Re: Les animaux meurent-ils à cause du péché d'Adam ???
Posté : 19 sept.14, 21:49
Ce n'est pas avec une partie d'échec qu'il faut comparer la situation mais plutôt avec un combat de boxe où l'humain est pris dans les cordes depuis des milliers d'années et ne fait que recevoir des coups; et où on se demande ce que qu'attend l'arbitre pour arrêter la partie.résident temporaire a écrit :L'étude de la bible est intéressante sous ce rapport BenFis, Et on peut dire que oui Dieu maitrise la situation, et que son dessein pour le bien de l'humanité va pleinement s'accomplir. Pour faire très simple :c'est une question de foi, de confiance en Dieu mais c'est très difficile si tu n'arrives pas à concevoir que la bible est son témoignage, son héritage à travers laquelle on apprend à le connaître mais et par rapport au point dont on parle, on voit sa supériorité, son intelligence, sa sagesse.
Par contre je ne te suis pas quand tu dis que dans les deux cas le bilan est négatif, c'est comme si tu regardais deux joueurs dans une partie d'échecs et que dans l'immédiat l'un des deux te semble en difficulté, cependant par la suite il remportera de manière éclatante la partie et de façon définitive et indiscutable. (l'autre joueur aura droit à une revanche perdue d'avance).
en vérité sa méthode choisie est la meilleure, il ne faut pas oublier que dans l'histoire il y a aussi le fait que le diable a disputé l'autorité de Dieu, et le position de son Fils devant les anges. Donc il y a d'autres éléments que tu n'as peut-être pas pris en compte dans ton analyse de la situation.
Au fait que comprends-tu de la situation née de la rebellion en Eden, je ne t'ai jamais posé la question je crois.
Pour répondre à ta dernière question, je pense que nous devons être exactement dans la même situation que s'il n'y avait pas eu de rébellion dans le jardin d'Eden.
La souffrance, la vieillesse et la mort étant déjà le lot de toutes les espèces animales supérieures depuis des millions d'années, on ne peut que constater qu' "il n'y a rien de nouveau sous le soleil" (Eccl 1:9), sauf évidemment en cultivant l'espoir que le sacrifice du Christ aura servi à quelque chose et que Dieu se décide un jour à réviser notre condition humaine.