Re: Métaphysique et matérialisme intégral et universel
Posté : 29 janv.20, 07:16
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[/quote]C'est le mot diffamer qui était utilisé , et cela est grave !!a écrit :Inti
Parlez-en, parlez-en il en restera toujours quelque chose.
je voulais simplement dire que cette expression a été utilisée au départ avec le mot diffamer (ou calomnier ) , au lieu du mot "parlez en !!"a écrit :Inti a dit
J'ai dû manquer un chapitre.
Dans ce cas ça marche. "Diffamez, diffamez il en restera toujours quelque chose". C'est ce que tu as tenté de faire avec mon exposé sur le matérialisme intégral et universel.
je n'ai pas diffamé , j'ai seulement critiqué cette façon de s'exprimer , qui brouille tous les échange . Il est tellement simple d'utiliser un langage vernaculaire . Et je n'étais pas le seul à te le dire .
https://www.sceptiques.qc.ca/forum/view ... 13&t=15666a écrit :Si on adopte un point de vue réaliste, c'est à dire, en gros, un point de vue philosophique implicitement ancré dans les connaissances scientifiques de la fin du 19ème siècle (dont nous sommes nombreux à être inconsciemment imprégnés), le déterminisme est alors une notion objective c'est à dire indépendante de l'observateur et de l'acte d'observation
Tiens! On commence à réfléchir en dehors du cantique du quantique!ABC a écrit : Il faut absolument lever cette confusion entre solipsisme et positivisme qui me semble implicite dans ton message.
Wikipédia.a écrit :David Bohm, à partir des années 1960, inscrit sa démarche de physicien dans la perspective des nouveaux paradigmes qui remettent en question les lectures du réel élaborées dans le cadre de la physique classique[9]. Plus que cela, le physicien entame un dialogue entre la philosophie des sciences, psychologie et spiritualité[10],[11]. Plusieurs de ses ouvrages portent la marque de ces synergies intellectuelles, comme The Ending of Time, ou Limits of Thought: Discussion, réalisés avec le penseur indien Jiddu Krishnamurti[12]. Dans un témoignage, David Bohm rapportait les conditions et les thèmes de leur premier échanges : "Le premier contact que j’eus avec l’œuvre de Jiddu Krishnamurti fut en 1959 quand je lus son livre « Première et Dernière Liberté ». Ce qui m’intéressa plus particulièrement fut l’examen en profondeur de la question « Observateurs et chose observée ». Cette question était depuis longtemps au cœur de mon propre travail — en tant que théoricien de la physique — intéressé au départ par la théorie des quanta. Dans cette théorie, pour la première fois, dans le développement de la physique, l’idée que « observateur et observé » ne peuvent être séparés, a été avancée comme nécessaire pour la compréhension des lois fondamentales de la matière en général[13]." David Bohm fut également très lié[14] au Dalaï-lama, premier représentant du bouddhisme tibétain. Il fut aussi un participant remarqué du Colloque de Cordoue, conférence internationale organisée, sous la direction du philosophe Michel Cazenave, par la chaîne de radio France Culture, qui s'est tenue à Cordoue du 1er au 5 octobre 1979 sur le thème « Science et conscience. Les deux lectures de l'univers »[15]. L'exposé de David Bohm portait sur : "L'ordre involué-évolué de l'univers et la conscience
Le positivisme n a jamais fait du "constat scientifique une cause determinante du réel" puisque le positivisme s'interdit de parler de ce qui releverait du réel, de l'essence des choses. Pas besoin d'etre un grand philozouf pour le comprendre, il suffit de prendre n'importe quel ouvrage sur le positivisme. Il est incroyable que tu fasses une fixette la dessus et que tu persistes à ne pas vouloir comprendre. Le positivisme refuse de parler d'autre chose que des resultats experimentaux, ca n'a jamais signifié qu'il niait l'existence d'un reel fondamental.Inti a écrit :Le positivisme qui fait de l'absolu du constat scientifique une cause déterminante du réel dans son "sens organisationnel".
Mais non MIC. C'est parce que tu as bien assimilé le discours théologique du cantique du quantique sans esprit critique. Tu penses y trouver un bon compromis " épistémologique" entre sciences et mysticisme.Mic a écrit : ↑15 févr.20, 07:05 De plus, si le couple observateur/observé limite la connaissance, c'est uniquement d'un point de vue technique car l'observateur et l'observé influent l'un sur l'autre, perturbant l'observation. Ce que confirme la derniere phrase de ta citation d'ABC que tu as etrangement jugé bon de ne pas mettre egalement en gras: "Ces possibilités/impossibilités évoluent donc avec les progrès dans nos moyens d'observation/interaction avec l'univers".