Re: Le Nom de Dieu YHWH dans le Nouveau Testament.
Posté : 13 juin16, 06:20
Jean Moulin a écrit :Donc, Tresmontant et Chouraqui adhèrent aux enseignements des tj ?
Ils y ont forcément pensé, mais il est difficile aujourd'hui de le leur demander.Zouzouspetals a écrit :Tresmontant et Chouraqui ont-ils adhéré à la croyance que le Tétragramme figurait à l'origine dans le Nouveau Testament et qu'il en a été effacé ?
Jean Moulin a écrit :Cette "leçon" n'est peut-être pas aussi médiévale qu'on le prétend, mais peu importe. Ce n'est pas la forme dans laquelle le nom divin est écrit qui importe, mais le fait qu'il figure dans certaines versions du NT.
Zouzouspetals a écrit :Lesquelles ?
Jean Moulin a écrit :Tresmontant, Chouraqui.
Mais là n'est pas la question.Zouzouspetals a écrit :Ni Tresmontant ni Chouraqui n’emploient « Jéhovah ».
C'est curieux, ça ne me convainc pas qu'ils ont raison. Je pense plutôt qu'ils cèdent à une certaine idée fausse qui veut que la bonne prononciation aurait été perdue et aurait été remplacée par Jéhovah au moyen âge, ce qui apparemment arrangeait bien Chouraqui, lui permettant de justifier que le nom divin aurait été imprononçable, ce qui est complètement faux.Zouzouspetals a écrit :Tresmontant : «La lecture absurde : Jéhovah résulte de la lecture des consonnes de YHWH avec les voyelles d'adonaï. Aussi absurde que si on lisait les consonnes de Félix avec les voyelles de Potin. » ; Chouraqui : « Pour Jéhovah, on a purement et simplement marié les consonnes de Ihvh avec les voyelles de la prononciation d'Adonaï. Les chrétiens qui ont fait cela n'ont fait que montrer leur profonde ignorance du principe biblique qui commande de ne pas prononcer I'lmprononçable. »
Sauf que la question n'est pas la forme utilisée du nom divin, mais l'utilisation du nom divin dans le NT, et ni l'un ni l'autre ne prétendent que le tétragramme ne se trouvait pas dans le NT à l'origine.Zouzouspetals a écrit :Leurs choix (différents d’ailleurs) de traduire les « kurios » et « theos » présent dans le NT dans les passages citant l’AT portant יהוה ne résultent pas de la volonté de « rétablir » un nom effacé du Nouveau Testament, et encore moins d’encourager la lecture « Jéhovah ».
Zouzouspetals a écrit :Parce que le texte de base, en grec, ne comporte pas une seule fois le Tétragramme ; les seules versions du NT qui traduisent les "kurios" ou "theos" du texte par une forme du Tétragramme sont des versions contemporaines fondées sur des interprétations particulières voire partisanes.
Jean Moulin a écrit :Partisanes ou tout simplement logiques ?
C'est ta prise de position qui est partisane, car encore une fois, ce n'est pas la forme du nom divin utilisée qui importe, mais le fait qu'il se trouve dans ces traductions du NT.Zouzouspetals a écrit :Partisanes. Il n’est pas logique de traduire « kurios » et « theos » par « Jéhovah », alors que ces termes grecs signifient « seigneur » et « dieu » et que « Jéhovah » est une lecture postérieure de plusieurs siècles aux écrits néo-testamentaires.
Zouzouspetals a écrit :Et pourtant, il ne s'y trouve pas.
Jean Moulin a écrit :Du moins dans la copie complète du 4 è siècle que nous possédons. Nous n'avons que des fragments de copies plus anciennes.
Hélas non.Zouzouspetals a écrit :Ces fragments de copies plus anciennes ne contiendraient-ils pas, pour certains d’entre eux, des citations de l’AT se référant à יהוה ?
Zouzouspetals a écrit :D'ailleurs, pourquoi des citations en grec de passages des Ecritures hébraïques devraient-elles forcément contenir quatre lettres en hébreu ?
Jean Moulin a écrit :Parce qu'à l'époque il se trouvait dans la LXX et parce que les juifs avaient une grande vénération pour le nom divin, même s'ils ne le prononçaient pas.
Toujours est-il que le tétragramme hébreu se trouvait dans la LXX du premier siècle.Zouzouspetals a écrit : Si les Juifs ne prononçaient pas le nom divin, comment les lecteurs de la Septante auraient-ils pu lire יהוה à haute voix ?
Zouzouspetals a écrit :Et si vous pensez plutôt à une transcription grecque de יהוה, laquelle Paul, Pierre, Jacques, Jean... auraient-il dû utiliser, selon vous ?
Jean Moulin a écrit :C'est quoi une transcription grecque du tétragramme ?
S'il y en avait eu, les auteurs de la LXX l'auraient utilisé au lieu de mettre le tétragramme en hébreu dans leur traduction.Zouzouspetals a écrit : Une façon prononçable par un hellénophone non-hébraïsant de lire יהוה.
Nous connaissons plusieurs transcriptions françaises du Tétragramme : YHWH, Yahvé, Jéhovah… ; quelles transcriptions grecques les auteurs néo-testamentaires utilisaient-ils ?
Zouzouspetals a écrit :Et pourtant, si on lit le Nouveau Testament dans une traduction fidèle aux textes par lesquels il nous est parvenu, ni Jésus, ni ses disciples n'utilisent יהוה ou une translittération ou transcription en grec de יהוה.
Jean Moulin a écrit :En apparence seulement, car cela signifierait que le nom divin avait totalement disparu, non seulement des discussions entre Jésus et ses disciples, mais aussi de la culture juive. C'est impossible.
Parce que tu crois que les évangiles rapportent toutes les conversations de Jésus avec ses apôtres ? On ne peut pas prétendre d'après les seuls évangiles, grecs de surcroit, que Jésus et ses apôtres n'ont pas du tout prononcé le nom divin en plus de trois ans.Zouzouspetals a écrit : Et pourtant, c’est ce que nous donne à lire le Nouveau Testament : jamais Jésus ou ses disciples, dans leurs conversations, leurs prières publiques, les discours qu’ils font aux foules rassemblées, ne disent יהוה.
Zouzouspetals a écrit :Dans quels endroits serait-il approprié, selon vous, sachant qu'on ne trouve pas une seule occurrence de יהוה dans les manuscrits du Nouveau Testament ?
Jean Moulin a écrit :Dans tous les endroits où les traducteurs objectifs ont vu et signalé où le nom divin pourrait se trouver dans le NT, comme Darby
Hé non, tu as tout faux. Darby signale d'une astérisque tous les endroits du NT où le mot Seigneur désigne YHWH. Tu veux des exemples ?Zouzouspetals a écrit : Vous faites erreur : Darby ne signale pas tous les endroits où le nom divin pourrait se trouver dans le NT ; il indique par une astérisque devant le terme « Seigneur » les endroits où le texte cité de l’AT contenait יהוה. C’est la citation vétéro-testamentaire d’origine, et non le passage néo-testamentaire y faisant référence qui porte le Tétragramme. Il ne s’agit donc pas de signaler un remaniement du texte du NT, mais une différence entre la citation originelle (AT) et le texte rapporté (NT).
Zouzouspetals a écrit :Le sujet n'est pas de savoir si les chrétiens du 1er siècle connaissaient le nom divin, savaient en reconnaître le dessin ou même étaient capables de le prononcer ; le sujet est de savoir pourquoi les rédacteurs du Nouveau Testament n'ont pas du tout utilisé יהוה ou une transcription en grec du Tétragramme dans leurs écrits.
Jean Moulin a écrit :Si toutefois ils ne l'ont pas utilisé, ce qui est complètement impensable à cette époque.
Pourquoi une traduction interlinéaire prouverait quoi que ce soit dans ce domaine ?Zouzouspetals a écrit : Et pourtant, ils ne l’ont pas utilisé. Prenez une traduction interlinéaire du NT et cherchez donc, dans les citations qu’ils font de l’AT, comment les auteurs néo-testamentaires ont rendu les יהוה qui s’y trouvaient.
Jean Moulin a écrit :Comment ça, "certainement sans יהוה" ? La Septante du premier siècle contenait le tétragramme.
Zouzouspetals a écrit :Même celle que lisait les Corinthiens, les Colossiens, les Romains... ? Et comment le lisaient-ils à haute voix ?
Jean Moulin a écrit :A l'époque, il n'y en avait qu'une.
Il n'y avait qu'une LXX, et une seule provenance, l'Egypte. Puis, tous les rédacteurs du NT n'ont pas utilisé la LXX.Zouzouspetals a écrit : La même et unique Septante pour les rédacteurs juifs du NT et pour leurs lecteurs hellénophones de Corinthe, Ephèse, Rome… ?
Zouzouspetals a écrit :Parce qu'il aurait existé, selon vous, un Nouveau Testament comportant le nom divin ? Que serait-il advenu de ce Nouveau Testament avec יהוה ?
Jean Moulin a écrit :La plus ancienne que nous possédions est du 4 è siècle, c'était donc celles d'avant le 4 è siècle qui ont contenu le tétragramme.
Ce qui explique l'absence de débats c'est que les copistes du NT ont progressivement remplacé le tétragramme hébreu par kurios ou théos. Il est même probable qu'ils l'aient fait de bonne foi, pour ce qu'ils croyaient être une meilleure compréhension du texte, alors que cette profusion de "kurios" ait plutôt amené la confusion, comme dans la citation du Psaume 110:1 dans Matthieu 22:44.Zouzouspetals a écrit :Vous postulez donc l’existence de deux NT différents : le premier, qui contenait יהוה n’aurait pas survécu au IVe siècle ; le second, sans plus aucune occurrence de יהוה à partir de ce moment-là. Sachant que le canon du NT est également fixé au IVe siècle et plutôt que de postuler l’existence de Copistes Falsificateurs chargés d’aller effacer des dizaines et des dizaines d’occurrences dans des centaines et des centaines de copies disséminées alors sur trois continents, ne serait-il pas préférable de croire que les créateurs du Canon néo-testamentaire ont choisi de conserver uniquement les livres ne portant aucune référence à יהוה ? Cela expliquerait que l’on ne trouve aucune occurrence de יהוה dans le NT, puisque cela aurait justement été le critère de sélection des livres canoniques.
Quoi qu’il en soit, il devrait subsister des traces des débats qu’auraient occasionné de telles décisions (soit l’effacement généralisé, soit LE critère de sélection du Canon).
Zouzouspetals a écrit :Donc, selon vous, le Nouveau Testament a clairement fait comprendre aux chrétiens que le nom divin pouvait être prononcé et écrit sous sa forme abrégée de Yah ?
Jean Moulin a écrit :Toujours est-il que Jean l'a écrit !
Certain, monsieur le coupeur de cheveux en quatre, puisqu'il l'a écrit ainsi et qu'il est encore aujourd'hui prononcé ainsi, chaque fois que quelqu'un dit "Hallélouia" qui signifie "Louez Yah" !Zouzouspetals a écrit :Jean a clairement fait comprendre aux chrétiens que le nom divin pouvait être prononcé et écrit sous sa forme abrégée de Yah ?!? En êtes-vous sûr, monsieur le Témoin de Yah ?
Zouzouspetals a écrit :Combien de fois trouve-t-on, dans le NT, Jésus et ses disciples appeler Dieu Yah ?
Jean Moulin a écrit :Le NT ne le dit pas, mais chaque fois qu'ils ont dit allélouia, ils ont prononcé la forme abrégée du nom divin. Et c'est le cas pour nous aujourd'hui, allélouia étant une forme latinisée de d'une expression hébraïque signifiant "Louez Yah". Je suis sûr que, si toutefois il t'arrivait de prononcer cette expression, tu n'oseras plus le faire tant tu sembles faire un rejet du nom divin.
Que tu dis, mais comme tu n'es pas du tout objectif, tu n'admettras jamais que tu n'en sais rien toi non plus. Jésus et ses apôtres n'ont ils jamais dit Hallélouia ? Il serait temps que tu cesses de croire que tous les propos prononcés par Jésus et ses apôtres au cours de leur vie sont rapportés dans le NT.Zouzouspetals a écrit : A ma question « Combien de fois trouve-t-on, dans le NT, Jésus et ses disciples appeler Dieu Yah ? », vous répondez : « Le NT ne le dit pas ». Autrement dit zéro. On trouve ZERO fois, dans le NT, Jésus et ses disciples appeler Dieu Yah.
Zouzouspetals a écrit :Le Tétragramme יהוה existe bien, en effet (quoique, dans le NT, il n'apparaisse pas une seule fois pour désigner Dieu)... tout comme le mariage chez les Juifs.
Jean Moulin a écrit :Oui, mais il n'y a pas la moindre trace d'un éventuel mariage de Jésus dans le nt, ni dans la tradition judéo-chrétienne.
C'est probablement ça en effet, le récit du mariage de Jésus et Marie Madeleine se trouvait dans l'AT et dans la LXX, et c'est pour ça que les rédacteurs des évangiles l'ont cité et que les copistes l'ont progressivement supprimé du NT ? C'est bien ça ? Est-ce que tu réalises mieux à quel point ta comparaison avec le tétragramme est absurde ?Zouzouspetals a écrit :Sans doute parce que toutes les traces du mariage de Jésus et de Marie-Madeleine ont été effacées avant le IVe siècle.
Zouzouspetals a écrit :Tout d'abord, il suffit d'un contre-exemple pour réfuter une théorie : le texte biblique parle bien d'une femme mariée qui suivait Jésus
Jean Moulin a écrit :Oui, mais pas DES, UNE SEULE. Et pour la raison de sa situation matérielle privilégiée.
D'autres femmes, certes, des veuves peut-être, mais apparemment pas d'autres femmes mariées.Zouzouspetals a écrit :UNE assurément, et probablement DES, puisque le texte parle de « plusieurs autres (femmes), qui les assistaient de leurs biens ».
Oui, mais veuves, car à l'époque, les femmes mariées n'avaient de biens que ceux de leur mari. La femme de Chouza était l'exception qui confirme la règle.Zouzouspetals a écrit :Et pour que ces femmes puissent « assister de leurs biens » Jésus et ses disciples, c’est donc qu’elles étaient, elles aussi, assez aisées financièrement.
Zouzouspetals a écrit :en outre, nous ignorons le statut marital de "Suzanne et (de) plusieurs autres, qui les assistaient de leurs biens" : certaines pouvaient être veuves, mais il serait fort improbable que tous ceux et toutes celles qui suivaient Jésus aient été célibataires (ne serait-ce que parce qu'un groupe d'hommes tous célibataires accompagné de femmes, toutes célibataires elles aussi, cela aurait immanquablement fait jaser).
Jean Moulin a écrit :Mais tous ces hommes n'étaient pas célibataires, comme tu l'as toi-même précisé. Mais je maintiens que des femmes chargées de famille n'auraient pas pu suivre Jésus. Puis, pour ce qui est de ce qui aurait fait jaser, il était évident pour tous, même pour ses adversaires, que Jésus ne se trouvait pas à la tête d'un lupanar ambulant, et il ressort du récit des évangiles qu'à cette époque suivre un Rabbi ne donnait pas des femmes (mariées ou non) qui le suivaient une mauvaise image, ce qui par contre aurait été le cas si tu avais raison.
Bien sûr que si, mais dans la mentalité juive de l'époque du Christ, la virginité volontaire n'était pas du tout inconcevable, notamment dans le contexte de l'attente messianique.Zouzouspetals a écrit :Les Rabbis ne pouvaient-ils pas être mariés ?
Zouzouspetals a écrit :Enfin, même si Marie, femme de Clopas, était la tante de Jésus (ce qui resterait à prouver, car il est tout de même étrange que les deux soeurs aient eu le même prénom !
Jean Moulin a écrit :Exact, je me suis trompé. En fait la soeur de Marie, mère de Jésus, n'est pas nommée et sa situation de famille n'est pas précisée. On sait juste qu'elle était présente devant la croix.
Où ça ?Zouzouspetals a écrit : En tout cas, il est bien indiqué dans le texte qu’elle était mariée
Zouzouspetals a écrit :Rien dans le texte biblique actuel ne permet déjà de rejeter totalement l'hypothèse d'un Jésus ou d'une Marie-Madeleine mariés
Jean Moulin a écrit :Tout le permet au contraire. Il ne suffit pas d'affirmer gratuitement pour avoir raison.
Il n'y a pas la moindre allusion pouvant laisser supposer que Jésus était marié.Zouzouspetals a écrit : Et quel est donc ce « tout » qui permet de rejeter totalement l'hypothèse d'un Jésus ou d'une Marie-Madeleine mariés ? Ou vous suffit-il d’affirmer gratuitement pour avoir raison ?
Zouzouspetals a écrit :Vraiment ? N'êtes-vous pas de ceux qui soutiennent que le texte original du Nouveau Testament devait forcément contenir le nom divin tel que contenu dans l'Ancien Testament (יהוה ou une forme grecque à préciser de ce Tétragramme hébraïque) ?
Jean Moulin a écrit :Si, je n'ai donc pas prétendu "que certains éléments importants du texte original du NT avaient été effacés", mais qu'un seul et unique nom (le nom divin) avait progressivement disparu des copies, comme c'est aussi le cas de la LXX grecque.
La nuance est effectivement d'importance.Zouzouspetals a écrit : Au temps pour moi : vous n’avez pas prétendu "que certains éléments importants du texte original du NT avaient été effacés », vous soutenez seulement qu’un élément important (présent en de multiples occurrences) du texte original du NT a progressivement disparu. La nuance doit être d’importance, sans doute.
Parce que par ailleurs, on a de nombreux fragments du NT d'avant le IV è siècle ainsi que de nombreuses citations du NT de ceux qui sont appelés "pères de l'église". Ce qui permet de savoir que le texte du NT a bien été préservé ?Zouzouspetals a écrit :Comment savez-vous que c’est le seul élément important du texte original du NT qui a progressivement disparu ?
On a suffisamment de renseignements et de très fortes présomptions. Mais je sais aussi que même les preuves les plus irréfutables ne suffiraient pas à te convaincre.Zouzouspetals a écrit :Avez-vous des preuves de cette disparition progressive ?
Jean Moulin a écrit :C'est fait.
Par qui ?Zouzouspetals a écrit :Pas vraiment, non.
Pour résumer les faits :
- 1) les livres qui composent aujourd'hui le Nouveau Testament ont été écrits en grec dans la seconde moitié du 1er siècle de notre ère et leur Canon fixé au IVe siècle
Mais ce texte grec du IV è siècle montre ses limites. Par exemple, il montre que, au moins dans certains versets les rédacteurs du NT n'auraient pas pu écrire kurios en certains endroits du fait que cela crée une confusion. Comment Matthieu aurait il pu écrire ce que Jésus n'a pas pu dire, à savoir : "Le Seigneur a dit à mon Seigneur" ?Zouzouspetals a écrit :le texte de base établi pour le Nouveau Testament ne contient pas une seule occurrence du Tétragramme hébraïque יהוה présent des milliers de fois dans l'Ancien Testament, même lorsque les auteurs du NT citent (en grec) des propos de l'AT.
Mais s'y trouvait forcément à l'origine !Zouzouspetals a écrit :De ces faits, la seule conclusion qui s'impose en rapport avec le sujet de ce fil de discussion est : Le Nom de Dieu YHWH (יהוה) ne se trouve nulle part dans le Nouveau Testament.