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Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Posté : 15 janv.16, 00:48
par algol-x
Réponse voir lien ci dessous :
http://consistoire.soka-bouddhisme.fr/pdf/PEE_09_10.pdf[/quote]

Le consistoire:
S’adapter à la situation de chaque pays c’est la consigne de la Soka Gakkai. Donc en France, par exemple, elle s’appelle " le consistoire Soka du bouddhisme de Nichiren". Elle dit être sous l’autorité du consistoire mondial qui se trouve à Tokyo. Or ce consistoire mondial n’existe pas. La Soka Gakkai reconnait officiellement que "le consistoire Soka du bouddhisme de Nichiren." est une appellation locale de la branche de la Soka Gakkai France. Ce n’est qu’un camouflage...
http://griess.st1.at/gsk/fecris/copenha ... oka_FR.pdf[/quote]

Ensuite, la Soka Gakkai revendiquant "le bouddhisme de Nichiren" comme sa propriété, voici un texte de "Nichiren études":

"Au Japon, chaque temple dispose d'une très grande autonomie. La majorité des adeptes font ainsi partie d'une fédération, la Nichiren Shu. Tolérants à l'égard de toutes les croyances, ils coexistent avec un autre courant, très prosélyte et "exclusiviste", la Nichiren Shoshu dont est issue l'association laïque Soka Gakkaï*. Depuis,1991, la Soka Gakkai s’est totalement désolidarisée de la Nichiren Shoshu et transmet aujourd’hui le « bon sens » de l’enseignement de Nichiren."

On peut être en désaccord d'un point de vue théologique sans que ça dégénère en bataille. Il n'est pas difficile de percevoir sur les forums l'égotisme exacerbé, le messianisme quasi-guerrier propre à la soka gakkai que relaient certains adeptes.

:Bye:

Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Posté : 15 janv.16, 01:18
par Yvon
Il existe une quarantaine d'écoles Nichiren au Japon dont les principales sont :

Nichiren Shū, école de Nichiren ;
Nichiren Shōshū, école véritable de Nichiren ;
Nichiren Honshū ;
Nichiren Shū Fuju-fuse-ha ;
Kempon Hokkeshū ;
Hokkeshū Honmon-ryū ;
Hokkeshū Jinmon-ryū ;
Hokkeshū Shinmon-ryū.
Sōka Gakkai
Le Reiyukai
Risshō Kōsei Kai.

Preuve en est que le bouddhisme de Nichiren n'appartient à personne , de même que le mantrâ " Nam Myoho Renge Kyo "

:hi:

Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Posté : 15 janv.16, 01:34
par algol-x
Yvon a écrit :Il existe une quarantaine d'écoles Nichiren au Japon
"On dit souvent que la Soka Gakkai est un « Bouddhisme bizarre »ou « ce n’est pas du Bouddisme ». Mais ce n’est pas par rapport à cela que la
Soka Gakkai est considérée comme une secte. "

http://griess.st1.at/gsk/fecris/copenha ... oka_FR.pdf

Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Posté : 15 janv.16, 01:45
par vic
"On dit souvent que la Soka Gakkai est un « Bouddhisme bizarre »ou « ce n’est pas du Bouddisme ». Mais ce n’est pas par rapport à cela que la
Soka Gakkai est considérée comme une secte. "

http://griess.st1.at/gsk/fecris/copenha ... oka_FR.pdf
Sur le fond , même si comme André Bareau je pense que la vision de Nichiren n'a plus grand chose à voir avec du bouddhisme , chacun a le droit à la liberté de pensée et à sa vision . Et justement la liberté de pensée ne doit pas se faire à travers un mouvement douteux comme la sokka gakkaÏ qui utilise le prosélytisme intensif et la pression psychologique sur les individus dans des buts politiques et pas seulement religieux .
je n'ai qu'une chose à dire , si des gens qui nous lisent sont attirés par le bouddhisme de Nichiren et le soutra du lotus , pourquoi pas , mais il existe d'autres écoles qui étudient le bouddhisme de Nichiren qui n'ont pas les mêmes inconvénients de dangerosité pour l'équilibre psychique de l'individu que la sokka gakkaï .
Donc mieux vaut faire son choix en connaissance de cause .

Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Posté : 15 janv.16, 01:57
par Yvon
Le culte du bouddhisme de Nichiren en France
Réponses aux questions
Le respect de la loi républicaine
Le mouvement Soka du bouddhisme de Nichiren au Japon

Prenant acte d’une série de critiques apparues depuis quelques années en France contre le mouvement Soka Gakkai et le Culte du bouddhisme de Nichiren Daishonin, le présent dossier, valant contre-enquête, entend apporter des précisions d’ordre factuel et argumentées. Cette situation résultant de trois séries de travaux revêtus de l’autorité de la République (infra) appelle une contre-expertise démocratique et réellement contradictoire de ces données rendues publiques sous le halo de l’objectivité, de la légitimité et de la neutralité..

En effet, l’année 2006 marque les dix ans de la publication du rapport élaboré par la première « Commission d’enquête sur les sectes ». Depuis 1996, de nombreuses évolutions ont modifié la situation créée par la diffusion par l’Assemblée nationale d’une « liste noire » de 173 mouvements qualifiés de « sectes ». Il apparaît donc nécessaire de procéder à une mise en perspective et à une étude objective des pratiques des croyants qui pratiquent le Culte du bouddhisme de Nichiren Daishonin en France. Il y va ici du respect du principe de liberté dans une société démocratique.

Mais, de façon préliminaire et pour une pleine compréhension du sujet, on relèvera la prévalence du Culte du bouddhisme de Nichiren Daishonin sur les structures et institutions dites « Soka Gakkai », qui en sont l’émanation et les formes d’expressions associatives. En effet, tel qu’il est expliqué ci-après, l’ensemble des structures et des activités en question a pour dénominateur commun la croyance et la pratique du culte bouddhiste qu’incarne l’invocation religieuse devant le Gohonzon, élément de vénération (cf. Citoyens du monde – Le mouvement bouddhiste Soka Gakkai au Japon, sous la direction de David Machacek et Brian Wilson, L’Harmattan, Paris, 2004). Il est cependant nécessaire de tenter de comprendre les raisons de l’ostracisme subi en France principalement par les croyants de ce culte taxé de « secte » par ses opposants.
La suite ici :

http://reponses.soka-bouddhisme.fr/spip.php?article11

:hi:

Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Posté : 15 janv.16, 02:01
par vic
Yvon ,

C'est de la manipulation votre histoire , c'est un texte bati par la sokka gakkaÏ , on ne le retrouve nulle part d'autre que sur le site de la sokka gakkaÏ .
Donnez nous des sources neutres qui affirment qu'en france la sokka gakkaÏ ne pose pas de problèmes .
je vous ai mis un lien prevensecte a plusieurs reprises sur la sokka gakkaï qui prouve que les accusations des pouvoirs publics sur les dérives sectaires de votre mouvement sont toujours bien d'actualité .
D'autres part , ce lien explique que l'union bouddhiste de france n'accepte pas la sokka gakkaÏ en son sein , la considérant clairement comme secte .

https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q= ... U-zVYocyPw

Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Posté : 15 janv.16, 02:31
par Yvon
"Nous avons donc précisé sans relâche à nos interlocuteurs que ces rumeurs nées à la suite de la classification de notre mouvement comme secte dans un rapport parlementaire en 1983, n’ont aucun fondement. Le dernier rapport parlementaire de décembre 2006 reconnait que le Mouvement Soka ne comporte, tant dans sa doctrine, que dans les faits, « aucun comportement déviant ». En 2003, le ministre de l’Intérieur a confirmé cet état de fait dans un courrier qui nous a été adressé.
Enfin, en 2008, Jean-Michel Roulet, alors Président de la MIVILUDES, nous a lui aussi confirmé ce point dans un courrier. Comme vous pouvez le constater, nous ne restons pas immobiles face à la rumeur et la diffamation. Il est essentiel que notre mouvement religieux soit reconnu en France comme il l’est dans le monde entier, et que nous, pratiquants, n’ayons plus à répondre à de telles accusations et à justifier de notre pratique du Bouddhisme de Nichiren."

Le 5 juin 2008 ”Le président de la Miviludes Jean Michel ROULET a déclaré à la radio : “nous sommes dans des rapports de confiance avec la Soka Gakkai aujourd’hui”.
L’avocat de l’ACSBN* a demandé à M. ROULET de mettre cette déclaration par écrit à l’attention de l’ACSBN* et il a accepté. Il écrit dans cette lettre adressée au Consistoire de l’ACSBN : “la Soka Gakkai a soulevé des questions à une époque, mais n’en pose plus aujourd’hui.”
Le 15 juin j’ai eu confirmation de cette nouvelle par le responsable du département des hommes, membre de la coordination nationale du mouvement bouddhique. Au cours d’une rencontre cordiale entre Messieurs ROULET, Pierre CHARLOT, président du Consistoire Soka et l’avocat de l’ACSBN*, le directeur de la MIVILUDES a lui même expliqué avoir pris l’exemple de la Soka Gakkai, pendant une émission de radio à laquelle il participait.
* ACSBN : Association Cultuelle Soka du Bouddhisme de Nichiren

Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Posté : 15 janv.16, 03:08
par vic
Yvon a écrit :"Nous avons donc précisé sans relâche à nos interlocuteurs que ces rumeurs nées à la suite de la classification de notre mouvement comme secte dans un rapport parlementaire en 1983, n’ont aucun fondement. Le dernier rapport parlementaire de décembre 2006 reconnait que le Mouvement Soka ne comporte, tant dans sa doctrine, que dans les faits, « aucun comportement déviant ». En 2003, le ministre de l’Intérieur a confirmé cet état de fait dans un courrier qui nous a été adressé.
Enfin, en 2008, Jean-Michel Roulet, alors Président de la MIVILUDES, nous a lui aussi confirmé ce point dans un courrier. Comme vous pouvez le constater, nous ne restons pas immobiles face à la rumeur et la diffamation. Il est essentiel que notre mouvement religieux soit reconnu en France comme il l’est dans le monde entier, et que nous, pratiquants, n’ayons plus à répondre à de telles accusations et à justifier de notre pratique du Bouddhisme de Nichiren."

Le 5 juin 2008 ”Le président de la Miviludes Jean Michel ROULET a déclaré à la radio : “nous sommes dans des rapports de confiance avec la Soka Gakkai aujourd’hui”.
L’avocat de l’ACSBN* a demandé à M. ROULET de mettre cette déclaration par écrit à l’attention de l’ACSBN* et il a accepté. Il écrit dans cette lettre adressée au Consistoire de l’ACSBN : “la Soka Gakkai a soulevé des questions à une époque, mais n’en pose plus aujourd’hui.”
Le 15 juin j’ai eu confirmation de cette nouvelle par le responsable du département des hommes, membre de la coordination nationale du mouvement bouddhique. Au cours d’une rencontre cordiale entre Messieurs ROULET, Pierre CHARLOT, président du Consistoire Soka et l’avocat de l’ACSBN*, le directeur de la MIVILUDES a lui même expliqué avoir pris l’exemple de la Soka Gakkai, pendant une émission de radio à laquelle il participait.
* ACSBN : Association Cultuelle Soka du Bouddhisme de Nichiren
Trouvez nous des sources neutres qui n'appartiennent pas à votre mouvement , des sites gouvernementaux qui étayent ce que vous dites .

Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Posté : 15 janv.16, 03:13
par Yvon
Ce sont des faits établit du ministère de l'intérieur et des propos de Jean-Michel Roulet, alors Président de la MIVILUDES à l'époque .

La déclaration et la lettre de celui ci existe bien , ainsi que le courrier ministériel de 2003 vous voulez quoi d'autres ? :interroge:

Ah oui je sais une photocopie :D

Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Posté : 15 janv.16, 03:19
par vic
Yvon a écrit :Quel montage ? Ce sont des faits établit du ministère de l'intérieur et des propos de Jean-Michel Roulet, alors Président de la MIVILUDES à l'époque .

La déclaration et la lettre de celui ci existe bien , ainsi que le rapport ministériel de 2003 vous voulez quoi d'autres ? :interroge:
Je veux le rapport ministériel sur un site ministériel ou sur un journal connu neutre et non de la propagande sokka gakkaÏ sur son propre site .
Les sources d'informations ont leur importance , il est évident que la sokka gakkaï sur son site à tout intêret à enjoliver la vérité .

Je vous mets le lien de l'unadefi sur la sokka gakkaÏ , ça vous donnera une idée de ce qu'elle en pense encore à l'heure actuelle puisque cet article existe encore à l'heure actuel sur son site et n'a pas été enlevé , c'est que l'unadefi n'a pas changé d'avis sur la sokka gakkaÏ, contrairement à ce que prétend la sokka gakkaÏ elle même .

https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q= ... VwSBWJQ7_g

Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Posté : 15 janv.16, 03:24
par Yvon
Ce sont des faits établit du ministère de l'intérieur et des propos de Jean-Michel Roulet, alors Président de la MIVILUDES à l'époque .

La déclaration et la lettre de celui ci existe bien , ainsi que le courrier ministériel de 2003

Si celà vous chante, demandez en une photocopie auprés de l'ACSBN , ou rendez vous à Sceau pour voir les originaux . :wink:

Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Posté : 15 janv.16, 03:27
par vic
Je vous mets le lien de l'unadfi sur la sokka gakkaÏ , ça vous donnera une idée de ce qu'elle en pense encore à l'heure actuelle puisque cet article existe encore à l'heure actuel sur son site et n'a pas été enlevé , c'est que l'unadfi n'a pas changé d'avis sur la sokka gakkaÏ, contrairement à ce que prétend la sokka gakkaÏ elle même .


http://www.unadfi.org/groupe-et-mouvanc ... akka%C3%AF

ou encore ce lien :

http://www.unadfi.org/%C3%A9tiquettes/soka-gakkai

Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Posté : 15 janv.16, 03:40
par Yvon
L'Unadfi ou la "secte anti secte "

Enquête sur la « secte anti-sectes »
Officiellement, l’U.N.A.D.F.I. (Union Nationale des Associations de Défense des Familles et
de l’Individu) s’est donné pour mission de lutter contre les sectes. Certes, ce combat pourrait
être légitime s’il était mené contre de vraies sectes, c’est-à-dire des organisations qui
mettraient en cause gravement l’équilibre physique et mental de leurs membres ou l’ordre
social et la sécurité publique. De toute évidence, s’il existe de telles sectes, ce qui justifie de
les combattre, elles sont très rares de par le monde et quasi-inexistantes en France à ma
connaissance. L’ U.N.A.D.F.I. ne semble ni indépendante ni objective dans ses jugements,
pas plus que le C.C.M.M (centre contre les manipulations mentales), la Miviludes et les
services de renseignements généraux pour des raisons et des objectifs différents. Comme le
laisseraient croire certains documents qui émanent d’elle, cette association considérerait a
priori que toute organisation dont l’enseignement n’est pas conforme à la foi catholique
serait une secte, sans parler du jésuitisme notoire dont elle fait preuve dans sa croisade
antisectes ainsi que de l’influence dominicaine qui signe nombre des articles de fond de sa
presse antisectes et de son idéologie de base. Les Jésuites et les Dominicains ayant été les fers
de lance de l’Inquisition, il est temps de montrer l’autre visage de la sainte U.N.A.D.F.I, afin
que les fantômes de l’Inquisition ne viennent pas hanter le 21e siècle et prôner la restauration
d’une pensée religieuse unique, ce qui remettrait en cause un droit acquis au fil des siècles au
prix d’une immense souffrance: la liberté de conscience et de croyance. La laïcité
républicaine garantit en effet à tous les citoyens français et européens le libre choix de leurs
croyances et de leurs opinions sans aucune exception. Seul le régime de Vichy a contesté ce
droit en France aux juifs et aux sectes (francs-maçons compris à l’époque) et vous connaissez
la suite.
Le vrai visage de l’A.D.F.I.
D’après « Sectes, religions et libertés publiques » de Christian Paturel (Édition La Pensée
Universelle 1996) la plupart des mouvements « anti-sectes » européens sont des
émanations de l’A.F.F. (American Family Fondation). L’A.D.F.I. (Association de Défense
de la Famille et de l’Individu) figure d’ailleurs fréquemment dans « The Advisor », une
publication de l’A.F.F. Cette organisation anti-sectes est composée essentiellement de
psychiatres marginaux : Margaret Singer, Jolly West, John Clark. Au sein de cette structure
internationale, les psychiatres occupent une place de premier plan. Ces derniers sont des
spécialistes des contrôles du mental humain (hypnose, électrochocs, injection de drogues), des
techniques de manipulation des foules, du « deprogramming » qui, par des pratiques diverses
et violentes, vise à rétablir la « santé mentale » des individus concernés. Parmi ces
psychiatres: Ted Patrick : ancien psychologue de l’armée américaine, qui a adopté les
méthodes brutales de « deprogramming » pour réinsérer dans le droit chemin les membres des
« sectes » (enlèvement, séquestration, violence…). Dr John Clark: spécialiste du contrôle
mental et ancien assistant du Dr Lindemann de la C.I.A. Il a été sanctionné par le Conseil de
l’Ordre des Médecins du Massachusetts pour avoir interné de force une personne en raison de
ses croyances religieuses. En 1983, il a proposé un plan visant à faire disparaître les
« nouvelles religions ». Clark dénonce les barrières juridiques des sociétés démocratiques et
libérales qui se dressent pour contrarier ses conceptions personnelles et c’est une
dénonciation courante dans la bouche des responsables de l’ADFI et de la Miviludes. Ses
travaux sont d’ailleurs souvent cités dans les publications de l’A.D.F.I. Margaret Singer :
Elle fut psychologue militaire et eut des problèmes avec la justice américaine, qui considéra
que ses rapports de psychiatrie étaient « des jugements de valeurs déguisés sous la forme
d’opinion d’expert ». Dr Louis West : Il préconisait la stérilisation des Noirs et des Hispanoaméricains
pour lutter contre la criminalité. Il est souvent cité dans les publications de
l’A.D.F.I. (ex : Bulles). Les thèses défendues par ces psychiatres suscitent l’indignation de la
psychiatrie américaine : ce sont des marginaux. Dr Robert Lifton : Défenseur acharné du
« deprogramming », il est l’auteur d’un ouvrage équivoque sur les pratiques des médecins
nazis dans les camps de concentration.
La naissance de l’ADFI.
L’A.D.F.I. est née à Rennes en Bretagne en 1974 à l’initiative du Dr Champollion et du
Psychiatre André Badiche. Elle déclare immédiatement son attachement aux théories pseudoscientifiques
des psychiatres américains : John Clark, Margaret Singer et Louis West, visant à
la normalisation de la société qui serait en péril à cause des mouvements sectaires ou des
nouvelles religions. On retrouve dans l’A.D.F.I. les idées qui animaient les mouvements
antisémites et antimaçonniques qui firent les beaux jours du gouvernement de Vichy :
dénonciation d’une minorité occulte qui détiendrait la réalité du pouvoir de la finance et qui
serait à l’origine des malheurs de la société (exemple : la Scientologie). Les sectes ont
remplacé les Juifs et la Franc-maçonnerie est devenue inattaquable à cause de son pouvoir
politique (elle compte plusieurs membres dans les rangs de la Miviludes). L’A.D.F.I. est la
courroie de transmission qui véhicule l’idéologie totalitaire des psychiatres américains
marginaux. Elle préconise et utilise les méthodes de « deprogramming » du Dr Clark, qui sont
similaires à celles employées par les soviétiques aux belles heures du communisme pour
« soigner » les « dissidents ». L’A.D.F.I. tente régulièrement d’imposer ses thèses aux
autorités publiques et aux médias. Elle possède ses entrées dans les Ministères. Par ailleurs,
elle est membre de nombreux organismes (la Commission Consultative Nationale des Droits
de l’Homme rattachée au Premier Ministre en France ! ! !). L’A.D.F.I. n’hésite pas à
employer les moyens qu’elle dénonce chez les sectes: désinformation, multiplication de
messages répétitifs, exploitation maximale de tueries dramatiques dans le domaine des sectes
et très suspects quant à la réalité des faits rapportés (Guyana, Waco, le Temple Solaire…). Il
ne faut pas perdre de vue, par exemple, que l’affaire de l’Ordre du temple solaire en France
(dont on entend beaucoup moins parler d’ailleurs) est une tuerie organisée de toutes pièces par
les commandos de la marine française. Ce massacre déguisé en suicide mettait fin à des
années au service d’une fraction dissidente du contre-espionnage français par les membres
dirigeants de l’OTS (ce sujet fera bientôt l’objet d’un autre dossier). Un des acteurs
principaux de cette sinistre affaire fut un psychiatre français, le docteur Jean-Marie Abgrall,
qui exerça préalablement dans l’armée !
L’ ADFI et les milieux catholiques intégristes.
Le siège de l’A.D.F.I. est très fréquenté par le clergé, par l’abbé Trouslard qui y représente
le Vatican, mais aussi par Mgr Vernette, l’abbé Yvon Lemoine, et l’évêque de Tours… A
l’origine, l’A.D.F.I. bénéficiait de locaux gracieusement offerts par une paroisse catholique
et le mouvement rennais a toujours été fortement soutenu par le clergé local et les milieux
catholiques intégristes rennais. Nous sommes bien placés pour le savoir, croyez-moi, car
nous sommes sur place depuis de nombreuses années. Les avocats de l’UNADFI les plus
extrémistes prêchent leurs thèses antisectes dans les églises Rennaises. Le fondement
pseudo-scientifique de l’A.D.F.I. n’est pas porté à la connaissance des ses membres, pour la
plupart sincères. Un discours leur est diffusé. Grâce à un astucieux habillage, le message est
rendu crédible, attrayant, voire empreint d’altruisme. Derrière cette vitrine se cache en réalité
une idéologie de l’exclusion et de la haine. L’A.D.F.I. s’attaque généralement à des groupes
soigneusement sélectionnés pour leur petitesse et leur pacifisme. Son objectif est de
démontrer la nocivité et l’extrême dangerosité des nouveaux mouvements religieux, afin de
ramener les brebis égarées vers l’enclos déserté de l’Eglise catholique. En fait, elle entre dans
le plan de ré-évangélisation de l’Église. Elle se livre à une véritable Croisade. L’A.D.F.I est
financée par des subventions du Ministère des affaires sociales, du Ministère de la
Jeunesse et des Sports, du Ministère de la Santé, de l’armée !!!, des fonds spéciaux
émanant du premier ministre et par de nombreuses communes et départements. Un tel
soutien est une hérésie républicaine. Les autres pays européens, par exemple l’Allemagne,
refusent qu’une association de ce type soit financée par l’état. Ce financement est illégal aux
yeux de la communauté européenne et a fait l’objet d’une condamnation. La démarche de
l’A.D.F.I. n’est ni scientifique, ni logique, ni républicaine, ni laïque, ni altruiste, ni
respectueuse des droits de l’homme. Elle est par contre historique, opportuniste et conforme à
une certaine tradition de discrimination religieuse en France. Signalons une étude de Pierre
Barrucand (du CNRS) : « Les sectes anti-sectes », où il critique vivement l’A.D.F.I. Du même
auteur, (P. Barrucand), « Haines d’hier et d’aujourd’hui », campagnes anti-juifs, antifrancmaçons,
anti-sectes. Extrait de « Haines d’hier et d’aujourd’hui » : Quand je vois un
mouvement comme l’A.D.F.I., j’ai l’impression qu’on y rencontre surtout des personnes
qui sont en proie à une obsession, une intoxication. Autrement dit, ils subissent exactement
le phénomène qu’ils croient devoir dénoncer – sans le début d’une preuve – contre un
certain nombre de religions plus ou moins minoritaires. Si manipulation mentale il y a, elle
est le fait de l’A.D.F.I., dont les membres s’intoxiquent mentalement eux-mêmes. Mais ce
qui est absolument stupéfiant, c’est de voir un mouvement confidentiel et quasi secret comme
l’A.D.F.I. être pris au sérieux par certains journalistes, voire certains milieux officiels. Elle est
le pivot central d’une campagne de désinformation. C’est pourquoi cette association est
redoutable et perverse. Elle fonde toute son action, au mieux sur la polémique méchante, au
pire sur la délation et la désinformation. L’A.D.F.I a su se donner une image respectable et est
parvenue à tromper la presse et même parfois les pouvoirs publics. Cette « secte » – au sens le
plus péjoratif du terme – est arrivée ainsi à une certaine puissance, réalisant donc en partie les
fins ténébreuses qu’elle attribue à ceux qu’elle combat, unissant avec habileté le rationalisme
athée de certains et l’intransigeance doctrinale théologique d’autres, et surtout arrivant à se
faire passer comme sérieuse et objective. Dans le cas de l’A.D.F.I., j’ai eu l’impression de
gens qui sont véritablement intoxiqués par leur mythologie et qui vivent dans un univers
complètement fantasmatique. Il est bien évident que ce que je dis ne saurait justifier en aucun
cas les agissements de tel ou tel groupe qui se livrerait à des activités criminelles. Il s’agit
simplement du droit de pratiquer une religion et d’exprimer ses convictions. Il faut que la
presse et les pouvoirs publics deviennent conscients de la vraie nature de l’A.D.F.I Un
permanent de l’A.D.F.I est allé jusqu’à affirmer « qu’un membre d’une secte n’est pas une
personne authentique ».
Par un jugement en date du 12 septembre 1997,
Le Tribunal de Grande Instance de Paris a débouté l’UNADFI de son action pour diffamation
à l’encontre de Louis Pauwels, écrivain et éditorialiste, aujourd’hui décédé, et du Directeur de
publication du Figaro.
L’association s’était estimée diffamée dans l’article publié dans Le Figaro du 24 octobre 1996
sous le titre « Sectes : l’esprit d’inquisition », par le passage ci-après : « Depuis 1975, se sont
instaurées des associations antisectes qui accusent globalement leurs adversaires de
déstructurer les individus et de menacer les familles. La plus virulente d’entre elles est l’ADFI
(Association pour la Défense de la Famille et de l’Individu). Elle catalyse, sinon promeut des
attaques contre les groupes spirituels non conformes. J’apprends qu’elle s’inspire d’un
courant de la psychiatrie américaine visant à la normalisation de la société par la destruction
des nouvelles religions. Cette guerre contre les sectes réveille l’esprit d’inquisition et
s’apparente dans bien des cas aux procès en sorcellerie où la rumeur tenait lieu de preuve. Il
suffit désormais d’accuser un groupe marginal de captation de la personnalité et manipulation
mentale pour qu’il se trouve rangé au nombre des sectes, et, par là même, mobiliser contre lui
l’opinion générale. Cette nouvelle chasse aux sorcières bénéficie des subsides de l’État, et,
sauf exceptions, du soutien sans réflexion des médias ». La Cour a jugé que l’article
traduisait, » de la part du journaliste, une mise en garde contre les excès pouvant porter
atteinte à la liberté de pensée et d’expression, ainsi qu’un appel à la tolérance dans la légalité.
Or, dans une société démocratique, la manifestation d’un tel point de vue doit, à l’évidence,
pouvoir contribuer, au même titre que d’autres prises de position, au débat public sur le
phénomène sectaire ».
Nous rappelons à ceux qui l’auraient oublié que l’Omnium des Libertés est né dans cette
période et dans ce contexte, en 1996, d’une initiative de Louis Pauwels et de Joël Labruyère
(hé oui, 15 ans déjà).
La FRANCE au banc des accusés.
Après que le Département d’État américain et l’ONU aient condamné la France pour son
attitude vis à vis des minorités spirituelles, l’OSCE épingle la « patrie des droits de l’homme »
pour violation de la liberté religieuse. L’OSCE – Organisation pour la Sécurité et la
Coopération en Europe – a tenu à Vienne, le 22 mars 1999, une conférence sur le thème de la
liberté de religion en Europe. Y ont participé des délégations de tous les pays de l’OSCE et
plus de 100 organisations religieuses et non gouvernementales. 70 délégations ont pris la
parole dans ce débat consacré au pluralisme religieux et aux violations de la liberté religieuse.
A l’occasion de cette conférence, la Fédération Internationale d’Helsinki pour les Droits de
l’Homme a présenté son rapport « Discrimination religieuse et violations des engagements
d’Helsinki ». Ce rapport montre que des démocraties européennes violent leurs engagements
relatifs à la liberté de religion et à la tolérance religieuse. Voici ce que dit ce rapport de la
situation française : Depuis 1996, une montée de l’intolérance et de la discrimination a été
observée en France à l’égard des nouvelles religions. En janvier 1996, l’Assemblée Nationale
a publié le rapport Guyard, contenant une liste de 172 sectes ou cultes jugés dangereux. Ce
rapport a engendré des articles de presse calomnieux à l’égard des minorités religieuses, a fait
circuler des rumeurs et des informations fausses, et constitue une incitation à l’intolérance
religieuse. Dans ce contexte, une multitude de situations et de formes de persécution virtuelle
se sont développées. Les minorités religieuses ont été publiquement marginalisées et
stigmatisées. Cette attitude a engendré de l’exclusion, des pertes d’emploi, une nette
discrimination religieuse de la part des autorités françaises et une forte montée de
l’intolérance de la part de la société civile à l’égard des gens de tous milieux à cause de leurs
croyances religieuses. Le gouvernement français a établi une « Mission Interministérielle de
Lutte contre les Sectes » – la MILS – avec à sa tête Alain Vivien, la figure de proue du
mouvement anti-sectes. L’Omnium des libertés a, à plusieurs reprises, déposé des plaintes à
l’OSCE, sa délégation a pu s’exprimer et être entendu devant cette respectable assemblée.
L’Omnium contribuera grandement à la déconfiture de Vivien et de la MILS par une plainte
déposée devant le procureur de la république de Paris en forme de dénonciation d’abus de
sociaux à l’encontre du couple Vivien, démontré par une enquête de près de deux ans sur les
mouvements occultes de fonds au bénéfice du couple Vivien par le biais du CCMM. Nous
avons renoncé, peut-être à tort, à l’action judiciaire quand la Mils a disparu en même temps
que Vivien et Jospin. La MILS sera remplacée, malheureusement, par la MIVILUDES et
Georges Fenech, ce qui n’est pas mieux mais se terminera mal pour des raisons équivalentes à
celles qui ont fait récemment condamner Charles Pasqua (avec sursis) dans la sombre affaire
du casino d’Annemasse. Paradoxe étonnant, Fenech et Fillion, tous deux catholiques
« militants », ont repris le contrôle de la Miviludes donc de l’action antisectes de l’état
français et ont laissé la présidence de l’UNADFI à Catherine Picard, député socialiste ne se
cachant pas de son trotskisme latent. Cette récupération de la gauche au sein de l’action
gouvernementale va probablement, dans le cas de madame Picard, leur coûter cher par la suite
(voir article suivant sur les barbouzes de l’état).
L’UNADFI, barbouzes de l’état ?
L’Unadfi est une association de la loi 1901. Tout comme les sectes qu’elle combat l’Unadfi a
ses détracteurs. Mais ce qui a semblé échapper à l’opinion publique, c’est ce que vient de
révéler l’observatoire des subventions aux associations : le financement de l’Unadfi.
En effet, alors que les associations d’utilité publique (c’est le cas de l’Unadfi) ont l’obligation
d’être financées majoritairement par leurs membres à plus de 50%, on découvre que depuis 10
ans, l’Unadfi reçoit plus de 96% de son financement des finances publiques, par
l’intermédiaire de différents ministères. Des millions d’euros payés par le contribuable pour
quelques milliers payés par des membres, des donateurs et des supporters.
Cela mène à se poser quelques questions sur l’utilisation de cette association par les
ministères qui la soutiennent. En effet, en France, la constitution interdit au pouvoir
exécutif de s’ingérer dans les affaires des religions. De plus la séparation des pouvoirs écarte
ce même exécutif (ainsi que le législatif) du champ judiciaire, qui ne peut donc pas se
constituer partie civile dans les histoires de sectes et autres casse-tête politico judiciaires.
Mais l’Unadfi, en tant qu’association d’utilité publique, a le droit de se constituer partie civile,
ce qu’elle ne manque pas de faire (procès de la scientologie, divers procès contre les médecins
« déviants »). Comme les associations d’utilité publique sont censées être financées par les
membres, on comprend que normalement elles ne sont pas au service de l’état. Ce n’est pas le
cas de l’Unadfi : financée à 96% par l’état, elle est en fait le bras armé qui peut permettre à
certaines membres du pouvoir exécutif d’enter dans les tribunaux sans être identifiés.
Lors de son passage devant la barre du procès contre la scientologie, une phrase a échappé à
Catherine Picard, présidente de l’Unadfi et député socialiste : « en fait notre ministère de
tutelle est le ministère des affaires sociales » déclare-t-elle devant les juges. Une phrase qui
fait trembler en haut lieu et qui pourrait gêner un plan qui jusque là se déroulait sans accroc.
En effet depuis 1996, les seules affaires sociales ont versé à l’Unadfi 1 million 224 mille
euros de subventions. Le premier ministre verse 110000 euros par an à cette association
soit 660000 euros au total. Il s’agirait de subventions obtenues grâce à la Miviludes qui ne
peut pas, non plus, se constituer partie civile.
Autre détail qui tue, depuis plusieurs années, l’Unadfi est appelée à former divers magistrats,
notamment de l’école de la magistrature, pour faire condamner les sectes. Un entrisme de
l’état dans un pouvoir judiciaire censé être indépendant.
Des pratiques, qui, si elles étaient généralisées et étendues à d’autres domaines, mettraient
réellement en péril la séparation des pouvoirs au cœur de notre constitution.
En ce jour anniversaire du 18 juin je vous promets que nous ferons tout pour que cet état de
fait soit dénoncé et condamné en justice par les instances garantes de la constitution française
et des libertés en Europe.
Merci à tous ceux auxquels nous avons emprunté leur prose et leurs informations pour réaliser
cet article. Comme vous le constaterez dans notre prochaine lettre omnium, notre lutte évolue
et la défense de la liberté de conscience et de croyance prend aussi le chemin d’une lutte pour
la liberté de choix thérapeutique, pour la liberté de vivre autrement dans un autre monde avec
un autre sens que celui du profit exclusif d’un certain nombre de prédateurs, pour la survie de
l’humain et des espèces vivantes. Bref beaucoup d’amour dans tout ça et ça nous chang

http://www.omnium-des-libertes.com/wp-c ... atrie..pdf

Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Posté : 15 janv.16, 04:25
par algol-x
Diversion, afin ne ne pas avoir à répondre à l' analyse sur la soka gakkai! :)

http://www.unadfi.org/groupe-et-mouvanc ... akka%C3%AF


:levitation:

Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Posté : 15 janv.16, 04:50
par Yvon
Y a ça aussi :

Associations de défense de la famille et de l'individu (ADFI) et Union Nationale des ADFI (UNADFI).

Partie 1
Les ADFI portent un joli nom trompeur : association pour la défense de la famille et de l'individu.
Mais leur défense est en réalité une attaque.
Et de nombreuses familles et individus ont dû subir leurs assauts et ne sauraient dire qu'ils ont été défendus.
Pour obtenir les faveurs des ADFI, il faut en effet être dans le « bon camp » : celui des athées, intégristes laïques voire catholiques militants.
De leur point de vue, le reste peut être balayé.
Les membres actifs de ces associations, souvent très incultes pour ce qui concerne la spiritualité, ont initié une véritable chasse aux croyances en France.
Leur refus affiché de tout dialogue et leur croisade contre toutes les démarches spirituelles, éducatives et thérapeutiques alternatives, sans aucune espèce de discernement, ne trompe plus grand monde aujourd'hui.

Le dossier ci-dessous met en lumière la nature de cette association subventionnée par l'état.

TÉMOIGNAGE D'UN EX-ADEPTE DE L'A.D.F.I
LE VRAI VISAGE DE L'A.D.F.I.
L'A.D.F.I. EN CAMPAGNE
L'A.D.F.I. DÉBOUTÉE
A PROPOS DE L'A.D.F.I.
LA FRANCE CONTRE LA LIBERTÉ RELIGIEUSE
SECTES et SURVEILLANCE DE LA POPULATION
MOUVEMENTS SPIRITUELSL'ignorance des pouvoirs publics !
FICHE PRATIQUE DE DÉLATION ET DE SURVEILLANCE (selon l'ADFI)
Halte au droit de persécution
Un lobby très puissant : le lobby antisectes
Lire un témoignage de Janine Tavernier, ancienne présidente de L'UNADFI

La suite ici :

http://www.cicns.net/ADFI.htm