Bonjour Medico
Medico écrit :
« alors ta conclusion sur le sujet c'est quoi, rajout ou pas rajout? »
Avec tout ce que j’ai apporté et démontré il est fort raisonnable de croire que la partie du verset 19 du chap. 28 de S. Matthieu qui dit :
« … les baptisant au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit. »
ne soit pas un rajout, et encore moins une falsification !!!
Plusieurs arguments en défaveur de l’authenticité
sous l’appellation de falsification des Évangiles me semble provenir de l’Islam qui a en
aversion la très Sainte Trinité !
Ultimement c’est l’Évangile que l’on veut
discréditer et ce astucieusement versets par versets …
Vous savez Medico on peut être contre le dogme de la Trinité et tout Catholique et Protestants respectueux ne voudra l’imposer, à tout le moins le justifier et le défendre.
Mais ce que je ne peux accepter :
c’est la façon qu’on s’y prends pour contester ce dogme si précieux et fondamentale pour les chrétiens et ce en utilisant des arguments : inexacts, faux et même à l’occasion mensonger (mensonger, ici je pense au Pentecôtiste Unitarien dans l’affaire du livre du cardinal Ratzinger… ).
Mais j’imagine que dans la grande majorité de tout ce beau monde qui critique allègrement la foi Catholique que c’est involontairement qu’ils propagent ces inexactitudes, et ces faussetés. Il serait souhaitable que nos opposants s’informent d’une façon ou d’une autre sur la fiabilité de leurs sources. Mais serait-ce à leurs avantages que de le faire ?
Quand on est
sur le pilote automatique de la critique et de l’abaissement il n’y a pas vraiment de place pour ces vérifications, qui requière plus ou moins de temps …
Medico
écrivait :
« donc l'affirmation du soit disant rajout de Matthieu et a prendre avec des pincettes ? »
Plus encore, elle est à rejeter catégoriquement
et encore plus sous l’étique de la falsification.
Medico
écrivait :
« donc l’ affirmation [ d’Arlitto ] sur Matthieu ne tient pas. »
Toutes les affirmations — sauf une je crois — d’Arlitto sont soit : inexactes, fausses ou insuffisamment certaines pour qu’elles tiennent la route. La seule chose qui tienne la route c’est son rejet du passage de Mt 28, 19 qu’il considère en plus comme falsifié !
Il faut tout même redire qu’il est exact d’affirmer — comme le fait Arlitto — que nous ne retrouvons pas parmi les touts premiers baptêmes celui qui est mentionné en Mt 28, 19.
Au moins nous savons que le N.T.
ne fait pas mention qu’il faut baptiser seulement au nom du Seigneur
et pas autrement. Cela laissa la place à une nécessaire précision du baptême — par le biais d’une réflexion théologique — et ce particulièrement quand un rituel ecclésial dû être établi.
Bon j’espère que ce dernier paragraphe est assez compréhensible !
Voilà Medico !
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Sur je vous salue en Dieu notre Père.
Qu’il vous bénisse ainsi que votre famille.
Bertrand