pauline.px a écrit :Ce qui confirme que vos questions étaient purement rhétoriques.
[...]
2 ) Cela résume clairement ma lucidité puisque vos questions étaient purement rhétoriques.
On dirait que votre lumière vacille d'un message à l'autre... L'interprétation chez vous, est un vilain défaut...
C’est facile puisqu’il ne vous répondra pas et que vous refusez tout débat.
Il n'y a rien à débattre puisque le pape est le pape, que les dogmes sont les dogmes, la doctrine la doctrine, etc.
Je ne suis pas catholique, c’est aux fidèles catholiques d’en juger.
Il y a des fidèles catholiques qui en jugent*...
Et puis comment serait-il possible de discuter avec vous si vous adoptez cette attitude?
1 ) Que voudriez-vous que le Saint Père fasse de plus à présent ? [cf. pédophilie]
Au moins, qu'il se taise plutôt que d'utiliser la carte de l'hypocrisie en occultant une partie des faits : plein de religieux ont été protégés par l'église au détriment des enfants...
Voulez-vous dire que je vous dérange ?
Constatez à quel point...
* Message édité : Tenez, j'ai trouvé ça sans chercher, ça date d'aujourd'hui:
[«Femmes dans l'Eglise: la présidente du "Comité de la jupe" attend François aux actes»
Questionnée sur les compliments faits par François au génie féminin, Mme Soupa observe que "trop complimenter est une manière de rendre la cage plus dorée pour que l'oiseau l'oublie". "Plus l'injustice faite aux femmes devient évidente, plus le discours magistériel devient louangeur".
"Dans l'Eglise, les femmes sont l'équivalent de personnes privées de droits civiques (...) Elles n'assurent pas la cure d'âmes, évangélisent sans autorité ni titre reconnus, sont inaptes aux homélies, ne délivrent pas de sacrements, ne gouvernent pas, n'ont aucune contribution doctrinale et n'élisent pas le pape. Les femmes peuplent l'Eglise mais y sont les petites mains. Et ce ne sont pas quelques nominations cosmétiques qui effaceront ce scandale", affirme encore Mme Soupa à l'agence I.Media.]
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Aussi : [Des "cathos de l'intérieur" expriment une parole critique au sein de l'Eglise
"Le risque actuel, c'est que l'Eglise ne soit plus catholique, c'est-à-dire ouverte et universelle, mais qu'elle apparaisse fermée à la souffrance humaine, moralisatrice, empreinte de juridisme", juge sans hargne Anne Soupa, sept ans de théologie à son actif. Le pontificat de Benoît XVI s'inscrit dans cette évolution "réactionnaire" qui "risque de transformer l'Eglise en une secte, en un groupement de clones", analysent les deux femmes. "Sous Jean Paul II aussi cette tendance existait, mais elle était masquée par son charisme."
LE MONDE | 10.10.2009 Par Stéphanie Le Bars]
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