Re: TdG de cette semaine
Posté : 28 nov.22, 01:13
Hello,
au fils du battement des secondes qui nous séparent de plus en plus de se que nous étions.
Il n'y pas de mot pour décrire ce que l'on vit alors.
Et le pire est que cette douleur on ne peut pas la partagé ... oh bien sur on peut en parler on peut l'intellectualiser autant que l'on veut mais ce n'est rien, ce ne sont que des mots !
Cela n'expliquera jamais, les premières nuits sans l'autre, lorsqu'en sueur on se réveille en croyant l'avoir senti, avoir entendu son souffle pres de notre oreille , la chaleur de son corps contre nous pour nous reveiller despespérément seul.
Non, il n'y a pas de mot et rien ni personne pour partager ces moments là que l'on soit croyant ou pas
Mais, je pense à celui qui vit cela et je souffre moi même au plus profond de mon être en pensant à sa douleur.
Je ne faisais que remettre en perspective un "prétendu respect" en ennonçant celui que l'on devrait alors au tout les morts
de chaque minutes.
Si, certains ont pu penser que, je parlais de la personne qui souffre aujourd'hui de ce décès , rien n'est plus éloigné de ma pensée , et je tiens alors à présenter mes plus sincères excuses à ceux qui ont pu le voir ainsi et le ressentir.
Cordialement
Je suis tout à fait d'accord avec cela ... l'absence est terrible, l'arrachement que cela engendre c'est comme la chair que l'on retirerait de ses os. c'est du barbelé qui entoure nos viscère se love sur nos muscles et qui s'arrache progressivementEstrabosor a écrit : ↑28 nov.22, 01:01 Keinelezard, je suis d'accord avec toi sur le prétexte.
Concernant le deuil, je pense que pour tous la douleur est la même car, espérance ou pas, ce qui est le plus dur, c'est l'absence, le vide laissé par l'être cher.
au fils du battement des secondes qui nous séparent de plus en plus de se que nous étions.
Il n'y pas de mot pour décrire ce que l'on vit alors.
Et le pire est que cette douleur on ne peut pas la partagé ... oh bien sur on peut en parler on peut l'intellectualiser autant que l'on veut mais ce n'est rien, ce ne sont que des mots !
Cela n'expliquera jamais, les premières nuits sans l'autre, lorsqu'en sueur on se réveille en croyant l'avoir senti, avoir entendu son souffle pres de notre oreille , la chaleur de son corps contre nous pour nous reveiller despespérément seul.
Non, il n'y a pas de mot et rien ni personne pour partager ces moments là que l'on soit croyant ou pas
Oh que non je ne l'oublie pas , loin de là mon ami.Estrabosor a écrit : ↑28 nov.22, 01:01 Tu sais, c'est comme lorsque tu viens de te cogner le pied dans un pied de meuble et qu'on te dit « ca va passer » oui, ça va passer, tu le sais bien mais sur le moment, la seule chose que tu ressens c'est la souffrance.
Enfin, je n'oublie pas que pour les TJ ayant l'espérance céleste, cette séparation est définitive, ce qui n'est pas forcément évident à gérer.
Mais, je pense à celui qui vit cela et je souffre moi même au plus profond de mon être en pensant à sa douleur.
Je ne faisais que remettre en perspective un "prétendu respect" en ennonçant celui que l'on devrait alors au tout les morts
de chaque minutes.
Si, certains ont pu penser que, je parlais de la personne qui souffre aujourd'hui de ce décès , rien n'est plus éloigné de ma pensée , et je tiens alors à présenter mes plus sincères excuses à ceux qui ont pu le voir ainsi et le ressentir.
Cordialement