Hello,
Tu es vraiment coincé sur le nom de l'espèce mon pauvre ami ...
Le SEUL et UNIQUE sens à "Sapiens" est le choix fait sans concertation de Linné en 1758 pour nommé ce qui à l'époque était vu comme le summum de la création divine ...
et qui par définition ne pouvait être que Sapien ... pas plus que pan troglodyte n'est cavernicole ... homo sapiens n'est intelligent parce que c'est sont nom !
Sapiens n'est que le fruit d'une lignée qui a commencer il y a 300 000 ans , lignés anthropoides qui découvraient le monde en sortant de l'Afrique.
Que les plus vieux outils aient 3.3 millions d'année n'y changent rien , les singes actuels comme je l'ai déjà illustrer fabriquent des outils , les loutres également, ainsi que les corvidés
Tu colles des trucs que tu trouves à droite et à gauche et tente d'en faire une démonstration ... si la science c'était cela tu serais à n'en pas douter prix nobel ... seulement voilà
tu ne l'es pas
c'est donc bien que la Science ne fonctionne pas ainsi !
Tu es tellement sur de ton "opinion" qu'il ne te vient même pas l'idée de l'exposer plus largement en dehors du forum !
Même pas un article ou un livre pour exposé ton idée à la face du monde qui à t'écouter n'attendrait que cela ... apres les Bolloré et consort ...
agecanonix a écrit : ↑10 janv.23, 06:02
Il s'agirait d'australopithèques ayant une cerveau de 400 à 550 cm³. Et ils étaient capables, selon la théorie de fabriquer des outils de la même qualité que des homo sapiens dotés d'un cerveau à minima 2 fois plus volumineux.
Selon quelle théorie ??? cela reste un mystère agécanonicien
Puis la Théorie de l'évolution n'a pas pour objet ce type de questionnement ... mais uniquement comment apparaissent les especes nouvelles ...
agecanonix a écrit : ↑10 janv.23, 06:02
Ce qui signifie que pour l'homo sapiens, concevoir des outils de pierre était très largement à leur portée, leur cerveau, 2 fois plus volumineux que celui des australopithèques n'avaient aucune difficultés à les inventer.
???
Ah première nouvelle ! Donc un cerveau de baleine ou de dauphin devraient largement nous surpasser ... que dire alors également du cerveau de feu Neanderthal ! ...
Non la taille ne fait pas l'intelligence ...
Il faut considérer le plus souvent la taille relative et non seulement le volume ...
Car le cerveau sert surtout et avant tout à l'entretien et la motricité du corps !
Plus tu es gros plus les aires correspondantes sont importante , pour pouvoir gerer correctement muscles et propriocepteur et toutes sorte de récepteurs qui serviront à la survie de l'individu ...
Par ailleurs , d'autres fonction sont gérées comme dans l'article ci dessous
https://www.nature.com/articles/s41559-017-0336-y
Où il est question de la sociabilisation des mammifères lié à la taille de leur cerveau
agecanonix a écrit : ↑10 janv.23, 06:02
Seulement, en volume, il restait aux sapiens 500 cm3 de cerveau en plus de celui des australopithèques pour être plus inventifs.
Et ?
Tu as un gros cerveau mais tu restes persuadé que les serpent parlent ... ou que parce que "Sapiens" s'appelle Sapiens ... alors c'est la preuve qu'il est intelligent
...
agecanonix a écrit : ↑10 janv.23, 06:02
Or, l'homo sapiens a stagné 300 000 années avec un cerveau qui n'est pas partie de 500 cm3 au début, car son cerveau avait le même volume que le notre..
Mieux, Homo floresiensis avait une petite taille, un cerveau de 380 cm3 et il pouvait fabriquer des outils…
Et malgré celà, on veut nous faire croire qu'avec 1350 cm3 un sapiens ne pouvait pas faire mieux qu'un cerveau de 380 cm3.
Bien sur qu'il a fait mieux, il a paufiné la taille des pierre , inventé la religion ( pas ce qu'il a fait de mieux entre nous ) , enterré ses morts , inventé des bijoux des vetements , il a inventé la sociabilisation ainsi que les histoire , le langage , l'écriture ... par ailleurs comme déjà mentionné
le cerveau de Sapiens à continuer d'évoluer
https://www.afis.org/Evolution-du-cerve ... 30-000-ans
https://www.sciencesetavenir.fr/archeo- ... ale_165342
https://www.pnas.org/doi/full/10.1073/pnas.2123553119
Par ailleurs à forme et volume constant ce qui importe c'est le nombre de neurones sous la boite cranienne et donc les circonvolutions cérébrale
Et ainsi donc ... en Néanderthal et Sapiens il y a eu une petite différence de rien du tout ... une protéine la TKTL1 ...
https://www.science.org/doi/10.1126/science.abl6422 qui induit une neurogenèse plus importante ...
agecanonix a écrit : ↑10 janv.23, 06:02
Je vous propose ce site :
https://www.hominides.com/dossiers/cerveau/
La 4ème image vous décrit l'évolution de la taille moyenne des cerveaux et vous pourrez y constater que cette évolution est aboutie dès l'homo sapiens et atteint les 1350 cc actuels.
Mouarfff tu es vraiment indécrotable de bêtise mon pauvre ami ... une image et hop c'est la preuve que TOUT les homo Sapiens avaient le même cerveau que celui présenté sur l'illustration !!!
Euh , juste pour être sur , ici ce n'est pas une Tour de Garde de MamaWatch ... les illustrations du paradis de MamaWatch ne seront "JAMAIS" une réalité quelque soit la grandeur de ta croyance ! CE NE SONT QUE DES ILLUSTRATIONS ! ça illustre ce qu'y pourrait être pas ce qui sera ou ce qui était !!!
ici par exemple il y a plusieurs volumes qui sont étudié ... donc plusieurs cerveau
https://www.pnas.org/doi/full/10.1073/pnas.2123553119
Il ne suffit pas d'un image sur une illustration pour avoir la réalité des faits sur la période historique ... sinon il suffirait d'avoir l'image d'un roi de France pour savoir à quoi ressemblaient tous les rois de Frances !
Tu t'inventes des conclusions pour satisfaire ta croyance ...
agecanonix a écrit : ↑10 janv.23, 06:02
Je persiste donc dans cette constatation : les 80 milliards d'homo sapiens voulus par la théorie, dotés d'un cerveau de 1350cc comme le notre, n'ont pas réussi à faire beaucoup mieux qu'un individu au cerveau de 380 cc, il y a quelques millions d'années alors qu'ils disposaient de 300 000 années pour le faire.
Mais persiste , c'est ton problème ... je te le répète ce n'est pas parce que tu répétera encore et encore ta croyance et ton opinion que cela en fera une réalité
agecanonix a écrit : ↑10 janv.23, 06:02
J'ajoute cette réflexion très pertinente
- Pour la biologiste Emmanuelle Pouydebat « De nombreuses études portant sur les performances animales font ainsi état d’une intelligence générale qui serait d’ailleurs liée à la taille du cerveau. Ainsi, leur grand cerveau permettrait aux humains de bénéficier de meilleures performances en termes de mémoire, d’apprentissage, de planification, etc. Mais de tels bénéfices ne sont pas suffisants pour expliquer l’évolution de l’intelligence et du cerveau. Car, a priori, la sélection naturelle ne favorise pas les excès et si une solution peu coûteuse est présente, elle a plus de probabilités d’être sélectionnée. Or l’intelligence est un trait considérablement coûteux.
Ainsi, l'intelligence humaine peut être considérée comme une solution excessive que la sélection naturelle ne peut pas expliquer car elle favorise plutôt les solutions à moindre coût.
La source ???
Bon allez je t'aide vu que ton gros cerveau n'en semble pas capable ...
Cela vient de son livre paru en 2017 chez odile Jacob "L'intelligence Animale" et je te recopie tout le paragraphe (en gras ta citation )
De nombreuses études portant sur les performances animales font ainsi état d’une intelligence générale qui serait d’ailleurs liée à la taille du cerveau264. Ainsi, leur grand cerveau permettrait aux humains de bénéficier de meilleures performances en termes de mémoire, d’apprentissage, de planification, etc. Mais de tels bénéfices ne sont pas suffisants pour expliquer l’évolution de l’intelligence et du cerveau. Car, a priori, la sélection naturelle ne favorise pas les excès et si une solution peu coûteuse est présente, elle a plus de probabilités d’être sélectionnée. Or l’intelligence est un trait considérablement coûteux. En effet, le cerveau humain est responsable à lui tout seul de la consommation de 25 % du glucose corporel, de 20 % de l’oxygène et de 15 % du débit cardiaque. Le cerveau nécessite 20 % de notre métabolisme de base et ne représente que 2 % environ du poids total du corps. Il représente donc un coût élevé pour le métabolisme, bien plus que les autres tissus du corps humain. Autrement dit, les avantages engendrés par un accroissement de la taille du cerveau ont intérêt à être très pertinents.
maintenant que dit exactement cette ancienne élève Thésarde d'Yves Coppens ?
Elle ne dit pas que c'est un "probleme pour l'évolution" car elle connait parfaitement le sujet et connait de nombreux cas ou des espèces ont développé des "forme monstrueuse" qui semble dépourvue d'interet évolutivement parlant ... Crabe Violoniste par exemple les Tigres à dent de Sabre ... des oiseaux qui ne volent pas ... emeux , casoar, kiwi, autruche ...
Ce quelle dit c'est que l'intelligence doit avoir une raison au regard de la théorie qui pour l'instant ne semble pas clair ...
Mais ce n'est que de la science ... alors que tout bon physicien sait que le mercure et un métal quantique .. ils ignoraient pourquoi il devenait supra conducteur
Rien ne l'expliquait jusqu'à présent ... la Théorie quantique n'avait pas de réponse au problème jusqu'a ce que l'on trouve, il y a peu
https://www.pourlascience.fr/sd/physiqu ... -24545.php
Ainsi donc en 2017 Pouytdebat posait à la fin de son livre cette reflexion ... sachant pertinement que la réponse arrivera un jour ou l'autre.
plus interressant dans son livre que tu n'as pas lu
... c'est son introduction sur l'intelligence je la recopie si tu veux le livre j'en dispose d'une version electronique
Qu’est-ce que l’intelligence ou comment comparer l’intelligence entre les espèces ?
Quelles étaient les capacités de Lucy, des espèces de la lignée humaine et de l’ancêtre commun aux chimpanzés et aux humains ? Pourquoi Lucy est un australopithèque et pas un humain ? Les humains ont-ils davantage de capacités que les autres primates, voire que les autres animaux ? Qu’est-ce qui a fait l’humain ? Comparer les capacités des espèces entre elles est fondamental pour répondre à ces questions, pour lutter contre certaines idées reçues et pour mieux s’interroger sur l’intelligence humaine. Cette idée que les humains seraient plus intelligents que les autres espèces est a priori facilement ancrée dans l’esprit de beaucoup de personnes, averties comme néophytes. Parmi les vertébrés, les mammifères et les oiseaux apparaissent comme les plus intelligents. Au sein des mammifères, les singes, les éléphants et les cétacés sont considérés comme étant les plus intelligents. Parmi les primates, les grands singes (chimpanzés, gorilles, orangs-outans) apparaissent comme plus intelligents que les petits singes (macaques, cercopithèques…) et les humains plus intelligents que les grands singes. Ces affirmations sont-elles justes ? Peut-on comparer l’intelligence de ces espèces si différentes ? Les humains, pourvus entre autres d’un langage articulé, de capacités d’imitation et d’une théorie de l’esprit (capacité à comprendre les intentions d’autrui), sont donc habituellement considérés comme étant les animaux les plus intelligents. En effet, les humains se placent systématiquement comme référents à toutes comparaisons alors qu’avec notre origine récente d’environ 3 millions d’années nous avons très peu de recul sur l’histoire de la vie, née il y a environ 4 milliards d’années. Pourtant, certains critères participant à la démonstration de l’intelligence conduisent inéluctablement à la mise en évidence d’une suprématie humaine et à des aberrations au sein même du genre humain. C’est le cas par exemple du langage articulé : les muets étaient autrefois considérés comme des individus dépourvus de pensée au même titre que les autres animaux.
Les humains sont donc considérés massivement comme le genre le plus intelligent, avec cette idée sous-jacente qu’à chaque espèce nouvelle surgit une intelligence toujours plus élevée. Cette hiérarchisation de l’intelligence dépend de bien des facteurs et en premier lieu de la définition du terme « intelligence », qui peut s’avérer multiple selon la culture (asiatique, africaine, occidentale…) ou la discipline (philosophie, psychologie, éthologie, écologie, sciences de l’évolution). Il n’existe pas de définition de l’intelligence qui soit universelle, et des livres entiers pourraient être consacrés à ces définitions. Si au sens strict l’intelligence est la faculté de comprendre (intelligere en latin), une des définitions2 les plus larges que l’on puisse trouver suggère que l’intelligence désigne un ensemble de fonctions mentales qui contribuent à la connaissance conceptuelle et rationnelle. Cette capacité impliquerait la capacité de raisonner, de planifier, de résoudre des problèmes, de penser de manière abstraite, de comprendre des idées complexes, d’apprendre rapidement et par expérience. Si l’intelligence a plusieurs composantes, alors comment comparer l’intelligence des espèces entre elles ? Dans les disciplines au cœur de mon laboratoire comme l’écologie et l’évolution, l’intelligence est un concept qui ne peut pas s’appliquer à l’ensemble du monde animal car elle est définie par des critères sémantiques humains et la plupart des définitions relient intelligence et langage et sont donc spécifiques à l’évaluation de l’intelligence humaine. Je vous propose donc d’utiliser un concept de l’intelligence qui permet de mettre de côté cette pyramide hiérarchique et de poser un autre regard sur les capacités des humains et des autres animaux. Ce concept, c’est celui que nous utilisons régulièrement pour comprendre l’évolution des espèces en fonction de leur milieu : l’adaptation. En ce sens, nous pouvons donc entendre par intelligence les capacités d’adaptation comportementale d’un individu face à une situation donnée, ou plus largement une fonction adaptative qui permet à un individu d’ajuster au mieux son comportement en fonction du contexte. Si je devais être plus précise, je dirais que dans cet ouvrage nous parlons d’intelligence pour désigner la capacité à répondre avec flexibilité aux situations nouvelles ou complexes.
Ce qui vous attend en lisant ce livre
L’intelligence a été pendant longtemps considérée comme un caractère spécifique aux humains, leur donnant la capacité d’imaginer, de penser, de décider, d’établir des liens complexes entre les causes et les effets ou encore de mettre en place des stratégies élaborées pour résoudre des problèmes. Cependant, au même titre que bien d’autres caractères, l’intelligence est le produit de changements évolutifs3. Pour autant, il ne faut en aucun cas appréhender cette évolution de l’intelligence comme un processus nécessaire et encore moins comme un processus unidirectionnel. L’intelligence de nombreuses espèces a probablement peu évolué pendant des millions d’années si leur environnement n’a pas nécessité cette adaptation particulière, et inversement. L’intelligence vue comme une adaptation au défi de la sélection naturelle peut être étudiée au même titre que n’importe quelle autre adaptation comme le saut des grenouilles, le venin des serpents ou encore les 1 260 battements de cœur à la minute des colibris. Cependant, contrairement à certaines adaptations physiologiques ou morphologiques, les comportements ne se fossilisent malheureusement pas. Nous avons, au mieux, uniquement accès à des indices indirects et épars (fossiles, outils non périssables) de l’intelligence des espèces du passé. Il est donc clair que l’évolution de l’intelligence peut être abordée par l’étude comparative des animaux actuels. Il nous faut comprendre le présent pour espérer entrevoir le passé.
Ce livre met donc en évidence les différentes stratégies mises en place par les individus issus de diverses espèces en fonction du contexte dans lequel ils se trouvent. Tout comme un livre entier pourrait être consacré aux définitions de l’intelligence, un livre ne suffirait pas à exposer tous les comportements intelligents des animaux. Aussi ce livre présente-t-il quelques exemples de comportements, basés entre autres sur mes observations. Il propose de porter un autre regard sur les capacités animales et de s’interroger différemment sur l’intelligence humaine et ce qui a fait l’humain, semble-t-il, il y a environ 3 millions d’années. Cet ouvrage a pour but de vous démontrer que l’affirmation selon laquelle les humains sont les plus intelligents n’a pas beaucoup de sens au regard de l’évolution et du contexte. Il remet les humains à leur place au sein du règne animal, et pas nécessairement en son sommet, afin de discuter le plus objectivement possible les points communs et les différences entre les espèces. L’intelligence est probablement la seule adaptation qui a conduit une espèce à établir une sorte de domination sur le monde naturel. Il n’en demeure pas moins que le doute subsiste largement sur la capacité de cette même espèce à maintenir sa propre survie et celle des autres. Ce livre nuit donc gravement à la santé des idées reçues sur le monde animal, sa hiérarchisation et l’intelligence humaine en s’appuyant sur mes vingt années d’expériences de terrain, souvent en compagnie d’étudiants, et sur les multiples travaux de collègues chercheurs.
Force est donc de constater qu'ayant une véritable formation scientifique , elle se pose des questions , comme la tienne , qui je le répète est tout à fait pertinente pour un lycéen ou un collégien, mais la différence ici c'est qu'elle , elle apporte des arguments et curieusement aucun n'ira dans ton sens !!!
agecanonix a écrit : ↑10 janv.23, 06:02
La preuve, un cerveau de 1350 cc qui ne sert à rien et n'apporte rien aux sapiens pendant 300 000 années ce qui indique que son évolution supposée n'avait rien d'une nécessité, excluant la sélection naturelle comme facteur de cette évolution.
Ce n'est pas une preuve mais ton opinions puisque tu chasses d'un revers de la main tout ce qui t'a été présenté depuis le début du Threads comme "n'étant pas pertinent" , ou "sans intéret" ... seuls compte pour toi tes croyances et ton opinion ...
Mais je le répète également cela n'en fera jamais une réalité !
agecanonix a écrit : ↑10 janv.23, 06:02
Nous avons une merveille de conception qui apparait comme parfaitement inutile pendant 300 000 années. Si pendant 300 000 années, un cerveau de 380 cc pouvait suffire à la préservation de l'espèce sapiens, que vient faire ce cerveau de 1350cc improductif.
Le moteur supposé de l'évolution se montre ici incapable d'expliquer l'existence de cette pépite sur un support qui ne sait pas quoi en faire et qui ne s'en servira pas pendant 300 000 années.
Plus que jamais, l'intelligence humaine est une épine pour l'évolution.
AMHA c'est plutot la théorie de l'évolution qui est un poil à gratter pour les truffes comme toi
Parce que la Théorie de l'évolution n'a pas pour objectif d'expliquer l'intelligence ... elle se contente d'expliquer comment les espèces apparaissent d'ancêtre commun
L'intelligence au mieux pour poser un problème de son "avantage" pour une espèce sur la non intelligence ... cela dit , nous pouvons constater également
que les "prédateurs" sont tous des animaux plus intelligent que leur "proies" ... donc loin d'être une épine pour la théorie , l'intelligence fournie un avantage selectif certain
Cordialement