sambion a écrit :
Crois moi, le moment de où tu vas te trouver face à la mort, tu vas découvrir autre chose
Non, je ne te crois pas : tu n'es qu'un prétentieux qui croit savoir ce qu'il y a après la mort. Si on les croyait tous, on croirait n'importe quoi.
Mon ancien poste qui montre que je cherche encore, et que je regretterais si ma religion est fausse, car j'ai gaspillé la majorité de mon temps, et que j'espère vivre plus pour recompenser
Non, il dit que tu as arrêté de chercher en décidant de croire.
Et c'est pour ça que tu regretteras d'avoir eu tord.
Alors que moi, je n'aurais rien à regretter ; je n'aurais jamais jeté l'éponge...
Celui qui ne cherche pas, c'est toi qui n'accepte pas de croire, il faut croire jusqu'à preuve du contraire
Je vais finir par croire que tu crois par simple bétise...
Croire jusqu'à preuve du contraire, c'est ce que les athées font : ils croient que Dieu n'existe pas jusqu'à preuve du contraire.
Croire jusqu'à preuve du contraire, c'est croire à tout et à n'importe quoi.
Moi, je ne crois que lorsque j'ai des preuves, et cela fait que ma foi à moi a de la valeur ; la croyance de celui qui croit n'importe quoi ne veut rien.
Quel mérite as tu si tu ne fais que croire par défaut, pour sauver ta pauvre peau ? C'est de l'opportunisme, ni plus ni moins.
Si ton Dieu existe, et qu'il est réellement grand, il te méprisera de n'avoir cru en lui que pour ne pas aller en enfer...
Pour le reste, d'un point de vue objectif : il y a des centaines de religions. Toutes disent qu'elles seulent sauvent leurs croyants.
Tu en a choisi une sur plusieurs centaines. Tu prends donc un grand risque...
Si on ne croit pas, parcequ'on est sur et certain qu'il n'existe pas,(ce qui ne sera jamais le cas, et celui qui pretend ça, il n'a qu'a se suicider, car ça ne changera rien pour lui d'ici 150ans)
Ah, Nietzsche, comme tu avais raison...
Les croyants tels que toi, Sambion, sont de pauvres hommes faibles et ingrats qui n'aiment pas la vie.
Ils sont trop faibles pour l'apprécier simplement, et sont donc obligés pour la supporter d'imaginer un "après", un au-delà...
Mais tu sais, mon pauvre, il y a des gens plus heureux qui apprécient la vie, qui en goûtent chaque seconde. Pourquoi voudrais-tu qu'ils se suicident pour mourir plus vite ? Ils ne sont pas aussi faibles que toi ; eux ne vivent pas uniquement pour gagner un cadeau à la fin...