Re: Y'en à marre des attentats au nom de l'islam!!!!!
Posté : 17 mai13, 06:32
Règle N°1 : Quiconque est en accord avec un texte révélé (Coran ou Hadith) ou un consensus des Savants sa parole sera acceptée. Et quiconque est en désaccord avec un texte révélé ou un consensus, sa parole sera rejetée, quel qu’il soit.
Explication : Il faut savoir que les paroles et les actes sont évalués selon deux critères :
Le texte révélé, c’est à dire le Coran et la Sounnah, et le consensus des Savants.
Tout ce qui est en accord avec ces deux critères est accepté, et tout ce qui contredit ces deux critères est rejeté. Quelque soit la personne qui dit cette parole ou commet cet acte.Si cette personne en désaccord est reconnue comme Imam de grande valeur, qui prêche conseil à la communauté et appelle à la Sounnah, alors cela n’affectera pas son prestige, mais nous dirons simplement : « C’est un savant qui s’est trompé, un imam qui a fait une erreur, mais la vérité est le contraire de ce qu’il a dit ou fait ».
Par contre, si celui-ci est reconnu comme parmi les gens fantaisistes qui suivent leurs passions, les égarés, les innovateurs ou autres déviés, alors nous agirons avec lui avec force et détermination, nous mettrons en garde contre lui. Sauf si cela peut entraîner des choses encore plus néfastes, alors on se contentera de rejeter son innovation et ses erreurs sans le viser personnellement.
Ce qui incombe au musulman, c’est d’acquérir les deux bienfaits qui s’offrent à lui s’il peut[2], sinon il se contente du meilleur des deux, de la même façon que lorsqu’il a le choix entre deux choses néfastes, il repousse la plus néfastes des deux. Tout tourne donc autour des bienfaits à tirer et des méfaits à repousser.
Explication : Il faut savoir que les paroles et les actes sont évalués selon deux critères :
Le texte révélé, c’est à dire le Coran et la Sounnah, et le consensus des Savants.
Tout ce qui est en accord avec ces deux critères est accepté, et tout ce qui contredit ces deux critères est rejeté. Quelque soit la personne qui dit cette parole ou commet cet acte.Si cette personne en désaccord est reconnue comme Imam de grande valeur, qui prêche conseil à la communauté et appelle à la Sounnah, alors cela n’affectera pas son prestige, mais nous dirons simplement : « C’est un savant qui s’est trompé, un imam qui a fait une erreur, mais la vérité est le contraire de ce qu’il a dit ou fait ».
Par contre, si celui-ci est reconnu comme parmi les gens fantaisistes qui suivent leurs passions, les égarés, les innovateurs ou autres déviés, alors nous agirons avec lui avec force et détermination, nous mettrons en garde contre lui. Sauf si cela peut entraîner des choses encore plus néfastes, alors on se contentera de rejeter son innovation et ses erreurs sans le viser personnellement.
Ce qui incombe au musulman, c’est d’acquérir les deux bienfaits qui s’offrent à lui s’il peut[2], sinon il se contente du meilleur des deux, de la même façon que lorsqu’il a le choix entre deux choses néfastes, il repousse la plus néfastes des deux. Tout tourne donc autour des bienfaits à tirer et des méfaits à repousser.