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Re: Substitution pénale

Posté : 11 oct.22, 11:04
par SophiaSofia
Paulo a écrit : 11 oct.22, 03:59
Ce qui voulait dire que le Jeudi Saint, il n’était déjà plus avec ses Apôtres ; ce qui est confirmé dans le récit de son arrestation, où ceux qui sont venus l’arrêter, ne le trouve pas, puisque Jésus par 3 fois, va devoir leur dire « c’est, Jésus, celui que vous cherchez ».

Ce qui veut dire que celui qui a dit « c’est moi Jésus que vous cherchez, il s’est fait passé pour Jésus ».

Ce qui fait que sur la croix, celui qui fut arrêté et crucifié, a appelé la Vierge Marie : « Femme », ce qui est la preuve que ce n’était pas Jésus qui lui aurait dit « mère ».
C'est en opposition totale à l'Evangile. En Jean 18, il apparait clairement que c'est bien Jésus qu'ils ont arrêté :

10 "Simon Pierre, qui avait une épée, la tira, frappa le serviteur du souverain sacrificateur, et lui coupa l'oreille droite. Ce serviteur s'appelait Malchus. Jésus dit à Pierre: Remets ton épée dans le fourreau. Ne boirai-je pas la coupe que le Père m'a donnée à boire?
12 La cohorte, le tribun, et les huissiers des Juifs, se saisirent alors de Jésus, et le lièrent. 13 Ils l'emmenèrent d'abord chez Anne; car il était le beau-père de Caïphe, qui était souverain sacrificateur cette année-là. 14 Et Caïphe était celui qui avait donné ce conseil aux Juifs: Il est avantageux qu'un seul homme meure pour le peuple.
15 Simon Pierre, avec un autre disciple, suivait Jésus. Ce disciple était connu du souverain sacrificateur, et il entra avec Jésus dans la cour du souverain sacrificateur; mais Pierre resta dehors près de la porte. L'autre disciple, qui était connu du souverain sacrificateur, sortit, parla à la portière, et fit entrer Pierre".

Les 3 femmes près de la croix voient bien qu'il s'agit de Jésus, pas un autre :
Jean 19 : "Près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la sœur de sa mère, Marie, femme de Clopas, et Marie de Magdala" ;

elles le connaissaient, si Jésus n'avait pas été sur la croix, elles ne se seraient pas tenues auprès.

Qu'il appelle sa mère "Femme" n'a rien de surprenant, c'est ainsi qu'il l'appelait lorsqu'il commença son ministère, aux Noces de Cana, Jean 2 :

"1 Trois jours après, il y eut des noces à Cana en Galilée. La mère de Jésus était là, et Jésus fut aussi invité aux noces avec ses disciples. Le vin ayant manqué, la mère de Jésus lui dit: Ils n'ont plus de vin. Jésus lui répondit: Femme, qu'y a-t-il entre moi et toi? Mon heure n'est pas encore venue. "

Re: Substitution pénale

Posté : 11 oct.22, 12:06
par Gorgonzola
Paulo a écrit : 11 oct.22, 07:42 Non, pas pour le moment. C'est l'Ecriture qui enseigne cela clairement. Ce que je dis là n'engage que moi et pas l'Eglise qui si elle le veut, le moment venu, pourra vérifier si ce que je dis, est juste ou farfelu. Je ne fais que partager ce que je comprends du témoignage que Jésus nous a laissé, dans son Evangile transmis par ses Apôtres.
Qui était donc sur la Croix alors ?
Croyez-vous à l'Ascension ?
Croyez-vous à la Trinité ?

Que faites-vous de ces versets ?
  • nous, nous proclamons un Messie crucifié, scandale pour les Juifs, folie pour les nations païennes.
    -
    Galates stupides, qui donc vous a ensorcelés ? À vos yeux, pourtant, Jésus Christ a été présenté crucifié.
    -
    Mais il leur dit : « Ne soyez pas effrayées ! Vous cherchez Jésus de Nazareth, le Crucifié ? Il est ressuscité : il n’est pas ici. Voici l’endroit où on l’avait déposé.
    -
    Mais Jésus, avec autorité, leur défendit vivement de le dire à personne, et déclara : « Il faut que le Fils de l’homme souffre beaucoup, qu’il soit rejeté par les anciens, les grands prêtres et les scribes, qu’il soit tué, et que, le troisième jour, il ressuscite. »
    -
    Alors, Jésus poussa un grand cri : « Père, entre tes mains je remets mon esprit. » Et après avoir dit cela, il expira.
    -
    Il se retourna et leur dit : « Filles de Jérusalem, ne pleurez pas sur moi ! Pleurez plutôt sur vous-mêmes et sur vos enfants !
    -
    Et il dit à Jésus: Souviens-toi de moi, quand tu viendras dans ton règne. Jésus lui répondit: Je te le dis en vérité, aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis.
    -
    cet homme, livré selon le dessein arrêté et selon la prescience de Dieu, vous l’avez crucifié, vous l’avez fait mourir par la main des impies.

Que signifie donc pour vous le terme "Précieux Sang de Jésus-Christ" ?
Qu'aurait donc comme pouvoir ce Sang s'il n'était pas du Verbe fait chair ? Ce corps et ce Sang sont de l'incarnation du Verbe.
Qu'aurait donc également comme pouvoir l'Ostie si ce n'était pas le Corps du Christ crucifié ?
Si vous dites que ce n'était pas Lui sur la Croix, tout le témoignage des apôtres et de Paul est faux, ainsi que du Christ lui-même, alors que le Christ, vous le savez bien, se rend témoignage à lui-même et son Père rend témoignage de Lui (Jean 8:18).

Que faites-vous également de l'apôtre Jean qui était devant la Croix ? S'est-il fait berner ? Marie également ? Croyez-vous à l'Immaculée Conception ?
  • Et je vis, au milieu du trône et des quatre êtres vivants et au milieu des vieillards, un agneau qui était là comme immolé.
Avez-vous perdu la tête ou êtes vous un usurpateur ?

Re: Substitution pénale

Posté : 11 oct.22, 16:03
par lafrisée
A mon sens, s'il appelle Marie sa mère "femme", c'est juste parce que au moment de la mort, il entrevoit les choses de beaucoup plus haut, et voit Marie non seulement comme sa mère, mais aussi comme une personne à part entière, un peu comme on peut dire à son enfant "tu es un homme maintenant" ou "tu es une femme maintenant", à des moments importants, par exemple à un anniversaire, ou évidemment, sur son lit de mort. Marie n'aura plus comme identité "mère de Jésus", elle quitte sa "fonction" de mère, le lien entre les deux est rompu dans une certaine mesure, puisqu'il va mourir et changer de dimension.

Pour nous, Marie est sa mère pour l'éternité, mais pour lui, qui va rejoindre le Père, il rend son âme à Dieu, va se transfigurer et quelques semaines plus tard, après une résurrection, des dizaines d'apparitions et de miracles, il quittera définitivement le plan terrestre, bien qu'il restera pour l'éternité présent pour l'humanité entière, et qu'à chaque messe, nous demandons sa présence.

Re: Substitution pénale

Posté : 11 oct.22, 19:34
par Paulo
SophiaSofia a écrit : 11 oct.22, 11:04 C'est en opposition totale à l'Evangile. En Jean 18, il apparait clairement que c'est bien Jésus qu'ils ont arrêté :

10 "Simon Pierre, qui avait une épée, la tira, frappa le serviteur du souverain sacrificateur, et lui coupa l'oreille droite. Ce serviteur s'appelait Malchus. Jésus dit à Pierre: Remets ton épée dans le fourreau. Ne boirai-je pas la coupe que le Père m'a donnée à boire?
12 La cohorte, le tribun, et les huissiers des Juifs, se saisirent alors de Jésus, et le lièrent. 13 Ils l'emmenèrent d'abord chez Anne; car il était le beau-père de Caïphe, qui était souverain sacrificateur cette année-là. 14 Et Caïphe était celui qui avait donné ce conseil aux Juifs: Il est avantageux qu'un seul homme meure pour le peuple.
15 Simon Pierre, avec un autre disciple, suivait Jésus. Ce disciple était connu du souverain sacrificateur, et il entra avec Jésus dans la cour du souverain sacrificateur; mais Pierre resta dehors près de la porte. L'autre disciple, qui était connu du souverain sacrificateur, sortit, parla à la portière, et fit entrer Pierre".

Les 3 femmes près de la croix voient bien qu'il s'agit de Jésus, pas un autre :
Jean 19 : "Près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la sœur de sa mère, Marie, femme de Clopas, et Marie de Magdala" ;

elles le connaissaient, si Jésus n'avait pas été sur la croix, elles ne se seraient pas tenues auprès.

Qu'il appelle sa mère "Femme" n'a rien de surprenant, c'est ainsi qu'il l'appelait lorsqu'il commença son ministère, aux Noces de Cana, Jean 2 :

"1 Trois jours après, il y eut des noces à Cana en Galilée. La mère de Jésus était là, et Jésus fut aussi invité aux noces avec ses disciples. Le vin ayant manqué, la mère de Jésus lui dit: Ils n'ont plus de vin. Jésus lui répondit: Femme, qu'y a-t-il entre moi et toi? Mon heure n'est pas encore venue. "
Sauf que vous oubliez deux choses chère Sophiasofia,

la première, c'est ce que veut dire "Jésus".

Cela veut dire :

"Dieu qui sauve".

la deuxième, c'est ce qu'a dit Jésus

ici au début de son ministère public :

Si je ne fais pas les oeuvres de mon Père, ne me croyez pas. Mais si je les fais, lors même que vous ne voudriez pas me croire, croyez à mes oeuvres: afin que vous sachiez et reconnaissiez que le Père est en moi, et que je suis dans le Père." (Jean (CP) 10, 37-38)

et voici ce qu'il a dit le Jeudi Saint :

Jésus lui répondit: "Il y a longtemps que je suis avec vous, et tu ne m'as pas connu? Philippe,

celui qui m'a vu, a vu aussi le Père.

Comment peux-tu dire: Montrez-nous le Père!

Ne crois-tu pas que je suis dans le Père, et que le Père est en moi ?

Les paroles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-même:

le Père qui demeure en moi fait lui-même ces oeuvres.
Croyez sur ma parole que je suis dans le Père, et que le Père est en moi.
(Jean 14, 9-11)


Quand Jésus a dit à Philippe : "le Père qui demeure en moi fait lui-même CES oeuvres (et pas ses oeuvres) " ;

de quelles oeuvres parlait-il ?

Jésus parlait des oeuvre que venait de faire son Père dont il parlait depuis le début de sa mission en disant :

"mon père est en moi et je suis dans le Père" ;

Son Père dont il parle cette fois-ci, après qu'il ait pris le pain, l'ai partage et l'ai donné à ses Apôtres,

pour leur révéler, que celui qui a posé ces gestes, à la table où il était assis, c'était son Père qui était en lui et en qui il était passé,

comme cela nous est dit juste avant :

1 Avant la fête de Pâque, Jésus, sachant que son heure était venue de passer de ce monde (de sortir de ce monde pour aller) à son Père, après avoir aimé les siens qui étaient dans le monde, les aima jusqu'à la fin. (Jean 13, 1)

Voilà ce qu'avait dit Jésus encore avant de dire que sont heure était venu de quitter ce monde :

Pendant que je suis dans le monde, je suis la lumière du monde." (Jean 9, 5)

comment dites-vous à celui que le Père a sanctifié et envoyé dans le monde: Vous blasphémez, parce que j'ai dit: Je suis le Fils de Dieu? (Jean 10, 36)"

Je suis venu dans le monde comme une lumière, afin que celui qui croit en moi ne demeure pas dans les ténèbres. (Jean 12, 46)

"le Père lui-même vous aime, parce que vous m'avez aimé, et que vous avez cru que je suis sorti du Père. Je suis sorti du Père, et je suis venu dans le monde; maintenant je quitte le monde et je vais au Père." (Jean 16, 27-28)


Et voilà ce qu'après il a dit, s'adressant à son Père dont il disait jusqu'à ce jour : "croyez que mon Père est en moi".

Ayant ainsi parlé, Jésus leva les yeux au ciel et dit :

"Père,

l'heure est venue, glorifiez votre Fils,
afin que votre Fils vous glorifie,

puisque vous lui avez donné autorité sur toute chair, afin qu'à tous ceux que vous lui avez donnés, il donne la vie éternelle.

Or, la vie éternelle, c'est qu'ils vous connaissent, vous, le seul vrai Dieu, et celui que vous avez envoyé, Jésus-Christ.

Je vous ai glorifié sur la terre, j'ai achevé l'oeuvre que vous m'avez donnée à faire.

Et maintenant à vous, Père (sous entendu, de prendre ma suite),

glorifiez-moi auprès de vous, de la gloire que j'avais auprès de vous, avant que le monde fût.

J'ai manifesté votre nom aux hommes que vous m'avez donnés du milieu du monde (du monde dans lequel vous m'avez envoyé, dans lequel je suis venu, disant "pendant que Je Suis dans le monde, je suis la Lumière du monde)".

Ils étaient à vous, et vous me les avez donnés: et ils ont gardé votre parole.

Ils savent à présent que tout ce que vous m'avez donné vient de vous;

car les paroles que vous m'avez données, je les leur ai données. Et ils les ont reçues,

et ils ont vraiment reconnu que je suis sorti de vous,

et ils ont cru que c'est vous qui m'avez envoyé.

C'est pour eux que je prie.

Je ne prie pas pour le monde, mais pour ceux que vous m'avez donnés; parce qu'ils sont à vous.

Car tout ce qui est à moi est à vous, et tout ce qui est à vous est à moi, et que je suis glorifié en eux.

Je ne suis plus dans le monde.

Pour eux, ils sont dans le monde, et moi, je vais à vous.

Père saint, gardez dans votre nom ceux que vous m'avez donnés,

afin qu'ils ne fassent qu'un, comme nous.

Lorsque j'étais avec eux,

je les conservais dans votre nom.

J'ai gardé ceux que vous m'avez donnés, et pas un d'eux ne s'est perdu, hormis le fils de perdition, afin que l'Ecriture fût accomplie.

Maintenant je vais à vous,

et je fais cette prière pendant que je suis dans le monde,

afin qu'ils aient en eux la plénitude de ma joie.

Je leur ai donné votre parole, et le monde les a haïs, parce qu'ils ne sont pas du monde, comme moi-même je ne suis pas du monde.

Je ne vous demande pas de les ôter du monde, mais de les garder du mal.

Ils ne sont pas du monde, comme moi-même je ne suis pas du monde.

Sanctifiez-les dans la vérité.

Comme vous m'avez envoyé dans le monde (dans ce monde que j'ai quitté pour retourner en vous, avec eux dans mon corps de chair que vous venez de leur donner (en faisant ces oeuvres que vous avez faites par moi, comme je l'avais annoncé ici : "c'est mon Père qui donne le Pain de Vie, ma chair, mon corps de chair),

je les ai aussi envoyés dans le monde. (Jean 17, 1-18)


Je ne suis plus dans le monde ... lorsque j'étais avec eux (sous entendu, dans le monde)

où Jésus dit clairement qu'il n'est plus dans le monde auprès de ses Apôtres, avec eux,

après avoir dit juste avant

"maintenant je quitte le monde pour aller à mon Père d'où je suis sorti pour remplir la mission qu'il m'a demandé de remplir et que je viens d'achever : "

Chère SophiaSofia,

ouvrez votre intelligence à ce que Jésus a dit ici et que vous refusez de voir en face

et par lequel je vous prouve que ce n'est pas Jésus (le Fils dans lequel le Père était) qui a conduit ses Apôtres dans le jardin des oliviers après les avoir confié à son Père (puisque Jésus avait dit à ceux qui viendraient l'arrêter : "vous me chercherez et vous ne me trouverez pas, parce que l'à où Je Suis, vous ne pouvez pas venir", à savoir "dans son Père et dans ses Apôtres devenu sa chair, son Trône de chair"

son Père qui répondant à Philippe qui venait de demander à Jésus à voir le Père, a dit :

"Il y a si longtemps que Je Suis avec vous et tu ne me connais pas Philippe" ?

qui m'a vu a vu le Père ;

et ce que je vous dit, ce n'est pas moi qui le dit, c'est Lui qui en moi, fait lui-même ces oeuvres que je suis entrain de faire depuis que je me suis réassis à la table avec vous, après avoir déposé mon manteau sur la table, pour vous lavez les pieds.

Reppelles-toi SophiaSofia ce que j'ai dit à mes Apôtres, quand je les ai vu se disputer pour savoir qui allez prendre ma place, à la tête de mon troupeau, après que j'ai quitté ce monde pour retourner dans mon père, après avoir dit "j'ai achevé tout ce que vous m'aviez donné à faire"

25 Et il leur dit :

" Les rois des nations leur commandent en maîtres, et ceux qui exercent empire sur elles se font appeler Bienfaiteurs.

Vous, ne faites pas ainsi;

mais que le plus grand parmi vous devienne comme le plus jeune,

et celui qui gouverne comme celui qui sert.

Qui, en effet, est le plus grand,

celui qui est à table ou celui qui sert (car il est le plus jeune) ?

N'est-ce pas celui qui est à table ?

Or moi,

au milieu de vous,

je suis comme celui qui sert.


Sous entendu,

"Je suis celui qui est sorti de table, pour vous servir en vous lavant les pieds.

Vous, vous êtes ceux qui sont demeurés constamment avec moi dans mes épreuves;

et moi, je vous attribue la royauté comme mon Père me l'a attribuée,

afin que vous mangiez et buviez à ma table dans mon royaume;

et vous siégerez sur des trônes, jugeant les douze tribus d'Israël. (Luc 22, 25-30)


Ce que Jésus demande ici à ses Apôtres de faire,

c'est ce qu'il vient de faire :

"prendre la place du plus jeune", qui habituellement pendant le repas pascal, siégeait à droite du père de famille, où ses Apôtres vont siéger,

après qu'il les ai fait asseoir sur 12 trônes, à sa table,

à la table de son Père : "l'Esprit d'Elie", table où il y avait la coupe qui lui était réservé pour le jour où il reviendrait sauver son Peuple.

Jésus ici, révèle clairement à ses Apôtres, que ce n'est pas lui qui préside à cette table où il les a fait asseoir, que c'est celui dont il avait dit "il est plus grand que moi".

Mes brebis entendent ma voix. Je les connais et elles me suivent. Et je leur donne la vie éternelle, et elles ne périront jamais, et nul ne les ravira de ma main. Mon Père qui me les a données, est plus grand que tous,

et nul ne peut les ravir de la main de mon Père. Car mon père et moi nous sommes un. (ma main, comme je viens de le dire, c'est sa main, ce qui veut dire que son corps de chair était aussi celui de son Père dont il disait "Mon Père est en moi"" (Jean (CP) 10, 27-30)


Jésus venait de se lever de table pour prendre la place du plus jeune

et laisser sa place à celui qui était plus grand que lui, pour qu'il préside,

à savoir "son aîné", celui qui était né avant lui, pour préparer ses chemins ("les hommes en qui Jésus avait dit qu'il viendrait établir sa demeure avec son Père", pour régner avec son Père en eux et par eux.)

Et qui était son aîné à qui il a laissé présider l'institution de ce mémorial de sa Pâques ?

Celui qu'il leur avait présenté comme étant le plus grand parmi ceux qui sont nés de la femme, comme lui-même était né de sa mère :

Comme ils s'en allaient,

Jésus se mit à dire aux foules au sujet de Jean:

" Qu'êtes-vous allés voir au désert ?

Un roseau agité par le vent ?

Qu'êtes-vous donc aller voir ?

Un homme vêtus d'habits somptueux ? Mais ceux qui portent des habits somptueux se trouvent dans les demeures des rois.

Mais qu'êtes-vous allés voir ?

un prophète ?

Oui, vous dis-je,

et plus qu'un prophète.

C'est celui dont il est écrit :

Voici que j'envoie mon messager en avant de vous,

pour vous préparer la voie devant vous.


En vérité, je vous le dis,

parmi les fils nés de la femme (comme moi je suis né de la femme qu'est la Vierge Marie ma mère),

il ne s'en est pas levé de plus grand que Jean le Baptiste (Matthieu 11, 7-11)


mais le plus petit dans le royaume des cieux (moi)

est plus grand que lui.


Depuis les jours de Jean le Baptiste jusqu'à présent, le royaume des cieux est forcé, et ce sont les violents qui s'en emparent.

Car tous les prophètes et la Loi ont prophétisé jusqu'à Jean.

14 Et si vous voulez comprendre (savoir),

lui-même (Jean) est Elie qui doit venir. (sous entendu, Elie le père de tous les prophètes, et dont le Père de Jésus, l'Esprit d'Elie qui marcha en avant de Jean Baptiste, avec son Verbe, sa Parole, la voix de Jean Baptiste)

Que celui qui a des oreilles entende! (Matthieu 11, 7-15)[/i]


Quand Jésus dit : "mon Père fait ces oeuvres que vous venez de le voir faire, avec mon corps de chair devenu son corps de chair, puisque je vous ai dit que ma main, c'était sa main à qui j'ai confié mes brebis qu'il m'avait donné quand je vous ai rassemblé, et que je lui ai redonné, pour qu'il les glorifie par moi, en me glorifiant en eux)

puisqu'il a dit à Philippe : "il y a si longtemps que Je Suis avec vous, moi (Jésus, Dieu venu vous sauver en mon Fils, en vous donnant sa chair, son corps de chair, le Sanctuaire de la Nouvelle Alliance, qu'il vous a dit être ici :

"détruisez ce Sanctuaire (parlant de son corps de chair) et en 3 jours je le relèverai)


C'est Lui mont Père qui a dit "il y a si logtemeps que je suis avec vous et tu ne me connais pas Philippe)

c'est mon Père en qui je suis passé, comme je vous l'ai annoncé quand j'ai dit :

"maintenant je quitte le monde pour aller à mon Père

pour dire ensuite à son Père :

"A vous Père

car je ne suis plus dans le monde, je ne suis plus avec mes Apôtres ;

glorifiez-les de la gloire que j'avais auprès de vous, avant que le monde fut", glorifiez moi de cette gloire "en eux"

Sanctifiez les dans la Vérité (sous entendu en moi qui leur ai dit : "Je Suis la Vérité"


Voilà SophiaSofia,

Si malgré toutes les preuves que je viens de te donner, sur ce que j'ai affirmé, à savoir, que ce n'est pas Jésus qui a conduit ses Apôtres dans le Jardin des oliviers, mais son Père, Elie, Jean le Baptiste, à qui il venait de remettre ses brebis, parce que lui il avait quitté le monde, disant qu'il n'était plus avec ses Apôtres, car il était passé "en eux, dans son corps de chair donné pour eux" ; tu ne veux pas me croire, alors je ne peux plus rien faire pour toi. J'aurai fait tout pour ouvrir ton esprit à la compréhension (à l'intelligence des Ecritures que je viens de te citer) je ne peux rien faire de plus, puisque ton esprit reste fermé à tout ce que je viens de te démontrer.

Ajouté 58 minutes 10 secondes après :
Gorgonzola a écrit : 11 oct.22, 12:06 Qui était donc sur la Croix alors ?
C'est tout simplement "le Père de Jésus" dont Jésus parla eu début de son ministère en disant

"mon Père est en moi" (son Père l'Esprit Saint qui l'a engendré dans le sein de sa mère, après avoir engendré Jean le Baptiste dans le sein d'Elisabeth) pour faire d'eux, ses 2 témoins, ces 2 oliviers que jadis son prophète avait vu dans le Ciel :

L'ange qui parlait avec moi revint, et il me réveilla comme un homme qui se réveille de son sommeil.

Et il me dit " Que vois-tu? "

Je répondis:

" J'ai vu, et voici un candélabre tout en or, avec son bassin à son sommet, portant ses sept lampes avec sept conduits pour les lampes qui sont au (à savoir,

Et deux oliviers sont à côté de lui, l'un à droite du bassin, et l'autre à sa gauche. (à savoir les 2 chérubins de l'Arche de l'Alliance, le Trône de Dieu, sur lequel Dieu siégeait pour transmettre ses commandements à Moïse devenu sa bouche, qui les transmettait à Aaron devenu la bouche de Moïse. Moïse et Aaron qui était devenu "la figure" de ces 2 chérubins ou serviteurs de Dieu que sont son Verbe et son Saint Esprit.

" Et je repris la parole et je dis à l'ange qui parlait avec moi: " Que sont ces choses, mon seigneur? "

L'ange qui parlait avec moi me répondit et me dit "

Ne sais-tu pas ce que sont ces choses ?"

Je répondis: " Non, mon seigneur. "

Et il reprit et me dit:

Ceci (ce chandelier et ces 2 oliviers) est la parole de Yahweh (la Parole de Dieu) à Zorobabel, savoir:

" Ni par une armée, ni par la force, mais par mon Esprit, dit Yahweh des armées. (par mon Esprit Saint, le Feu du buisson ardent représenté par la Ménhora, duquel Moïse reçu "les Paroles que lui adressa Dieu par son Verbe (le Feu) et son Esprit (la Nuée enveloppant ce Feu, la Nuée dans laquelle Jésus fit son Ascension, comme jadis Elie fit son Ascension dans le Feu du char de Feu de Dieu) (Zacharie 4, 1-6)[/i]

Et vois ce qui est révélé ensuite à Zacharie, à propos de ce chandelier (cette Menhora) et ces 2 oliviers :

Ces sept lampes sont les yeux de Yahweh (les sept esprits de Dieu, les Archange), qui parcourent toute la terre. "

Je repris la parole et je lui dis :

" Que sont ces deux oliviers à la droite du candélabre (figure de Dieu)et à sa gauche?

Je repris une seconde fois la parole et lui dis :

" Que sont ces deux grappes d'olivier qui se trouvent auprès des deux entonnoirs d'or d'où l'or découle?"

Il me parla en ces termes:

" Ne sais-tu pas ce que c'est?

" Je répondis: " Non, mon seigneur. "

Et il me dit:

" Ce sont les deux fils de l'onction (de l'Esprit Saint, à savoir le Verbe et l'Esprit Saint, Jésus et Jean Baptiste, Elie)

qui se tiennent prés du Seigneur de toute la terre. (près de Dieu, le Seigneur de toute la Terre, avant qu'il remette à son Verbe devenu homme, son Trône (Zacharie 4, 11-14)


Jean Baptiste, comme l'a révélé le jour de sa transfiguration à Pierre, Jacques et Jean, avec qui il descendait du Mont Thabord, qui venait de l'intérroger sur le retour d'Elie :

" Pourquoi donc les scribes disent-ils qu'il faut qu'Elie vienne d'abord? "

Il répondit:

" Elie vient en effet (est entrain de venir), et il restaurera toutes choses.

Mais je vous dis qu'Elie est déjà venu; et ils ne l'ont pas reconnu, mais ils l'on traité comme ils ont voulu.

De même le Fils de l'homme doit souffrir par eux. "

Les disciples comprirent alors qu'il leur avait parlé (parlant d'Elie) de Jean le Baptiste. (Matthieu 17, 10-13)

Et voilà ce que Jésus leur avait déjà dit avant :

Tous les Prophètes, ainsi que la Loi, ont prophétisé jusqu'à Jean.

Et, si vous voulez bien comprendre, c'est lui (Jean), le prophète Élie qui doit venir. (Matthieu 11, 13-14)


Jean dont il reparla en descendant de la Transfiguration disant : "Il vient" (alors que Jean baptiste était mort depuis un moment)

Jean c'est Elie qui est venu pour préparer les chemins du Seigneur, pour faire de ceux qui venaient se faire baptiser par lui, les chemins du Seigneur, les Sanctuaires du Seigneur, quand ce Seigneur, Jésus, est venu prendre sa place comme pasteur, avec Elie son Père vivant en lui, de ses brebis perdues qu'il allait rassembler autour de lui pour les ramener à son Père, à qui il les a confié le Jeudi Saint, après s'être effacé pour laisser Elie son Père, guider ses Brebis,

Elie son Père qui a présidée l'institution du mémorial de sa Pâques, le don de son Fils, sa Vie, son Sang, dans le corps de chair son Fils donné à ses Apôtres.


Elie étant l'Esprit Saint, l'Esprit de Dieu descendu du Ciel le jour du baptême de son Fils, sus la forme d'une colombe",

comme il était venu demeurer en Jean le Baptiste, qui se trouvait dans le sein de sa mère "Elisabeth", c'est à dire "qui se trouvait au sein de la maison (Beth) d'Elie, le corps de chair de sa mère car Elisabeth veut dire "maison (Beth) d'Elie (Elisa)

Celui qui était sur la croix, c'était donc Elie son Père, à savoir Jean Baptiste ressuscité, Elie venu pour restaurer toute chose, à commencer par l'Alliance, quand il a fait don du Corps de chair de Jésus, avec Jésus, le sang répandu en ce corps, pour la Nouvelle Alliance.

Restaurant en même temps la création, en créant une nouvelle terre, dans de nouveau Cieux, et une Nouvelle Jérusalem, la Jérusalem d'en haut, dans laquelle Elie allait ramener les brebis que le Verbe, lui avait redonné, lui disant : "et maintenant, à vous Père (à vous Elie mon Père)

Ajouté 33 minutes 6 secondes après :
Gorgonzola a écrit :
Croyez-vous à l'Ascension ?
Oui je crois à l'Ascension d'Elie, le crucifié qui s'est montré à ses Apôtres le soir de sa résurrection, après que son Fils Jésus se soit montré, lui, aux disciples d'Emmaus, alors qu'il se rendait, là où il avait dit à ses Apôtres qu'ils le reverraient après sa résurrection ; à savoir "en Galilée", comme le confirma l'un des 2 hommes en vêtements blanc éblouissant, qui apparurent dans le tombeaux aux femmes venus pour embaumer le corps de Jésus :

Mais le premier jour de la semaine, de grand matin, elles allèrent au sépulcre, portant les aromates qu'elles avaient préparés. 2 Or elles trouvèrent la pierre roulée de devant le sépulcre;

et, étant entrées, elles ne trouvèrent pas le corps du Seigneur Jésus.

Tandis qu'elles étaient perplexes à ce sujet,

voici que deux hommes, en vêtement éblouissant, se présentèrent à elles.

Comme elles étaient prises de peur et inclinaient le visage vers la terre, ils leur dirent:

" Pourquoi cherchez-vous parmi les morts celui qui est vivant?

Il n'est point ici, mais il est ressuscité.

Souvenez-vous de ce qu'il vous a dit, lorsqu'il était encore en Galilée, disant que le Fils de l'homme devait être livré aux mains d'hommes pécheurs, être crucifié et ressusciter le troisième jour. "

Et elles se ressouvinrent de ses paroles à leur retour du sépulcre, elles annoncèrent toutes ces choses aux Onze et à tous les autres. (Luc 24)

Et voici le même fait rapporté cette fois-ci par Marc :

Entrant dans le sépulcre, elles virent un jeune homme assis à droite, vêtu d'une robe blanche, et elles furent saisies de frayeur.

Mais il leur dit :

" N'ayez pas de frayeur !

Vous cherchez Jésus de Nazareth, le crucifié :

il est ressuscité, il n'est pont ici. Voici la place où on l'avait déposé.

Mais allez dire à ses disciples et à Pierre qu'il vous précède en Galilée;

c'est là que vous le verrez, comme il vous l'a dit. "

Sortant du sépulcre, elles s'enfuirent, car le tremblement et la stupeur les avaient saisies; et elles ne dirent rien à personne, parce qu'elles avaient peur. (Marc 16, 1-8)


Luc dit que les femmes ont vu 2 hommes vêtu de blanc et Marc lui dit qu'elle ont vu "un seul homme".

Ces 2 hommes en vêtement éblouissant, c'étaient Jésus et Jean le Baptiste qui avaient échangés leur place, quand Jésus qui était le plus jeune a laissé sa place dans le Cénacle à Jean, Elie, son Père pour qu'il préside la Pâques.

Revenons sur ce que Jean a dit à ces femmes :

allez dire à ses disciples et à Pierre qu'il vous précède en Galilée;

c'est là que vous le verrez,
comme il vous l'a dit. "


Ce qui veut dire que celui qui a rattrapé les 2 disciples qui rentraient sur Emmaus, sur le chemin qui conduisait en Galilée, c'est Jésus se rendant en Galilée, là où il avait dit à ses Apôtres qu'il le reverrait après sa résurrection.

Ce qui veut dire que celui qui juste après, est apparu à ses Apôtres, dans le Cénacle, leur montrant 8 jours plus tard, ses mains et ses pieds, c'étaient Jean, Elie le Père de Jésus, qui sur la croix avait dit à sa femme, la Vierge : femme, voici ton fils, en lui montrant le disciple que Jésus aimait, dont Saint Pierre nous dit qu'il était assis à la droite de Jésus à la table du Cénacle, c'était bien Jésus qui avais pris la place du plus jeune, pour laisser sa place à Jean le Baptiste, le fils de la veuve de Naïm, qu'il avait ressuscité, et que nous retrouvons dans le jardin des oliviers, dans son drap mortuaire, qu'il lacha quand les soldats voulurent l'arrêter, avec son Père, Jean, qui venait de se livrer à la place de jésus.

Quand est-ce qu'il avait dit à ses Apôtres, qu'il le reverraient en Galilée, après sa résurrection ?

Sur le chemin où son Père à qui il venait de confier ses Apôtres, conduisait ses Apôtres, à savoir, dans le jardin des oliviers :

Après le chant de l'hymne, ils s'en allèrent au mont des Oliviers.

Alors Jésus leur dit (en chemin) :

" Je vous serai à tous, cette nuit-ci, une occasion de chute, car il est écrit :

Je frapperai le pasteur (mon Père, dont il avait dit au jeune homme riche, que lui seul était Bon, le Bon Pasteur venu donne sa Vie, Jésus son Fils, pour ses brebis) et les brebis du troupeau seront dispersées.

Mais, après que je serai ressuscité, je vous précéderai en Galilée. " (Matthieu 26, 30-32)


Confirmant ici, que celui qui est apparu le soir de sa résurrection dans le Cénacle, ce n'était pas Lui, puisqu'il leur avait annoncé que Lui, c'est en Galilée qu'ils le reverraient ressusciter ; comme il l'a redit aux femmes dans le tombeau.

Re: Substitution pénale

Posté : 11 oct.22, 21:21
par ESTHER1
TROP LONG A LIRE !. . . . . .

Re: Substitution pénale

Posté : 11 oct.22, 21:55
par Paulo
Gorgonzola a écrit :Que faites-vous également de l'apôtre Jean qui était devant la Croix ?

S'est-il fait berner ? Marie également ?

Avez-vous perdu la tête ou êtes vous un usurpateur ?
Permets Gorgonzola que je te rappelles ce qu'est "un usurpateur" ?

C'est une personne qui s'empare par des moyens illégitimes d'une souveraineté, d'un pouvoir, d'un bien.

Dis-moi sur quoi tu t'appuies pour me traiter d'usurpateur ?

De quel souveraineté me suis-je emparé illégitimement ?

De quel pouvoir je me suis emparé "illégitimement" ?

De quel bien je me suis emparé "illégitimement ?

Tu me demandes ce que je fais de l'Apôtre Jean qui était devant la Croix ?

J'en fais ce qu'il était comme l'a révélé "Elie, Jean le Baptiste, que Jésus nous a présenté comme étant parmi les fils de la femme, le plus grand, en disant qu'il était "un prophète" certe, mais "plus qu'un prophète", ajoutant ailleurs que Jean le Baptiste était Elie qui devait venir ; qui est venu, qui est mort et qui après la résurrection venait comme l'a révélé Jésus, rétablir toute chose, c'est à dire "relever ce que les pharisiens allaient faire : "détruire le corps de Jésus, le Sanctuaire de la Nouvelle Alliance" ; son corps de chair que Jésus avait présenté comme étant "le Pain de Vie descendu du Ciel", que son Père allait donner à manger à ses Apôtres, pour faire de ce Sanctuaire de la Nouvelle Alliance le corps de chair de son Fils, le corps de chair de ses Apôtres quand ce même Elie, présidant la table de l'Eucharistie, a dit à ses Apôtres : "ceci est mon corps, le sanctuaire de la Nouvelle Alliance que mon fils, mon sang, ma Vie éternelle, m'a laissé en héritage pour vous le donner" et vous faire don en ce corps de chair, son corps de chair devenu le mien, votre propre corps de chair dans lequelle, la vie qu'il a dit être, va vous ressusciter.

Cela ne peut pas être Jésus qui sur la crois à dit à sa mère, la femme de l'Esprit Saint son Père : "Femme, voici ton fils", en lui montrant Jean, avec qui il avait la veille, échanger sa place à la table du Cénacle, dans la maison de David son Père, où se trouvait le cénotaphe (le tombeau vide de son Père, David)

Car Jésus a fait ce qu'il venait de demander à ses Apôtres : "que celui qui gouverne devienne celui qui sert, en disant que celui qui gouvernait, c'est celui qui présidait à la Table du Royaume ; et que celui qui servait, c'était Lui, leur laissant entendre qu'il avait cédé sa place à son Père, pour s'asseoir à sa droite. Et comme par hasard, qui était assis à la droit d'Elie présidant la Pâques (le repas d'adieu de son Fils), le disciple que Jésus aimait que nous retrouvons au pied de la croix, le plus jeune (Jésus, qui était né après Jean, à savoir, Elie son Père", qui avait préparer sa venue, Elie à qui Jésus le Jeudi Saint venait de confier ses Apôtres, après avoir quitté le monde et ses Apôtres comme il nous l'a dit clairement.

A ce que je sache, ce n'est pas moi qui ai dit à la Vierge Marie, que le disciple que Jésus aimait, était son Fils, ressuscité, qui allait resté auprès d'elle pour veiller sur elle, et veiller sur ses Apôtres, comme il le leur dira : "et moi je suis avec vous jusqu'à la fin du monde", puisque par vous, c'est mon père qui baptisera dans l'eau et moi qui baptiserai ceux qu'il a baptisé dans l'Eau, dans l'Esprit Saint

Re: Substitution pénale

Posté : 11 oct.22, 22:05
par SophiaSofia
lafrisée a écrit : 11 oct.22, 16:03 A mon sens, s'il appelle Marie sa mère "femme", c'est juste parce que au moment de la mort, il entrevoit les choses de beaucoup plus haut, et voit Marie non seulement comme sa mère, mais aussi comme une personne à part entière, un peu comme on peut dire à son enfant "tu es un homme maintenant" ou "tu es une femme maintenant", à des moments importants, par exemple à un anniversaire, ou évidemment, sur son lit de mort. Marie n'aura plus comme identité "mère de Jésus", elle quitte sa "fonction" de mère, le lien entre les deux est rompu dans une certaine mesure, puisqu'il va mourir et changer de dimension.

Pour nous, Marie est sa mère pour l'éternité, mais pour lui, qui va rejoindre le Père, il rend son âme à Dieu, va se transfigurer et quelques semaines plus tard, après une résurrection, des dizaines d'apparitions et de miracles, il quittera définitivement le plan terrestre, bien qu'il restera pour l'éternité présent pour l'humanité entière, et qu'à chaque messe, nous demandons sa présence.
Il appelle sa mère "Femme" dès les Noces de Cana, auparavant, l'Ecriture ne dit rien, en revanche nous savons que dès l'âge de 12 ans, il s'occupait déjà des affaires de son Père, Luc 2 : " 48 Quand ses parents le virent, ils furent saisis d'étonnement, et sa mère lui dit: Mon enfant, pourquoi as-tu agi de la sorte avec nous? Voici, ton père et moi, nous te cherchions avec angoisse. Il leur dit: Pourquoi me cherchiez-vous ? Ne saviez-vous pas qu'il faut que je m'occupe des affaires de mon Père ? Mais ils ne comprirent pas ce qu'il leur disait. Puis il descendit avec eux pour aller à Nazareth, et il leur était soumis. Sa mère gardait toutes ces choses dans son cœur. Et Jésus croissait en sagesse, en stature, et en grâce, devant Dieu et devant les hommes".

Marie est sa mère selon la chair, pas selon l'Esprit. Appeler sa mère "Femme" n'est pas irrespectueux au cas où quelqu'un le penserait, il a fait de même envers Marie de Magdala à sa résurrection, l'appelant "Femme, qui cherches-tu ?" et ensuite, "Marie", lorsqu'elle l'a reconnu.

Là réside la compréhension du terme "Femme" employé par Jésus : le reconnaitre pour ce qu'il est, à savoir Fils unique de Dieu, ainsi la résurrection et la vie, ou ne pas le reconnaître, comme l'ont fait ceux qui ne l'ont reconnu en tant que tel qu'après sa résurrection.

Il s'est adressé de la même manière à la cananéenne, la Samaritaine, comme à sa mère auprès de la croix et à Marie à sa résurrection.

Re: Substitution pénale

Posté : 11 oct.22, 22:18
par prisca
Paulo a écrit : 11 oct.22, 09:08 Chère Prisca, c'est vraiment ta spécialité de faire dire aux autres ce qu'ils ne disent pas. :grinning-face: Voici ce que dit ici "Monseigneur LEVERT que je connais fort bien, pour avoir servi comme diacre militaire, dans le Diocèse de Quimper, quand Monseigneur LEVERT y a été nommé évêque. Je l'ai rencontré plusieurs fois personnellement, et jamais il n'a enseigné que Jésus avait été puni à notre place ; qu'il avait payé notre dette. Je ne sais pas où t'es allé cherché cela ?

Voici exactement ce qu'il dit dans cet enseignement a 4 minute 40 :

En ce substituant à nous, Jésus va satisfaire pour le mal que nous avons commis.

Qu’est-ce que cela veut dire :

Ce n’est pas être chatié pour notre mal (nos péché) ni payer notre dette.

Cela veut dire que la création toute entière, par le christ, renie (rejette) le mal qu’elle a opposé à Dieu et qu’elle s’en libère.

Ce n’est pas la mort, ni la souffrance qui apaise Dieu. Si le Christ est mort, c’est à cause des hommes, non par volonté première de son Père. Il faut bien comprendre. Ce que veut le Père, ce n’est pas faire mourir son Fils, sinon notre Dieu serait un Dieu sadique.

La croix et la souffrance sont des maux et en temps que tel, Dieu ne peux pas le désirer, car ce que Dieu veut, c’est le salut de l’homme.

Et pour cela le Verbe s’incarne et cela suffisait à nous sauver.

Si Jésus a été crucifié, c’est donc le fait des hommes (des juifs) qui ont rejeté sa Bonne Nouvelle)


La substitution pénal, c'est quand quelqu'un est puni à la place d'un autre où quand il paye la dette d'un autre.

Ors Monseigneur LEVERT est très clair : "Satisfaire pour le mal que nous avons commis, dit-il : "ce n'est pas être chatié pour notre mal (notre péché), ni payer notre dette.

Comment oses-tu faire ce faux procès à Mgr LEVERT, en l'accusant de défendre "cette théologie absurde de la satisfaction pénale" ?

J'espère que tu vas avoir le courage de reconnaître que tu avais mal écouté Monseigneur LEVERT, si tu l'a vraiment écouté, car lorsqu'on fait dire à quelqu'un le contraire de ce qu'il a dit, cela veut dire qu'on ne l'a pas lui vraiment, qu'on a survolé ce qu'il a dit, avec un préjugé.


Deux choses Paulo.

D'abord le texte intégral sauf le prologue qui n'annonce rien, de l'enseignement du prêtre Levert.

  • " Pourquoi dieu a choisi ce moyen là pour nous sauver ?" dieu est il si vindicatif et si cruel pour qu'il ait besoin d'une victime expiatoire ? d'un bouc émissaire ? Pourquoi la souffrance et la mort du Christ ont elles été nécessaires pour détruire nos péchés et nous arracher à la mort ? Pour tenter de répondre à ces questions il faut d'abord se rappeler de la solidarité qui existe entre les hommes. Comme nous l'avions vu lorsque nous avions parlé de la transmission du péché originel, en devenant homme comme nous Jésus entre dans cette solidarité, ce qui fait que ses actions valent pour nous tous, et comme nous proclamons que pour nous les hommes et pour notre salut dieu s'est fait homme nous croyons que tous les actes de Jésus sont posés en notre nom. Et en assumant notre nature humaine le Christ assume les conséquences du péché de l'homme la souffrance et la mort. Mais Jésus n'a pas vécu ses dernières heures n'importe comment, il les a vécues par amour pour nous, en faisant cela il va en transformer le contenu. Jésus a lui même attribué à sa mort une signification rédemptrice. Beaucoup ses paroles en particulier la veille de sa mort l'attestent. Sa mort sur la croix est ainsi vu par les évangiles comme la manifestation de l'amour de dieu, dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son fils unique pour que tout homme qui croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle. Et Jésus va correspondre à ce don de dieu, il va se donner lui même pour nous, par obéissance à la volonté du père. En faisant cela Jésus va plus loin que d'être solitaire avec nous, il se substitue à nous comme il le dit lui même, le fils de l'homme est venu pour donner en rançon sa vie pour la multitude, lui qui n'avait pas connu le péché dieu l'a pour nous identifié au péché afin que nous devenions par lui justice de dieu. C'est ce qui avait été prédit par le prophète Esaïe des siècles plus tôt, ce sont nos souffrances qu'il portait et nos douleurs dont il était chargé. Il a été transpercé à cause de nos crimes, écrasé à cause de nos fautes. Le châtiment qui nous rend la paix est sur lui, et dans ses blessures nous trouvons la guérison. Yavé a fait retomber sur lui nos fautes à tous. Il s'est livré lui même à la mort et a été compté parmi les criminels alors qu'il portait le péché des multitudes et qu'il intercédait pour les criminels. La mort du christ est donc devenu pour tous les hommes la source d'une vie nouvelle, c'est pourquoi st irénée dira à cause de son amour infini il est devenu ce que nous sommes, afin de faire de nous parfaitement ce qu'il est. En se substituant à nous jésus va satisfaire pour le mal que nous avons commis. Qu'est ce que cela veut dire ? Ce n'est pas ête chatié à notre place ni même payer notre dette, cela veut dire que par le christ la création toute entière renie le mal qu'elle a opposé à dieu, qu'elle s'en libère. Ce n'est pas la mort ni la souffrance qui apaisent dieu, c'est l'amour. Si le christ est mort c'est à cause des morts non pas volonté première de son père. Il est très important de comprendre ce point, ce que veut le père ce n'est pas faire mourir son fils, sinon notre dieu serait un dieu sadique, la croix et la souffrance sont des mots, et en tant que tels, dieu ne peut pas le désirer. car ce que dieu veut c'est le salut de l'homme. Et pour cela le verbe s'incarne et cela suffisait à nous sauver mais c'est à cause de la liberté des hommes et de leur refus de la bonne nouvelle que Jésus finit sur la croix et dieu respecte cette liberté des hommes. Mais il transforme la mort sur la croix en moyen de rédemption. Si les juifs s'étaient convertis la croix n'aurait pas existé et Jésus serait sans doute mort dans son lit. Si jésus a été crucifié c'est donc le fait des hommes et non de dieu et ce faisant, loin d'accomplir la volonté de dieu, les hommes s'y opposaient, ils se révoltaient contre elle, ce qui intéresse dieu c'est l'amour l'obéissance et la confiance et le moindre acte d'amour et d'obéissance de jésus christ suffisaient à nous sauver, or toute sa vie a été offrande à son père, c'est cet amour de jésus pour son père et pour nous qui nous donne à la souffrance et à l'amour du christ le pouvoir de compenser tout le mal que la liberté crée a commis dans le monde. Voilà pourquoi jésus ne veut pas échapper ni à la souffrance ni à la mort. Non parce qu'elles ont une valeur intrinsèque mais parce qu'il les transforme, parce qu'il s'en sert par moyen d'amour, c'est cela satisfaire, c'est faire assez, aimer assez pour rentrer en grace auprès de dieu. Ainsi comprise la satisfaction est tout le contraire d'un chatiment et c'est ainsi que le sacrifice de jésus est unique et définitif. Il n'y a plus besoin d'autre chose pour sauver l'humanité.



La deuxième chose est qu'en te lisant je comprends que tu penses que la faute revient aux Juifs si Jésus est sacrifié et si les Juifs avaient accepté Jésus comme étant le Messie, la Crucifixion n'aurait pas eu lieu c'est bien cela ?

Re: Substitution pénale

Posté : 11 oct.22, 23:16
par SophiaSofia
Paulo a écrit : 11 oct.22, 21:06 Sauf que vous oubliez deux choses chère Sophiasofia,

où Jésus dit clairement qu'il n'est plus dans le monde auprès de ses Apôtres, avec eux,

"maintenant je quitte le monde pour aller à mon Père d'où je suis sorti pour remplir la mission qu'il m'a demandé de remplir et que je viens d'achever : "

Chère SophiaSofia,

ouvrez votre intelligence à ce que Jésus a dit ici et que vous refusez de voir en face

et par lequel je vous prouve que ce n'est pas Jésus (le Fils dans lequel le Père était) qui a conduit ses Apôtres dans le jardin des oliviers après les avoir confié à son Père (puisque Jésus avait dit à ceux qui viendraient l'arrêter : "vous me chercherez et vous ne me trouverez pas, parce que l'à où Je Suis, vous ne pouvez pas venir", à savoir "dans son Père et dans ses Apôtres devenu sa chair, son Trône de chair"

Voilà SophiaSofia,

Si malgré toutes les preuves que je viens de te donner, sur ce que j'ai affirmé, à savoir, que ce n'est pas Jésus qui a conduit ses Apôtres dans le Jardin des oliviers, mais son Père, Elie, Jean le Baptiste, à qui il venait de remettre ses brebis, parce que lui il avait quitté le monde, disant qu'il n'était plus avec ses Apôtres, car il était passé "en eux, dans son corps de chair donné pour eux" ; tu ne veux pas me croire, alors je ne peux plus rien faire pour toi. J'aurai fait tout pour ouvrir ton esprit à la compréhension (à l'intelligence des Ecritures que je viens de te citer) je ne peux rien faire de plus, puisque ton esprit reste fermé à tout ce que je viens de te démontrer.

C'est tout simplement "le Père de Jésus" dont Jésus parla eu début de son ministère en disant

"mon Père est en moi" (son Père l'Esprit Saint qui l'a engendré dans le sein de sa mère)

Souvenez-vous de ce qu'il vous a dit, lorsqu'il était encore en Galilée, disant que le Fils de l'homme devait être livré aux mains d'hommes pécheurs, être crucifié et ressusciter le troisième jour. "

Ces 2 hommes en vêtement éblouissant, c'étaient Jésus et Jean le Baptiste qui avaient échangés leur place, quand Jésus qui était le plus jeune a laissé sa place dans le Cénacle à Jean, Elie, son Père pour qu'il préside la Pâques.

Ce qui veut dire que celui qui juste après, est apparu à ses Apôtres, dans le Cénacle, leur montrant 8 jours plus tard, ses mains et ses pieds, c'étaient Jean, Elie le Père de Jésus, qui sur la croix avait dit à sa femme, la Vierge : femme, voici ton fils, en lui montrant le disciple que Jésus aimait, dont Saint Pierre nous dit qu'il était assis à la droite de Jésus à la table du Cénacle, c'était bien Jésus qui avais pris la place du plus jeune, pour laisser sa place à Jean le Baptiste, le fils de la veuve de Naïm, qu'il avait ressuscité, et que nous retrouvons dans le jardin des oliviers, dans son drap mortuaire, qu'il lacha quand les soldats voulurent l'arrêter, avec son Père, Jean, qui venait de se livrer à la place de jésus.
Je crois pleinement en ce qui est écrit dans l'Evangile de notre salut, en ce que Jésus a dit à ses disciples et en sa doctrine, mais pas à l'interprétation que tu en fais, que cet Evangile lui-même contredit.

Car si ce n'est pas Jésus qui est mort à la chair et au sang sur la croix portant sur lui nos péchés, alors il n'y a plus de sacrifice expiatoire pour les péchés, ressuscité par son Père en Lui et Lui dans son Père, l'Esprit Saint.

Le Fils de l'homme, c'est Jésus, tel que nous le lisons en Matthieu : "Lorsque le Fils de l'homme viendra dans sa gloire, avec tous les anges, il s'assiéra sur le trône de sa gloire" = le trône de son Père, l'Esprit Saint.

Je me souviens très bien de ce qu'il nous a dit, "le Fils de l'homme devait être livré aux mains d'hommes pécheurs, être crucifié et ressusciter le troisième jour"

"Vous savez que la Pâque a lieu dans deux jours, et que le Fils de l'homme sera livré pour être crucifié".

"Pilate leur dit: Que ferai-je donc de Jésus, qu'on appelle Christ? Tous répondirent: Qu'il soit crucifié! Le gouverneur dit: Mais quel mal a-t-il fait? Et ils crièrent encore plus fort: Qu'il soit crucifié! Pilate, voyant qu'il ne gagnait rien, mais que le tumulte augmentait, prit de l'eau, se lava les mains en présence de la foule, et dit: Je suis innocent du sang de ce juste. Cela vous regarde. Et tout le peuple répondit: Que son sang retombe sur nous et sur nos enfants!
Alors Pilate leur relâcha Barabbas; et, après avoir fait battre de verges Jésus, il le livra pour être crucifié".

En Jean : "Jésus, portant sa croix, arriva au lieu du crâne, qui se nomme en hébreu Golgotha. C'est là qu'il fut crucifié, et deux autres avec lui, un de chaque côté, et Jésus au milieu.
Pilate fit une inscription, qu'il plaça sur la croix, et qui était ainsi conçue: Jésus de Nazareth, roi des Juifs".

Près de la croix, il n'y avait pas d'homme mais trois femmes disciples de Jésus : "Près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la sœur de sa mère, Marie, femme de Clopas, et Marie de Magdala. Jésus, voyant sa mère, et auprès d'elle le disciple qu'il aimait, dit à sa mère: Femme, voilà ton fils. Puis il dit au disciple: Voilà ta mère. Et, dès ce moment, le disciple la prit chez lui".

"S'étant approchés de Jésus, et le voyant déjà mort, ils ne lui rompirent pas les jambes; mais un des soldats lui perça le côté avec une lance, et aussitôt il sortit du sang et de l'eau.
Celui qui l'a vu en a rendu témoignage, et son témoignage est vrai; et il sait qu'il dit vrai, afin que vous croyiez aussi".

Je crois dans ce témoignage, pas dans ce qu'en ont interprété et interprètent encore les hommes.

Celui qui apparut à Marie de Magdala, c'était bien Jésus ressuscité, qu'elle ne reconnaissait pas parce qu'il était dans son corps céleste, ce corps de rédemption qui pouvait apparaitre dans une pièce dont la porte était verrouillée comme il le fit.

"Cependant Marie se tenait dehors près du sépulcre, et pleurait. Comme elle pleurait, elle se baissa pour regarder dans le sépulcre; et elle vit deux anges vêtus de blanc, assis à la place où avait été couché le corps de Jésus, l'un à la tête, l'autre aux pieds. Ils lui dirent: Femme, pourquoi pleures-tu? Elle leur répondit: Parce qu'ils ont enlevé mon Seigneur, et je ne sais où ils l'ont mis. En disant cela, elle se retourna, et elle vit Jésus debout; mais elle ne savait pas que c'était Jésus. Jésus lui dit: Femme, pourquoi pleures-tu? Qui cherches-tu? Elle, pensant que c'était le jardinier, lui dit: Seigneur, si c'est toi qui l'as emporté, dis-moi où tu l'as mis, et je le prendrai. Jésus lui dit: Marie! Elle se retourna, et lui dit en hébreu: Rabbouni! c'est-à-dire, Maître! Jésus lui dit: Ne me touche pas; car je ne suis pas encore monté vers mon Père. Mais va trouver mes frères, et dis-leur que je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu".

En disant cela, il indique qu'il n'avait pas encore été glorifié de la gloire qu'il avait auprès du Père avant que le monde soit, elle ne devait donc pas le toucher, le retenir, mais courir vers ses frères leur annoncer qu'il montait vers son Père et notre Père, son Dieu et notre Dieu : l'Esprit Saint d'où il était sorti en venant dans le monde.

Thomas lui-même l'a parfaitement reconnu en avançant son doigt et sa main, la mettant dans son côté, et il a cru parce qu'il a vu : "Jésus vint, les portes étant fermées, se présenta au milieu d'eux, et dit: La paix soit avec vous! Puis il dit à Thomas: Avance ici ton doigt, et regarde mes mains; avance aussi ta main, et mets-la dans mon côté; et ne sois pas incrédule, mais crois. Thomas lui répondit: Mon Seigneur et mon Dieu! Jésus lui dit: Parce que tu m'as vu, tu as cru. Heureux ceux qui n'ont pas vu, et qui ont cru!".

Ajouté 13 minutes 10 secondes après :
Paulo a écrit : 11 oct.22, 21:55
Cela ne peut pas être Jésus qui sur la crois à dit à sa mère, la femme de l'Esprit Saint son Père
Lapsus révélateur que d'avoir écrit "crois" à la place de "croix". Marie n'est pas la femme de l'Esprit Saint le Père de Jésus, Marie est la femme de Joseph.

Le Père de Jésus n'a pas de femme selon la chair puisqu'il est Esprit Saint, Dieu, le Très Haut, la puissance de Dieu par sa Parole. Son Epouse est spirituelle, notre Mère, c'est la Jérusalem céleste, tel que Paul l'a écrit.

C'est donc bien Jésus, qui sur la croix, dit à sa mère selon la chair : "Femme". Qu'y avait-il entre Jésus et sa mère ? son Père, l'Esprit Saint, dont il devait accomplir la volonté, volonté qu'elle ne connaissait pas elle-même et que Jésus fit jusqu'à la mort de la croix.

"5 Ayez en vous les sentiments qui étaient en Jésus-Christ: existant en forme de Dieu, il n'a point regardé son égalité avec Dieu comme une proie à arracher, mais il s'est dépouillé lui-même, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes; et il a paru comme un vrai homme, il s'est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu'à la mort, même jusqu'à la mort de la croix. C'est pourquoi aussi Dieu l'a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu'au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre, et que toute langue confesse que Jésus-Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père" Philippiens 2.

Re: Substitution pénale

Posté : 11 oct.22, 23:41
par prisca
Paulo a écrit : 11 oct.22, 21:55 ....

Cela ne peut pas être Jésus qui sur la croix a dit à sa mère, la femme de l'Esprit Saint son Père : "Femme, voici ton fils", en lui montrant Jean, avec qui il avait la veille, échanger sa place à la table du Cénacle, dans la maison de David son Père, où se trouvait le cénotaphe (le tombeau vide de son Père, David)

Jean 19 25 Près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la soeur de sa mère, Marie, femme de Clopas, et Marie de Magdala. 26 Jésus, voyant sa mère, et auprès d'elle le disciple qu'il aimait, dit à sa mère : Femme, voilà ton fils. 27 Puis il dit au disciple : Voilà ta mère. Et, dès ce moment, le disciple la prit chez lui.

C'est pour apaiser la peine de Marie que Jésus dit à Marie que son fils est Jean et qu'il s'occupera d'elle, comme lui Jésus s'est occupé d'elle, mais Jésus n'est plus là désormais.

C'est pour dire à Jean "je te confie Marie".

Pourquoi Jésus a dit à Marie "femme" ? au lieu de dire "mère" ?

Parce que Jésus est Avatar de D.IEU et Marie est la fille de D.IEU créée elle comme tous les humains sur la terre,

Marie n'est pas l'épouse de D.IEU car D.IEU n'a pas d'épouse.

Marie a été utilisée pour que Jésus apparaisse par filiation sur la généalogie qui court d'Adam jusqu'à son apparition par naissance.

Marie est instrument entre les mains de D.IEU comme tous les Juifs sont instruments entre les mains de D.IEU afin d'amener les paiens à la foi, c'est le but.

Re: Substitution pénale

Posté : 11 oct.22, 23:44
par SophiaSofia
prisca a écrit : 11 oct.22, 23:41 Jean 19 25 Près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la soeur de sa mère, Marie, femme de Clopas, et Marie de Magdala. 26 Jésus, voyant sa mère, et auprès d'elle le disciple qu'il aimait, dit à sa mère : Femme, voilà ton fils. 27 Puis il dit au disciple : Voilà ta mère. Et, dès ce moment, le disciple la prit chez lui.

C'est pour apaiser la peine de Marie que Jésus dit à Marie que son fils est Jean et qu'il s'occupera d'elle, comme lui Jésus s'est occupé d'elle, mais Jésus n'est plus là désormais.
Toi non plus tu ne vois pas que près de la croix de Jésus, il n'y a pas d'homme mais trois femmes disciples de Jésus, tel que c'est écrit. Ce qui montre que tu es encore endoctrinée par ce que les hommes ont interprété et qui n'est pas écrit.

Re: Substitution pénale

Posté : 11 oct.22, 23:55
par Gorgonzola
Paulo a écrit : 11 oct.22, 21:55 Permets Gorgonzola que je te rappelles ce qu'est "un usurpateur" ?

C'est une personne qui s'empare par des moyens illégitimes d'une souveraineté, d'un pouvoir, d'un bien.

Dis-moi sur quoi tu t'appuies pour me traiter d'usurpateur ?
Tout comme un musulman, vous reniez que Jésus eût été crucifié. Selon le coran Allah a mis un faux semblant, il a donc trompé la foule.

Répondez simplement à ces questions :
- qui a agonisé au jardin des oliviers
- qui était devant les soldats romains lorsqu'ils sont venu chercher celui qui est censé être Jésus
- qui était devant Pilate
- qui a été flagellé
- qui a porté la croix
- qui était sur la croix
- qui était le ressuscité

Répondez point par point svp sans argumenter par l'Ecriture, j'aimerais savoir qui vous identifiez à chacune de ces étapes.

Re: Substitution pénale

Posté : 12 oct.22, 00:08
par prisca
SophiaSofia a écrit : 11 oct.22, 23:44 Toi non plus tu ne vois pas que près de la croix de Jésus, il n'y a pas d'homme mais trois femmes disciples de Jésus, tel que c'est écrit. Ce qui montre que tu es encore endoctrinée par ce que les hommes ont interprété et qui n'est pas écrit.
Nous parlions de Jean.

Ne monte pas sur tes grands chevaux, ce n'est pas Chrétien.

Ne juge pas non plus, ce n'est pas Chrétien non plus.

N'essaie pas de te hisser au dessus des autres, ce n'est pas Chrétien non plus.

Essaie plutôt de trouver une entente cordiale.

prisca a écrit : C'est pour apaiser la peine de Marie que Jésus dit à Marie que son fils est Jean et qu'il s'occupera d'elle, comme lui Jésus s'est occupé d'elle, mais Jésus n'est plus là désormais.

Ajouté 5 minutes 19 secondes après :
Gorgonzola a écrit : 11 oct.22, 23:55 Tout comme un musulman, vous reniez que Jésus eût été crucifié. Selon le coran Allah a mis un faux semblant, il a donc trompé la foule.

Répondez simplement à ces questions :
- qui a agonisé au jardin des oliviers
- qui était devant les soldats romains lorsqu'ils sont venu chercher celui qui est censé être Jésus
- qui était devant Pilate
- qui a été flagellé
- qui a porté la croix
- qui était sur la croix
- qui était le ressuscité

Répondez point par point svp sans argumenter par l'Ecriture, j'aimerais savoir qui vous identifiez à chacune de ces étapes.
Le problème est que Paulo a divinisé Jésus et il n'admet pas que Jésus puisse avoir cette fin aussi terrible.

Pour les catholiques extrémistes comme ces prêtres qui sont en pamoison devant Jésus, à l'inverse des Musulmans qui eux veulent toujours déprécier, car pour eux ils voient Jésus comme un humain, gentil, mais pour eux Jésus n'a rien du divin, ils veulent sous entendre que Jésus ne mérite pas une mort atroce qu'ils réservent à quelqu'un d'autre, un méchant comme Judas par exemple ou un Simon de Cyrène qui pourrait bien faire l'affaire...

Tandis que Paulo au contraire pour lui JESUS c'est un autre Dieu et un Dieu à ses yeux ne mérite pas ce sort, tandis que son Père aux yeux de Paulo mériterait ce sort puisque pour Paulo Jésus est un Dieu bien plus charitable que Dieu des Juifs puisqu'il a fallu cette extrémité, à savoir que Jésus en vienne à cette terrible souffrance pour convaincre son Père de bien vouloir pardonner au genre humain.

Paulo ne me dis pas que j'interprète à ma façon, je dis juste comment je te perçois et comment tes messages nous laissent ce sentiment de vénération de Jésus au dessus de la vénération de D.IEU.

Pour toi lorsque je te lis j'ai le sentiment que D.IEU est le Papa, Marie la maman, et Jésus est le Fils qui surpasse de loin le Papa par sa gentillesse.

C'est le sentiment que j'ai à la lecture de tes messages.

Re: Substitution pénale

Posté : 12 oct.22, 00:16
par SophiaSofia
prisca a écrit : 12 oct.22, 00:08 Nous parlions de Jean.

Ne monte pas sur tes grands chevaux, ce n'est pas Chrétien.

Ne juge pas non plus, ce n'est pas Chrétien non plus.

N'essaie pas de te hisser au dessus des autres, ce n'est pas Chrétien non plus.

Essaie plutôt de trouver une entente cordiale.

prisca a écrit : C'est pour apaiser la peine de Marie que Jésus dit à Marie que son fils est Jean et qu'il s'occupera d'elle, comme lui Jésus s'est occupé d'elle, mais Jésus n'est plus là désormais.
En quoi vois tu que je monte sur mes grands chevaux ? je te dis juste que toi non plus tu ne vois pas ce qui est écrit parce que c'est la vérité et ça n'a jamais été monter sur ses grands chevaux que de la montrer.

Ce sont les catholiques qui ont décrété que c'était Jean qui était près de la croix, mais ce n'est pas ce qui est écrit puisqu'il est écrit que c'était trois femmes qui sont nommées de plus, ce passage est on ne peut plus clair.

L'entente cordiale réside en ceci : croire en ce qui est écrit, ou croire dans les interprétations qu'en ont fait les hommes. C'est ainsi toi qui monterait sur tes grands chevaux dans ta réponse parce que tu as cru ce que les catholiques ont interprété. Je ne suis pas coupable de tes croyances.

Re: Substitution pénale

Posté : 12 oct.22, 00:17
par prisca
SophiaSofia a écrit : 12 oct.22, 00:16 En quoi vois tu que je monte sur mes grands chevaux ? je te dis juste que toi non plus tu ne vois pas ce qui est écrit parce que c'est la vérité et ça n'a jamais été monter sur ses grands chevaux que de la montrer.

Ce sont les catholiques qui ont décrété que c'était Jean qui était près de la croix, mais ce n'est pas ce qui est écrit puisqu'il est écrit que c'était trois femmes qui sont nommées de plus, ce passage est on ne peut plus clair.

L'entente cordiale réside en ceci : croire en ce qui est écrit, ou croire dans les interprétations qu'en ont fait les hommes.
Jean 19 25 Près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la soeur de sa mère, Marie, femme de Clopas, et Marie de Magdala. 26 Jésus, voyant sa mère, et auprès d'elle le disciple qu'il aimait, dit à sa mère : Femme, voilà ton fils. 27 Puis il dit au disciple : Voilà ta mère. Et, dès ce moment, le disciple la prit chez lui.