dan 26 a écrit :Ok ; OK OK; mais tu n'as pas répondu à ma question, tu sembles te défiler , peux tu me donner ta source STP ?
Ma source ? Mais évidemment que je vais la citer ! Mais avant toute chose, je vais jouer à quelque chose. Je vais me transformer en augure. Attention... Abracadabra !
L'augure a écrit :Dan va, d'un revers de la main, éjecter cette source au motif qu'elle est largement inféodée à l'Église catholique et qu'il est évident qu'elle sert ses intérêts ! Il va, de plus, vous qualifier de catholique intégriste car vous prêtez aveuglément du crédit à une source qui est clairement orientée idéologiquement !
Ma source, la voici : BRIEND Jacques,
La sépulture d'un crucifié dans "Bible et Terre sainte", Paris, éd. Bayard-Presse, juillet-août 1971, n° 133, pp. 6-10.
L'extrait que j'ai cité se trouve en page 9.
Cela ne signifie rien. Et sûrement pas que vous savez tout et que je ne sais rien.
Cela signifie qu'en partant de mon information cela t'a permis au travers de Google de faire des recherches
[/quote]
Vous tenez absolument à croire que vous m'avez appris l'existence de l'affaire du crucifié de Giv'at HaMivtar, n'est-ce pas.
Vous tenez absolument à ne pas croire que je disposais dans ma bibliothèque, bien avant notre discussion, de la revue que j'ai citée, n'est-ce pas.
Si je me prends en photo avec la revue citée, vous serez capable de croire que je l'ai trouvée sur Google, que je dispose d'une imprimante dernier cri qui m'a permis de l'imprimer au format original !
Dan, je dois vous décevoir : je connaissais le crucifié de Giv'at HaMivtar bien avant que vous n'en parliez.
Si tu" affirmes" être rigoureux cela doit être vrai !!!! Puisque tu le dis !!! Je veux seulement des preuves , montre moi que tu as fait mention de cette seule pseudo preuve avant moi, cela devrait être facile.
Pourquoi allais-je déjà parler d'un évènement qui a eu lieu dans les années 1960 alors que nous n'étions pas encore sorti de votre problème avec la littérature latine ?
Vous tirez dans tous les sens, avec peut-être l'objectif de semer la confusion dans l'esprit de vos interlocuteurs. permettez que je n'aie pas vos défauts et/ou votre manque de rigueur, Dan !
[0color=#008000]Un clou sur un bras et un clou pour deux, cheviles rien ne te choque bien sûr !!!Essayes de te representer la position et dis moi si un corps peut tenir veriticalement sur une croix avec un clou en bas et un clou en haut quand les bras sont écartes .
A moins bien sûr que le crucifier soit un contorsionniste et un trapéziste à la fois, comme dans un cirque !!! .
Ce qui se comprendrait puisqu'ils étaient tous volontaires
[/color]
Je vous parle du radius droit. Et puisque je ne vous parle pas du radius gauche, c'est donc que celui-ci ne comportait aucune trace de l'enfoncement d'un clou ! Quelle drôle de méthode, Dan...
Ha bon tu laisses donc penser que c'est un témoignage de chrétiens , peux tu me donner la référénce, nous avons peut être le même document, mais tu ne fais mention que d'un seul passage qui semble aller dans ton sens, tu sembles oublier le reste , ou la conclusion peut être qui sait ? ça brûle cela brûle, allez un petit effort donne tes sources précises STP.
Je sais par avance que vous vous basez sur le reportage
Corpus Christi. Les auteurs de ce reportage ont eu à loisir de démontrer leur incompétence et leur ignorance tout au long des longues minutes qu'ils ont volées à leurs téléspectateurs.
Détrompe toi j'aime bien aller au fond des choses , tout le problème est là!!Allez vas y donne moi tes sources . Le monde de la bible, archéologie biblique, le monde des religions , science et vie, religion et histoire, dossiers archéologiques, etc etc . Je suis abonné à tous ces journaux cela va etre facile à trouver si tu me donnes enfin tes sources précises, merci.
Amicalement
Alors, laissez tomber cette histoire du crucifié de Giv'at HaMivtar pour l'instant et recentrons-nous sur la littérature latine. J'ai démontré qu'elle contenait des textes expliquant les diverses façons d'exécuter un condamné sur un engin de supplice dont la forme pouvait être différente selon les cas.