Re: 🚀 Le plus gros canular de l'Histoire. Houston, we've had a problem ! 🧑🚀
Posté : 04 mars23, 04:17
Cette objection est réfutable de quatre manières différentes au moins :MonstreLePuissant a écrit : ↑04 mars23, 01:12 Je serai curieux de savoir combien de ces photographes sont allés sur la Lune faire des photos sans atmosphère, afin de pouvoir comparer.
Les loi de la nature sont les mêmes, mais sur terre, il y a une atmosphère. Pas sur la Lune !
1) Les photographies prises sur Terre en milieu naturel dépendent de plusieurs facteurs liés à l'atmosphère : la luminosité peut varier en fonction des conditions atmosphériques, la couleur du ciel, la présence de nuages, etc. L'absence d'atmosphère sur la Lune élimine quasiment tous ces paramètres. La lumière est "pure", il n'y a pas d'air pouvant provoquer des phénomènes de diffraction ou de réfraction. Les seuls paramètres restants sont la hauteur du Soleil par rapport à l'horizon et la réflexion de la lumière à partir du décor lui-même.
2) J'ai déjà produit dans ce topic de "vraies" images lunaires prises par la sonde japonaise Kaguya en orbite basse qui montrent clairement l'absence de hotspots et de fall-off.
3) L'ingénieur responsable de la Société Hasselblad qui a fourni le matériel photographique à la NASA a lui-même reconnu qu'il ne comprenait pas comment de tels clichés auraient pu être pris sur la Lune. Il n'a pu fournir aucune explication et s'il y avait eu la moindre possibilité que les lois de l'optique fussent différente sur la Lune, il aurait été très bien placé pour le savoir et n'aurait pas manqué d'y faire référence.
4) Ni la NASA, ni les débunkeurs professionnels mentionnés dans le documentaire n'ont jamais osé évoquer des règles d'optique ou de photographie différentes sur la Lune par rapport à la Terre. S'il y avait le moindre doute à ce sujet, alors c'eût été une raison toute trouvée pour expliquer tant les ombres impossibles que les hotspots et les fall-off.
Par conséquent, évoquer d'hypothétiques règles de photographie ou lois optiques propres à la Lune apparaît ici bien plus comme une tentative désespérée de trouver une explication rationnelle plutôt qu'un réel argument étayé scientifiquement.