Posté : 15 oct.07, 01:19
Si votre prophète n'a pas menti vous dites alors que c'est Dieu qui ment, car YHWH a sans ambiguité demandé à Abraham de sacrifier Isaac.
Dans Genèse 16:16 Abraham était âgé de quatre-vingt-six ans lorsqu’Agar enfanta "Ismaël" à Abraham.
Genèse 21:5 Abraham était âgé de cent ans, à la naissance d’"Isaac", son fils
AGE ISMAEL - O à 1 AN AGE ABRAHAM - 86 ANS)
AGE ISAAC - O à 1 AGE ABRAHAM- 100 ANS Donc : ISMAEL avait : 14 ans , ISAAC : 1 an De 86 ans à 99 ans ABRAHAM n’avait qu’un fils
UNIQUE : Donc C’est ISMAEL qui était "UNIQUE FILS" ET NON PAS ISAAC : ISMAEL avait : 14 ans , ISAAC avait 1 an Voir : Genèse 22:2 / Dieu dit : Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac ; va-t’en au pays de Morija, et là offre-le en holocauste sur l’une des montagnes que je te dirai. . Quand le BON DIEU A dit à ABRAHAM ( PAIX SUR LUI) Prends ton fils, ton UNIQUE, ABRAHAM AVAIT IL UN FILS UNIQUE OU BIEN DEUX ??? Voilà là ,la question pour rechercher toujours la VERITE .
Et voilà une autre vérité qui nous précise trés bien qu’ ISMAEL etait le fils ainé d’ABRAHAM le jour où le BON DIEU a donné l’ordre de la Circoncission à ABRAHAM (PAIX SUR LUI) Dans :
Genèse 17:23 Abraham prit Ismaël, son fils, tous ceux qui étaient nés dans sa maison et tous ceux qu’il avait acquis à prix d’argent, tous les mâles parmi les gens de la maison d’Abraham ; et il les circoncit ce même jour, selon l’ordre que Dieu lui avait donné.
Genèse 21:4 Abraham circoncit son fils Isaac, âgé de huit jours, comme Dieu le lui avait ordonné.
Genèse 17:25 Ismaël, son fils, était âgé de treize ans lorsqu’il fut circoncis.
Genèse 17:26 Ce même jour, Abraham fut circoncis, ainsi qu’Ismaël, son fils.
Genèse 17:24 Abraham était âgé de quatre-vingt-dix-neuf ans, lorsqu’il fut circoncis.
Genèse 17:17 Abraham tomba sur sa face ; il rit, et dit en son coeur : Naîtrait-il un fils à un homme de cent ans ? et Sarah, âgée de quatre-vingt-dix ans, enfanterait-elle ?
le site maison de l'islam ajoute l'analyse suivante:
La présence, dans le passage de la Genèse relatif à l'épisode du sacrifice, du nom "Isaac" contredit les termes "ton fils unique" du même passage, car Isaac n'a jamais été fils unique. A notre sens il est possible que l'explication de la mention de ce nom "Isaac" après celle de "ton fils unique" réside dans le fait que dans les temps ayant précédé la catastrophe de - 587, un scribe, pensant par erreur que le fils qui avait failli être sacrifié était Isaac, aurait écrit ce nom en commentaire, et que lors de la collation suivant le retour, le commentaire ait été incorporé au texte.
Wallâhu A'lam (Dieu sait mieux).
Ibn Kathîr, écrit que l'avis correct à ce sujet est celui selon lequel c'est Ismaël qui faillit être sacrifié. Et il a repris sur ce point l'argumentation de Muhammad ibn Ka'b al-Qurazî. Ce dernier fait valoir que, à lire le passage coranique en question, on s'aperçoit qu'il y a d'abord le verset qui relate l'annonce faite à Abraham de la naissance d'un "fils longanime" et que suit la relation de l'ordre divin de sacrifier ce fils une fois qu'il eut quelque peu grandi (verset 102). Mais on lit, ensuite, plus loin, un autre verset qui dit : "Et Nous lui donnâmes la bonne nouvelle de Isaac, prophète parmi les pieux" (verset 112) ; et on relève que la citation de la bonne nouvelle de sa naissance est articulée avec ce qui précède par la conjonction "Et", ce qui fait qu'il ne s'agit pas d'un récapitulatif de ce qui précède mais d'un propos différent.
Voici l'intégralité du passage coranique :
"Et il dit : "Je pars vers mon Seigneur, Il me guidera. Seigneur, donne-moi (une progéniture) du nombre des pieux." Nous lui donnâmes la bonne nouvelle d'un garçon longanime. Ensuite, quand celui-ci eut atteint (l'âge de) l'accompagner, (Abraham lui) dit : "O mon fils, je vois en songe que je suis en train de t'immoler. Vois donc ce que tu en penses." Il dit : "O mon père, fais ce qui t'est ordonné ; tu me trouveras, si Dieu le veut, du nombre des patients." Puis, lorsque tous deux se furent soumis et qu'il l'eut mis sur le front, voila que Nous l'appelâmes : "O Abraham, tu as confirmé le songe." C'est ainsi que Nous récompensons les bienfaisants. C'était là l'épreuve manifeste. Et nous le rachetâmes d'une grande immolation. Et Nous perpétuâmes dans la postérité (cette parole) : "Paix soit sur Abraham !" Ainsi récompensons-Nous les bienfaisants. Il était du nombre de Nos serviteurs croyants. Et Nous lui donnâmes la bonne nouvelle d'Isaac, comme prophète d'entre les pieux. Et Nous (les) bénîmes, lui et Isaac. Et dans la descendance des deux il y a l'homme de bien et celui qui est manifestement injuste envers lui-même" (Coran 37/99-113)
Voyez, disent al-Qurazî et Ibn Kathîr, à considérer l'intégralité de ce passage, on s'aperçoit rapidement que, après le "fils longanime" d'abord cité (verset 101), Isaac est ensuite expressément nommé (verset 112). On en déduit que le "fils longanime" est autre qu'Isaac. Il s'agit donc d'Ismaël (Tafsîr Ibn Kathîr).
De plus, le passage se clôt sur ce verset : "Nous (les) bénîmes, lui et Isaac" (verset 113) : deux personnages sont ici mentionnés : l'un est désigné par le pronom personnel masculin singulier "lui" ; le second est expressément nommé : "Isaac". Le premier personnage est donc autre que Isaac. De qui s'agit-il ? Selon an-Najjâr, il s'agit de celui-là même qui, dans ce passage, avait été cité en premier et sans être expressément nommé : il s'agit de l'autre fils de Abraham, autrement dit de Ismaël (relaté dans Qassas ul-qur'ân 1/239). La même chose peut être dite à propos de la suite de la phrase de ce verset 113 : "Et dans la descendance des deux il y a l'homme de bien et celui qui est manifestement injuste envers lui-même" signifie que dans la descendance de Ismaël comme dans celle de Isaac il y a homme de bien et homme injuste.
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[/quote]Après cela, Dieu mit Abraham à l'épreuve et lui dit: " Abraham! "
2 Il répondit: " Me voici. " Et Dieu dit " Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac, et va-t'en au pays de Moria, et là offre-le en holocauste sur l'une des montagnes que je t'indiquerai.
Dans Genèse 16:16 Abraham était âgé de quatre-vingt-six ans lorsqu’Agar enfanta "Ismaël" à Abraham.
Genèse 21:5 Abraham était âgé de cent ans, à la naissance d’"Isaac", son fils
AGE ISMAEL - O à 1 AN AGE ABRAHAM - 86 ANS)
AGE ISAAC - O à 1 AGE ABRAHAM- 100 ANS Donc : ISMAEL avait : 14 ans , ISAAC : 1 an De 86 ans à 99 ans ABRAHAM n’avait qu’un fils
UNIQUE : Donc C’est ISMAEL qui était "UNIQUE FILS" ET NON PAS ISAAC : ISMAEL avait : 14 ans , ISAAC avait 1 an Voir : Genèse 22:2 / Dieu dit : Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac ; va-t’en au pays de Morija, et là offre-le en holocauste sur l’une des montagnes que je te dirai. . Quand le BON DIEU A dit à ABRAHAM ( PAIX SUR LUI) Prends ton fils, ton UNIQUE, ABRAHAM AVAIT IL UN FILS UNIQUE OU BIEN DEUX ??? Voilà là ,la question pour rechercher toujours la VERITE .
Et voilà une autre vérité qui nous précise trés bien qu’ ISMAEL etait le fils ainé d’ABRAHAM le jour où le BON DIEU a donné l’ordre de la Circoncission à ABRAHAM (PAIX SUR LUI) Dans :
Genèse 17:23 Abraham prit Ismaël, son fils, tous ceux qui étaient nés dans sa maison et tous ceux qu’il avait acquis à prix d’argent, tous les mâles parmi les gens de la maison d’Abraham ; et il les circoncit ce même jour, selon l’ordre que Dieu lui avait donné.
Genèse 21:4 Abraham circoncit son fils Isaac, âgé de huit jours, comme Dieu le lui avait ordonné.
Genèse 17:25 Ismaël, son fils, était âgé de treize ans lorsqu’il fut circoncis.
Genèse 17:26 Ce même jour, Abraham fut circoncis, ainsi qu’Ismaël, son fils.
Genèse 17:24 Abraham était âgé de quatre-vingt-dix-neuf ans, lorsqu’il fut circoncis.
Genèse 17:17 Abraham tomba sur sa face ; il rit, et dit en son coeur : Naîtrait-il un fils à un homme de cent ans ? et Sarah, âgée de quatre-vingt-dix ans, enfanterait-elle ?
le site maison de l'islam ajoute l'analyse suivante:
La présence, dans le passage de la Genèse relatif à l'épisode du sacrifice, du nom "Isaac" contredit les termes "ton fils unique" du même passage, car Isaac n'a jamais été fils unique. A notre sens il est possible que l'explication de la mention de ce nom "Isaac" après celle de "ton fils unique" réside dans le fait que dans les temps ayant précédé la catastrophe de - 587, un scribe, pensant par erreur que le fils qui avait failli être sacrifié était Isaac, aurait écrit ce nom en commentaire, et que lors de la collation suivant le retour, le commentaire ait été incorporé au texte.
Wallâhu A'lam (Dieu sait mieux).
Ibn Kathîr, écrit que l'avis correct à ce sujet est celui selon lequel c'est Ismaël qui faillit être sacrifié. Et il a repris sur ce point l'argumentation de Muhammad ibn Ka'b al-Qurazî. Ce dernier fait valoir que, à lire le passage coranique en question, on s'aperçoit qu'il y a d'abord le verset qui relate l'annonce faite à Abraham de la naissance d'un "fils longanime" et que suit la relation de l'ordre divin de sacrifier ce fils une fois qu'il eut quelque peu grandi (verset 102). Mais on lit, ensuite, plus loin, un autre verset qui dit : "Et Nous lui donnâmes la bonne nouvelle de Isaac, prophète parmi les pieux" (verset 112) ; et on relève que la citation de la bonne nouvelle de sa naissance est articulée avec ce qui précède par la conjonction "Et", ce qui fait qu'il ne s'agit pas d'un récapitulatif de ce qui précède mais d'un propos différent.
Voici l'intégralité du passage coranique :
"Et il dit : "Je pars vers mon Seigneur, Il me guidera. Seigneur, donne-moi (une progéniture) du nombre des pieux." Nous lui donnâmes la bonne nouvelle d'un garçon longanime. Ensuite, quand celui-ci eut atteint (l'âge de) l'accompagner, (Abraham lui) dit : "O mon fils, je vois en songe que je suis en train de t'immoler. Vois donc ce que tu en penses." Il dit : "O mon père, fais ce qui t'est ordonné ; tu me trouveras, si Dieu le veut, du nombre des patients." Puis, lorsque tous deux se furent soumis et qu'il l'eut mis sur le front, voila que Nous l'appelâmes : "O Abraham, tu as confirmé le songe." C'est ainsi que Nous récompensons les bienfaisants. C'était là l'épreuve manifeste. Et nous le rachetâmes d'une grande immolation. Et Nous perpétuâmes dans la postérité (cette parole) : "Paix soit sur Abraham !" Ainsi récompensons-Nous les bienfaisants. Il était du nombre de Nos serviteurs croyants. Et Nous lui donnâmes la bonne nouvelle d'Isaac, comme prophète d'entre les pieux. Et Nous (les) bénîmes, lui et Isaac. Et dans la descendance des deux il y a l'homme de bien et celui qui est manifestement injuste envers lui-même" (Coran 37/99-113)
Voyez, disent al-Qurazî et Ibn Kathîr, à considérer l'intégralité de ce passage, on s'aperçoit rapidement que, après le "fils longanime" d'abord cité (verset 101), Isaac est ensuite expressément nommé (verset 112). On en déduit que le "fils longanime" est autre qu'Isaac. Il s'agit donc d'Ismaël (Tafsîr Ibn Kathîr).
De plus, le passage se clôt sur ce verset : "Nous (les) bénîmes, lui et Isaac" (verset 113) : deux personnages sont ici mentionnés : l'un est désigné par le pronom personnel masculin singulier "lui" ; le second est expressément nommé : "Isaac". Le premier personnage est donc autre que Isaac. De qui s'agit-il ? Selon an-Najjâr, il s'agit de celui-là même qui, dans ce passage, avait été cité en premier et sans être expressément nommé : il s'agit de l'autre fils de Abraham, autrement dit de Ismaël (relaté dans Qassas ul-qur'ân 1/239). La même chose peut être dite à propos de la suite de la phrase de ce verset 113 : "Et dans la descendance des deux il y a l'homme de bien et celui qui est manifestement injuste envers lui-même" signifie que dans la descendance de Ismaël comme dans celle de Isaac il y a homme de bien et homme injuste.
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