dan 26 a écrit :
La revue se contente de faire part du fruit des recherches de Zias et Sekeles. Mais c'est promis, Dan : quand vous m'apporterez votre source, je l'invaliderai de la même manière au motif qu'elle a été produite par des athées ou, à tout le moins, des non catholiques, et que leur but est de faire vaciller la religion chrétienne ! Avec des pratiques pareilles, il est évident que nous tournerons en rond indéfiniment.
Dan, est-ce que vous lisez parfois des livres ? Avez-vous vu des notes de bas de page, dans certains livres ? Quand l'auteur du livre en cite un autre pour appuyer ce qu'il écrit, il dit à quelle page il a trouvé cette information. Il ne renseigne qu'une page ou, au pire, un groupe de pages : "p. 64" ou "pp. 112-146" par exemple.
Vous ne m'avez mis sur aucune voie, Dan. Je connaissais le cas du crucifié de Giv'at HaMivtar bien avant que vous n'y faisiez référence. Vous en avez parlé le premier ici, sur ce forum. Mais vous ne m'avez rien appris. J'ai expliqué que, de mon point de vue, il était trop tôt pour aborder ce dossier : nous n'étions encore que dans l'Antiquité, à décortiquer la littérature latine pour vérifier vos assertions, et subitement vous sautez près de 2000 ans !
Je sais pourquoi vous avez subitement changé de direction : j'avais démontré que vos propos au sujet du mot /crux/ qui n'apparaîtrait que dans la Vulgate de Jérôme pour la première fois avec le sens de "croix" que nous connaissons aujourd'hui. Il fallait faire diversion ! Bien joué. Mais je vous ai brûlé, Dan.
Je démontrerai qu'il s'agit d'un crucifié. Je me baserai sur les conclusions des chercheurs... JUIFS. Avec un peu de chance, vous ne leur reprocherez pas d'avoir voulu influencer les conclusions dans le sens des chrétiens !
Écrit par qui, quand ?
J'ai écrit : "pour l'instant ! Mais je comprends que vous ne souhaitiez pas revenir sur cette histoire de Jérôme et de /crux/. Vous étiez au final assez ridicule ! Pour ma part, tant que vous n'aurez pas admis la réalité, je n'avancerai pas. J'en resterai donc à la littérature latine. Ensuite, je reviendrai sur vos considérations hasardeuses au sujet du poids de la croix. Et enfin, nous reviendrons sur le cas du crucifié de Giv'at HaMivtar.
Je suis d'accord mais tu n'as pas démontré que l'utilisation des clous faisait partie de ce supplice, relis toi, comme je te l'ai démontré à mon tour . Tu as reconnu toi même que le mot crucifier fixer sur une croix chrétienne avec des clous, n'existait à l'époque ni en grec ni en Hébreux . Preuve incontestable de la véracité de mes propos du début, désolé pour toi .
Amicalement , je ne t'oublie pas . .
Vous n'avez pas plus fait la démonstration que c'était avec des cordes plus qu'avec des clous ! Vous me reprochez ce que vous n'avez pas fait non plus !
Mais dites-moi, quand j'aurai trouvé un extrait mentionnant des clous, vous me demanderez quoi ? Une photo d'époque ? Une interview d'un bourreau, voire d'un supplicié qui s'exprimerait sur la douleur exercée par l'enfoncement des clous dans la chair ?
Enfin, je n'ai rien reconnu de ce que vous affirmez. Vous déformez complètement mes propos. J'ai reconnu tout simplement qu'il n'y avait pas de mot spécifique pour signifier "assemblage de deux poutres mises en travers l'une de l'autre". Mais vous avez probablement négligé la partie où j'expliquais que l'absence de ce mot est un problème pour VOUS et non pour moi.
En effet, s'il n'y a qu'un mot pour désigner des façons différentes de supplicier, comment savoir avec certitude qu'untel n'a pas été mis "en croix" ?
J'ai également parlé du phénomène linguistique à la base du fait qu'un mot avec une acception bien déterminée peut élargir son champ de significations. Ce phénomène s'appelle le glissement sémantique. Avec /stauros/ et /crux/, nous avons affaire à une synecdoque. C'est une partie de l'assemblage qui permet de désigner l'ensemble. La partie prise pour le tout.
Vous manquez singulièrement de rigueur, Dan. Il ne m'étonne plus, finalement, que vous commettiez des erreurs grotesques.