agecanonix a écrit :La première copie que tu cites : 200 ans après. Or Jean parlait de la grande apostasie juste après sa mort.
Et les 5000 autres sont postérieures.
C'est comme si tu me disais que la nom de Dieu, Jéhovah, n'apparait pas dans la bible Segond.
Je te répondrais . Eh alors !!!!!
Jésus l'employait cettainement, ne serait-ce que dans son propre nom.
Si Jehovah choisit pour son fils un prémon qui signifie Jehovah est salut, tu pourras faire des pieds et des mains, tu trapeze volant ou tout ce que tu voudras, tu ne pourras pas convaincre tout personne raisonnée, qu'il ne voulait plus que l'on prononce son nom.
D'ailleurs, cette argument fait mouche 99% des fois que nous en discutons en prédication.
Dire à quelqu'un qu'il ne faut plus utiliser un nom propre et lui donner comme prénom une phrase qui reprend ce nom interdit serait completement idiot. comme ton raisonnement.
Je me casse la tête à poster une argumentation construite, argumenter, soutenue par de nombreux versets bibliques, des references precises et TOI tu ne m'offres que ta conviction d'être dans la "vérité". C'est lamentable !!!
Dorénavant sans réponse argumenter de ta part je te répondrai plus. DES PREUVES pas des affirmations.
De ton côté c'est VIDE vertigineux, pas de chiffre, pas de references, pas de manuscrits, pas de copies....le VIDE, c'est CREUX.
Pour la dernière fois je te réponds.
Un important rédacteur ancien appelé
Irénée a écrit un livre (en réalité, c’était un rouleau) au deuxième siècle intitulé
Contre les hérésies.
Irénée n’indique pas qu’il ait eu connaissance que les copistes et les scribes aient conspiré pour enlever le nom divin des Écritures grecques chrétiennes, même dans ces endroits où la TMN insère le nom de Jéhovah. Ainsi,
un homme écrivant seulement 50 ans après la mort de l’apôtre Jean, était satisfait du titre de Jésus, Kurios, dans les mêmes passages là où les traducteurs de la TMN ont cru qu’ils avaient été altérés par négligence ou par fraude à l’égard du Tétragramme.
L’Épître de Clément aux Corinthiens. Cette épître est considérée comme un écrit authentique de Clément, compagnon de Paul, qui est mentionné en Philippiens 4 : 3.[15] L’épître a été écrite entre
l’an 75 et 110 de notre ère, avec une plus grande probabilité qu’elle ait été écrite peu de temps avant l’an 100.
En aucun cas Clément emploie le Tétragramme dans son épître aux Corinthiens.
D'autre part En 1988, dans le Volume 69, Fascicule 2, de la publication d'érudition Biblica, le Dr Y. K. Kim, un expert en manuscrit, a présenté une preuve importante pour la redater aux environs de la dernière partie du premier siècle, peut-être même avant le règne de l'Empereur Domitien, c'est-à-dire avant
81 de notre ère
Il devrait être noté que la preuve paléographique, employée par le Dr Kim, est considérée le moyens le plus sûr pour de dater des manuscrits anciens. (Voir aussi le Réveillez-vous!, du 22 juin 1972, la page 8.)
Qu’une hérésie aux proportions si radicales puisse avoir balayé l’empire romain au complet au cours d’une si courte période de temps en l’an 96 et 300 de notre ère, et que cette hérésie ait été si complète qu’elle ait fait disparaître toutes traces de changements, c’est là quelque chose de difficile à imaginer.
Pouvons-nous alors imaginer que cela serait survenu «seulement quelques décennies» après la mort de l’apôtre Jean
?