Comme l'a dit Wallaby lors de la réplication de l'ADN il peut y avoir ajout suppression ou remplacement de bases azotés sans l'intervention d'une forme de vie extérieur.Matière a écrit :Je vous remercie pour les réponses.
J'ai une autre question, quels sont les mécanismes qui rajoutent de l'information génétique et permettent une mutation ou un changement bénéfique sans l'intervention d'une forme de vie extérieure.
Je connais les mécanismes suivants : Transposition, conjugaison, transduction.
Mais dans chacun de ces trois mécanismes il y a intervention d'une autre forme de vie, que ce soit celle d'un virus ou celle d'une autre bactérie.
Aussi j'aimerais savoir si vous avez des exemples de changements génétiques bénéfiques à l'espèce (autre qu'une bactérie) avec addition d'information génétique.
Voilà, merci.
Il peut également y avoir des duplications de séquences entières d'ADN.
Ensuite les séquences dupliquées peuvent muté ce qui peut généré de nouvelles protéines et donc de nouveaux phénotypes, par ailleurs l'ensemble de la diversité allélique au sein de l'espèce, notamment la capacité de digéré le lactose, le fait que 10% des européens sont résistants au virus du Sida, ou encore un allèle protégeant une population du nord de l'Italie des infarctus, sont tous du à des mutations. Les créationnistes disent souvent que les mutations ne peuvent pas ajouter d'«information» au génome sans jamais dire ce qu'ils entendent exactement par «information» (le concept d'«information» étant en fait une idéation) et affirmant ainsi que tout changement même si il représente un ajout de matériel génétique avec nouvelle protéine et nouvelle fonction, ne démontre pas l'évolution ce qui est bête à un point défiant l'imagination mais les créationnistes n'ont pas peur de la connerie car ils sont apparemment tombé quand ils étaient petits.
Bref les mutations peuvent être positives et amener à l'apparition de nouvelles protéines, de nouvelles capacités et plus généralement de nouveaux phénotypes, alors bon c'est vite vu les mutations positives existent, la preuve par la diversité allélique présente au sein de la seule espèce humaine.