Posté : 16 janv.07, 07:04
tu compares l'école à une mutilation ? serais tu un traumatisé de l'école ?asuphel a écrit : T'as demandé l'avis de tes enfants avant de les faire rentrer à l'école ?
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tu compares l'école à une mutilation ? serais tu un traumatisé de l'école ?asuphel a écrit : T'as demandé l'avis de tes enfants avant de les faire rentrer à l'école ?
si tu ne vois pas la différence entre mutiler un enfant contre son grè et lui imposer la culture et l'éducation qui lui seront indispensables quand il sera adulte, nous ne pouvons vraiment rien pour toi.asuphel a écrit : Pourquoi donc ?
ce n'est pas parce que tu n'en as jamais vu qu'il n'y en a pas.asuphel a écrit : Je pourrai te dire exactement la même chose concernant la circoncision, à savoir qu'un bon nombre d'individus n'ont pas chopé certains virus parce qu'ils étaient circoncis. (sans parler de l'hygiène).
Je n'ai jamais vu quelqu'un se plaindre parce qu'il s'est fait circoncire lorsqu'il était petit !
florence_yvonne a écrit : en attendant, tu le met au congélateur ou dans du formol ?
Mais mon ami parceque le faire aller a l'école est une action qui se répète chaque jour, que l'on peut changer d'école, de prof, de pays, etc... et même avec les autorisations correspondantes il peut très bien ne pas aller à l'école et apprendre a domicile.asuphel a écrit : Pourquoi donc ?
Oui, du rouge à lèvre, je crois.florence_yvonne a écrit :vous savez ce qu'ils font des placentas à l'hôpital ?
et une crème ant-ride d'une rare éficacitéSarah a écrit : Oui, du rouge à lèvre, je crois.
Sarah
Couscous aux prépus
Si, si. Vous avez bien lu.
C'est un couscous fait avec les bouts de « zizis » que l'on recueille après chaque circoncision. . Il en faut 12.
Quoi, « Beeekhrk » ? On ne vous demande pas d'en faire tous les vendredis. Ce n'est pas non plus une recette pour jours de fête. Pour tout vous dire, nous-même n'y avons jamais goûté et nous n'avons aucune intention de le faire.
En réalité, il s'agit d'une recette très particulière dont certaines
femmes du Sud marocain ont le secret. Elles la « prescrivent » aux femmes stériles. Quand une femme n'arrive pas à avoir d'enfants alors qu'elle le souhaite de toute son âme, quand elle a tout essayé et qu'elle est totalement désespérée, eh bien, il lui reste encore ça : le couscous aux 12 prépus !
En ce qui concerne la femme désespérée, on sait ce que représentait la descendance dans nos traditions, l'épouse pouvant être répudiée sans préavis lorsqu'elle n'arrivait pas à avoir d'enfants.
Ce qui était un drame, à l'époque. Elle était donc prête à tout pour donner un héritier à son seigneur et maître. Mais que dire de la « recette-remède » ? Faire un couscous aux légumes comme se font tous les couscous habituels, sauf qu'il faut remplacer la viande par les 12 prépus et attendre le miracle (non sans avoir eu « sa » nuit avec son mari tout de même)...Il fallait y penser !
L'intéressée -si l'idée l'écoeurait - n'était même pas obligée de le savoir. Sa mère ou sa tante pouvaient se charger de lui préparer le couscous en question en faisant passer les bouts de « zizis » pour des bouts de
viande gardés depuis la précédente fête du mouton (et nous ne connaissons pas beaucoup de monde qui reconnaîtrait des prépus cuits). Alors, imagination fertile ou « médicament » éprouvé ?
Allez savoir ! En tout cas, on en trouve qui y croient encore...
Citation:
Couscous aux prépus
Si, si. Vous avez bien lu.
C'est un couscous fait avec les bouts de « zizis » que l'on recueille après chaque circoncision. . Il en faut 12.
Quoi, « Beeekhrk » ? On ne vous demande pas d'en faire tous les vendredis. Ce n'est pas non plus une recette pour jours de fête. Pour tout vous dire, nous-même n'y avons jamais goûté et nous n'avons aucune intention de le faire.
En réalité, il s'agit d'une recette très particulière dont certaines
femmes du Sud marocain ont le secret. Elles la « prescrivent » aux femmes stériles. Quand une femme n'arrive pas à avoir d'enfants alors qu'elle le souhaite de toute son âme, quand elle a tout essayé et qu'elle est totalement désespérée, eh bien, il lui reste encore ça : le couscous aux 12 prépus !
En ce qui concerne la femme désespérée, on sait ce que représentait la descendance dans nos traditions, l'épouse pouvant être répudiée sans préavis lorsqu'elle n'arrivait pas à avoir d'enfants.
Ce qui était un drame, à l'époque. Elle était donc prête à tout pour donner un héritier à son seigneur et maître. Mais que dire de la « recette-remède » ? Faire un couscous aux légumes comme se font tous les couscous habituels, sauf qu'il faut remplacer la viande par les 12 prépus et attendre le miracle (non sans avoir eu « sa » nuit avec son mari tout de même)...Il fallait y penser !
L'intéressée -si l'idée l'écoeurait - n'était même pas obligée de le savoir. Sa mère ou sa tante pouvaient se charger de lui préparer le couscous en question en faisant passer les bouts de « zizis » pour des bouts de
viande gardés depuis la précédente fête du mouton (et nous ne connaissons pas beaucoup de monde qui reconnaîtrait des prépus cuits). Alors, imagination fertile ou « médicament » éprouvé ?
Allez savoir ! En tout cas, on en trouve qui y croient encore...
Les hommes qui imposent l'excision aux femmes ne s'imposent rien à eux-même et ne se sentent pas obligés d'être fidèles ! Ce ne sont que des arrièrés lâches et égoïstes !Sarah a écrit : Que doit-on faire pour s'assurer que l'homme restera fidèle ?
couper le couic-couic et le remettre pour le mariage ?
sarah