Leokent a écrit :Il y a des choses qui me rendent furax dans ce que tu as écrit. J'espère que tu as des sources sérieuses.
les commentatires de nietzche, n'étais jamais d'accord est beaucoup pensent qu'il étais antisémite, sa soeur a publier une partie de ces écris, et les nazi étais fan du personnage, sa soeur était l'une d'entre eux.
EXTRAIT
Ainsi, selon Nietzsche, la pitié, l'altruisme, toutes les valeurs humanitaires, sont en fait des valeurs par lesquelles on se nie soi-même pour se donner l'apparence de la bonté morale et se persuader de sa supériorité ; mais sous ces valeurs illusoires fermente une haine impuissante qui se cherche un moyen de vengeance et de domination. Le christianisme, l'anarchisme, le socialisme, etc. sont des exemples de morales du ressentiment.
"Dieu est mort.", car si Dieu est mort, la morale n'a plus de fondement, bien que l'ombre du dieu mort (son influence axiologique) agisse encore fortement sur des hommes même athées :La définition la plus simple de la décadence donnée par Nietzsche est que l'on peut qualifier de décadent un être qui choisit ce qui le détruit en croyant choisir quelque chose qui accroîtrait sa puissance. Mais la décadence est loin d'être un état définitif ; au contraire, selon Nietzsche, tout être, fort ou faible, a des périodes de décadences. La décadence est ainsi un phénomène naturel, et ce mot employé par Nietzsche n'est pas utilisé comme condamnation morale.
L'élitisme de Nietzsche s'oppose nettement au développement moderne de la démocratie, parce que Nietzsche refuse catégoriquement l'idée d'une égalité entre les hommes, héritée du christianisme.
L'esprit démocratique est complaisant, curieux et futile, bariolé et sans goût, sans grande ambition avec ses « petits plaisirs pour le jour et ses petits plaisirs pour la nuit », satisfait de sa médiocrité tranquille et de son bonheur bovin :
« Malheur ! Voici le temps où l'homme ne peut plus donner le jour à une étoile qui danse. Malheur ! Voici le temps du plus méprisable des hommes, qui ne peut même plus se mépriser lui-même.
Voyez ! Je vous montre le dernier homme. »
Le livre Ainsi parlait Zarathoustra est un livre complexe et profond. Nietzsche le présente lui-même comme un « 5e évangile »,
Mais, ces préjugés étant écartés, la réflexion sur ce thème de la culture apparaît alors comme un questionnement sur l'animalité de l'être humain et sur l'éducation (discipline, contraintes, etc.) qui lui est donnée. Cette animalité avait été refoulée par la religion, la morale et la philosophie, si bien que la question de l'élevage de l'homme est demeurée inconsciente, comme dans le cas de la volonté morale d'améliorer l'humanité -
Nietzsche développe également l'idée que les hommes doivent soumettre les femmes : il estime que c'est là l'expression nécessaire de la spiritualisation des instincts et de la force d'une civilisation :
« Un homme profond, […] profond d'esprit autant que de désirs, doué par surcroît de cette bienveillance profonde capable d'une sévérité et d'une dureté qui se confondent facilement avec elle, un tel homme ne peut penser à la femme qu'à la manière d'un Oriental : il doit voir dans la femme une propriété, un bien qu'il convient d'enfermer, un être prédestiné à la sujétion et qui s'accomplit à travers elle. » (Par-delà bien et mal, §238).
Cette domination est pour lui nécessaire à la culture dans la mesure où la femme est un être réactif, c'est-à-dire faible et servile, alors que l'homme est actif, c'est-à-dire créateur (l'homme est l'animal fécond). En tant que telles, les femmes ne sauraient s'accomplir que dans la servitude, et elles ne participent qu'indirectement à la culture, dont elles parviennent parfois à être le centre d'intérêt (par exemple, au XVIIIe siècle). Leur rôle est de mettre des enfants au monde et d'être un divertissement plaisant pour les hommes.