Bryand a écrit :
Pas besoin de conscience? oooooo non mais dis donc l'inconscient serait-il un hasard qi ordonne tt aussi bien qe le hasard de la question sur la datation de Xiavier sur "l'évolution" soit disant qi a berner et bercer des décennies?--------- Le hasard n'existe pas---- L'évidence est patente------
Je suis d'accord avec toi, le hasard n'existe pas. Seulement, qui dit ordonnancement logique ne signifie pas nécessairement ordonnateur !
La logique des causes et des effets autant à l'échelle microscopique que macroscopique n'est jamais démentie et ne présente en rien une volonté sous-jacente.
Bryand a écrit :On a bien nourri l'imaginaire populaire----
Oui, et celà fait plus de 6000 ans au minimum, en commençant par les dieux élémentaires de l'age de bronze, en passant par les dieux hindous ou nordiques ainsis que les dieux égyptiens et les dieux monothéistes vengeurs ou les dieux vaudous.
L'imaginaire populaire est fonction de la culture et de l'environnement d'origine, ce qui prouve bien l'inconsistance de la réalité de ce en quoi croient certains hommes.
Bryand a écrit :Dieu a donné une conscience à l'homme pcqe l'homme est fait à l'image de Dieu----
Logique redondante et non pertinente.
Bryand a écrit :Tt ce qi est ds l'Univers y a été mis par une conscience existante avant l'homme-----
Quels éléments objectifs peux-tu mettre en avant pour prouver ce que tu avances ?
Bryand a écrit :C'estévident-----
Ca n'est en rien évident !
En étudiant l'univers dans son ensemble ainsi que les lois qui le régissent et en observant l'illogisme des soi-disant textes sacrés,
ça n'est en rien évident !
Bryand a écrit :Le non vivant ne peut avoir donner l'existence au vivant---
Le vivant et le non vivant ne sont que des notions purement humaines.
La différence est que le vivant est un ordonnancement de matière plus complexe que le non vivant mais les deux répondent à une logique d'interraction des élèments fondamentaux de la matière qui ne prends pas en considération la valeur vivant ou non vivant.
Accepter celà, c'est prendre place dans un univers interragissant poussant à la responsabilité individuelle et non comme les religions qui rejettent la responsabilité sur des entités-notion comme le bien ou le mal.