Mais là le passage relit le comportement qui n'est pas en accord avec le Dieu dont on se réclame, donc son Nom, surtout à l'époque où les divinités grecques-romaines abondaient qui portaient elles aussi des noms.BenFis a écrit : Il y a une autre forme de blasphème dont il est précisément question dans le contexte de Rom 2:24; c'est-à-dire avoir un comportement qui n'est pas en accord avec l'enseignement chrétien que l'on prodigue.
La prononciation du nom de Dieu à haute voix n'est donc pas absolument nécessaire pour le blasphémer.
Quant à penser que Jésus ait employé un substitut, c'est amusant, lui qui n'a pas hésité à braver l'autorité toute puissante du Sanhédrin et qui à plusieurs reprises a faillit être lapidé et qui n'hésita pas un seul instant à aller à Jérusalem sachant le sort qui lui serait réservé par ce sanhédrin. ça tient pas la route comme réflexion.