Hello,
gadou_bis a écrit : ↑07 mars22, 02:08
C'est le début de toute science.
Bien sur que le questionnement est important ... mais ici, s'il y a ignorance c'est vis à vis du fonctionnement de la psyché et des réactions qu'induit le cerveau et certains de ses états sur l'individu.
Il n'y a pas dans le document la moindre chose qui permette d'affirmer que la "magie" ou le "paranormal" débarqueras dans les labo ou même à l'hopital.
L'auteur ne plaide pas pour la magie , mais bien pour une pratique qui vient en aide aux patient d'un point de vue psychologique. Puisque aucune
étude d'efficacité tangible physiquement n'est mise en évidence.
Et que cela ne semble pas être le but même de ce travail de thèse
gadou_bis a écrit : ↑07 mars22, 02:08
Le problème ici c'est l'absence de lien connu entre la pratique et les sciences physiques que nous connaissons.
Comme on n'arrive pas à établir le lien, on ne sait pas comment étudier le phénomène d'un point de vue des sciences physiques.
Le lien est établi dans le document mais plusieurs hypothèse sont en concurrence. entre autre est cité l'effet Placebo , et la prise en charge globale : le patient n'est pas que la maladie à traitée mais un être sensible, hypnose et suggestion.
gadou_bis a écrit : ↑07 mars22, 02:08
Il reconnaît l'absence de preuves matérielles physique, et non pas l'absence de preuves scientifiques.
La Science est matérialiste au sens ou n'est étudié que ce qui est mesurable matériellement.
Donc, si pas de preuve matérielle , il n'y a donc pas d'absence de preuve , simplement il n'y a pas de preuve du tout.
Ceci est la Science.
Postuler que l'on n'a pas "de preuve" , signifierait autre chose n'a pas de sens d'un point de vue du contrat social de la Science.
Cela dit , la chose à retenir du document est l'impact sur la psyché du patient
gadou_bis a écrit : ↑07 mars22, 02:08
La physique est un des nombreux domaine de la science.
Les expériences en hôpitaux (ici on est en 2007, mais depuis cela n'a fait qu'augmenter) sont une preuve indéniable de l'efficacité de ses pratiques.
Sur le bien être des patient, je n'en doute pas de même que la prière ou qu'un pèlerinage à Lourdes ou une séance de psychothérapie ou de méditation pleine conscience ou une séance d'hypnose.
Sur le reste je suis bien plus mesuré. L'augmentation de "cette technique" en remplacement de la pratique médicale n'est pas du tout
le but de cette thèse. Mais bien l'étude d'une "chose" en plus pour le bien être du patient.
Il est toujours mieux de se passer des calmants ou des anti douleurs lorsque c'est possible ...
gadou_bis a écrit : ↑07 mars22, 02:08
Le problème c'est la non systématicité du point de vue de l'observateur.
Mais cette non-systématicité est simplement un ignorance de la loi à laquelle fait appel ce traitement.
Si ce n'est pas systématique ce n'est donc pas un effet physique ( ou même scientifique au sens large du terme )
Il n'y a là pas d'ignorance d'une loi , mais d'une mauvaise hypothèse de départ sur une étude qui peut elle être scientifique
Dans ce cas là, il faut nécessairement revenir à l'observation et tenté de percer les données que l'on à omis ou à côtés desquelles ont est passé.
Un exemple type est la pharmacopée génétique certains médicaments étaient peu ou pas actif sur certaine éthnie aux USA.
Cela ne signifie pas que "nous ignorions une loi" ... lorsque les analyses génétique furent faites et rendues abordable , le résultat est tombé
dans certaines populations les médicament n'était simplement pas métabolisé donc n'avaient aucune efficacité.
La discipline qui en est résultée c'est la Pharmacogénomique.
Ici les chercheurs avaient un produit qu'ils savaient actif et la question posée est l'impact plus faible ou inexistant sur les autres populations
S'il y avait une non "systématicité" pour le traitement , les chimistes se remonter aux hypothèses de départ en y incluant la génétique.
Il n'ont rien inventé de nouveau prétextant une "ignorance d'une loi obscure et non définie" ...
Il en va de même ici. Pas de preuve tangible , ni mesurable sur la guérisson. Non reproductibilité .
Tout laisse à penser à de la suggestion ou un effet placébo.
Et comme rien d'autre ne fournit une autre voie tangible . Le principe du rasoir d'Occam ou principe de parcimonie donne la réponse la plus saine.
C'est un effet psychologique...
Par contre dans cette voie là. Il reste en effet beaucoup à faire et enormément à comprendre.
Mais, ce n'est pas de la magie c'est de la neuropsy ou de la neurologie
gadou_bis a écrit : ↑07 mars22, 02:08
Au contraire le document montre bien que statistiquement le traitement est bénéfique.
Et la psychologie est une science bien trop peu documentée pour rendre compte du phénomène.
En fait, on repousse sur ce terrain ce qu'on ne sait pas expliquer, pour la simple raison que ce domaine est encore largement inconnu.
De même pour le domaine "énergétique".
Il n'est pas question de guérison plus rapide mais d'une guérison dans de meilleures conditions.
Les effets : placebo, hypnose , suggestion .. sont énoncé
Le domaine "énergétique" est une escroquerie intellectuelle qui n'a aucun fondement scientifique
gadou_bis a écrit : ↑07 mars22, 02:08
C'est un peu difficile de te lire, il semble que, pour toi, "la science" c'est la science physique, on dirait que tout les autres savoir ne sont pas de la science.
La science est par essence physique
et mathématique.
au début les atomes qui sont lié par les phénomèmes quantiques , puis les réactions chimique , c'est également du domaine quantique ,
Lorsqu'une protéase casse une protéine c'est toujours un phénomène quantique
L'action d'un médicament sur l'organisme est une réaction chimique donc de la mécanique quantique
Il est , je te l'accorde plus simple de faire de la chimie de paillasse, que de la chimie quantique mais les deux sont identiques
Tu peux effectivement rétorquer des propriété "emergente" , le tout est plus que la sommes des parties ... et tu aurais entièrement raison
cependant d'un point de vue strictement scientifique , cela ne changerait rien.
La science restera expérimantale , et inféodée à l'expérience.
Un expérience non reproductible est par conséquent basée sur de mauvais prémices , que se soit les hypothèses , les observation , les conditions expérimentales peut importe si personne ne peut refaire l'expérience sans obtenir les même résultat sans invoquer une "force mystérieuse" ce n'est plus de la science ... et donc ce n'est plus scientifique.
La psychologie est une science en ce sens qu'elle observe la psyché , établie des modèle , des hypothèses et est capable de prédire des réactions d'individu ... si un "fait psycho" n'est pas quantifiable également par toute la communauté sans évoquer une part de "magie" ce n'est plus de la science mais de la magie
Dans les succes de la Psycho nous avons les manipulations de masse , la psycho appliquée à la Pub , les gestions de crise et autres.
Ici nous avons donc bien une "hypothèse" qui est validée par une "expérience" qui est reproductible par tous à quelques endroits que ce soit.
La guerre de l'information actuelle est de la psychologie appliquée ... et elle fonction que l'on soit Russe Américain ou Européen
Ici dans la Thèse présentée l'auteur s'arrete à cela et n'invoque pas une quelconque force mystérieuse , qu'il faudrait par ailleur définir puisque définitivement ce n'est aucune de celle que nous connaissont en physique et aucune de celle étudiée au CERN ( voir les "fantomes existent ils ?" )
gadou_bis a écrit : ↑07 mars22, 02:08
Evidement que la science physique n'est pas remise en cause par ces traitement, seulement elle ne les explique pas, ça c'est évident.
Aucune équation, aucune loi physique, n'a été proposée pour rendre compte de ces effets.
Les oncologues n'ont jamais étudié le phénomène psychologique.
Il l'ont seulement observé de façon statistique, mais ils sont incapables d'en établir les équations.
Dans les deux cas c'est la même situation.
Une douleur qui doit être traitée ou le bien être du patient.
Le but n'est pas de "soigner" la maladie , mais d'apporter le bien être au patient.
La maladie est soignée par la medecine , par contre ce qui manque dans la médecine "conventionnelle" c'est l'humanité du patient.
Ce que notre médecine prend en compte c'est la pathologie , la maladie , les symptomes, pas la personne ( bon j'exagère un peu ... )
Ce qu'apporte ici les "coupeur de feu" ce n'est pas une "guérison" mais la prise en compte de l'individu comme être avec sa pathologie.
Et il n'est question que de cela dans la thèse
gadou_bis a écrit : ↑07 mars22, 02:08
Certes le cerveau reste encore en grande partie à étudier.
Comme le domaine de la psychologie, et comme le domaine des "énergies" aussi appelé "spirituel".
Ok pour les 2 premiers mais "energies" non ...
pour le "spirituels" c'est inclu implicitement dans la psychologie et est cité dans le document lorsqu' il parle des prières
gadou_bis a écrit : ↑07 mars22, 02:08
C'est dans ce dernier domaine que les croyants situent Dieu.
Pour eux, le spirituel ou "énergie", est capable de générer le matériel.
C'est ce qu'on peut lire dans les évangiles.
C'est aussi ce qu'on peut observer dans les guérisons miraculeuses ainsi que dans les malédictions.
Dire "pour eux il est capable" ne signifie pas que c'est ce qui se passe. Malheureusement.
Et force est de constater que les millions ( voir milliards ) de personne qui prie chaque jour ne change pas grand chose aux maladie, épidémie ou guerre
Ainsi devons nous conclure que la preuve "matériel" de l'efficacité d'une prière est proche de zéro.
Cependant, je conçois parfaitement que pour quelqu'un qui y croit , la personne puisse se sentir mieux après avoir prié.
Mais cela nous ramène à la psychologie et non pas à une force surnaturelle qui n'est pas définie parce que simplement elle n'existe pas.
Cordialement