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Posté : 13 nov.07, 03:48
par Son of God
Le Coran n'est ni un livre religieux ni un livre historique, mais un livre politique, c'est le "mon combat" de Mahomet Ben Abdallah, un livre raciste, intolérant et écrit selon les événements.

le Coran tient le rôle que tient le Christ pour les chrétiens: à la différence que Christ a dit mon royaume n'est pas de ce monde, alors que le Coran essaie de soumettre le monde à un code politique totalement indifférent au Christ.

Si Allah du Coran a dicté à Mahomet des versets en fonction des événemenets qui ont eu cours à l'époque, comment puet-on dire que le coran est un livre universel? Il est en complet décalage avec la réalité d'aujourd'hui.

Par contre, dans le Nouveau Testament, les apôtres, qui ont reconnu en Jésus celui qui rendait présent Dieu dans leur vie, ont pu dire de lui qu’il était la Parole de Dieu faite chair, le verbe fait chair, et ses paroles sont eternelles a dit Jésus: "Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront pas (Mt 24, 35)

Dans la paix du Christ

Posté : 18 mai08, 18:49
par Bernard
Que penser de ce sujet ?

Re: Erreur historique dans le Coran.

Posté : 18 mai08, 22:10
par CHAHIDA
non.croyante a écrit :[4:153] Les femmes (An-Nisa') :
Les gens du Livre te demandent de leur faire descendre du ciel un Livre. Ils ont déjà demandé à Moïse quelque chose de bien plus grave quand ils dirent : "Fais-nous voir Dieu à découvert !" Alors la foudre les frappa pour leur tort. Puis ils adoptèrent le Veau (comme idole) même après que les preuves leur furent venues. Nous leur pardonnâmes cela et donnâmes à Moïse une autorité déclarée. ...


[4:171] Les femmes (An-Nisa') :
Ô gens du Livre (Chrétiens), n'exagérez pas dans votre religion, et ne dites de Dieu que la vérité. Le Messie Jésus, fils de Marie, n'est qu'un Messager de Dieu, Sa parole qu'Il envoya à Marie, et un souffle (de vie) venant de Lui. Croyez donc en Dieu et en Ses messagers. Et ne dites pas "Trois". Cessez ! Ce sera meilleur pour vous. Dieu n'est qu'un Dieu unique. Il est trop glorieux pour avoir un enfant. C'est à Lui qu'appartient tout ce qui est dans les cieux et sur la terre et Dieu suffit comme protecteur. ...

http://www.oumma.com/coran/search2.php



Le Coran affirme que dans le temps de moise il avait des Chrétiens.
Bonjour,

Je ne sais pas si cette remarque est un manque de compréhension ou un manque de culture sur l'slam...

Alors non-croyante au lieu de polémiquer tu aurais mieux fait de demander car là tu tournes plûtot au ricicule....

Qui sont les premiers a avoir reçu un livre les gens du livres SONT LES JUIFS et ensuites les CHRETIENS....

Pour ma part JE PENSE QUE c certainement du à un manque de culture et d'incompréhension certainement.

Posté : 19 mai08, 05:49
par Bernard
Je pense qu'une simple réponse pour comprendre et apprendre aurais été plus approprier ceci sans " incisives " ni préceptes.

Posté : 22 mai08, 05:07
par karamez
Son of God a écrit :Le Coran n'est ni un livre religieux ni un livre historique, mais un livre politique, c'est le "mon combat" de Mahomet Ben Abdallah, un livre raciste, intolérant et écrit selon les événements.

le Coran tient le rôle que tient le Christ pour les chrétiens: à la différence que Christ a dit mon royaume n'est pas de ce monde, alors que le Coran essaie de soumettre le monde à un code politique totalement indifférent au Christ.

Si Allah du Coran a dicté à Mahomet des versets en fonction des événemenets qui ont eu cours à l'époque, comment puet-on dire que le coran est un livre universel? Il est en complet décalage avec la réalité d'aujourd'hui.

Par contre, dans le Nouveau Testament, les apôtres, qui ont reconnu en Jésus celui qui rendait présent Dieu dans leur vie, ont pu dire de lui qu’il était la Parole de Dieu faite chair, le verbe fait chair, et ses paroles sont eternelles a dit Jésus: "Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront pas (Mt 24, 35)

Dans la paix du Christ


Selon le Coran, la guerre constitue une "obligation non désirée" qui doit être absolument menée dans le respect des valeurs morales humaines, et à laquelle il ne faut recourir qu'en dernière instance.

Dans un verset, il est rapporté que ceux qui commencent les guerres, que Dieu désapprouve, sont les incroyants:

… Toutes les fois qu'ils allument un feu pour la guerre, Allah l'éteint. Et ils s'efforcent de semer le désordre sur la terre, alors qu'Allah n'aime pas les semeurs de désordre. (Le Coran, sourate al-Ma'ida, verset 64)

Un examen attentif de la vie du Prophète Muhammad montre que la guerre est un moyen de défense employé seulement dans des situations inéluctables.

La révélation du Coran à notre Prophète s'est faite en 23 années. Pendant les 13 premières années de cette période, les musulmans, alors minoritaires, ont vécu à la Mecque sous une autorité païenne. Ils firent face à de nombreuses oppressions. Nombre d'entre eux ont été harcelés, maltraités, torturés, et même assassinés, leurs maisons et leurs biens pillés. En dépit de cela, les musulmans ont mené leurs vies sans recourir à la violence et ont toujours appelé les païens à la paix.

Quand l'oppression devint insupportable, les musulmans durent émigrer à Yathrib, rebaptisée plus tard Médine, où ils purent établir dans un environnement plus paisible et libre, leur propre ordre. L'établissement de leur propre système ne les a d'ailleurs jamais incités à prendre les armes contre les païens agressifs de la Mecque. C'est seulement après la révélation suivante que le Prophète a commandé à son peuple de se préparer à la guerre:

Autorisation est donnée à ceux qui sont attaqués (de se défendre) - parce que vraiment ils sont lésés; et Allah est certes Capable de les secourir - ceux qui ont été expulsés de leurs demeures, contre toute justice, simplement parce qu'ils disaient: "Allah est notre Seigneur". (Le Coran, sourate al-Hajj, versets 39-40)

Ainsi, il a été permis aux musulmans de faire la guerre seulement parce qu'ils étaient opprimés et soumis à la violence. Autrement dit, Dieu a accordé la permission de faire la guerre uniquement à des fins défensives. Dans d'autres versets, les musulmans sont mis en garde contre le recours inutile à la provocation ou à la violence:

Combattez dans le sentier d'Allah ceux qui vous combattent, et ne transgressez pas. Certes. Allah n'aime pas les transgresseurs! (Le Coran, sourate al-Baqara, verset 190)

Après les révélations de ces versets, des guerres ont eu lieu entre les musulmans et les Arabes païens. Jamais, cependant, les musulmans ne provoquèrent eux-mêmes ces conflits. Notons que notre Prophète a établi un environnement social paisible pour les musulmans en signant un accord de paix (la trêve de Hudaybiya) avec les païens dont il accepta la plupart des requêtes. Pourtant, les païens violèrent l'accord, provoquant ainsi une nouvelle guerre. Néanmoins, les conversions à l'islam se multipliant rapidement, les armées islamiques devinrent très puissantes. Notre Prophète conquit alors la Mecque sans violence et dans un esprit de tolérance. S'il avait voulu, notre Prophète aurait pu se venger des leaders païens de la Mecque. Il n'en fit cependant rien. Il ne leur fit aucun mal, leur pardonna et les traita avec grande tolérance. Les païens, qui se convertiront plus tard à l'islam par leur propre volonté, ne purent qu'admirer le caractère noble du Prophète.

Les principes islamiques proclamés par Dieu dans le Coran expliquent cette politique paisible et empreinte de tempérance du Prophète Muhammad. Dans le Coran, Dieu commande aux croyants de traiter d'une manière juste et amène même ceux qui ne sont pas musulmans:

Allah ne vous défend pas d'être bienfaisants et équitables envers ceux qui ne vous ont pas combattus pour la religion et ne vous ont pas chassés de vos demeures. Car Allah aime les équitables. Allah vous défend seulement de prendre pour alliés ceux qui vous ont combattus pour la religion, chassés de vos demeures et ont aidé à votre expulsion. (Le Coran, sourate al-Mumtahana, versets 8-9)

Les versets ci-dessus indiquent l'attitude d'un musulman à l'égard des non-musulmans. Il doit traiter gentiment tous les non-musulmans et s'abstenir de se lier d'amitié avec seulement ceux qui montrent une attitude hostile envers l'islam. Au cas où cette hostilité causerait des attaques violentes menaçant l'existence des musulmans, à savoir une guerre contre eux, alors les musulmans doivent répondre justement en considérant les dimensions humaines de la situation. L'islam interdit toutes les formes de barbarisme, d'actes de violence gratuite et d'agressions injustes. Dans un autre verset, Dieu avertit les musulmans et rappelle que la rage éprouvée à l'égard des ennemis ne doit pas les amener à l'injustice:

Ô les croyants! Soyez stricts (dans vos devoirs) envers Allah et (soyez) des témoins équitables. Et que la haine pour un peuple ne vous incite pas à être injuste. Pratiquez l'équité: cela est plus proche de la piété. Et craignez Allah. Car Allah est certes Parfaitement Connaisseur de ce que vous faites. (Le Coran, sourate al-Ma'ida, verset 8)



La signification de la notion de "djihad"

Le concept de "djihad" mérite d'être clarifié, eu égard au thème de cet article.

La signification exacte de "djihad" est "l'effort". Autrement dit, en Islam, "accomplir le djihad" veut dire "faire des efforts, lutter". Notre Prophète a expliqué que le plus grand djihad est celui "qu'une personne effectue contre soi-même". Ce que l'on entend ici par "soi-même" ce sont les désirs et les ambitions égoïstes de chacun. Lutter intellectuellement contre des vues antireligieuses et athées est également une forme de djihad, au sens fort du terme.

Hormis ces significations idéologiques et spirituelles, la lutte dans le sens technique - la lutte armée - est également considérée comme un "djihad". Cependant, comme nous l'avons vu précédemment, cette lutte ne doit être menée qu'à des fins défensives. L'utilisation du concept de "djihad" pour des actes d'agression contre des innocents, en somme la terreur, est une grande déformation et une injustice.



La miséricorde, la tolérance et l'humanisme selon l'islam

La "doctrine politique islamique" (c'est-à-dire, les principes et décrets islamiques sur des sujets politiques) est au plus haut point pacifique et modérée. Nombre d'historiens et de théologiens non-musulmans le confirment. L'historienne britannique, Karen Armstrong, ancienne nonne et célèbre experte en l'histoire d'Orient, fait le commentaire suivant, dans son livre Holy War (La guerre sainte), qui traite de l'histoire des trois grandes religions:

... Le mot l'islam vient de la même racine arabe que le mot la paix et le Coran réprouve la guerre comme un événement anormal contraire à la volonté de Dieu: "Toutes les fois qu'ils allument un feu pour la guerre, Allah l'éteint. Et ils s'efforcent de semer le désordre sur la terre, alors qu'Allah n'aime pas les semeurs de désordre." (Le Coran, sourate al-Ma'ida, verset 64) L'islam ne justifie pas la guerre ou l'extermination agressives, comme la Torah fait dans les cinq premiers livres de la Bible. Religion plus réaliste que le christianisme, l'islam déclare que la guerre est inévitable et parfois une obligation positive pour mettre fin aux oppressions et à la souffrance. Le Coran enseigne que la guerre doit être limitée et conduite de la façon la plus humaine possible. Mohammed a dû combattre non seulement les habitants de la Mecque mais également les tribus juives de la région et des tribus chrétiennes en Syrie qui alliées aux juifs planifiaient une attaque contre lui. Pourtant ceci n'a pas poussé Mohammed à dénoncer les gens du livre. Ses musulmans ont été forcés de se défendre mais ils n'ont pas livré une guerre sainte contre la religion de leurs ennemis. Quand Mohammed a envoyé Zaid contre les chrétiens à la tête d'une armée musulmane, il leur a dit de combattre pour la cause de Dieu bravement mais d'une manière humaine. Ils ne devaient pas molester les prêtres, ni les moines, ni les nonnes, ni les personnes faibles et impuissantes qui ne pouvaient pas combattre. Il ne devait y avoir aucun massacre des civils. Les musulmans ne devaient abattre aucun arbre ni démolir un seul bâtiment. C'était très différent des guerres de Josué.(1)

Après la mort de notre Prophète, les musulmans ont continué à traiter les adeptes des autres religions avec tolérance et respect. Les Etats islamiques sont devenus la maison sûre et libre des juifs et des chrétiens. Après la conquête de Jérusalem, Omar soulagea les chrétiens qui craignaient d'être massacrés en leur expliquant qu'ils étaient en sûreté. Il visita même leurs églises et déclara qu'ils pourraient continuer à pratiquer leur culte librement.

En 1099, quatre siècles après la conquête de Jérusalem par les musulmans, la ville fut envahie par les Croisés, qui passèrent tous les habitants musulmans au fil de l'épée. Pourtant, allant à l'encontre de ce que craignaient les chrétiens, Saladin, le général musulman qui s'empara de Jérusalem en 1187, ne fit de mal à aucun civil et défendit à ses soldats le pillage. D'ailleurs, il permit aux citoyens chrétiens de prendre tous leurs biens et de quitter la ville en sécurité.



Les périodes du règne des Turcs Seljukides et de l'Empire ottoman ont été également marquées par la tolérance et la justice de l'islam. Comme chacun le sait, les juifs, expulsés de l'Espagne catholique, trouvèrent la paix qu'ils ont recherchée sur les terres de l'Empire ottoman, où ils se sont réfugiés en 1492. Sultan Mehmed, le conquérant d'Istanbul, a également donné aux juifs et aux chrétiens leur liberté religieuse. Concernant les pratiques tolérantes et justes des musulmans, l'historien A. Miquel dit:

Les chrétiens ont été gouvernés par un Etat très bien géré, qui était quelque chose qui n'existait pas dans l'empire byzantin ou dans la souveraineté latine. Ils n'ont jamais été soumis à une oppression systématisée. Au contraire, l'empire, et tout d'abord Istanbul, est devenu un refuge pour les juifs espagnols torturés. Ils n'ont jamais été forcés à accepter l'islam.(2)

John L. Esposito, professeur de religion et de politique internationale à l'Université de Georgetown, fait un commentaire similaire:

Pour plusieurs populations non-musulmanes dans les territoires byzantins et persans déjà soumises aux gouverneurs étrangers, le règne islamique a signifié un changement de gouverneurs, les nouveaux étant souvent plus souples et plus tolérants, plutôt qu'une perte de l'indépendance. Plusieurs de ces populations ont même joui d'une plus grande autonomie locale et ont souvent payé des impôts inférieurs... En ce qui concerne la religion, l'islam s'est montré plus tolérant, accordant une plus grande liberté religieuse aux juifs et aux chrétiens indigènes.(3)

Tel qu'il est ainsi clairement noté, l'Histoire n'a jamais témoigné contre les musulmans "faiseurs de turpitude". Au contraire, ces derniers ont apporté la sécurité et la paix aux gens de toutes les nations, de toutes les croyances, vivant dans le grand territoire sur lequel ils ont régné.

En bref, la compassion, la paix et la tolérance constituent les valeurs morales principales du Coran et l'islam vise à supprimer la turpitude de la surface de la terre. Les commandements du Coran et les pratiques des musulmans à travers l'Histoire sont très clairs, et ne laissent de fait planer aucun doute.






Il n’y a pas beaucoup de vérités mais une seule, chacun la voit à ça façon, celui qui la détient, sait qu’il la détient, les autres sont dans le doute, ça serait bien si’ ils se taisent, or c’est dur ou impossible de rester dans le doute, alors on commence à penser de part et d’autre, de trouver des idées qui semblent expliquer les choses, elles expliquent les choses, mais elles ne les décrivent pas forcement, c’est différent, ce sont des solutions provisoires qu’on s y attache pour tenir une pensée globale logique.
Or cette pensé est un enchaînement logique à partir d’une pure croyance initiale, Je peux vous ramener toutes mes preuves que dieu existe, et vous resterez sur votre position si vous n'en croyez pas et vice versa, puis on s’arrange donner à cette croyance raison, Le facteur de l’héritage culturel intervient aussi pour nous dévier vers telle ou telle croyance, Ceci rend le recul encore plus difficile, un recul indispensable pour retrouver des jugements objectifs.

Si ont vit dans un environnement qui développe une image « négative » sur une personne en se basant sur des interprétations de certains faits, on finit par se forger une idée, si encore cette personne prétend apporter une religion qui semble contredire la notre, dans ce cas c’est le refus catégorique.

Personne n’aimerait suivre un imposteur, si les musulmans croient que Mohammed est un prophète, ils ont leurs raisons, ils ne sont pas dupes, ils n’ont pas négligé les faits qui vous semblent contredire l’honnêteté de son message, mais ils l’ont interprété différemment que vous.
Nous étions des peuples trempés dans l'ignorance, adorant des idoles, jusqu'a ce que Dieu nous ait envoyé un messager dont l’intégrité est connue à nous. Il nous a appelés à Dieu, que nous devrions témoigner à son unité et l'adorer et renoncer à ce que nous et nos pères avaient adoré de la manière des pierres et des idoles ; Et il nous a commandés de parler vraiment, d'accomplir nos promesses, de respecter les cravates de la parenté et les droits de nos voisins, et de s'abstenir aux crimes et au carnage… Ainsi nous adorons Dieu.
Si votre interprétation peut encore dire qu’il nous a manipulés dans ce cas c’est à vous d’apporter la preuve, « chacun est présumé innocent jusqu'à preuve du contraire »

En tant que musulman, je crois aussi par nature de ma religion à tous les autres prophètes, une remise en cause et un recul de ma part serait dans le sens de douter du message de Mohammed (PBUH), or je ne luis trouve aucune faille, (d’après mes interprétations), je le crois en plus par mon cœur, et je l’aime en plus, ainsi que Jésus, Moise, Ibrahim,….

« Et Nous n'avons envoyé de Messager qu'avec la langue de son peuple, afin de les éclairer. Allah égare qui Il veut et guide qui Il veut. Et, c'est Lui le tout Puissant, le Sage » Ibrahim 4.


« Qui donc aura en aversion la religion d'Abraham, sinon celui qui sème son âme dans la sottise? Car très certainement Nous l'avons choisi en ce monde; et, dans l'au-delà, il est certes du nombre des gens de bien. Quand son Seigneur lui avait dit: "Soumets-toi", il dit: "Je me soumets au Seigneur de l'Univers". Et c'est ce que Abraham recommanda à ses fils, de même que Jacob: "O mes fils, certes Allah vous a choisi la religion: ne mourrez point, donc, autrement qu'en Soumis"! (à Allah). Etiez-vous témoins quand la mort se présenta à Jacob et qu'il dit à ses fils: "Qu'adorerez-vous après moi"? - Ils répondirent: "Nous adorerons ta divinité et la divinité de tes pères, Abraham, Ismaël et Isaac, Divinité Unique et à laquelle nous sommes Soumis". Voilà une génération bel et bien révolue. A elle ce qu'elle a acquis, et à vous ce que vous avez acquis. On ne vous demandera pas compte de ce qu'ils faisaient. Ils ont dit: "Soyez Juifs ou Chrétiens, vous serez donc sur la bonne voie". - Dis: "Non, mais suivons la religion d'Abraham, le modèle même de la droiture et qui ne fut point parmi les Associateurs Dites: "Nous croyons en Allah et en ce qu'on nous a révélé, et en ce qu'on n'a fait descendre vers Abraham et Ismaël et Isaac et Jacob et les Tribus, et en ce qui a été donné à Moïse et à Jésus, et en ce qui a été donné aux prophètes, venant de leur Seigneur: Nous ne faisons aucune distinction entre eux. Et à Lui nous sommes Soumis »
Al Baquara