braque de weimar a écrit :
Pour la première fois, la commission américaine sur les libertés religieuses internationales, dont les membres sont nommés par le président américain et le Congrès, a consacré un chapitre de son épais rapport annuel, publié mercredi, à l'Europe de l'Ouest. En 2012, seul quelques paragraphes lui étaient dédiés.
"Parfois, comme l'Europe de l'Ouest a en général un très bon bilan en matière de liberté religieuse, il est facile de négliger le fait qu'il existe des questions problématiques en ce qui concerne les vêtements religieux, certains rituels et certaines traditions religieuses", a expliqué la présidente, Katrina Lantos Swett, lors d'une conférence téléphonique....
que dire aujourd'hui de ce fameux programme Prism qui fait la une des médias américains et un exemple flagrant d'une action liberticide US ?
Le géant américain de l'internet Google, mis en cause dans le programme Prism qui permet de surveiller des données de ses utilisateurs, a demandé au gouvernement la permission de publier des informations sur les demandes de ces données, qui lui sont faites au nom de la sécurité nationale, disant n'avoir "rien à cacher".
Google publie régulièrement un rapport dit "de transparence" sur les demandes du gouvernement, mais ce document ne répertorie pas celles relevant de la loi Fisa (Foreign Intelligence Surveillance Act), qui permet la surveillance d'étrangers et serait la base du programme Prism.
Prism permet aux services de renseignement de surveiller en temps réel les données circulant sur les serveurs des grands groupes informatiques comme Google, Facebook ou Microsoft.
Bruxelles, bureau européen. La Commission européenne a répété, lundi 10 juin, qu'elle était "préoccupée" par Prism, le programme américain de surveillance électronique dirigé par l'Agence nationale de sécurité (NSA) qui lui permet d'accéder aux données d'étrangers, notamment européens.
Inhabituellement discrète, Viviane Reding, la commissaire à la justice, n'a pas pointé du doigt les Etats-Unis, avec lesquels, a expliqué sa porte-parole, elle évoque "systématiquement" les droits des citoyens européens. La commissaire a plutôt visé les pays de l'Union européenne (UE) qui ont gelé, jeudi 6 juin, à Luxembourg, son projet de protection des données personnelles.*
la commission US qui critique les libertés n'ont vraiment pas de leçons à donner !