Re: 1914, 1935, 1975 - Pourquoi autant de dates ?
Posté : 20 août13, 20:55
Jésus parlait de sa génération et pas d'une génération future. CQFD.
Forum Inter-Religieux de sociologie religieuse francophones
https://forum-religion.org/
Euh en fait non ... maintenant "la génération" c'est la génération des oints contemporains des oints témoins de 1914 ...VENT a écrit :Assez rigolé
Ceux nées en 1917 font parti de "cette génération" dont Jésus à parlé
Celà dit rien n'empêche que cette génération passe avant harmaguédon. Réfléchisson, si nous calculon la dernière génération qui doit passer, c'est comme calculer la date d'harmaguédon ? pourtant Jésus a dit que personne ne connait le jour de Jéhovah, Jésus lui même ne la connait pas. On doit donc s'attendre à ce que cette génération passe et que toutes ces choses soient arriver sans que le jour de Jéhovah n'arrive obligatoirement. Quand Jésus dit "cette génération ne passera pas avant que toutes ces choses arrivent" il ne dit pas que le jours de Jéhovah doit arriver obligatoirement juste après. La encore, la génération dont Jésus parle est un indicateur de temps comme repère pour ses disciples, pas un moyen de connaître la date d'Armaguédon.
VENT a écrit :"Cette génération" ne signifie pas uniquement ceux qui sont née à une date précise comme 1914, cette génération sont ceux qui ont un lien commun avec la guerre de 1914 :
http://oparleur.blogspot.fr/2010/04/fre ... quune.html
Frédéric Gaussen, «Qu'est-ce qu'une génération?», Le Monde , 15 novembre 1981
Frédéric Gaussen a été journaliste au Monde de 1964 à 1994.
Qu'est-ce qu'une génération ? Qu'est-ce qui fait que toutes les personnes d'un même âge se sentent quelque chose en commun, quelle que soit leur origine sociale ou régionale ? Il y a plusieurs façons d'entendre le mot « génération ». Il peut désigner les gens ayant eu une expérience historique commune particulièrement frappante. Ainsi parle-t-on de la guerre de 1914 ou de la Résistance ou de Mai 1968. On peut aussi identifier la génération à une classe d'âge : tous les gens ayant eu vingt ans dans les années 1950 ou 1970. On peut enfin penser à l'expérience familiale : la génération des enfants, par opposition à celle des parents et des grands-parents. Trois approches qui entraînent en fait des définitions et des contenus bien différents.
Pour qu'un événement crée une génération il faut qu'il ait un caractère global (qu'il touche pratiquement tous les individus d'un même âge), qu'il soit assez prolongé pour avoir le temps de marquer et suffisamment éprouvant pour que chacun ait de bonnes raisons de s'en souvenir. C'est pourquoi une guerre fait particulièrement bien l'affaire. Mais ces conditions ne sont pas suffisantes. Il faut aussi que « cet événement fondateur » fasse l'objet ensuite d'une célébration collective, que le souvenir en soit entretenu et magnifié1. C'est l'interprétation posthume de l'événement qui fait une génération, plus que l'événement lui-même. Aussi peut-on parler de génération pour les acteurs de la guerre de 1914, mais non pour la guerre de 1939-1945 (sauf pour la tranche très minoritaire de ceux qui ont participé à la Résistance) ou la guerre d'Algérie. Dans les deux derniers cas, la mauvaise conscience nationale provoquée par ces événements a entraîné un effet d'oubli, de gommage volontaire. Loin de se regrouper pour exalter les souvenirs communs, les survivants s'évitent et se taisent.
Ceci montre que l'histoire n'est jamais une succession neutre d'événements, mais une reconstruction opérée par une collectivité humaine, en fonction d'objectifs particuliers. La constitution d'un « effet de génération » répond à un programme précis : effacer les différents sociales ou les rivalités politiques ; forger l'unité d'un groupe autour d'un grand mythe original ; détourner les ressentiments que pourraient susciter les souffrances endurées en exaltant l'héroïsme des survivants ; affermir le pouvoir d'un clan et écarter les assauts de prétendants illégitimes (parce que n'ayant pas reçu l'acte de baptême de l'événement fondateur).
De même, si l'on peut - à la rigueur - parler d'une « génération de Mai 1968 », ce n'est évidemment pas en raison de l'effet politique immédiat de l'événement ou de l'importance numérique des gens qui y ont participé directement, mais parce qu'il fut pris pendant les dix années qui ont suivi comme référence symbolique par les médias et par une partie importante de l'opinion pour désigner un profond mouvement de transformation sociale.
Cet exemple montre que l'effet de génération peut jouer - sur une échelle réduite -pour désigner des groupes souvent très minoritaires, mais ayant une influence intellectuelle ou politique décisive.
La génération à caractère sociologique est, à l'inverse, beaucoup plus vaste et englobe, à la limite, tous les individus nés à la même époque et ayant eu les mêmes expériences scolaires et enfantines. Plus tard, ils s'apercevront en effet qu'il y a entre eux une relation invisible faite du même air respiré, d'émotions partagées à l'écoute des mêmes airs, au souvenir des mêmes danses et des mêmes coiffures. « De notre temps... », c'est-à-dire lorsque nous étions jeunes ensemble, lorsqu'on vibrait aux mêmes choses, qu'on pleurait devant les mêmes visages. Ce sont des souvenirs ténus, impalpables, mais plus importants que toutes les professions de foi. Ceux auxquels on tient plus que tout, parce qu'ils nous ont fait ce que nous sommes.
L'homogénéisation des sociétés modernes — avec la prolongation de la scolarité, la génération des médias, le rapprochement des sexes... — ne peut évidemment que renforcer cet effet de génération-là. Le phénomène du « yé-yé2 » a marqué peut-être la naissance de ces générations à l'échelle planétaire. Transportés par les médias à travers les frontières, les mots de passe et les signes de connivence réunissent les jeunes du monde entier dans les émotions communes. Mêmes airs, mêmes danses, mêmes vêtements, mêmes révoltes, mêmes rêves...
© Le Monde
Sans blague................... C'est toujours après et une fois la main prise dans le sac, que la WT revoie sa copie, mais jamais avant...Voici la réalité des écritures selon la WT concernant cette génération de 1914 qui ne devait pas passer avant que celle-ci passe..CQFD.VENT a écrit :GÉNÉRATION
Etude perspicace, vol 1 1998 (génération)
Par génération, on entend généralement toutes les personnes nées à peu près à la même époque (Ex 1:6 ; Mt 11:16). On y associe le sens de “ contemporains ”. En Genèse 6:9, il est dit à propos de Noé : “ Il se montrait intègre parmi ses contemporains [littéralement : “ générations ”]. ” En rapport avec les relations familiales, une génération peut désigner un ensemble de descendants, par exemple les fils et filles ou les petits-fils et petites-filles. — Jb 42:16.
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Ah ! voilà comment ça se termine quand tu n'as plus d'argument, par un "HORS SUJET" !!!Arlitto a écrit :Et toi, peux-tu raisonner sans les écritures que t'impose et t'oblige à croire la WT ???
Une réponse en forme de question sur un acte que tu as initié ...VENT a écrit : Ah ! voilà comment ça se termine quand tu n'as plus d'argument, par un "HORS SUJET" !!!
Au sujet de la gen de 1914, seule la dernière compréhension compte. On appelle cela faire des mise à jour. Si pour vous 1914 n'est pas une date biblique, alors l'an 29 non plus puisque c'est la même méthode employée pour trouver les deux dates.Arlitto a écrit :Toi démontre moi le contraire ....
Tu n'as juste qu'à lire les paroles de Jésus avec tes yeux à toi sans la vision de la WT et tu comprendras qu'il parlait de sa génération, quand il demande par exemple à ses disciples, de priait pour que cela n'arrive pas en hiver....L'hiver à Tahiti ça n'existe pas.....
Plus d'arguments ??? Hors sujet ??? mais où ça ???.......... Tu en veux encore ??? .VENT a écrit : Ah ! voilà comment ça se termine quand tu n'as plus d'argument, par un "HORS SUJET" !!!