime et je refuse de la laisser regarder sombrer. Auriez-vous des conseils à m'apporter? Je ne sais plus comment lui parler, elle est complètement fermée sur ses idées, la communication ne passe plus, il n'y a pas de débats, pas d'échange possible, elle s'exaspere, comme si je disais des stupidités.
LAy45za
Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 02 avr.18, 04:05C'est pas propre à la Soka Gakkai des adeptes dérangés . D'ailleurs il est fortement conseillé de ne pas transmettre la Loi à des personnes ayant des troubles psychologiques .
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
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Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 02 avr.18, 04:21Avec des leaders incompétents dans ces domaines, il y a peu de chance qu'ils refusent qui que ce soit !
Responsables Bouddhiques & Aide à la Personne
La Révolution Humaine de la SGI est un processus de transmutation profonde de l'inconscient, de l'ego et de la conscience qui provoque les perturbations normales inhérentes à ce type de processus méta psychique. Ce qui nécessite évidemment un accompagnement psychologique, une aide à la personne, par des personnes ayant une formation et des compétences.
Les "responsables bouddhiques officiels" n'en reçoivent aucune de ce type. Ils sont psychologiquement incompétents, donc potentiellement dangereux. Leur névrose ou leur psychose est évidente pour celles et ceux qui les fréquentent régulièrement durant de nombreuses années, et qui savent écouter et observer autant le langage oral que corporel... La persistance et la récurrence de leurs troubles jamais guéris sont les symptômes de leur incapacité à guider "l'autre" vers la guérison.
Ainsi, aucune référence à des techniques psychothérapeutiques philosophiquement proches du bouddhisme ne peut être proposée officiellement aux croyants perturbés, ou dans une impasse, et auxquels les responsables bouddhiques ne peuvent pas offrir de réponses. Encore faudrait-il que ces responsables suivent une psychothérapie et s'engagent dans une étude approfondie de la question...
La méthode d'accompagnement et d'aide consiste à donner des "conseils" - ou directives dans la foi - toujours basés sur les discours de Maitre Ikeda, ainsi que les Lettres et Traités de Nichiren écrits dans le contexte de la société japonaise du XIII ème siècle.
Ces "directives" cherchent à encourager dans sa croyance le pratiquant qui ne parvient plus à faire face ni à ses problématiques intimes, ni à ses blocages inconscients. Le discours de "l'ainé" qui conseille est inspiré par la morale et la doctrine de Nichiren Daïshonin et par les commentaires qu'en a fait Daïsaku Ikeda.
Frustrations & Souffrances
Cet enseignement religieux de la SGI, partiel et déphasé, empêche ses adeptes de penser tout à fait par eux mêmes. Ils ne réalisent pas ce qu'est leur propre état de bouddha. Ils ne peuvent pas en prendre conscience. Au lieu de s'éveiller, ils stagnent dans leurs frustrations et s'étiolent tristement avec leurs croyances limitées, dans la dépendance aux préceptes du maitre à penser et de l'organisation.
Aveuglés par leur besoin d'idolâtrie ils considèrent le maitre à penser et l'enseignement comme la destination qu'ils cherchaient à atteindre, ils sont convaincus être parvenus là où ils voulaient arriver.
Cependant, là où ils se trouvent réellement c'est à un croisement avec des pancartes indiquant diverses destinations. Ils sont tous les yeux rivés face à l'une d'entre elles où ils lisent : c'est là. Alors qu'il y est écrit : c'est par là… Et c'est bien ce qu'en substance explique toute la philosophie bouddhique, quand elle parle d'illusions associées à l'Ego.
Le domaine "supérieur" de l'Éveil se situe "au niveau" de la Conscience Universelle qui transcende et est reliée à la Conscience Individuelle. En clair : l'individu s'entraine à devenir maitre des pulsons incontrôlables de son Ego et son inconscient, et non à en être l'esclave et la victime. Un des aspects de l'Éveil consiste à mettre respectueusement à son service les fonctions de son inconscient, de contribuer à sa croissance dans une perspective d'unité intérieure du conscient avec l'inconscient.
Aliénation & Libération Spirituelle dans les Églises du Nouvel Âge
Mais la SGI n'est pas unique et seule dans ce cas de figure. Toutes les églises, institutions spirituelles, organisations para-religieuses et structures de développement personnel ont pour "fond de commerce" de rassembler, d'endoctriner, de manipuler celles et ceux qui acceptent de s'y engager librement dans l'espoir d'être initiés pour atteindre une élévation spirituelle et la libération de leurs souffrances.
Mais aucune ne détient la solution : la vérité universelle. La pluralité, l'ouverture, intellectuelle, morale, éthique est la base de la recherche de l'information et de son traitement : de l'expérience de l'évolution humaine. Sans quoi la cécité, la stagnation et la dévolution s'installent. L'histoire des religions et philosophies est explicite à ce sujet.
Soumission & Domination
J'ai longuement côtoyé quotidiennement ces pratiquant de l'ACSBN. Après dix, vingt, trente années de pratiques et d'activités ils semblent égarés, désorientés, dans maints zones de leur existence. Une certaine immobilité s'instaure. Ils ne progressent plus sur le chemin de l'Éveil.
Il en résulte que leur psychorigidité et leur mal être endémique deviennent répulsifs et perturbants. C'est flagrant quand ils cherchent à expliquer exhaustivement les tenants et aboutissants de la doctrine et de l'organisation. Leur foi est incohérente, en décalage avec l'état de leur vie. Les contradictions de leur discours mettent en évidence leur faible niveau d'étude bouddhique.
Leur incompréhension se renforce d'autant plus qu'ils cultivent inconsciemment leurs tendances les plus insidieuses à la soumission et à la domination relationnelle entre cadets et ainés, dans le contexte de la structure de la SGI… Alors qu'ils sont animés d'un sincère désir de bien faire, et d'accomplir un rôle positif en participant au développement de l'organisation à laquelle ils se sont volontairement ralliés.
L'obédience à une idéologie a toujours conditionnée une attitude mentale proche du fanatisme. Cela conduit à l'abrutissement la personnalité qui s'y est soumise et qui obéit à ses modèles de comportements sociaux et culturels. Tout comme penser et agir au travers d'un code, d'une grille doctrinale, altère l'individualité qui s'aliène à des schémas moraux… Il en résulte un déséquilibre, une dénaturation et des perturbations de la globalité de l'être et de son environnement.
J'ai souvent observé chez ces croyant qui vivent dans la sphère d'influence de l'école de la SGI et adhèrent au culte du maitre à penser, que leurs différentes formes de dépendance à la doctrine, au groupe, au dirigeant, sont accompagnées de troubles psychologiques dégénératifs variés. Beaucoup sont concernés. Mais très rares sont ceux qui envisagent la pratique spirituelle comme intimement reliée à celle d'une psychothérapie. Ils ignorent qu'elles sont interdépendantes tout au long des étapes de leur existence.
Responsables Bouddhiques & Aide à la Personne
La Révolution Humaine de la SGI est un processus de transmutation profonde de l'inconscient, de l'ego et de la conscience qui provoque les perturbations normales inhérentes à ce type de processus méta psychique. Ce qui nécessite évidemment un accompagnement psychologique, une aide à la personne, par des personnes ayant une formation et des compétences.
Les "responsables bouddhiques officiels" n'en reçoivent aucune de ce type. Ils sont psychologiquement incompétents, donc potentiellement dangereux. Leur névrose ou leur psychose est évidente pour celles et ceux qui les fréquentent régulièrement durant de nombreuses années, et qui savent écouter et observer autant le langage oral que corporel... La persistance et la récurrence de leurs troubles jamais guéris sont les symptômes de leur incapacité à guider "l'autre" vers la guérison.
Ainsi, aucune référence à des techniques psychothérapeutiques philosophiquement proches du bouddhisme ne peut être proposée officiellement aux croyants perturbés, ou dans une impasse, et auxquels les responsables bouddhiques ne peuvent pas offrir de réponses. Encore faudrait-il que ces responsables suivent une psychothérapie et s'engagent dans une étude approfondie de la question...
La méthode d'accompagnement et d'aide consiste à donner des "conseils" - ou directives dans la foi - toujours basés sur les discours de Maitre Ikeda, ainsi que les Lettres et Traités de Nichiren écrits dans le contexte de la société japonaise du XIII ème siècle.
Ces "directives" cherchent à encourager dans sa croyance le pratiquant qui ne parvient plus à faire face ni à ses problématiques intimes, ni à ses blocages inconscients. Le discours de "l'ainé" qui conseille est inspiré par la morale et la doctrine de Nichiren Daïshonin et par les commentaires qu'en a fait Daïsaku Ikeda.
Frustrations & Souffrances
Cet enseignement religieux de la SGI, partiel et déphasé, empêche ses adeptes de penser tout à fait par eux mêmes. Ils ne réalisent pas ce qu'est leur propre état de bouddha. Ils ne peuvent pas en prendre conscience. Au lieu de s'éveiller, ils stagnent dans leurs frustrations et s'étiolent tristement avec leurs croyances limitées, dans la dépendance aux préceptes du maitre à penser et de l'organisation.
Aveuglés par leur besoin d'idolâtrie ils considèrent le maitre à penser et l'enseignement comme la destination qu'ils cherchaient à atteindre, ils sont convaincus être parvenus là où ils voulaient arriver.
Cependant, là où ils se trouvent réellement c'est à un croisement avec des pancartes indiquant diverses destinations. Ils sont tous les yeux rivés face à l'une d'entre elles où ils lisent : c'est là. Alors qu'il y est écrit : c'est par là… Et c'est bien ce qu'en substance explique toute la philosophie bouddhique, quand elle parle d'illusions associées à l'Ego.
Le domaine "supérieur" de l'Éveil se situe "au niveau" de la Conscience Universelle qui transcende et est reliée à la Conscience Individuelle. En clair : l'individu s'entraine à devenir maitre des pulsons incontrôlables de son Ego et son inconscient, et non à en être l'esclave et la victime. Un des aspects de l'Éveil consiste à mettre respectueusement à son service les fonctions de son inconscient, de contribuer à sa croissance dans une perspective d'unité intérieure du conscient avec l'inconscient.
Aliénation & Libération Spirituelle dans les Églises du Nouvel Âge
Mais la SGI n'est pas unique et seule dans ce cas de figure. Toutes les églises, institutions spirituelles, organisations para-religieuses et structures de développement personnel ont pour "fond de commerce" de rassembler, d'endoctriner, de manipuler celles et ceux qui acceptent de s'y engager librement dans l'espoir d'être initiés pour atteindre une élévation spirituelle et la libération de leurs souffrances.
Mais aucune ne détient la solution : la vérité universelle. La pluralité, l'ouverture, intellectuelle, morale, éthique est la base de la recherche de l'information et de son traitement : de l'expérience de l'évolution humaine. Sans quoi la cécité, la stagnation et la dévolution s'installent. L'histoire des religions et philosophies est explicite à ce sujet.
Soumission & Domination
J'ai longuement côtoyé quotidiennement ces pratiquant de l'ACSBN. Après dix, vingt, trente années de pratiques et d'activités ils semblent égarés, désorientés, dans maints zones de leur existence. Une certaine immobilité s'instaure. Ils ne progressent plus sur le chemin de l'Éveil.
Il en résulte que leur psychorigidité et leur mal être endémique deviennent répulsifs et perturbants. C'est flagrant quand ils cherchent à expliquer exhaustivement les tenants et aboutissants de la doctrine et de l'organisation. Leur foi est incohérente, en décalage avec l'état de leur vie. Les contradictions de leur discours mettent en évidence leur faible niveau d'étude bouddhique.
Leur incompréhension se renforce d'autant plus qu'ils cultivent inconsciemment leurs tendances les plus insidieuses à la soumission et à la domination relationnelle entre cadets et ainés, dans le contexte de la structure de la SGI… Alors qu'ils sont animés d'un sincère désir de bien faire, et d'accomplir un rôle positif en participant au développement de l'organisation à laquelle ils se sont volontairement ralliés.
L'obédience à une idéologie a toujours conditionnée une attitude mentale proche du fanatisme. Cela conduit à l'abrutissement la personnalité qui s'y est soumise et qui obéit à ses modèles de comportements sociaux et culturels. Tout comme penser et agir au travers d'un code, d'une grille doctrinale, altère l'individualité qui s'aliène à des schémas moraux… Il en résulte un déséquilibre, une dénaturation et des perturbations de la globalité de l'être et de son environnement.
J'ai souvent observé chez ces croyant qui vivent dans la sphère d'influence de l'école de la SGI et adhèrent au culte du maitre à penser, que leurs différentes formes de dépendance à la doctrine, au groupe, au dirigeant, sont accompagnées de troubles psychologiques dégénératifs variés. Beaucoup sont concernés. Mais très rares sont ceux qui envisagent la pratique spirituelle comme intimement reliée à celle d'une psychothérapie. Ils ignorent qu'elles sont interdépendantes tout au long des étapes de leur existence.
Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 02 avr.18, 05:01Source doctissimo c'est dire le niveau pathologique .
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 02 avr.18, 05:21Prévalence des troubles psychiques: https://e-psychiatrie.fr/sante-mentale- ... sychiques/Yvon a écrit :C'est pas propre à la Soka Gakkai des adeptes dérangés . D'ailleurs il est fortement conseillé de ne pas transmettre la Loi à des personnes ayant des troubles psychologiques .
J'ajouterais que cela fait beaucoup de monde, ensuite au vu du niveau de connaissances du membre moyen en la matière comment faites vous pour faire la différence entre des individus "sains" (ce qui est une vue de l'esprit) et les individus "fragiles", la doxa de la Soka Gakkai peut provoquer des troubles chez pas mal beaucoup d'individus avec ses pratiques mantriques excessives et les directives de ses dirigeants:
"Lorsque nous pouvons faire surgir le Nam-myoho-renge-kyo qui est à l’intérieur de nous, deux choses se passent : la première est que nous pouvons guérir n’importe qu’elle maladie, en d’autres mots cela agit comme un médicament. En général les médicaments prescrits agissent pour guérir un malaise bien précis ou un problème physique. Que nous ayons un mal de tête, un cancer ou des crises d’asthme, Nam-myoho-renge-kyo guérit tout. Le Sûtra que nous récitons dit que c’est le plus grand des médicaments ; l’autre pouvoir de daimoku lorsqu’il apparaît à l’intérieur de nous, est d’agir comme un aimant qui attire le bonheur. Dans le Gosho, Nichiren Daishonin dit : "Ceux qui croient en ce Sûtra s’attireront la bonne fortune de dix mille lieues à la ronde". Si nous désirons de l’argent, nous pouvons pratiquer pour cela, si nous n’avons pas de travail, la pratique nous conduira vers une nouvelle occupation ou un nouveau travail. Si nous désirons nous marier, nous trouverons un partenaire. Nous pouvons appeler chaque désir en récitant Nam-myoho-renge-kyo. Plus nous aurons de joie et de confiance, plus "l'aimant" deviendra fort..." (!!!)
:
Modifié en dernier par algol-x le 03 avr.18, 07:37, modifié 2 fois.
"Une carte n'est pas le territoire" Alfred Korzybski
Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 02 avr.18, 05:59Sujet déjà traité encore une fois .
Le bouddhisme de Nichiren c'est le bon sens . Si on est malade il faut voir un bon médecin et prendre les médicaments qui convient .
Nichiren lui même se faisait soigner par un des ses disciple versé en médecine.
Il dit aussi à une de ses disciple malade :
"Si vous ne voulez pas prendre réèlement soin de vous, il sera trés difficile de guérir de votre maladie ; un seul jour de vie vaut plus que tous les trésors de l'univers , aussi devez vous d'abord faire preuve d'une foi sincére et d'une grande sagesse "
Ecrit :" Sur la possibilité de prolonger sa vie "
Le bouddhisme de Nichiren c'est le bon sens . Si on est malade il faut voir un bon médecin et prendre les médicaments qui convient .
Nichiren lui même se faisait soigner par un des ses disciple versé en médecine.
Il dit aussi à une de ses disciple malade :
"Si vous ne voulez pas prendre réèlement soin de vous, il sera trés difficile de guérir de votre maladie ; un seul jour de vie vaut plus que tous les trésors de l'univers , aussi devez vous d'abord faire preuve d'une foi sincére et d'une grande sagesse "
Ecrit :" Sur la possibilité de prolonger sa vie "
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 02 avr.18, 06:14La pratique étant réputée avoir un pouvoir absolu, que l'on pourrait capter proportionnellement à sa foi, les adeptes, persuadés de résoudre ainsi leurs problèmes, s'imposent d'interminables séances de récitations du mantra, dont les conséquences peuvent êtres redoutables pour les plus fragiles...
Il ne s'agit pas d'actes dévotionnels anodins, mais du martèlement d'une formule, récitée pendant parfois des heures, et à même de provoquer une sérieuse déstabilisation des individus. Certains complètements hystérisés se réclament de la vérité absolue, Ils libérent leurs pulsions agressives, vis à vis des membres dont la conviction est jugée trop faible, et veulent les rectifier...
La Soka Gakkai diabolise et tente de discréditer tout ce qui est un tant soit peu critique par rapport à son idéologie, dont la véritable nature serait plutôt d'essence stalinienne que bouddhique, avec son culte rendu au leader, sa langue de bois, ainsi qu'un souverain mépris de la liberté d'expression...
Il ne s'agit pas d'actes dévotionnels anodins, mais du martèlement d'une formule, récitée pendant parfois des heures, et à même de provoquer une sérieuse déstabilisation des individus. Certains complètements hystérisés se réclament de la vérité absolue, Ils libérent leurs pulsions agressives, vis à vis des membres dont la conviction est jugée trop faible, et veulent les rectifier...
La Soka Gakkai diabolise et tente de discréditer tout ce qui est un tant soit peu critique par rapport à son idéologie, dont la véritable nature serait plutôt d'essence stalinienne que bouddhique, avec son culte rendu au leader, sa langue de bois, ainsi qu'un souverain mépris de la liberté d'expression...
"Une carte n'est pas le territoire" Alfred Korzybski
Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 02 avr.18, 06:18La preuve que vous avez tord !Yvon a écrit :Sujet déjà traité encore une fois .
Le bouddhisme de Nichiren c'est le bon sens . Si on est malade il faut voir un bon médecin et prendre les médicaments qui convient .
Nichiren lui même se faisait soigner par un des ses disciple versé en médecine.
Il dit aussi à une de ses disciple malade :
"Si vous ne voulez pas prendre réèlement soin de vous, il sera trés difficile de guérir de votre maladie ; un seul jour de vie vaut plus que tous les trésors de l'univers , aussi devez vous d'abord faire preuve d'une foi sincére et d'une grande sagesse "
Ecrit :" Sur la possibilité de prolonger sa vie "
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
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Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 02 avr.18, 06:41Tiens, vous connaissez !Yvon a écrit :Source doctissimo c'est dire le niveau pathologique .
Les "responsables bouddhiques officiels" sont psychologiquement incompétents, donc potentiellement dangereux. Leur névrose ou leur psychose est évidente pour celles et ceux qui les fréquentent régulièrement durant de nombreuses années, et qui savent écouter et observer autant le langage oral que corporel... La persistance et la récurrence de leurs troubles jamais guéris sont les symptômes de leur incapacité à guider "l'autre" vers la guérison.
Ainsi, aucune référence à des techniques psychothérapeutiques philosophiquement proches du bouddhisme ne peut être proposée officiellement aux croyants perturbés, ou dans une impasse, et auxquels les responsables bouddhiques ne peuvent pas offrir de réponses. Encore faudrait-il que ces responsables suivent une psychothérapie et s'engagent dans une étude approfondie de la question...
Cet enseignement religieux de la SGI, partiel et déphasé, empêche ses adeptes de penser tout à fait par eux mêmes. Ils ne réalisent pas ce qu'est leur propre état de bouddha. Ils ne peuvent pas en prendre conscience. Au lieu de s'éveiller, ils stagnent dans leurs frustrations et s'étiolent tristement avec leurs croyances limitées, dans la dépendance aux préceptes du maitre à penser et de l'organisation.
Aveuglés par leur besoin d'idolâtrie ils considèrent le maitre à penser et l'enseignement comme la destination qu'ils cherchaient à atteindre, ils sont convaincus être parvenus là où ils voulaient arriver.
J'ai longuement côtoyé quotidiennement ces pratiquant de l'ACSBN. Après dix, vingt, trente années de pratiques et d'activités ils semblent égarés, désorientés, dans maints zones de leur existence. Une certaine immobilité s'instaure. Ils ne progressent plus sur le chemin de l'Éveil.
Il en résulte que leur psychorigidité et leur mal être endémique deviennent répulsifs et perturbants. C'est flagrant quand ils cherchent à expliquer exhaustivement les tenants et aboutissants de la doctrine et de l'organisation. Leur foi est incohérente, en décalage avec l'état de leur vie. Les contradictions de leur discours mettent en évidence leur faible niveau d'étude bouddhique.
L'obédience à une idéologie a toujours conditionnée une attitude mentale proche du fanatisme. Cela conduit à l'abrutissement la personnalité qui s'y est soumise et qui obéit à ses modèles de comportements sociaux et culturels.
J'ai souvent observé chez ces croyant qui vivent dans la sphère d'influence de l'école de la SGI et adhèrent au culte du maitre à penser, que leurs différentes formes de dépendance à la doctrine, au groupe, au dirigeant, sont accompagnées de troubles psychologiques dégénératifs variés. Beaucoup sont concernés. Mais très rares sont ceux qui envisagent la pratique spirituelle comme intimement reliée à celle d'une psychothérapie.
Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 02 avr.18, 07:18Et ben on a pas finir d'en lire des conneries sur la SG , c'est édifiant ! Le catalyseur de bien des phantasmes !
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
Re: témoignage d'anciens adeptes de la secte sokka gakkaï
Ecrit le 02 avr.18, 08:10Et lire les "conneries" de votre "organisation" semble remplir votre esprit, qui n'apparait pas contenir grand chose d'autreYvon a écrit :Et ben on a pas finir d'en lire des conneries sur la SG , c'est édifiant ! Le catalyseur de bien des phantasmes !
"Une carte n'est pas le territoire" Alfred Korzybski
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