Re: Métaphysique et matérialisme intégral et universel
Posté : 17 févr.20, 11:13
Le matérialisme intégral et universel comme concept est une alternative au dualisme physique (matière) et métaphysique ( esprit, subjectivité) comme paradigme philosophique qui date de l'Antiquité.
Non seulement le matérialisme intégral et universel est le fait cosmique lui même mais c'est aussi le cadre théorique et naturalisme philosophique capable de correspondre à la réalité universelle sans dichotomie entre monde objectif et monde subjectif. Un naturalisme philosophique qui rejoint le réalisme et naturalisme de la science comme processus d'étude de la nature.
Le matérialisme intégral et universel est le fait de nature et le fait de culture humaine ( théorie de la connaissance). Tout en sachant que le fait de nature est plus vaste et étendu que la carte établie par le formalisme scientifique.
On peut même associer ainsi le dualisme physique ( positivisme) et métaphysique ( culture philosophico religieuse). Le positivisme sera toujours un réductionnisme épistémologique du seul fait qu'il imite la réalité universelle au constat scientifique confondant "fondé objectivement " et " fondé scientifiquement". Par exemple Andromède a toujours été " fondée objectivement" bien avant sa découverte mais est devenue " fondée scientifiquement" avec sa découverte. Une nuance qui démasque une idéalisation de la culture scientifique par rapport au questionnement Philosophique prospectif.
Sans compter le dogme de l'observateur qui empêche une réconciliation entre deux formalismes scientifiques. Un dogme qui ne fait que reprendre à son compte le préjugé spiritualiste défavorable à la matière et nature sur son caractère incomplet quant à un pouvoir d'organisation et structurant intrinsèque. La corrélation objet et sujet n'a rien de spécifique au domaine quantique. C'est une relation partie prenante dans l'édification de toute connaissance du réel fondamental.
Une physique dite indéterministe qui fait de l'émergence de l'observateur une nécessité, un univers qui s'est intégré dans ses niveaux d'organisation micro et macroscopique sans nul besoin de recourir au concept de décohérence quantique pour réconcilier une fausse contradiction et encore moins la présence d'un observateur au mur de Planck ( hormis en théologie), une physique dite sans propriétés physiques propres autres que celles attribuées par le constat mais qui malgré tout à supporté tous les développements physiques possibles jusqu'au monde du vivant indépendamment de toutes interactions avec une classe d'observateurs, un principe d'incertitude plus de nature ontologique que physique, astronomique et astrophysique.... Bref suffisamment d'incongruités et vices logiques pour remettre en question le positivisme comme grille de lecture hors pair du fait quantique.
Nul besoin du concept de décohérence quantique au sein du matérialisme intégral ( quantique) et universel ( macroscopique). C'est le formalisme quantique qui déchire l'univers en deux réalités physiques distinctes et opposées. L'univers s'est très bien intégré sans contradiction épistémologique insurmontable.
Au sein du dualisme physique et métaphysique on fera toujours de la science dans un esprit plus créationniste ( spiritualiste, métaphysique) qu'évolutonniste et physicaliste. Si la science cherche une philosophie des sciences avec une portée Philosophique plus réaliste que surréaliste c'est le matérialisme intégral et universel comme objet d'étude et cadre théorique sans mysticisme ni aporie épistémologique insurmontable kantien entre le réel et connaissance du réel.
Non seulement le matérialisme intégral et universel est le fait cosmique lui même mais c'est aussi le cadre théorique et naturalisme philosophique capable de correspondre à la réalité universelle sans dichotomie entre monde objectif et monde subjectif. Un naturalisme philosophique qui rejoint le réalisme et naturalisme de la science comme processus d'étude de la nature.
Le matérialisme intégral et universel est le fait de nature et le fait de culture humaine ( théorie de la connaissance). Tout en sachant que le fait de nature est plus vaste et étendu que la carte établie par le formalisme scientifique.
On peut même associer ainsi le dualisme physique ( positivisme) et métaphysique ( culture philosophico religieuse). Le positivisme sera toujours un réductionnisme épistémologique du seul fait qu'il imite la réalité universelle au constat scientifique confondant "fondé objectivement " et " fondé scientifiquement". Par exemple Andromède a toujours été " fondée objectivement" bien avant sa découverte mais est devenue " fondée scientifiquement" avec sa découverte. Une nuance qui démasque une idéalisation de la culture scientifique par rapport au questionnement Philosophique prospectif.
Sans compter le dogme de l'observateur qui empêche une réconciliation entre deux formalismes scientifiques. Un dogme qui ne fait que reprendre à son compte le préjugé spiritualiste défavorable à la matière et nature sur son caractère incomplet quant à un pouvoir d'organisation et structurant intrinsèque. La corrélation objet et sujet n'a rien de spécifique au domaine quantique. C'est une relation partie prenante dans l'édification de toute connaissance du réel fondamental.
Une physique dite indéterministe qui fait de l'émergence de l'observateur une nécessité, un univers qui s'est intégré dans ses niveaux d'organisation micro et macroscopique sans nul besoin de recourir au concept de décohérence quantique pour réconcilier une fausse contradiction et encore moins la présence d'un observateur au mur de Planck ( hormis en théologie), une physique dite sans propriétés physiques propres autres que celles attribuées par le constat mais qui malgré tout à supporté tous les développements physiques possibles jusqu'au monde du vivant indépendamment de toutes interactions avec une classe d'observateurs, un principe d'incertitude plus de nature ontologique que physique, astronomique et astrophysique.... Bref suffisamment d'incongruités et vices logiques pour remettre en question le positivisme comme grille de lecture hors pair du fait quantique.
Nul besoin du concept de décohérence quantique au sein du matérialisme intégral ( quantique) et universel ( macroscopique). C'est le formalisme quantique qui déchire l'univers en deux réalités physiques distinctes et opposées. L'univers s'est très bien intégré sans contradiction épistémologique insurmontable.
Au sein du dualisme physique et métaphysique on fera toujours de la science dans un esprit plus créationniste ( spiritualiste, métaphysique) qu'évolutonniste et physicaliste. Si la science cherche une philosophie des sciences avec une portée Philosophique plus réaliste que surréaliste c'est le matérialisme intégral et universel comme objet d'étude et cadre théorique sans mysticisme ni aporie épistémologique insurmontable kantien entre le réel et connaissance du réel.