Re: Pourkoi Plus de suicides chez les athées et les protesta
Posté : 21 sept.13, 02:01
Cher Monsieur Nazi,
Il est bon que vous citiez régulièrement les autres intervenants de ce débat, leur orthographe étant nettement plus lisible que la vôtre, cela rend vos publication "presque" compréhensibles.
Cependant, il semblerait qu'ils soient presque tous d'accord sur un point: Les statistiques ne sont pas exaustives, et lorsque l'on a un parti pris comme le vôtre, on peut leur faire dire n'importe quoi. Votre manque de discernement et d'objectivité vous aveuglent, je le crains.
Le problème du suicide n'est pas un problème de religion, car que ce soit les athées ou les croyants, le suicide pose un problème pour "l'après".
L'athée pense qu'il n'y a pas de vie après la mort. Le suicide signifie donc pour lui le néant. A moins d'être vraiment sans autre alternative, cette solution n'est enviable pour personne.
Concernant le croyant lambda, on peut supposer que le doute existe. Pas concernant la vie après la mort, mais au sujet du pardon divin. "Dieu m'acceuillera-t-il quand même si je me suicide?"
Il y'a les exceptions qui touchent les religions pour qui le suicide de type "kamimaze" est une façon de s'ouvrir les portes du paradis. C'est une forme de culture qui se trouve exclusivement dans les culture guerrières et dominatrices. Ainsi les Vikings qui ne périssaient pas au combat n'allaient pas festoyer avec Odin. Même si là, la notion de suicide est déformée, il s'agit bel et bien d'un sacrifice avec promesse d'un au-delà de rêve.
Pour conclure, et si vous m'avez lu autrement qu'en diagonale, je vais vous donner un petit conseil. La prochaine fois que vous lancerez un sujet sur ce forum, prévenez-vous des moqueries d'autrui et ne focalisez pas votre argumentation sur votre idée préconçue de base. Cela vous préservera des contradictions, et vous rendra moins ridicule.
Il est bon que vous citiez régulièrement les autres intervenants de ce débat, leur orthographe étant nettement plus lisible que la vôtre, cela rend vos publication "presque" compréhensibles.
Cependant, il semblerait qu'ils soient presque tous d'accord sur un point: Les statistiques ne sont pas exaustives, et lorsque l'on a un parti pris comme le vôtre, on peut leur faire dire n'importe quoi. Votre manque de discernement et d'objectivité vous aveuglent, je le crains.
Le problème du suicide n'est pas un problème de religion, car que ce soit les athées ou les croyants, le suicide pose un problème pour "l'après".
L'athée pense qu'il n'y a pas de vie après la mort. Le suicide signifie donc pour lui le néant. A moins d'être vraiment sans autre alternative, cette solution n'est enviable pour personne.
Concernant le croyant lambda, on peut supposer que le doute existe. Pas concernant la vie après la mort, mais au sujet du pardon divin. "Dieu m'acceuillera-t-il quand même si je me suicide?"
Il y'a les exceptions qui touchent les religions pour qui le suicide de type "kamimaze" est une façon de s'ouvrir les portes du paradis. C'est une forme de culture qui se trouve exclusivement dans les culture guerrières et dominatrices. Ainsi les Vikings qui ne périssaient pas au combat n'allaient pas festoyer avec Odin. Même si là, la notion de suicide est déformée, il s'agit bel et bien d'un sacrifice avec promesse d'un au-delà de rêve.
Pour conclure, et si vous m'avez lu autrement qu'en diagonale, je vais vous donner un petit conseil. La prochaine fois que vous lancerez un sujet sur ce forum, prévenez-vous des moqueries d'autrui et ne focalisez pas votre argumentation sur votre idée préconçue de base. Cela vous préservera des contradictions, et vous rendra moins ridicule.